Le bon état écologique des milieux marins et littoraux
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Le bon état écologique des milieux marins et littoraux
AVSANE - 24 Mars 2018 - 17h04
• Éviter pour les grands littoraux sableux d’araser le haut de la plage aérienne, pour nettoyage, afin d’éviter la mise en déséquilibre des volumes sableux de la plage sous-marine. Cette attention permet de conserver autant que possible les dunes sous-marines existantes qui sous tempête régule les volumes de sable mobilisé. Un exemple type est celui de la plage de Pampelonne à Ramatuelle dans la presqu’île de Saint-Tropez.
• Réduire autant que faire ce peut les pollutions apportées par les petits fleuves côtiers, sachant qu’on ne peut envoyer les eaux dans une station d’épuration.
• La remarque précédente conduit à la problématique des postes de relèvement des réseaux d’assainissement qui déversent sous-orage des eaux brutes non traitées. Il convient d’en surveiller le fonctionnement avec rigueur.
AVSANE - 24 Mars 2018 - 17h02
• Reconsidérer les techniques des épis sur les littoraux sableux ou graveleux : éviter les épis orthogonaux, au profit d’épis implantés en oblique dans le sens des courants de « dérives littorales ».
• Pour tous les ports ouvert à la dérive littorale qui est de nature à combler un port, prévoir le dragage des sables et graviers en reportant les produits de dragage le plus en amont possible sur le littoral pour ralentir les phénomènes d’érosion et de comblement en maintenant des volumes de sables et graviers compatibles avec les équilibres de plage (exemple le port de Bormes-les-Mimosas).
AVSANE - 24 Mars 2018 - 16h58
• Un renforcement des protections est nécessaire en tous lieux sensibles des littoraux méditerranéens.
• Après avoir récupéré des espaces avec la mise en place des sentiers du littoral il conviendrait de déporter les zones urbanisables un peu plus en arrière du littoral.
• Traiter les vallons littoraux en systèmes de « restanques », lorsque la nature des sols le permet, afin de conserver des sols, de l’eau, et de réduire les érosions violentes sous orages.
• Établir lorsque cela ce peut des structures de stabilisation de falaise, par protection directe tel que gabionnage ou par agrafage (béton ferraillé) pour solidifier les terrains sensibles. Ou encore, traiter les glissements de terrain dans lesquels on ne rencontre pas la montmorillonite, argile gonflante.
AVSANE - 24 Mars 2018 - 16h53
• Limiter la pêche industrielle, bien que n'impliquant pas automatiquement une meilleure protection des milieux marins et littoraux, n'en reste pas moins une mesure nécessaire qui permettrait la reconstitution de stocks (ex. le thon rouge). Appliquée par la seule France, cette mesure aurait pour résultats de renforcer la grogne des pêcheurs français mais pas les stocks halieutiques !
• Limiter la pèche de loisir pendant les période de reproduction , tout particulièrement la pèche pratiquée sans discernement le long des rivages dite "chasse sous-marine"… - Créer beaucoup plus de zones de non prélèvement.
AVSANE - 24 Mars 2018 - 16h50
• Développer et organiser des mouillages écologiques des bateaux de plaisance organisés sur bouées ancrées « proprement »,
• Appliquer la politique de ports propres et restaurés écologiquement,
• Mettre en place des mesures de protection des espaces des fonds marins nécessaires au maintien des équilibre écologiques, (prairies de cymodocées et des herbiers de posidonies)
• Mettre en place les conditions nécessaires, lors des opérations de dragage des ports, pour le traitement et la valorisation des sédiments marins pollués, Ex: Centre de traitement des matériaux à La Seyne-Brégaillon.
Marion B. - 23 Mars 2018 - 17h20
Il est évident que la protection de ces milieux est primordiale, que ce soit pour des raisons écologiques ou économiques. Une grosse partie de l'économie de ces régions est basée sur la beauté de ces paysages. La partie la plus importante est la sensibilisation, les personnes qui habitent ces régions n'ont pas conscience de ces richesses écologiques, si celles ci sont sensibilisées, elles en parleront aux touristes. Deuxièmement il faut absolument durcir les lois et les contrôles concernant les pollutions en mer, les constructions dans les 100m devront être détruites (loi littoral). Dans les réserves naturelles, les moyens financiers et techniques doivent etre augmentés. Toutes ces mesures seraient créatrices d'emplois et bénéfiques pour les régions et leurs habitants.
Mairie Villeneuve-Loubet - 23 Mars 2018 - 08h57
Oui, nos services identifient principalement une obligation de lutte contre le dégazage sauvage des grosses unités.
Ces dernières pratiquent la vidange des cuves (cuve à eaux noires et caisses noires) lors des entrées/sorties de port. Les conséquences écologiques sont doubles : une pollution à la fois bactériologique et chimique.
