Autres commentaires sur la vision d’avenir proposée ?

Que pensez-vous de la vision d’avenir proposée ?

 
  • Vision Mer et Littoral 2030. Oui, mais…

    vigibaie - 25 Mars 2018 - 16h48

    La vision 2030 proposée est séduisante mais irréalisable actuellement au regard de l’organisation et du fonctionnement de l’Etat décentralisé.
    Priorité au décloisonnement, à une gestion intégrée et donc cohérente avec une véritable gouvernance.
    La dilution des responsabilités observée et la pression des élus locaux et des intérêts privés sur les services déconcentrés de l’Etat doit rapidement cesser.
    Les représentants de l’Etat et les services concernés par la Mer et le Littoral doivent restaurer l’autorité de l’Etat en étant à la hauteur des enjeux.
    Des profils nouveaux sont à l’évidence indispensables.
    Une délégation interministérielle pour la Mer et le Littoral forte et décentralisée doit être affirmée au plus haut niveau de l’Etat.

  • Structurer, renforcer les acteurs décideurs de l'Avenir de la Mer

    Talbert - 25 Mars 2018 - 10h01

    Après la lecture des livres de C. BUCHET, J. ATTALI, A. JOSEPH & P. GOUQUELQUER et du journal Le MONDE, inutile d’en rajouter sur l’importance des responsabilités qui reposent sur nos engagements présents afin d’assurer l’Avenir !
    Pour assurer une pérennité des actions faut-il tout d’abord les structurer. Trop d’acteurs interviennent sur tout ce qui a trait à la Mer. Cette dernière en raison des enjeux d’Avenir qu’elle représente, doit disposer d’une «forte» autorité capable de coordonner tous les acteurs de son domaine. Cette autorité ne peut qu’être qu’un Ministère d’État !
    Parmi l’ensemble des acteurs, la Pêche-Plaisance représente un secteur plus qu’important.
    Cette «population» doit participer, pour se faire une «Carte-Pêche-Plaisance» distribuée par l’ensemble des Associations de Plaisanciers permettrait de fédérer ces passionnés de la Mer, premiers intéressés à sa préservation tant côtière qu' hauturière.
    Cette organisation permettrait des échanges constructifs d’Avenir.

  • La vie s'arrête au mois d'août

    Nicolas Ducos - 24 Mars 2018 - 12h18

    La vie économique s’arrête au mois d’août. Tout le monde arrive en même temps, notre littoral sature 2 mois de saison.
    Pourquoi ne pas modifier l’organisation du travail (déjà le télétravail se met en place) et permettre aux entreprises, par des aides, d’inciter leurs collaborateurs qui le peuvent (enfants majeurs) à étaler beaucoup plus leurs vacances ?
    En régulant, les équipements seraient mieux utilisés.

  • pour une meilleuire connaissance du milieu marin, Eau et Rivières souhaite que...

    Jean-Yves - 23 Mars 2018 - 18h25

    - soit renforcée la prise de conscience générale du lien entre la terre et la mer ;
    - soient étudiés en détail les effets nuisibles sur les espèces marines protégées de toutes les fréquences sonores générées par les activités humaines ;
    - soit réaffirmé et soutenu le rôle des associations (comme Eau & Rivières de Bretagne) dans leurs activités de formation, d’information et de sensibilisation à la protection de la mer, de ses eaux et de ses écosystèmes.

  • pour une meilleuire connaissance du milieu marin, Eau et Rivières souhaite que...

    Jean-Yves - 23 Mars 2018 - 18h23

    - se développe la recherche fondamentale qui inventorie les écosystèmes marins, qui étudie leur fonctionnalité, qui pérennise leur surveillance et qui permette ainsi les études d’impacts nécessaires avant toute exploitation inconsidérée de ses ressources ; que les budgets publics nécessaires soient pérennisés dans ces objectifs ;
    - soient collectées et stockées dans des bases de données publiques accessibles à tous, toutes les mesures effectuées sur le milieu marin par les instituts scientifiques et les bureaux d’études privés ;
    - soient évaluées les modifications des aires de répartition des espèces planctoniques, des poissons et des algues en fonction de l’évolution des conditions physique et chimique du milieu marin dans le cadre du changement climatique ;
    - soit renforcée la prise de conscience générale du lien entre la terre et la mer ;

  • la dimension économique de la filière nautique

    hcuvelier - 23 Mars 2018 - 09h59

    Bonjour,

    dans l'état des lieux du DSF Namo , le nautisme n'est abordé que sous l'angle du tourisme et de l'attractivité !!
    Il y a sans doute un oubli bien involontaire ?
    rappelons cependant que l'étude de la Région Bretagne sur le poids de la filière nautique bretonne donne les résultats suivants :
    1,75 Milliard de retombées économiques directes et indirectes , 7500 emplois et 2000 entreprises!
    Alors dans nos réflexions à venir sur la planification des espaces littoraux et maritimes , n'oublions pas cette filière essentiel à la vie de nos territoires et pensons à nos enfants et petits enfants pour qu'ils puissent y vivre et y travailler .
    Je vous remercie de prendre en compte ma contribution,
    sincères salutations

  • Clarifier la réelle ambition de la France pour les PNM

    vigibaie - 21 Mars 2018 - 14h29


    Le découpage administratif des façades maritimes ne doit pas faire oublier les projets de Parc Naturel Marin et notamment le PNM Normand-Breton avec comme périmètre défini : le triangle La Hague / Mt St Michel / Bréhat. Un projet étudié dans la concertation avec tous les acteurs concernés et quasiment finalisé dont il ne restait, en 2013, qu’à le soumettre à enquête publique suivi d’un décret de la Ministre.
    Nous demandons, haut et fort, que ce projet soit sorti du « réfrigérateur » dans lequel l’ancienne Ministre a cru bon le mettre, sous pression des Bretons et notamment d’un autre Ministre, ancien Président de la Région Bretagne… avant qu’elle ne quitte son Bureau de l’Hôtel de Roquelaure…
    Pour les stratégies des façades NAMO et MEMN, le Ministère et les Conseils maritimes de façade ne peuvent s’affranchir de ce projet étudié et doivent clarifier préalablement l’avenir et le calendrier de ce projet de Parc Naturel Marin Normand-Breton.

  • «Eau et Rivières de Bretagne - Mer et Littoral – Reconquête écologique des eaux »

    edervieux - 20 Mars 2018 - 21h57

    Partie 3 – Contribution E.R.B.
    [...] C’est à la fois dans le cadre de la préservation de la mer et du littoral et de la protection de la santé humaine et animale comme le demande la Directive-Cadre 2008/56/CE dite DCSMM, que doivent être entrepris l’aménagement des territoires marins en relation avec les espaces terrestres connexes.
    Si les impacts directs ou indirects sur les écosystèmes et la compréhension du système terre-mer, dans le contexte du changement climatique, ne sont pas pris en compte, alors l’exploitation des richesses marines et littorales sera un fiasco équivalent à celui de l’agriculture industrielle.
    Il n’est plus question ici de dépasser l’opposition économie/environnement mais de constater les limites de nos ressources, limites qui rendent cette croissance bleue déraisonnable.
    Nous vous remercions de l’attention que vous porterez à cette note et vous prions d’agréer, Monsieur, l’expression de toute notre considération.
    CA d’Eau et Rivières de Bretagne

    choucas
    La nécessaire reconquête de la qulité des eaux littorales ne doit quand même pas faire oublier que tout ne se passe passe dans cet espace!Il est certain que la bande littorale est celle où se concentre les enjeux, mais le DSF va au delà et ne se substitue pas non plus aux documents terrestres qui doivent faire l'objet de nos attentions.
    • Pas d'accord
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  • «Eau et Rivières de Bretagne - Mer et Littoral – Reconquête écologique des eaux »

    edervieux - 20 Mars 2018 - 21h55

    Partie 2 –Contribution E.R.B.
    [...] Et enfin le réchauffement climatique aura parachevé la destruction des biotopes du littoral
    Pour ne pas tuer la poule aux œufs d’or, ERB considère que le premier objectif de ce projet est la reconquête écologique des eaux :
    « - en préservant des zones humides rétro-littorales et des marais,
    - en restaurant la qualité de l’eau des rivières (élimination des pollutions diffuses : nitrates, phosphates, substances pharmaceutiques et phytosanitaires, microparticules...
    - en protégeant la quantité des eaux, drainages, irrigations, arrosages, pompages…  » (P.22)
    pour restaurer la qualité de l’eau aux exutoires, « un enjeu majeur pour la façade.
    Le deuxième objectif est d’enrayer la perte de la biodiversité sur toute la chaîne alimentaire. Le troisième objectif est d’améliorer la connaissance du milieu marin.
    En conclusion, la poursuite de ces trois objectifs est un préalable pour répondre aux multiples enjeux liés à la « croissance bleue » envisagée.[...]