Les moyens de lutte :
• La mise à disposition de lieux de collecte par des moyens de pompages gratuits dans chaque port
• Le développement de moyens de collecte du plan d’eau, doublé d’un renforcement des moyens de contrôle et d’un accompagnement (aides financières) à l’acquisition de moyens techniques de lutte adaptés.
A titre d’exemple, la tenue du Salon Marina High Tech du 24 au 25 mai 2018 –dont l’un des axes repose sur l’innovation nautique, le développement durable et la protection de l’environnement marin.
Frédéric Gidron - 22 Mars 2018 - 19h18
Oui, il est nécessaire et important de préservé ce milieu naturel et maritime. D'une part, c'est une vitrine sud de notre pays et d'autre part, c'est un atout touristique et économique. Il le faut préserver en régulant son activité dans le respect de la transition écologique. Ce milieu se meurt à petit feu. Alors il faut réagir en appuyant de toute nos forces et en sanctionnat le cas échéant. Il est nécessaire que les pays voisins en fassent autant. Pour cela, il faut peut-être organiser un sommet de la méditerranée....
Marjo - 22 Mars 2018 - 12h04
Oui, il est plus que nécessaire d'augmenter la protection des milieux marin en Méditerranée et ce tout au long de l'année.
Il faudrait commencer par augmenter le budget lié à l'environnement littoral pour pouvoir augmenter le nombre de postes dans la gestion et la protection des littoraux. Avec plus de personnel, on pourrait faire plus de campagnes de prévention ET de contrôle (comme le contrôle des tailles minimales de captures).
Pour les pêcheurs loisirs faire des rappels (dans les ports et sur les côtes) de la législation, des tailles minimales et peut-être de mettre un quotas max par espèces et par jours (afin d'éviter une surpêche ponctuelle)
Faire des sessions d'information sur les plages avec expositions de photos, de déchets etc..
Augmenter les mouillages écologiques et interdire de mouiller sur les prairies de posidonies.
Faire appel à des scientifique pour la création de récif artificiel et zones de nurserie afin repeupler les populations de poissons.
Isabelle Gouleret - 22 Mars 2018 - 06h13
Faire l europe de la Méditerranée ( voir projet sarkozy)
NicoleB - 20 Mars 2018 - 22h28
Les bateaux immeubles pour les croisières qui pullulent depuis ces 10 dernières années m'inquiètent ! Faire plus de surveillance pour les bateaux de plaisance qui mouillent dans des zones protégées. Limiter la pêche en créant plus de zones naturelles , limiter les activités touristiques qui perdurent la faune marine.
RaphNZ - 19 Mars 2018 - 08h21
Oui, renforcer la protection est essentiel !
Un agrandissement des reserves naturelles est essentiel ainsi que le developpement de nouvelles.
La peche durable est aussi un facteur important surtout dans des pays comme le notre. Une taxe pourrait etre en place sur les poissons et fruits de mer qui ne sont pas issus de cette peche afin de subeventionner des controles plus importants des pecheurs et des zones de peches. Il y a encore des pratique de peches en France qui detruisent les fonds marins et la diversité (peche non selective, etc..) ceci devrait etre controllé et les pecheurs eduqués. De plus les produits etrangers devraient etre controllés et les produits non-conforme a cette "charte" inderdit d'import.
Jahan - 12 Mars 2018 - 19h47
Et extension de bassins protègés du type Banyuls
Kubagde - 12 Mars 2018 - 11h31
On peut envisager de protéger d'immenses zones de la mer, mais pour repeupler nos côtes sans pour autant interdire toute pêche (professionnelle, sportive et de loisir), il peut être judicieux de préserver de petites surfaces. En effet, bien souvent les récifs sont petits, et leur protection intégrale vis-à-vis de la pêche permettrait de préserver des oasis source de vie qui, par la suite, repeupleraient les zones alentours.
La protection de ces zones pourraient également être complétées par la mise en place de mouillages écologiques.
ced13 - 11 Mars 2018 - 20h58
-Dans le même temps, taxer à l'échelle européenne les importations de produits de la mer n'ayant pas été labellisés par les organismes choisi par l'Union Européenne. Cette taxe permettra en partie de financer les subventions de l'UE aux pêcheurs utilisant de bonnes pratiques.
-Interdire immédiatement la pêche aux requins ou "shark finning" car celle-ci, en plus d'être un véritable massacre écologique contribue au dérèglement de l'écosystème marin car les requins sont des espèces "clés de vôute". A savoir que l'Europe représente une part importante de l'exportation d'ailerons de requins.
ced13 - 11 Mars 2018 - 20h40
Les ressources halieutiques représentent un enjeu crucial dans les années à venir. A savoir qu'elles représentent une source de protéine régulière pour plus d'1millard de personnes sur terre. Aujourd'hui, 90 % des stocks de poissons sont surexploités. Voici ce que je propose:
-Faire de la prévention efficace de plus en plus tôt dans les écoles pour faire part de l'importance des ressources halieutiques, de la bonne santé de l’écosystème marin et de la richesse économique, sociétale, esthétique et spirituelle qu'il représente. Images, photos et l'appui et schéma simples pour un accès à tous.
-Augmenter de manière ciblée,le budget de la recherche afin de mettre en place des outils de pêche plus respectueux (filets,cage...)
-Les pêcheurs sont les principaux acteurs de l'industrie de la pêche. Leur faire connaître et les encourager financièrement à appliquer des méthodes de pêche durable et faire partie des labels MSC, SAFE...
Eric Carlier - 11 Mars 2018 - 20h28
Et ne peux pas répondre au commentaire. Tu m'étonnes que fessebouc et gougueule vous défoncent!
Association T EAU T O PHIL - 11 Mars 2018 - 20h24
Oui : en protégeant les milieux marins des flux de déchets véhiculés par les émissaires d’eau de pluie par un statut légal au Déchet-Urbain-Migrant-Polluant (DUPM).
Partons des années 2000 avec « SOS-mer propre » et une définition du CEDRE du macro-déchet : « Par l'effet d'un geste de négligence, d'un coup de vent, d'une crue ou d'un accident malencontreux, les déchets sortent de leur cycle de traitement normal (...) Ce sont des produits hors la loi, échappant aux contrôles et aux systèmes en place ». 20 ans après... une prise de responsabilité politique par une action législative s'impose !
Et en attendant, toute aire urbaine peut déjà s’engager dans la propreté de son espace public et de ses réseaux pluviaux avec un impact immédiat positif : un DUMP récupéré à tout endroit des terres émergées, ce sont des milliards… gagnés demain pour le littoral et les océans.
Un DUPM « légalisé » agira 365 jours par an pour leur futur et des étés avec moins de rejets de l'océan sur nos plages !
Alain CHARLES - 08 Mars 2018 - 16h44
Après avoir vidé la mer de ses occupants, il serait temps de lui permettre de se repeupler. Pas seulement en limitant la pêche industrielle, mais aussi et surtout en créant de vastes zones de réserves naturelles où il serait strictement interdit de pêcher.
Cédric Dubois - 07 Mars 2018 - 16h00
Avec la réduction annoncée des énergies fossiles, programmer une restauration durable du milieu au droit des complexes pétrochimiques.
Cédric Dubois - 07 Mars 2018 - 15h52
Réaménager certains sites anthropisés, afin de permettre de recouvrer des courants qui alimentent le littoral en sédiments utiles à la reconstitution et à la survivance de certains écosystèmes.
André Gilles SABATIER - 05 Mars 2018 - 14h07
quoiqu'on puisse dire, et même s'il existe le détroit de Gibraltar, la Méditerranée est une mer fermée. Ce ne sont pas les 1600km de cotes françaises qui à elles seules peuvent sauver cette mer. C'est bien une action internationale qui le pourrait. Il ne suffit pas non plus exclusivement d'actions contraignantes mais elles doivent être menées avec des actions d'éducation (enfants ET adultes). Nous devons stopper la pollution ou la maitriser drastiquement, mais aussi commencer une politique de dé-pollution. Nous ne pourrons pas empêcher les hommes de s'installer à son abord, mais encadrer et ne pas limiter à l'espace français, mais agir dans l'UE et avec les autres pays d'Asie et d'Afrique.
pierre 17 - 03 Mars 2018 - 18h53
Pour renforcer la protection des littoraux :
-respect et durcissement de la loi Littoral. Non seulement l’extension urbaine doit être stoppée dans tous les cas de figure, mais en plus tout doit être mis en œuvre pour résorber l’urbanisation déjà existante dans la bande des 100m (préemption lors des ventes, surtaxation, amendes pour atteintes aux espèces animales et végétales protégées, etc…)
Il ne doit subsister dans cette frange de 100m que le strict nécessaire (accès mer piétonnier).
On peut faire appel à des chantiers de volontaires pour restaurer écologiquement les zones reconquises (destruction des bâtiments, restauration topographique et pédologique).
pierre 17 - 03 Mars 2018 - 18h49
Pour renforcer la protection des milieux marins :
-interdire la chasse et la pêche sous-marines, et la pêche industrielle (les stocks d'espèces animales marines sont partout dans un état lamentable). Tant pis pour les “loisirs nature” et la “tradition”, supportables quand il y avait 10 fois moins d’humains à faire pression sur les milieux mais plus aujourd’hui.