  • «Eau et Rivières de Bretagne - Mer et Littoral – Reconquête écologique des eaux »

    edervieux - 20 Mars 2018 - 21h54

    Partie 1 – Contribution E.R.B.
    Monsieur le Ministre,
    Contrairement au scénario évoqué dans la concertation préalable du public, en 2030, les habitants de la façade Nord Atlantique – Manche Ouest, n’auront pas dépassé l’opposition économie/environnement !
    D’une part, aujourd’hui, comme relevé dans le projet « les écosystèmes côtiers sont en mauvais état de conservation en raison des multiples pressions (abrasion, étouffement, contamination, ...) exercées par les activités humaines, telles que le dragage des ports et de leur accès associé au clapage, l’agriculture littorale, l’urbanisation, la pêche, les
    extractions de granulats, l’aménagement du trait de côte, les transports maritimes et la plaisance, .. . » (P 12 Doc stratégique)
    D’autre part, la « croissance bleue intelligente, durable et inclusive » que le projet stratégique considère nécessaire et l’exploitation des ressources auront poursuivi la fragilisation des écosystèmes marins et des paysages marins littoraux.[...]

    niaté
    la primauté accordée à l'économie sauvage détruit les valeurs humaines.
    • Pas d'accord
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  • Gouvernance, innover à l’échelle de la façade NAMO

    Bretagne Vivante - 20 Mars 2018 - 15h45

    La planification maritime des activités humaines ne peut se faire sans concertation. A ce jour, les Associations de Protection de la Nature sont souvent absentes ou à la marge de ces circuits. La concertation est, par ailleurs, souvent menée de manière cloisonnée. Ce déficit d’écoute est source de mobilisation contre des projets mal présentés, mal discutés, parfois contestables au regard des enjeux naturalistes et environnementaux.
    Bretagne Vivante propose :
    - Que la Commission Maritime de Façade devienne une instance de concertation regroupant : l’État, les Collectivités, les Représentations Professionnelles, les Associations de Protection de la Nature. Pour plus d’efficacité, des groupes de travail pourront être créés.
    - Que cette instance puisse émettre un avis sur les projets impactant le milieu marin, éclairé par un comité scientifique.
    - Que localement (au niveau des pays) soit instituée une instance relais pour observations à la commission de concertation de la façade maritime.

    doudou
    Le CONSEIL MAritime de façade devrait être dotés d'un véritable pouvoir de gouvernance
    • Pas d'accord
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  • éoliennes offshore

    corbey - 19 Mars 2018 - 18h06

    je suis contre les éoliennes off shore pour différentes raisons:
    - destruction du paysage qui est une des richesse de la cote française
    - peu d’intérêt pour le réseau électrique français de ces éoliennes avec un facteur de charge de 30%ù environ qui donnent du courant quand il y a du vent et non de façon persistente et qui demandent donc l'aide de moyens pilotables en cas de non vent ceci detruisant une partie de la rentabilité de ces moyens pilotables qui doivent fonctionner a charge reduite
    - je suis opposé à la préférence que le réseau doit donner aux ENR
    - coût très élevé de ce moyen de production

    ClaireR
    J'ai du mal à me faire un avis sur ce sujet. Quels faits pour / contre cette source d'énergie au regard des caractéristiques de la région et des besoins ? La partie Bretagne génère peu d'électricité et sa dépendance pose problème. Mais quelles solutions? (Hormis déjà réduire les consommations qui est déjà un levier important)
    • Pas d'accord
      0
    delion-b
    Les impacts des éoliennes sont très mineurs sur l'environnement et à des coûts beaucoup plus faibles que le nucléaire. Le démantèlement est prévu dans le cahier des charges de tout projet, à la charge de l'énergéticien. Leurs impacts sur la faune, visuels et environnementaux sont dérisoires comparés au service rendu. Les parcs "interdits aux pêcheurs" serviront, en fait, de frayères protégées, donc à la reconstitution de la ressource halieutique ! … Pour pallier le risque de dissémination d'aluminium, on n'utilise plus d'électrodes « consommables », pour éviter la corrosion ; on leur préfère des courants de faible intensité.
    • Pas d'accord
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  • Une gouvernance différente ? Estuaires Loire Vilaine

    jc.ménard - 19 Mars 2018 - 14h18

    L'avenir des territoires passe par une gouvernance différente. Moins de décisions verticales plus de gestion intégrée des espaces côtiers et littoraux. Réflexion collective sur une vision de la mer et du littoral, définir les enjeux. Réunir dans cette concertation plus horizontale, les usagers, les professionnels, les associations, élus, des scientifiques...
    Supprimer les différentes couches administratives qui retardent et enterrent parfois les projets. Créer à la place une nouvelle entité proche du conseil maritime de façade ou des régions.

    ClaireR
    Que ce qui se passe ici et maintenant ne soit pas lettre morte mais approfondi
    • Pas d'accord
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  • Le nouveau port de plaisance de Brétignolles sur Mer, un outil au service du développement du Pays de Saint Gilles Croix de Vie

    CDCPSG - 19 Mars 2018 - 14h17

    Alors qu’il présente de nombreux atouts, le littoral des Pays de la Loire est très mal doté en installations portuaires, par comparaison avec la Bretagne. Cette situation est encore plus marquante en Vendée. Le nautisme présente pourtant d’importants enjeux économiques et touristiques. C’est la raison pour laquelle la Communauté de Communes du Pays de Saint Gilles Croix de Vie prévoit la réalisation d’un port de plaisance à Brétignolles sur Mer, répondant aux exigences sécuritaires, environnementales et financières les plus strictes.
    Le port de Brétignolles sur Mer s’intègre parfaitement à son environnement. Réalisé dans les terres, il ne concerne aucune emprise faisant l’objet d'une protection réglementaire.
    Il est intégralement financé par les recettes d’exploitation de l’équipement, qui est conçu pour concourir au développement d’un territoire de plus de 48 000 habitants.

    Pragmatique
    C’est un très beau projet résultat de longues études et de beaucoup de concertations autant citoyenne qu’avec les services de l’état. Visionnez la présentation en film sur le site de la communauté de communes du pays de saint gilles
    • Pas d'accord
      14
    Jean-Yves Bourcereau
    Un projet de port de plaisance qui a été rejeté lors de l’enquête publique de 2011, qui n’a pas été retenu au concours national des ports de plaisance exemplaires en 2016, qui fait l’objet d’une forte opposition, qui divise la population locale, .. le littoral doit être protégé pas massacré : destruction du trait de côte, bétonnage du domaine public maritime, entrée de la mer dans les terres, ..... Si ce dossier allait en enquête publique, comme en 2011, il y aurait une déferlante de dépositions contre.
    • Pas d'accord
      4
    Nicolas Ducos
    Une fois de plus le porteur de projet ne pose pas le problème dans le bon sens, et depuis 2003 (!) je répète les mêmes choses …Avant d'affirmer qu'il faudrait un port à Brétignolles sur Mer, au motif qu'il y aurait « un manque d'installations portuaires sur le littoral des Pays de la Loire »,  ce qu’il faudrait aussi démontrer, la première question à se poser, est : est ce que le site s’y prête? Et la réponse a déjà été donnée en 2011. J’ai étudié le nouveau dossier que les élus souhaiteraient soumettre à enquête publique : rien de changé, ni sur la méthode, ni sur le fond; beaucoup de verbiage pour tenter d’effacer les contraintes rédhibitoires.....
    • Pas d'accord
      4
    Nicolas Ducos
    ... Je ne vais pas refaire ici une enquête publique, mais force est de constater que j’ai, en Vendée, des collègues élus amnésiques. Ils n’auraient pas vécu Xynthia et ils ne semblent pas prendre conscience qu’avec le réchauffement climatique et l’érosion du littoral qui s’accroît, le bon sens et le principe de précaution devraient prévaloir. Certains ici voudraient nous faire croire ici que la terre est carrée et que demain on pourrait créer, pourquoi pas, une station de ski pour les sports d’hiver au motif du développement économique et touristique, alors que justement les touristes viennent sur ce site parce qu’il est naturel et authentique! Nicolas Ducos Conseiller municipal Brétignolles sur Mer
    • Pas d'accord
      4
    delion-b
    Pour réaliser le virtuel port de Brétignolles, il faudrait percer une dune appréciée des touristes en famille, et ultime protection littorale, déjà bien malmenée par les tempêtes successives, contre les vagues de submersion de type Xynthia. Il en résulterait une cuvette où, comme aux Sables-d’Olonne : la vague soulevée par la dépression s’est comportée comme un tsunami : pontons décrochés de leurs poteaux d’amarrage, bateaux empalés sur les poteaux… Sans effet de chasse lié aux lâchers d’eau d'une rivière, l’envasement y serait chronique.
    • Pas d'accord
      4
    delion-b
    La réalisation du virtuel port de Brétignolles impacterait la zone Natura 2000 Mer (FR5212015 Secteur de l’Ile d’Yeu - Zone Protection Spéciale). Pour espérer pouvoir déroger aux règles impératives de cette zone, il devrait présenter un intérêt public majeur ; ce qui, bien évidemment, n'est pas le cas !
    • Pas d'accord
      4
    vazaha
    il y aura toujours des" gogos" pour se laisser berner par de la" com";helas!...ce secteur a ete bien amoche depuis l'installation de Merlin au Marais girard;alors epargnons le et surtout protegeons le de tous les megalos irresponsables!!
    • Pas d'accord
      4
    Olivier André RICHARD
    Un projet inutile -1 Le projet de port de plaisance de Brétignolles sur mer ne diffère guère de celui soumis à 7 enquêtes publiques en 2011 et qui ont toutes émis un avis négatif. Ce projet n'apporte aucun progrès économique et le nombre d'emploi promis est tout aussi virtuel que les esquisses artistiques annexées aux dossiers du projet et largement diffusées dans la presse locale. Ce projet de port n'a rien d'exemplaire au niveau écologique et il a déjà fait des victimes à ce niveau: suppression d'un élevage biologique de chèvres, suppression de haies, de mare et arasement de terres cultivables.
    • Pas d'accord
      4
    Olivier André RICHARD
    Un projet inutile -2 Au lieu d'une montagne de cartons censés contenir les dossiers apportant une justification indiscutable de son projet de port, le promoteur du projet, Christophe Chabot, maire de Brétignolles et accessoirement président de la communauté de communes du Pays de Saint Gilles Croix de Vie, ferait mieux de faire réaliser une vue en trois 3 D de son irréalisable projet afin d'en dévoiler son véritable impacte. Ce projet "réalisé dans les terres" (sic) modifie considérablement le trait de côte avec des effets certains, voir les dégâts de la tempête Xynthia à port Olonna aux Sables d'olonne.
    • Pas d'accord
      4
    Olivier André RICHARD
    Un projet inutile -3 Il est à noter que depuis des années le littoral Brétignollais est laissé à l'abandon dans le seul but d'en dévaloriser sa valeur et afin de vouloir imposer ce projet de port. La quasi-totalité des remarques et des conclusions faites en 2011 lors des 7 enquêtes publiques négatives s'applique à ce projet quasi similaire. Depuis 2011 une pratique de la plaisance encore plus en décalage avec ce projet de port, où la pratique de la plaisance devient multiple et variée pour les pratiquants et que la notion de possession de fait est devenue de plus en plus obsolète. Ce projet de port ne s'inscrit pas dans une logique d'intérêt général, juste dans celle d'intérêts privés ayant une visée post réalisation
    • Pas d'accord
      4
    FNE Pays de la Loire
    Ce projet d'un autre temps va à l'encontre de la stratégie d'avenir du littoral qui se veut : respecter l'environnement, arrêter d'artificialiser le littoral, respect des zones humides rétro-littoral, capacité d'accueil du littoral, ... Il faut que les élus locaux à la tête du Pays de St Gilles changent leurs logiciels d'aménagement du territoire et du développement économique. Il est grand temps de rentrer dans le 21ième siècle synonyme de transition écologique de nos territoires.
    • Pas d'accord
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    Pragmatique
    la FNE connait elle vraiment le dossier ? Si oui a quel moment l'a t elle étudié? A quel moment a telle rencontré la CDC du pays de Saint Gilles. Ou, est elle opposée car il s'agit "d'un port", par principe ...
    • Pas d'accord
      4
    Nicolas Ducos
    On connait la chanson, les opposants seraient coupables de tout les maux. On dit aussi qu'il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre.. Il est heureux qu'en démocratie, une opposition puisse développer ses arguments face à l'aveuglement de certains.
    • Pas d'accord
      1
    Jean-Yves Bourcereau
    Le dossier de port a été présenté au concours national des ports de plaisance exemplaires en 2015 et n’a pas été retenu car ne répondant pas à la stratégie nationale mise en place par les pouvoirs publics pour le développement des ports de plaisance. Il ne peut donc être d’interet public national.
    • Pas d'accord
      1
  • Préserver mais aussi ressourcer la biodiversité:favoriser l'aménagement de récifs artificiels

    Rico - 19 Mars 2018 - 12h28

    La notion d'environnement est souvent comprise en terme de défense , de préservation qui freine les initiatives innovantes de restauration, d'évolution, d'adaptation qui préparent l'avenir. Dans ce domaine l'exemple de l'implantation de récifs artificiels est significatif.
    Ils sont un facteur de restauration de la ressource et de la biodiversité et par leur éco-conception se présentent comme complémentaires des habitats naturels.
    Ils méritent donc un développement concerté en intégrant les projets d'aménagement dans la gestion intégrée de la zone côtière.Ils sont de bons outils de développement durable et dans le cadre de projets expérimentaux être considérés comme des supports pour fédérer et impliquer les usagers en s'inscrivant dans une démarche écocitoyenne d'observation et de sensibilisation aux écosystèmes côtiers les plus fragilisés.
    L'étude scientifique des conditions de leur efficacité pourraient être transférée dans la conception d'autres ouvrages marins .

  • Volonté et initiative : Place de plaisance et de la pêche loisirs

    Rico - 19 Mars 2018 - 11h50

    D’une manière générale, je trouve que la vision 2030 reste un peu idyllique compte tenu de l’importance des lobbys et des nombreux conflits d’usage qui existent encore aujourd’hui. Elle repose sur le pari d'une forte volonté politique de l’état capable d’associer et d’articuler ses choix avec les collectivités dans la gouvernance mais aussi sur des moyens à engager dont on parle peu dans les documents. Cela suppose également des simplifications de procédures qui faciliterait l'initiative.
    Je pense que dans la prospective la place du nautisme et de la pêche plaisance est sous estimée compte tenu de l’engagement des associations de ce secteur et de l’impact économique que ces activités génèrent.

  • Des Sous-Préfets parfois pas à la hauteur des enjeux.

    vigibaie - 19 Mars 2018 - 11h36

    Un bilan des contentieux (TA, CAA et Cassation) depuis 10 ans concernant la mer et le littoral pour analyser leurs origines et ce qu’il aurait fallu faire pour les éviter est nécessaire Le turn-over des Sous-Préfets est parfois un problème. Ex : 2 Sous-Préfets qui se succèdent à ST MALO prenant des décisions contradictoires sur le même dossier entraînant une discontinuité dans l’application des politiques publiques et des tensions locales…
    La RGPP a entraîné une dilution des responsabilités et une frilosité des représentants de l’Etat, incompatibles avec la stratégie de façade maritime proposée.
    Les représentants de l’Etat mer et le littoral doivent restés dans leur fonction au moins 3 à 4 ans pour la cohérence et la continuité des politiques publiques. De même, il n’est pas sain que des agents de services opérationnels restent 15 à 20 ans dans la même fonction, frein à l’innovation.
    L’Etat doit ainsi gérer autrement ses moyens pour restaurer son autorité sur la mer et le littoral.