-transformer les zones difficiles d’accès en aires marines interdites de fréquentation (le goût pour le “sauvage” doit permettre de comprendre que les espèces méditerranéennes sont en danger critique) ;
-baliser très étroitement le trafic maritime et le réduire au strict nécessaire (exit donc tous les “sports” nautiques tels que jetski, parachute ascensionnel et ski nautique, à la rigueur voile et kitesurf peuvent être tolérés s’ils n’engendrent pas de piétinement).
L'espèce humaine est présente partout et sa présence a toujours un impact sur le milieu : il faut laisser des espaces libres d'humains.
Ju - 03 Mars 2018 - 10h41
existence de zones d'interdiction de mouillage et de zones d'interdiction de peche commerciale sur tout le littoral mediterranéen. Mobilité des zones de non prelevement (tous les 10 ans par ex, changement de zones). Instauration de quotas journalier pour la peche de loisir, interdiction de l'utilisation des filets en polypropilène: ils ne se dégradent pas et continuent de tuer inutilement pendant des siècles. Interdiction de la commercialisation des especes pendant leurs periodes de fraie, promotion de la peche commerciale artisanale a la ligne (palangres, casiers, traine, broumé...), interdiction totale du chalutage de fond, promouvoir la consommation de TOUTES les especes de poisson (le consommateur ne veut que des loups,dorades,merlan,baudroies...), toutes sont bonnes et valabes, copions les japonais! il faut sevir serieusement sur les braconniers pros comme plaisanciers (loup, dorade, thon!)specialement zone rhone/camargue.
Confiscation du role de peche aux contrevenants.
Eric Carlier - 03 Mars 2018 - 10h40
Au lieu de prendre des bénévoles pour nettoyer les ports -ce sont eux qui ont commencé seuls à le faire- les payer en taxant les ports de plaisance qui engrangent des sommes faramineuses pour un service nul en ce qui concerne la protection du littoral. (Et souvent qui ne vous répondent pas en vhf9 quand vous avez besoin d'eux mais qui vous sautent dessus quand c'est l'heure de payer votre amarrage)
Obliger ces dits ports à investir dans la recherche et l'action du nettoyage des plastiques mortifères.
OblIger ces mêmes ports à nettoyer les epaves abandonnées qui traînent partout.
Au cap d'agde à la louche c'est 1 milliard d € qui rentre chaque année.
Jahan - 02 Mars 2018 - 14h39
Respect total de la Loi Littoral, déjà ce serait bien, et assurer qu’elle soit appliquée par tous et partout. Pour cela, le Conservatoire du Littoral doit avoir les moyens d’occuper de plus en plus de zones littorales menacées par les pollutions, les constructions, sans pour cela empêcher ou gêner les activités traditionnelles de chasse et pêche, voire même de surfers, dans la bonne entente. Les surfers st Windsurfers sont une population qu’il faut prendre en compte dans toute initiative de protection du Littoral.
La vigilance doit être extrême devant ceux qui osent penser que leur nouveau mandat de député peut leur conférer le droit de demander un assouplissement de la Loi Littoral. C’est le cas de Mr Perea, député de Narbonne, qui est entre autre favorable à un projet immobilier privé dans une zone sensible, pinedes’, zones humides, terrains agricoles....
La modernité c’est la protection des espace naturels, c’est anticiper. C’est prendre au sérieux notre territoire.
terrebleue.org - 28 Février 2018 - 17h26
L'interdépendance des espaces fragilisés par l'activité de l'Homme nécessite que les mesures soient prises autant sur terre qu'en mer. L'augmentation de la démographie notamment sur les littoraux, impacte ces milieux particulièrement exposés à un tourisme de masse croissant. Les mers et océans sont les ultimes réceptacles de nos pollutions. L'explosion des transports, les tonnes de kérosène des avions en phase de décollage, les métaux lourds dont le carbone-suie des bateaux, les véhicules, nos déchets, nos usines, nos immeubles, tous, industriels et particuliers, avons des responsabilités. Au vu de l'accélération et du volume de ces sources de pollution, il faut impérativement SANCTUARISER les espaces les plus fragiles pour les sauvegarder. Ils sont vitaux pour nous parce qu'essentiels et fondamentaux à notre oxygène, au cycle de l'eau, à la biodiversité, à la santé, à l'alimentation (agriculture et pêche), bref, à l'équilibre de la planète. Nous n'avons plus le temps de tergiverser.
terrebleue.org - 28 Février 2018 - 16h53
L'interdépendance des espaces fragilisés par l'activité de l'Homme nécessite que les mesures soient prises autant sur terre qu'en mer. L'augmentation de la démographie notamment sur les littoraux, impacte ces milieux particulièrement exposés à un tourisme de masse croissant. Les mers et océans sont les ultimes réceptacles de nos pollutions. L'explosion des transports, les tonnes de kérosène des avions en phase de décollage, les métaux lourds dont le carbone-suie des bateaux, les véhicules, nos déchets, nos usines, nos immeubles, tous, industriels et particuliers avons des responsabilités. Au vu de l'accélération et du volume de ces sources de pollution il faut impérativement SANCTUARISER les espaces les plus fragiles pour les sauvegarder. Ils sont vitaux pour nous parce qu'essentiels et fondamentaux à notre oxygène, au cycle de l'eau, à la biodiversité, à la santé, à l'alimentation (agriculture et pêche), bref, à l'équilibre de la planète. Nous n'avons plus le temps de transiger.