  • Mer et Littoral

    stervix - 19 Mars 2018 - 08h51

    En réponse à la demande du ministère :
    [lien supprimé]

  • Une Régionalisation en phase avec la Stratégie Maritime.

    Alexis Guenego - 18 Mars 2018 - 17h22

    Le 25 janvier, le Ministre a affirmé : " il n’y a pas de planification maritime possible si les Régions n’y sont pas associées". Or comment penser sérieusement et efficacement une planification régionale maritime digne de ce nom sur la façade Nord Atlantique - Manche Ouest, avec un littoral éclaté sur deux régions administratives, la Bretagne réduite à 4 départements et les Pays de la Loire avec deux départements littoraux. La nouvelle organisation régionale du quinquennat 2012-2017 n’a pas changé la donne à l'Ouest de la France. Aussi, ma proposition est de créer deux régions pertinentes géographiquement, à vocation économique forte, porteuses d'une stratégie de développement, donc à même de susciter une adhésion de la population et des citoyens , et par là même une vraie dynamique : Une région avec comme colonne vertébrale le Val de Loire, une région Bretagne rassemblant l'ensemble de la formidable péninsule océanique à la tête de l'Europe. (mon projet est à votre disposition)

  • Manque une question primordiale pour cette stratégie : la gouvernance ?

    vigibaie - 17 Mars 2018 - 14h32

    A la lecture des commentaires, la gouvernance est à l’évidence capitale et urgente.
    1° - Sans attendre, rendre obligatoire un volet maritime dans les SCOT.
    2° - Mettre en place un conseil de gestion départemental de la mer et du littoral. Une conférence régionale ne suffit pas.
    Sa composition pourrait être de 40 membres maxi. avec suppléants et répartie :
    - Etat / établissements publics : 25 %
    - EPCI et collectivités : 25 %
    - Organisations professionnelles de la mer : 20 %
    - Usagers sports et loisirs : 10 %
    - Associations environnementales : 10 %
    - Experts et personnalités qualifiées : 10 %
    Sans attendre le plan d’actions (2021), expérimenter cette gouvernance sur 2 départements par façade maritime dès 2019.
    La diversité du littoral d’Ille et Vilaine que connaît bien le Ministre de la Transition Ecologique et solidaire pourrait faire partie de cette expérimentation

  • Et la gouvernance?

    Jean-Yves - 16 Mars 2018 - 19h38

    L'Etat doit assurer son rôle de chef de file sur le Domaine Public Maritime et doit être plus directif en imposant au monde terrestre de mieux protéger le milieu marin. Pourquoi pas imaginer un document commun SDAGE Loire-Bretagne et DSF NAMO. Le SDAGE aurait ainsi une vraie continuité en mer jusqu'aux 200 miles et un poids marin indéniable (plus qu'actuellement), le DSF NAMO pourrait plus influencer les mesures à prendre sur la partie terrestre pour lutter efficacement contre les pollutions anthropiques arrivant en mer.
    Il faut une continuité dans les objectifs et les aides de l'Etat et non des fluctuations (comme pour les éoliennes en mer). L'Etat doit être le garant du respect des règlements (transports, activités, parcs et réserves,...) et des lois comme la Loi Littoral.

  • La déprivatisation en cours est anachronique et excessivement coûteuse.

    Dranreb - 14 Mars 2018 - 09h30

    Le Conservatoire se présente comme l'unique sauveur du littoral avec l'objectif de nationaliser 33% du littoral. D'autres outils efficaces existent pour une protection effective (loi littoral, PLU, ENS des Départements, réseau Natura 2000, partenariats avec les propriétaires privés) délégitimant de fait l'exigence d'achat pour un grand nombre de cas prévus. La déprivatisation à grande échelle programmée par l'Etat est anachronique. La logique d'économie budgétaire qui s'impose partout doit conduire les établissements publics et les collectivités à réviser leurs ambitions. Les collectivités qui "héritent" des acquisitions du Conservatoire n'ont pas le monopole de la bonne gestion des espaces naturels, singulièrement lorsqu'il s'agit d'espaces insulaires (gestion difficile et spécifique, coûteuse), par ailleurs inadaptée à l'ouverture au public.
    Le concept du "tiers sauvage naturel" est une forme de nationalisation des espaces côtiers et insulaires: on n'est plus dans les années 1970.

    FNPA
    Espagne ou Turquie: des exemples criants des méfaits de la privatisation des zones littorales!
    • Pas d'accord
      0
  •  Le partage de l’espace marin

    FNPA - 12 Mars 2018 - 17h53

    Les récents conflits d’usage de l’espace littoral entre les différents acteurs de l’économie bleue démontrent qu’ils ne conduisent qu’à d’interminables actions juridiques qui ne résolvent rien et coûtent beaucoup d’argent aux entités concernées.
    Il serait surement plus satisfaisant de mettre en place un véritable processus de concertation entre tous les acteurs sous la forme d’un organisme reconnu pour son équilibre en termes de représentativité. Cette entité pourrait être intégrée dans les Conseils Maritimes de Façades, dotés des moyens adéquats pour agir comme un véritable arbitre et prescripteur des conditions d’attribution de l’espace public maritime à un ou plusieurs porteurs de projet
    Il serait de plus souhaitable d’avoir préalablement revisité « « l’empilage administratif » des organismes existants à tous les niveaux d’organisation (communes, communautés de communes, départements, régions et état) de façon à éliminer les nombreuses redondances et recommandations contradictoires

  • Pour Port Brétignolles, les enseignements de l’histoire (4)

    delion-b - 10 Mars 2018 - 01h12

    Chacun se souvient des effets de la montée des eaux provoquée par Xynthia, le 28 février 2010, sur les installations portuaires. À La Rochelle et, plus encore, aux Sables-d’Olonne de part sa configuration en cuvette fermée, la vague soulevée par la dépression s’est comportée comme un tsunami : pontons décrochés de leurs poteaux d’amarrage, bateaux empalés sur les poteaux…
    Un autre inconvénient d’un port en cuvette exposé au large : l’envasement chronique. Même le port de plaisance de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, qui bénéficie, pourtant d’un effet de chasse lié aux lâchers d’eau de rivière et au courant de la Vie ne sait plus comment se débarrasser de ses boues.
    Tous les ports ne peuvent pas, comme Arzal, être mis à l’abri de telles tempêtes, en fond d’estuaire et derrière une écluse. Mais si par malheur, le port de la Normandelière devait se réaliser, il serait soumis à ces deux risques majeurs : une vague de type tsunami qui détruirait tout et l’envasement accéléré et durable du bassin.

    Pragmatique
    La réalité sur vos 2 inquiétudes : aucun risque d’envasement car il est dans les terres sans aucune rivière amenant des limons. Pour votre risque « tsunami » vous savez très bien que justement creusé dans les terres le niveau d’eau dans le bassin sera à plus de 5m en dessous des plus hautes eaux connues (tempête Xynthia). Contrairement à cette catastrophe les habitations sont entre 9 et 13 m au dessus du niveau de la mer ! C’est très bien expliqué dans le film de présentation visible sur le site internet de la commune et de la communauté de communes du pays de saint Gilles. Je vous invite à aller le visionner, vous serez rassuré ou alors vous êtes de mauvaise foi.
    • Pas d'accord
      2
    Nicolas Ducos
    Pour quelqu'un qui se voudrait "pragmatique", je vous invite à transposer le principe de physique de "l'effet Ventury" sur le projet que vous vantez tant.
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  • Pour Port Brétignolles, les enseignements de l’histoire (3)

    delion-b - 09 Mars 2018 - 17h14

    La tempête de 1978-79 renversa la Dune de la Garenne, entre Villa Notre-Dame et grande jetée. Elle protège le port de pêche et le port de plaisance (alors en construction) de Saint Gilles Croix de Vie. Une grande partie du sable qui constituait la dune s’est retrouvée à obstruer en partie le port ; la mer a failli passer. Après cette catastrophe, Jean-Marcel Couradette, conseiller d’opposition et l’un des fondateurs du CPNS, a convaincu ses collègues majoritaires de planter des oyats sur la dune pour « l’engraisser » et la sauver. Ils considéraient, jusqu’alors, avec morgue les propositions de Jean-Marcel comme utopiques. Ils en furent les 1er promoteurs. VIE et le CPNS continuent son œuvre. À la Normandelière, la situation est quasiment identique, avec la forêt d’Olonne, l’écluse de la Gachère et la dune qui prolonge, jusqu’à la Normandelière. Y construire un port, serait constituer une brèche dans le système défensif du bassin-versant de l’Auzance, la Vertonne et l’Ecours.

    Pragmatique
    Vous dites le cas de Port Brétignolles est « quasi identique » ... à un détail près : le niveau des quais et des habitations à St Gilles croix de vie est entre 1 à 4 m au dessus du niveau de la mer. Donc nécessité en effet de la dune protectrice. À Brétignolles-sur-Mer au niveau de la Normandelière le sol est à plus de 9 m. Ne me dites pas que vous l’ignoriez ! Ceci explique entre autre le choix de ce site et sa faisabilité .
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  • Pour Port Brétignolles, les enseignements de l’histoire (2)

    delion-b - 09 Mars 2018 - 16h19

    Dans les années 1970, la famille Chupin de Saint-Macaire-en-Mauges (49) dirigeait la société Chupin, entreprise de travaux publics. Par ailleurs, elle était propriétaire d’une partie de la digue dite de Sébastopol ; cette digue est située à l’entrée de l’Île de Noirmoutier, par le Gois, à droite ; elle protège le Polder de Sébastopol, si apprécié des amoureux de nature et amateurs-observateurs d’oiseaux. La tempête de fin décembre 1978 au 1er janvier 1979 provoqua la rupture de la digue, mal entretenue. Elle a cédé sous la pression des vagues. Toute une partie du Polder sera inondée. Le sol imprégné de sel interdira toute culture pendant plusieurs années. À la Normandelière, nous nous trouvons dans une situation quasiment identique, avec la forêt d’Olonne, l’écluse de la Gachère et la dune qui prolonge, jusqu’à la Normandelière. Y construire un port, serait constituer une brèche dans le système défensif du bassin-versant de l’Auzance, la Vertonne et l’Ecours.

    Pragmatique
    C’est faux ici il ne s’agit pas d’un polder. Le sol est entre 9 et 18 m au dessus du niveau de la mer. Je vous précise que lorsque l’on creuse le niveau de l’eau reste le même, seules les rives « montent » constituant des quais ou abers. Le niveau à la Gâchèrent est proche de 0 ou 1m ce qui explique le risque d’inondation mais pas à la Normadelière justement. Soyez rassuré.
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  • Pour Port Brétignolles, les enseignements de l’histoire (1)

    delion-b - 09 Mars 2018 - 14h54

    Début des années 1970, j’ai travaillé pour la société Chupin, à Saint-Macaire-en-Mauges (49). D'abord entreprise de carrières puis de convoyage de granulats, l’entreprise, forte de 600 salariés est devenue une référence dans le secteur des travaux publics. La période est euphorique. Certains marchés sont gagnés par soumission à 30 % de marge brute. Rien n’arrête Chupin qui veut construire des « Chaladonnettes » et, alors que rien ne le prédispose à travailler dans le bâtiment, il fonde Chupin Immobilier, avec, entre autre, la réalisation du lotissement de la Girardière à Cholet : des malfaçons et des contentieux à la pelle… Chupin crée également Chupin Marine pour assurer, entre autres, la réalisation et la commercialisation du port de plaisance en eau profonde de l’Herbaudière sur l’Île de Noirmoutier ; mais l’entreprise de travaux publics n’a aucune expérience du secteur marin : les déboires s’enchaînent, avec pour conséquence, le fiasco final : l’entreprise est démantelée en 1978.

  • Comment déterminer un avenir sur le littoral sans savoir ...

    sergio - 06 Mars 2018 - 11h51

    Je suis incapable de répondre à cette question tant que je ne saurait pas quel sera l'impact du réchauffement climatique sur la montée des eaux donc des submersions et des remontées d'eau (plutôt saline) sur les zones basses du littoral.
    Chaque département côtier devrait disposer d'un outil de modélisation numérique permettant de vérifier sur son territoire les différents impacts d'une montée d'eau choisie. J'ai pu voir des outils de ce type utilisés en IDF lors des dernières inondations. [lien supprimé] Les données de ce type permettrai de prendre les bonnes décisions : Si je laisser aller : quelles conséquences, ou construire et comment, quelles évacuations à prévoir et à indemniser, quelles terres agricoles à remplacer et à quels endroits, ou doit on les remplacer par des marais salants ?. Si je protège : quelle méthode, quel coût et de toute façons, quelles conséquences.

  • Le littoral et la mer manquent de gouvernance.

    vigibaie - 06 Mars 2018 - 11h06

    Beaucoup d’acteurs concernés. Or les grenelles de l’environnement et de la mer ont engagé la France dans la gestion intégrée, coordonnée et donc cohérente du littoral et de la mer. Pourquoi aussi peu de résultats 10 ans après ?
    Combien de SCOT ont intégré un volet maritime ?
    Par circulaire du 20 janvier 2012, le Ministère demandait aux Préfets, aux DDTM, une stratégie de gestion durable et intégrée du Domaine Public Maritime. Pourquoi autant de retard 6 ans après ?
    Si les Départements 29, 44, 85 semblent se doter d’un cap et d’actions pour le long terme, quid des autres départements de la façade NAMO ?
    Une conférence régionale, c’est bien mais ne suffit pas.
    Sans tarder, que l’Etat, les Régions et les Départements mettent en place une gouvernance au niveau des Pays (SCOT) ou au niveau départemental.

    UNAN CM
    LA question d ela gouvernance est centrale dans la préservation du littoral.
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    doudou
    Rendre les conseils MAritimes de Façades réellement opérationnels dans leur role de concertation et d'arbitrage
    • Pas d'accord
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    FNPA
    La question de l'équilibre des usages est fondamentales: Elle suppose concertation puis unicité du processus de décision au travers d'un organisme légitime.
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  • Non au port à Brétignolles sur mer

    roche rouge - 05 Mars 2018 - 16h34

    Depuis plus de dix ans des intérêts particuliers veulent créer de toute pièce un port dans les terres à Brétignolles sur mer.
    Ce projet à déjà été refusé par les autorités préfectorales à la suite d’enquêtes
    défavorables compte tenu de son impact négatif sur la faune et la flore.

    Malgré les études coûteuses pour les contribuables locaux, le groupe de pression animé notamment par des personnes ayant des intérêts dans l'exploitation de terrains jouxtant le projet, persiste dans cette idée au mépris des impacts négatifs sur l'environnement.

    Ce projet présente également un risque supplémentaire pour les riverains en cas de vague subversive , une nouvelle tempête du type Xinthia n'étant pas totalement à exclure.

    Pragmatique
    Merci de reparler du faux risque de vague submersion pour les riverains qui comme vous devez le savoir sont précisément à cet emplacement à plus de 10 m au dessus du niveau de la mer ! Si par malheur ces riverains étaient inondés cela signifierait que la côte vendéenne serait recouverte sous les eaux jusqu’à Niort ! Autrement il s’agit pour info de xynthia et pas XI thaï
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  • Réchauffement du climat

    YT - 03 Mars 2018 - 12h02

    Je pense qu'il est nécessaire dans l’élaboration d’une loi littoral de prendre sérieusement en compte l’élévation en cours et future du niveau de la mer.
    Selon le GIEC dans le cas d’un scénario d’émission de gaz à effet de serre moyen l’élévation prévue du niveau moyen de la mer serait de l’ordre de 60 cm en 2100.
    Mais en 2016, deux chercheurs américains, ont publié dans la revue Nature un article sur la contribution de la fonte de la glace du continent antarctique sur cette élévation. Celle-ci pourrait être de l’ordre de 1m.
    Cette élévation amplifierait les élévations jusqu’ici prévues.
    Il est donc difficile de prévoir précisément où nous en serons en 2050 et en 2100.
    Il faut se protéger et surtout éviter de s’exposer inconsciemment en construisant trop près du rivage .
    J’ai appris qu’en Vendée un nouveau port de plaisance est en projet et ferait pénétrer la mer jusqu’à 900 m dans les terres. C’est typiquement la chose à ne pas faire.