Ambicor - 26 Février 2018 - 13h47
La méthode qui obtient les meilleurs résultats est sans doute la création de réserves. Seulement leur nombre et/ou leur surface est insuffisant/e actuellement. Créer des réserves gérées avec des moyens qui pourrait provenir d'ailleurs de ressources des visiteurs (comme en Espagne) permettrait une bonne gestion environnementale avec un suivi scientifique et des retombées positives dans des domaines variés : environnement, tourisme, biodiversité alentour, etc...
Actuellement nous avons trop peu de réserves et elles sont gérées sans moyen, et/ou sans suffisamment de pouvoir.
Pour la gestion des écosystèmes littoraux, l'action du conservatoire du littoral est remarquable et mérite d'être accentuée.
Jedom - 24 Février 2018 - 23h16
- faire appliquer simplement toutes les législations déjà existantes
- interdire tout simplement toute nouvelle construction littorale
- interdire les plages au fumeurs pour supprimer le risque de mégots.
- interdire les produit solaire de synthèse pour les baigneurs
- interdire la pêche au chalut ou au filet
- légiférer la pêche au bord de mer de manière très stricte
- punir sévèrement toutes les pollutions qu'elle que soit leur origine
- proposer aux plaisanciers des solutions pour le recyclage des déchets, des huiles moteur et produits nocifs pour l'environnement...
Jean Rossi - 24 Février 2018 - 16h55
Quand on navigue , on a vite fait de voir a quel point beaucoup de plaisanciers ne respectent pas la législation ; ils vident leur eaux noire dans l'eau ...........ni vu ni connu !
Il ne respectent pas la mer mais par contre leur petit bateau a droit a tous les égards !
Los Angeloz - 21 Février 2018 - 18h50
Commencer par faire appliquer les lois déjà en place, mettre des agents sur le terrain pas seulement dans les bureaux! On a besoin d'actes concrets.
Au niveau de la pêche:
-Connaitre les stocks de poisson des principales espèces
-instaurer des quotas en fonction de la ressource et de la pression de pêche
-Multiplier et durcir les contrôles du bord comme en bateau
-Pourquoi ne pas faire payer une carte comme en eau douce et comme dans d'autres pays.
-Protéger les poissons sur leurs zones de frayeres et interdire le commerce des espèces pendant cette période.
-interdire les filets bloquant les seuls accès à la mer en période de migration (printemps automne)
-Nettoyer les endroits surpechés et remplis de plombs pour éviter de contaminer toute la chaîne alimentaire.
-Organiser des stages de sensibilisation à l'environnement dès le plus jeune âge et mettre en place des journées de ramassage et de tri des déchets.
Bien sûr ce ne sont que des idées à vous de faire le tri
Lucien Tua - 20 Février 2018 - 22h02
Une solution efficace pour régénérer la faune en Méditerranée est la construction de récifs artificiels (Voir expérience japonaise).
FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 20 Février 2018 - 18h48
Au sein des aires marines protégées, la pression touristique augmente, avec un boom de l’activité de plaisance, des sports de plein air et des loisirs motorisés. Ces activités affectent les habitats littoraux et la faune et la flore associées comme les oiseaux qui voient se réduire leurs zones de halte migratoire et de reproduction sur l’estran.
Pour que le développement des activités humaines dans les aires marines protégées ne se fasse pas au détriment de la nature, il est indispensable de mettre en place une évaluation des impacts de ces activités et donner la possibilité de les réduire voir de les interdire en fonction de l’importance de leurs impacts négatifs sur le milieu marin. En parallèle, il est essentiel d’informer et de sensibiliser le public sur ces enjeux
Propositions :
- La mise en place d’outils et la surveillance accrue des espèces, habitats et écosystèmes marins;
- Le déploiement d’aires marines éducatives sur la façade Méditerranée.
FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 20 Février 2018 - 18h21
Tandis que l'urbanisation galope sur le littoral, l'élévation du niveau de la mer, elle, grignote peu à peu le rivage. Pour faire face à cette double pression, préserver les citoyens des risques littoraux et sauvegarder notre magnifique patrimoine naturel, il n'existe aujourd'hui qu'un seul outil juridique : la loi Littoral. Il est capital que la France veille à sa bonne application et réfléchisse avec les acteurs locaux à des propositions ambitieuses et opérationnelles sur le long terme qui consolident cette loi. L’information et la sensibilisation des élus et citoyens, qui ont été relativement oubliées jusqu’ici, s'avèrent essentielles afin de mieux intégrer la culture du risque dans les différents outils de gestion des risques littoraux.