  • Que serait demain la zone Namo si le nautisme n'existait plus ?

    Union Plaisanciers Ports Morbihan - 28 Février 2018 - 21h14

    Le Nautisme ( la plaisance et les loisirs nautiques ) est de loin la première filière maritime de la zone Namo en emplois , chiffre d'affaires, ports, ...Son expansion a entrainé un élan du tourisme côtier et fait revivre de nombreux ports et côtes abandonnés suite au déclin de la pêche professionnelle et du commerce maritime. Son développement doit perdurer.
    Les activités récréatives diverses de la Plaisance et des Loisirs nautiques ont leur place dans leur ensemble à côté des acteurs tels la pêche professionnelle, les cultures marines, ...et les lobbies puissants des E.M.R.
    Le Nautisme est totalement ignoré à l'horizon 2030. Les différents documents communiqués n'en parlent qu'en quelques lignes et ne donne aucun enjeu pour 2030
    Que vont devenir la centaine de ports de plaisance , les 100 000 mouillages, les 330 000 navires et les millions de pratiquants ? Ne s'agit-il pas d'un enjeu majeur pour Namo ?

    alainno
    On compte sur vous, les plaisanciers pour avoir une attitude en mer strictement écologique : pas de déchets à la mer, y compris les mégots, respect des fonds marins , au mouillage, préférer la voile au moteur ... merci
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    Piwisy Armor
    Tout à fait d'accord avec alainno et il faut surtout éviter les carénages sauvages de certains plaisanciers. Pourquoi ne pas équiper tous les ports pour faire des carénages propres. Concernant les pollutions du type ménagère et quotidienne, on sait tous "que tout revient à la mer" et que le sac plastique que l'on trouve en mer ou sur la plage provient très très souvent de l'intérieur des terres et qu'il a voyagé avec le vent ou avec le courant d'une rivière pour enfin arriver sur nos côtes.
    • Pas d'accord
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  • Du danger de la disparition de la vie sur les îles l'hiver

    Sylvain Joncour - 27 Février 2018 - 23h55

    Limiter ou interdire les constructions aux promoteurs immobiliers en vue de la multiplication des résidences secondaires, pourquoi pas. Mais quid des locaux, les vrais? Cette décision radicale accentuerait la flambée du mètre carré au détriment des jeunes locaux (25_35 ans) qui sont porteurs de projets de création d'entreprises mais s'expatrient faute de logement accessibles. C'est en particulier le cas sur les plus petites îles du Ponant dont la disparition des derniers commerces annuels est imminente.
    Parfois faire fuire les promoteurs c'est aussi faire fuire les locaux........
    Comment faire du logement social pour eux, avec des municipalités qui n'ont ni revenus fonciers ni taxe professionnelle???

  • contribution citoyenne de façade ou véritable stratégie visionnaire ?

    papyrus - 23 Février 2018 - 21h11

    trop d'exemples négatifs de politique sont venus émailler les plus fortes volontés citoyennes dans le combat pour un développement durable et non polluant.
    trop d'enjeux économiques,trop de pouvoir aux lobbys qui écrasent du talon,les fourmis citoyennes qui oeuvrent tous les jours sur le chemin de la protection du littoral.
    arrêtons l'hypocrésie de certains décideurs privés et publics qui s'octroient des passe droits en donnant l'illusion qu'ils protégent la nature.
    dans le domaine agricole,combien d'exploitants font partie de l'APAD en vendée ?
    quel est le pourcentage de cultures en mode conservation des sols ?
    combien d'exploitants pratiquent encore l'épandage chimique?
    le dossier du journal de la vendée dresse un portrait idyllique de cette agriculture diversifiée,biologique,de conservation des sols....!
    pourquoi alors avoir installer des sondes à deux points stratégiques du littoral pour mesurer la qualité de l'eau ??
    alors que les sources de pollution sont déjà connues !


  • Quelle sécurité pour la population et les biens des départements littoraux ?

    Santal85 - 20 Février 2018 - 08h44

    Les incessantes restructurations de Météo-France depuis 2008 notamment, ont conduit à priver certains départements littoraux d'une expertise humaine de proximité en matière de météorologie, telle la Vendée qui perd en 2016 son centre départemental de la Météo.
    Mais cela ne suffit pas ; le nouveau plan gouvernemental AP2022 va aggraver considérablement la situation en centralisant encore davantage, en réduisant les implantations de terrain à quelques centres régionaux très loin du bord de mer.
    En cas de crise météorologique majeure, comment sera garantie la sécurité des populations, sans expertise humaine de terrain par des spécialistes ?

    papyrus
    statégie macron,piège à cons....!
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  • Des projets pour l'avenir

    Gilles B. - 19 Février 2018 - 23h10

    Ce littoral présente des paysages superbe, pour les préserver, le territoire doit être dynamique, ne pas être une réserve où un zoo au seul bénéfice des populations riches.
    Placée à l'extrême ouest de l'Europe, il ne faut pas que ce littoral se "sous-développe", le risque est grand.
    Une ZAD doit redevenir une zone à développer.
    Pour autant, il ne s'agit pas de tout bétonner mais il ne faut pas avoir peur de l'évolution. Construisons l'avenir ensemble, pour nous et que nos enfants puissent aussi profiter de notre littoral.

    JT
    En tant qu'habitant de cet "extrême ouest de l'Europe", je vis très bien cet éloignement des agglomérations développées où l'homme n'est que l'ombre de lui même, ne salue plus son congénère dans la rue, fuit la pluie dès la moindre goutte, n esupporte pas le froid de l'hiver, la chaleur de l'été, le pollen du printemps ni les brumes de l'automne. Pour ceux qui aiment le développement, ces territoires sont pour eux, pour notre littoral laissons le ainsi, protégeons le de tout ce qu'on lui fait déjà trop subir (le bétonnage existe déjà, les pollutions des eaux...) Alors si la ZAD doit être une Zone A Développer, que notre littoral en soit épargné!
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  • La saliculture comme levier important de la gestion des zones humides retro-littorales

    Titi Wattou - 17 Février 2018 - 18h24

    Dans l'équilibre à trouver entre tourisme et résident permanent, promouvoir tous les emplois présentiels à l'année est important. A ce titre, les activités primaires sont fondamentales, d'autant plus qu'elles entretiennent ce paysage fortement anthropisé du littoral et des marais rétro-littoraux. A ce titre, l'élevage extensif et la saliculture ne sont pas nommés (contrairement à la pêche, l'aquaculture...) et c'est regrettable. Même si ces professionnels sont peu nombreux et représentent un poids économique faible, ils entretiennent, de manière durable, de vastes étendues géographiques, en particulier sur les marais rétro-littoraux, dont il est dit dans la stratégie qu'il s'agit de zones humides majeures pour la qualité de l'eau. Ecouter leurs problématiques et les aider à les résoudre peut être très bénéfique pour les territoires sur lesquels ils pratiquent, pour des coûts extrêmement marginaux. Il manque peut-être d'autres métiers aux côtés de ces deux-là, auxquels je ne pense pas.