Propositions :
-Mettre en place un contrôle de légalité rigoureux des préfets sur la bonne application de la loi Littoral ;
-Mener une campagne à l’échelle de la façade méditerranéenne pour sensibiliser élus et citoyens aux risques littoraux.
CELINEARNAL - 20 Février 2018 - 15h09
La mer et le littoral, comme tous autre biotope, nous concerne tous. Ce n'est pas seulement l'affaire des politiques et institutions, mais bel et bien celle de chaque citoyen. Il appartient à chacun d'entre nous de prendre part à sa préservation. Des propositions d'actions citoyennes ont été faites dans les contributions (ex : nettoyage des littoraux, journées thématiques...), je souhaiterai mettre l'accent sur les sciences citoyennes et participatives qui sont des programmes structurés, animés par des associations compétentes, et qui permettent aux citoyens d'agir sur le long terme pour l'écologie marine.
Sarah Dellac - 19 Février 2018 - 23h50
Il devient urgent de protéger notre littoral.
Organiser des journées citoyennes sur la sensibilisation et la protection du littoral et ces mers, organiser des journées de récoltes de dechets sur nos plages,et auprès des plongeurs confirmé avec volontaires dans nos eaux.
D'avantages de règles et de sévérité concernant la pêche et renforcer la protections des réserves.
Il est vital d'agir.
mostelle66 - 17 Février 2018 - 21h48
Je souhaite proposer au sein des plongeurs locaux diverses dates pour la collecte des déchets sous marin.Cette envie vient de ma passion de l espace marin et je souhaite ainsi léguer a nos enfants un milieu préservé.Antoine de Saint Exupéry disait (on n hérité pas de la terre de nos parents ont l emprunte à nos enfants.)
Agnès - 17 Février 2018 - 21h25
Rendre obligatoire sur les gros navires la détection des baleines et autres mammifères marins afin de les éviter. Et surtout arrêter la pêche massive. Plus de navires bondés de touristes à la poursuite des dauphins et baleines. Ils perturbent leur environnement.
Le Den - 17 Février 2018 - 18h05
Habitant le proche littoral et amoureux de la mer, j’ai assité impuissant à la lente dégradation des rivages méditerranéens, enfant avec un simple masque sur nos plages languedociennes je voyais sous mes yeux des merveilles, aujourd’hui plus rien ne bouge. Alors si vous me demandez mon avis je vous le donne. Il faut impérativement créer des réserves sur notre littoral. Un exemple : la Camargue est un vaste parc régional avec un frond de mer important et inaccessible ce serait si simple de prolonger en mer le parc avec interdiction de pêche pour tous, au lieu de ça il existe une réserve ridicule de 4 km par 6km (si si je vous jure 4x6) et la réserve suivante se trouve près de Toulon autours de la minuscule île de Port Cros. La France doit montrer la voie du sauvetage de la Méditerranée sinon ce sera rapidement une nouvelle mer morte...
Muriel Calventus - 16 Février 2018 - 23h52
Interdire la pêche massive
Créer des zones sauvegardées
Contrôles beaucoup plus stricts sur les bateaux et les pêcheurs
Taxer lourdement les bateaux de croisiere
Interdire la pêche massive
Protéger les espèces
silverpeche - 15 Février 2018 - 00h24
Il est très utile de se projeter dans le futur, le futur proche et le futur moins proche. Cela donne bonne conscience et probablement une bonne excuse pour continuer à philosopher sur le sujet sans ne rien faire. Inutile de faire beaucoup plus que ce qui est déjà en place, appliquons tout ce qui est déjà entrepris avec le parc des calanques mais qui peine à exister faute de moyens.
Les calanques de Marseille sont prises entre quatre grosses pollutions majeures, Fos sur mer, Cortiou, les boues rouges, les rejets de l'huveaune sur les plages de l'escale Borelli et les avions qui passent sur les têtes toute les trois minutes pour aller à Marignane. Comment imaginer que cela va s'améliorer ? Il faut dire stop à tout et d'en donner les moyens humains, c'est possible, mais il faut le vouloir et là ça dépend pas des marseillais...
jfe - 13 Février 2018 - 10h00
Il m'arrive de plonger assez souvent en bouteille et le milieu semble se modifier. On rencontre de plus en plus de barracuda et de mérou en méditerranée. Par contre les pieuvres sont de plus en plus rares. La variété des poissons semblent changer avec des poissons plutot d'eau chaude mais en quantité moins importante me semble t-il. Est ce que la pèche industrielle n'est pas trop intensive? L'augmentation de la température de l'eau n'est elle pas déjà en place ce qui change le milieu aquatique. Et que dire de l'acidité de l'eau, phénomène associé au réchauffement climatique? Ne va t-il pas diminuer l'attraction vers les zones , ou pour l'instant on peut en profiter? Quel contrôle sont faits sur la température, la salinité, l'acidité des eaux? Où? Comment sont diffusés les résultats?