    ClaireR
    Tout à fait. Comme les algues qui sont à peine citées.
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  • littoral?

    pierre - 15 Février 2018 - 11h52

    Bonjour,
    Je suis étonné que personne ne parle du projet du maire de Brétignolles sur mer 85470 et président de communauté de communes du pays de Saint Gilles Croix de Vie .
    Il s'agit de construire un port au milieu des terre, détruire le littoral pour faire un chenal de plusieurs centaine de mètre en dehors de tout lieu naturel, des milliers d'euros d'études à répétition, des taxes créer sur le foncier après avoir regrouper 2 groupements de commune pour avoir le maximum de fond et dilué dans le nombre d'habitant et faire régler la note même aux communes rétro-littoral qui n'en tirerons aucun profit,pour faire plaisirs à quelques touristes aisés et avoir son nom dans la postéritée. très peu d'emploi, très peu pour l'économie, seulement détruire un peu plus la nature

    ffan
    Tout-à-fait d'accord. Ce projet à huit chiffres en euros, quasiment neuf, consiste à supprimer la plage principale et construire un port dans la zone naturelle et relativement épargnée jusqu'à présent qui sépare deux parties de la commune. Il s'agit pour cette ville d'un changement drastique : dans une station balnéaire familiale avec aucune construction en hauteur, on incrusterait un port d'un millier d'anneaux. Après avoir été retoqué par le préfet de Vendée suite aux avis défavorables des enquêtes publiques, des très fortes réserves des services de l'état concernant sa viabilité économique et sa dangerosité, le maire de Brétignolles n'en démord pas...
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    vendéenne
    Tout à fait vrai.... une histoire qui date de 2003 et qui n'a pas encore abouti ! sauf pour les finances locales qui sont en péril et l'imposition que subissent les citoyens seulement pour des études, sans aucune réalisation concrète.... à ce jour ! Tout cela sans parler du saccage de la côte et des problèmes d'environnement que cela entraînerait si ce projet avait lieu, malgré tous les refus, notamment ceux de la dernière enquête publique de 2011 !
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    FNPA
    Tout le monde en parle sur la façade concernée et souvent sans connaître réellement l'état du projet!
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    Pragmatique
    Bonne remarque de FNPA. Les arguments avancés la plupart du temps dans ces commentaires et publications sont erronés. Allez voir les qqs minutes de film de présentation du projet sur le site de la communauté de communes du pays de saint gilles pour avoir les vraies infos. C’est au contraire un projet d’avenir et une alternative au tout béton qu’a connu cette côte depuis les années 70.
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  • Vision bleu de l'avenir

    Sylvain ANDRÉ - 15 Février 2018 - 08h21

    L'océan nous apporte les deux principaux besoins fondamentaux. Il fait partie du cycle de l'eau, il est une réserve de nourriture immense, il conditionne le climat !! Nous sommes juste des consommateurs et nous pouvons l'utiliser pour transporter nos marchandises à moindre coût alors réduisons la pollution de nos navires (diminution des rejets polluant, utilisation de carburants vert, utilisation du vent , diminution de la vitesse etc...), nous exploitons son vivier (pêche) alors gérons mieux la ressource (connaissance de l'écosystème et gestion des zones), associer l'aquaculture et la pêche en développant des nurseries et des dispositifs à concentration des poissons.
    Avec notre façade maritime, nous pouvons considérablement diminuer également la pollution de l'air qui est l'autre besoin fondamental. Si nous utilisons l'eau comme principal vecteur du transport de marchandise (maritime, fluvial et canaux) nous préservons la qualité de notre air.

    FNPA
    La Guyane s'est déplacée sur le cote Atlantique! Bonjour l'impact du réchauffement climatique sur la dérive des continents!
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  • Réserve naturelle

    Thierry Herlin - 14 Février 2018 - 18h41

    Très inquiet de ce projet dont personne ne veut
    Mettre la nature sous cloche alors que sans l homme elle ne survivrait pas même s il a détruit certaines choses ne pas consulter ne pas prendre en compte les locaux n est pas un exemple de démocratie
    Confier systématiquement aux apn en occultant les fédérations et associations diverses n est pas viable

  • Nous sommes tous responsables nous pouvons changer nos comportements nous pouvons cohabiter

    choucas - 13 Février 2018 - 09h52

    A travers les commentaires, chacun a tendance à pointer du doigt autrui: ici ce sont les pêcheurs professionnels/plaisanciers, chalutiers/ligneurs, méchants industriels/gentils habitants..Pourtant, nous habitons tous ou nous profitons tous du littoral.Sommes nous prêts, chacun individuellement, à faire des efforts pour la reconquête de la qualité de l'eau? pour économiser l’énergie et les matières premières?Il n'y a pas d'écologie sans sacrifice.C'est une éducation dès le plus jeune âge.Jouer collectif contre égoïsme individuel.La vision proposée par l'Etat peut paraitre un peu bisounours, mais c'est au prix de concessions mutuelles, d'efforts communs que nous y arriverons.Ne pas vouloir tout garder pour SON territoire: aider les collectivités à dépasser leurs frontières pour irriguer l'économie de départements moins favorisés en raisonnement déploiement Régional.Réaliser une information de qualité sur les différents enjeux pour que chacun adapte sa demande, son comportement

    papyrus
    la vision proposée par l'état sera la vitine "bisounours" ,avec l'éternel discours culpabilisateur en se défaussant et renvoyer le citoyen à ses propres contradictions...
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    choucas
    On peut imaginer une vision moins consensuelle, fruit de la logique des engagements de la France au plan européen et international.L'Etat peut trancher dans le vif : place aux EMR, aux zones protégées et les pêcheurs se débrouillent avec la pcp...
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  • Éoliennes entre l’île d’Yeu et l’île Noirmoutier

    Pascal Maigniez - 10 Février 2018 - 15h30

    Ce projet me semble en décalage total avec la vision écologique et économique promue par ses promoteurs.
    Un impact environnemental très lourd:
    Pour les pêcheurs: réduction du territoire de pêche, pollution des espèces marines par rejet massif d’aluminium
    Pour l’attractivité touristique des 2 îles qui repose sur ce secteur et grace à des paysages naturels
    Pour l’emploi:
    Avec très peu de postes qui seront attribués à la population locale vu la technicité des métiers

    Enfin le très faible rendement en terme de production électrique au vu du coût de ce projet, du coût prohibitif que devront payer les usagers sur leur consommation électrique et de l’impact
    Majeur sur l'environnement que cela générerait.

    MYLÈNE TESSON
    Il faut visiter la centrale nucléaire de Flamanville pour comprendre ce qu'est l'impact environnemental et visuel.
    • Pas d'accord
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    papyrus
    les enjeux financiers écraseront la petite vision écologique....! les politiques vont avaliser ce projet car leurs discours ressemblent trop au fonctionnement de l'éolienne,brasser du vent....!
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    delion-b
    L'éolien, ce sont des énergies propres et renouvelables, sans empreinte carbone ni déchet nucléaire. La nuisance esthétique est contestable voire discutable. La gêne pour la pêche est toute relative puisque si l'aire de leur implantation est interdite ou limitée aux pêcheurs, elle constituera une réserve et une frayère propice au renouvellement des espèces.
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  • Vision d'avenir

    Raez44 - 08 Février 2018 - 20h51

    C'est aux décideurs locaux (élus, professionnels, habitants, ...) de choisir les aménagements utiles aux CONTRIBUABLES. Ce sont nos impôts locaux, nationaux, européens, qui financent les travaux. Ces décideurs doivent être vigilants vis à vis des "lobbies".

    Sevy
    Les élus locaux sont assez loin d'avoir fait la preuve, jusqu'à ce jour, d'une capacité suffisante à résister aux appétits d'aménagement et de sur-aménagement du littoral, quand ils ne promeuvent pas eux-mêmes des projets déraisonnables...
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  • Rien de nouveau... un discours efficace... mais quid des moyens ??

    Tom - 08 Février 2018 - 18h53

    Tout est dit dans le titre. L'avenir proposé me semble logique mais encore faut-il mettre les moyens adéquats et ne pas jeter ses propres engagements quelques mois après les avoir signés... Un courage politique (trop) important sera nécessaire pour réaliser cet avenir par le haut...le changement viendra donc beaucoup plus certainement du bas... Mais sera-t-il assez rapide et solide face à des puissances, des lobbys et des enjeux économiques bafouant sans remords l'intérêt général ?