Mike TDi - 12 Février 2018 - 16h55
"Plus on est de fous, moins il y a de riz" Coluche.
Comment demander à la population de faire attention s'il n'existe pas un réel outil d'information pour ce faire ?
Et si la "Météo des Oiseaux" permettait de vivre en harmonie en apprenants les règle de l'environnement et en informant en temps réel l'état des zones sensibles du littoral ?
Voilà 3ans que nous développons concrètement un outil de gestion des espace-temps pour conserver la biodiversité et l'harmoniser avec la présence humaine. Par manque de moyen seul l'enjeu "Oiseaux" est pris en compte. Plus particulièrement les Laro-limicoles grâce au programme Life+ ENVOLL. Ce programme était à l'échelle de la commune de LA PALME (11) en 2015 pour passer à celui de la Méditerranée Française en 2017 !
Son potentiel est énorme. Il mérite d'être une information reléguée au même titre que celui de la météo des plages en saison.
Aidez nous à développer cet outil, en 2019 il n'aura plus de financement, fin du programme LIFE...
Marie Romani - 12 Février 2018 - 15h47
Au-delà de la conservation de la biodiversité, diffuser la preuve des divers bénéfices écosystémiques et socio-économiques des AMP, permettant leur reconnaissance comme sites de démonstration mettant en oeuvre une approche écosystémique, et contribuant en particulier à l’atténuation et à l’adaptation au changement climatique.
Oeuvrer à créer une relation gagnant-gagnant des AMP avec les décideurs, les bailleurs et le secteur privé intéressés par la planification de l’espace maritime et marin, la gestion intégrée des zones côtières, les stratégies de croissance bleue, le tourisme durable et les politiques de pêche durable, en vue de répondre aux pressions au-delà des limites des AMP, en considérant les AMP comme capital naturel et instrument de gestion pour atteindre les objectifs de durabilité.
Marie Romani - 12 Février 2018 - 15h46
Apporter l’appui requis (financier, institutionnel, moyens humains et matériels) pour une gestion effective, équitable et efficace, de l’ensemble des sites d’AMP actuellement créés.
Marie Romani - 12 Février 2018 - 15h44
Augmenter la couverture et la mise en oeuvre de zones d’accès interdit, de non-prélèvement et de non-pêche, soit dans les AMP existantes, soit dans les futures AMP, tout particulièrement dans les zones fonctionnelles clés.
Edouard - 12 Février 2018 - 10h31
Allouer des moyens aux AMPs existantes (PNM, réserve marine, site N2000), afin de réaliser un vrai travail de gestion, avec mise en place d’équipes locales, au contact du terrain, mais surtout au contact et à l’écoute des acteurs locaux.
La connaissance d’un secteur, de ces écosystèmes, de sa fréquentation, de ces impacts, son suivi dans le temps, le contact et la relation de confiance avec les acteurs locaux sont primordiaux pour une gestion efficace.
Aurelle - 11 Février 2018 - 11h30
Le littoral est et sera soumis aux effets du changement climatique, aussi bien sur terre qu'en mer. Je pense notamment aux épisodes de canicule ou à la montée du niveau de la mer. La lutte contre le changement climatique doit être une priorité et elle nécessite une vision d'ensemble sur l'énergie, les transports...
Aurelle - 11 Février 2018 - 11h27
Le littoral constitue une zone d’une grande biodiversité avec des espèces que l’on ne trouve que dans cette zone, aussi bien en milieu terrestre que marin. Il s’agit également d’une zone fortement soumise à la pression des activités humaines : pêche, constructions diverses (ports, plages artificielles, ensembles touristiques, pollution…). Il subit et va encore subir les effets du changement climatique. Bien que notre littoral soit encore bien préservé dans certaines zones, notamment grâce à la loi littoral et au conservatoire du littoral, il est important de renforcer cette protection. Ce n’est pas gagné (voir par exemple le projet de construction au sein du parc des Calanques). Il faut donc maintenir et renforcer la protection du littoral aussi bien sur terre qu’en mer. Et il faut également augmenter le nombre et la surface des aires marines protégées.
Vincent PONS - 11 Février 2018 - 09h24
Le chalutage est complètement destructeur pour les fonds marins. En plongée sous marine on nous apprend à ne pas toucher les fonds marins....
Solution : limiter progressivement les zones de chalutage et le supprimer à terme. EndemnIser les pêcheurs par des primes pour compenser le manque à gagner.