    Charlie
    En matière de moyens, notons la ponction régulière des agences de l'eau par l'Etat, privant ainsi les collectivités d'aides potentielles à la mise en œuvre de politique d'aménagement plus respectueuses de l'environnement, des systèmes d'assainissement moins fuyards,....
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  • UNE OFFRE POLITIQUE VISIONNAIRE TOURNEE VERS LES GENERATIONS FUTURES

    papyrus - 07 Février 2018 - 22h32

    Un contre exemple malheureusement qui confirme une certaine malhonneteté de nos hommes politiques:

    un projet d'extraction minière aurifère en pleine foret amazoniène,sur un territoire français a étè soutenu,en 2015, par un certain ministre de l'économie,devenu président.
    l'administration française délivre actuellement,à tour de bras des permis de recherche avec la volonté de transformer la guyane en champ de mines.(pollutions,déforestation géante,etc..)
    voilà la réalité,et c'est maintenant.

    sauvonslaforet.org/pétitions/1084

    Ludovic Gourves
    préfères tu que ce soit des brésiliens qui s'en charge?car c déjà le cas. j'entends t'es arguments mais si c'est l'état qui s'en charge peut-être sera t il plus respectueux de la faune et de la flore.
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  • Eoliennes indésirables

    FAFON - 06 Février 2018 - 10h32

    Ne pas saccager le littoral par l'implantation d'éoliennes (visibles), celles qu'on a installées sur terre ont déjà fait assez de dégâts sur les paysages.

    Tom
    c'est sûr qu'une centrale à charbon ou nucléaire, c'est beaucoup plus joli (sans parler de l'impact sanitaire...)
    • Pas d'accord
      1
    Audrey TipTop
    Alors quelle est votre alternative aux éoliennes ?
    • Pas d'accord
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    delion-b
    L'éolien, ce sont des énergies propres et renouvelables, sans empreinte carbone ni déchet nucléaire. La nuisance esthétique est contestable voire discutable. La gêne pour la pêche est toute relative puisque si l'aire de leur implantation est interdite ou limitée aux pêcheurs, elle constituera une réserve et une frayère propice au renouvellement des espèces.
    • Pas d'accord
      0
  • Données

    Lithops - 05 Février 2018 - 14h14

    Je souhaiterai que les données présentées ne soient pas présenter sous simple format d'images ou pdf, mais soient effectivement utilisables, c'est à dire géoréferencées et dans des formats bien connus, par exemple NetCDF. Quelles soient disponibles par des canaux type : wms, wfs. A l'exemple des projets Européens comme Copernicus.
    Merci

    Tom
    Une certaine vision de l'avenir... assez centrée SIG toutefois ;)
    • Pas d'accord
      0
  • Un avenir citoyen

    Martine Leclerc - 04 Février 2018 - 17h27

    Les citoyens ne sont pas toujours stupides, ils sont capables de comprendre les réalités et l'intérêt public. Pour des projets importants, ils devraient être plus consultés par les élus locaux, entendus, non méprisés, et si une majorité de la population pense que ce projet doit être modifié, il faut en tenir compte. Les élus devraient ne pas perdre de vue que le citoyen est le payeur.

    ANNETTE CHAUSSEBOURG
    L'exemple des débats autour du parc éolien Noirmoutier/Yeu est caricatural : les élus assistent, muets, aux réunions organisées par le consortium, organisées de préférence dans les périodes les plus creuses, s'abstiennent de répondre aux lettres ouvertes, aux pétitions... ou se contentent de renvoyer au consortium. A quand une réunion publique avec la municipalité et les habitants ?
    • Pas d'accord
      0
  • Penser futur

    Jean-Luc GUILLIER - 04 Février 2018 - 12h11

    Limiter les pollutions et les dégradations aujourd'hui, pour préparer un demain raisonné, adapté et responsable, pour un après demain acceptable pour les futurs générations, il faudra au moins 30 ans pour que les intentions et les évolutions se transforment en résultats! Pour ceux qui seront encore vivants pas avant 2040/50.

  • Pas de bétonnage des fonds

    Flr - 03 Février 2018 - 19h54

    Je suis contre les éoliennes en mer

    Thérèse
    Je suis pour les économies d'énergie
    • Pas d'accord
      0
    delion-b
    L'éolien, ce sont des énergies propres et renouvelables, sans empreinte carbone ni déchet nucléaire. La nuisance esthétique est contestable voire discutable. La gêne pour la pêche est toute relative puisque si l'aire de leur implantation est interdite ou limitée aux pêcheurs, elle constituera une réserve et une frayère propice au renouvellement des espèces.
    • Pas d'accord
      0
  • AUJOURD'HUI PAS DE CONCERTATION..ET DEMAIN ?

    Sophie Détis - 02 Février 2018 - 12h51

    Vus de loin, les projets dits"de transition énergétiques"peuvent sembler idylliques. L'objectif est de vivre dans un monde meilleur en produisant une énergie non polluante et gratuite (le soleil ou le vent..) Tout cela est bien loin de la réalité. Les projets , notamment éoliens en mer, tiennent plus de l'intérêt financiers des consortiums que de la protection de la planète. L'intermittence des énergies renouvelables (elles ne produisent que que 30% du temps)oblige à compenser avec des énergies très productrices de CO2 (gaz, charbon) et elles coûtentausi très cher au contribuable (3 à 4 X plus). Alors l'urgence est de se concerter avant de se lancer dans n'importe quoi et de dévaster le littoral à jamais. Aujourd'hui, la communication sur les projets n'est pas honnête, elle cache tous les aspects négatifs et ne permet pas aux citoyens de prendre des décisions en toute conscience. Les ENR ne sont pas des anges et la seule, l'unique énergie propre est celle qu'on ne consomme pas.

    Flr
    Effectivement de gros intérêts financiers sont en jeu avec de grands groupes financiers Pour installer les piliers des éoliennes, il va falloir détruire les fonds marins sur plusieurs centaines de m2 pour chaques piliers : bétonnage des fonds.
    • Pas d'accord
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    44dln
    que sait on des compensations effectivement, notamment des sources "standards"?
    • Pas d'accord
      0
    Tom
    S'il s’avère que les éoliennes sont un véritable mensonge industriel, je veux voir des preuves. En attendant, je préfère du béton "inerte" qui peut être recoloniser par la faune/flore marine assez rapidement, que les barils radioactifs de la fosse des Casquets ou de Bure, les radionucléides de La Hague, les polluants atmosphériques des centrales thermiques... Et qui des barrages hydro en béton eux aussi, et qui cassent la continuité écologique des cours d'eau ? Relativisons et effectivement faisons des économies d'énergie en attendant!
    • Pas d'accord
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    papyrus
    les barrages hydroélectriques ont étè construits juste après le conflit 39/45 car la France ne possédait plus assez d'énergie pour reconstruire le pays,les besoins étaient vitaux et les décideurs de l'époque pensaient surtout à faire tourner rapidement la machine économique.celà fait belle lurette que l'on ne construit plus de barrage.
    • Pas d'accord
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  • Vision large...

    Nounours - 30 Janvier 2018 - 10h12

    Si chacun pense à voir loin, cela devrait maintenir les activités des uns et des autres (nautisme touristique, activités de pêche professionnelle). Le littoral ne doit pas être "individualisé" : les réflexions doivent venir de tous : acteurs locaux, élus, citoyens, industriels, commerçants. Pensez à nos futures générations ! Un effort citoyen est une goutte d'eau dans l'océan mais plus il y a de gouttes, moins de sécheresses ! Ouverture d'esprit pour tous ! La terre ne nous appartient pas ! Solidarité et actions collectives pour une plus large vision ! Bon travail en perspective !

  • 2030, vite !!

    Koala - 28 Janvier 2018 - 17h33

    C’est une vision sûrement un peu optimiste mais... il est permis d’espérer !! La compréhension par la population et plus encore par les acteurs économiques des enjeux de durabilité est en progrès mais en 12 ans on ne fera pas disparaître par magie les boulets qui l’entravent : lobbys immobiliers et touristiques, prés carrés des pouvoirs locaux, habitants qui ne voient pas plus loin que le bout de leur jardin etc. Les réticences et résistances sont à la mesure des espérances, il faut s’y attaquer autant sinon plus qu’aux polluants !

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