Vincent PONS - 11 Février 2018 - 09h14
La chasse sous-marine est pratiquée de manière complètement anarchique. Les modalités d'obtention du permis sont peu contraignantes (pas de permis à acheter) et aucune sensibilisation n'est faite lors de l'achat d'un fusil sous marin. Les contrôles sont inexistants : je chasse depuis 35 ans et je n'ai jamais été contrôlé.
Par ailleurs la chasse sous marine est un sport dangereux pour soi même et pour les autres et aucune information n'est délivrée quand on achète un harpon.
Solution : rendre plus contraignante l'obtention d'un permis, accroître les contrôles et intervenir auprès des revendeurs
Thomas Poidevin - 10 Février 2018 - 11h57
les gouvernements successifs nous recommandent depuis longtemps de se diriger vers les energies renouvelables pour l automobile.
par contre on entend pas d aide au developpement de bateaux fonctionnant a l ernergie renouvelable.
or les cargos et chalutiers sont de tres tres gros polluants.
un cargo =150 a 300 tonnes de fioul lourd. un fioul certe un peu moins polluant en carbone mais qui rejette d ennorme taux de souffre . extrement dangereux pour nous mais bien sur egalement dangereux pour la faune
Luke Kitewalker - 10 Février 2018 - 11h07
Les centaines de milliers d’ancres raclant le fond marin chaque été détruisent les fonds et la flore sous-marine.
Installer des corps morts pour le mouillage protégera nos donds.
Loick Mgt - 09 Février 2018 - 12h22
Je sais que les requins n'ont pas bonne réputation, mais je penses qu'il est plus que temps d'agir pour leur préservation, ainsi que pour les raies, ce sont des espèces qui se reproduisent lentement, mais pourtant si importantes pour le milieu marin.
En prenant exemple sur le moratoire pour le thon rouge par exemple, ou en négociant notamment avec le Maroc, ou les pêcheurs remontent des requins dans des zones pouponnière, ou la majorité des requins attrapés sont des femelles gestantes... et réglementer les moyens de pêches pour ne pas utiliser des moyens nocifs a ces espèces.
Il faudrait que ces espèces soient protégées comme les mammifères marins, il n'y a aucune raison de prétendre le contraire.
Arnassant Stéphan - 09 Février 2018 - 10h05
Le développement de l'économie maritime ne peut être envisagé qu'à la condition que le réseau des aires marines protégées soit finalisé et doté de moyens de gestions adéquats... On en est malheureusement loin. Il est impératif de finaliser le réseau (sites NATURA 2000 au large notamment) et de rendre prioritaire des financements pour les équipements, la gestion et les suivi de ces AMP. Il est notamment indispensable que les collectivités locales soient plus impliqués dans ces financements en complément de ceux engagés pour le développement de l'économie bleue...
Antoine Minne - 08 Février 2018 - 23h20
• renforcer les patrouilles de garde en mer pour lutter contre le braconnage au sein des aires marines protégées (AMPs).
• favoriser la recolonisation d'algues via des projets de restauration écologique combinés à une régulation directe des herbivores (eg. oursins, saupes) avec suivit scientifique.
• sensibilisation des acteurs locaux aux notions d'écologie, incluant les petits pêcheurs et restaurateurs.
• implications des centres de plongées et autres usagers de la mer dans le développement et soutient de projets de sciences participatives spécialement dédiés aux habitats de la Méditerranée (roche coraligène, herbiers à Posidonie, forêt à Cystoseira …) allié à un effort de communication des mass-médias.
Phil - 08 Février 2018 - 14h24
Le fioul lourd alimente l'essor des cargos géants et la croissance fulgurante du commerce mondial. Il serait temps d’en interdire l’usage de toute nos côtes Françaises, Européennes voire dans le meilleur des cas, Mondiales..
Olivier Torlai - 07 Février 2018 - 14h51
Les règles actuelles ne sont pas appliquées faute de moyen de les faire respecter. A quoi sert d'imposer de nouvelle contraintes si on est pas capable de faire respecter celles en vigueur. Il faut donc renforcer les moyens de contrôle.
eric - 07 Février 2018 - 07h45
La mer est un bien commun qui nous apporte beaucoup de services qui ne sont pas illimités. Il faut en réguler l'usage en utilisant des instruments économiques bien ciblés. Le calcul du coût des services pourrait être basé sur les impacts en termes de pollution, utilisation de l'espace, extraction de matériaux, prélèvements par la pêche, aménagements... Tous les usagers participeraient de façon équitable en proportion de leur impact. Les recettes ainsi dégagées pourraient servir à diverses mesures favorables à la protection des milieux et à l'amélioration de la connaissance sur le milieu marin et sa complexité.
Heloise Pantel - 05 Février 2018 - 22h04
Mettre en place des zones vraiment protégées avec un un quota maximum de touristes par jour/mois/an Voire des zones ou personnes ne peut accéder (Même si les propriétés communales sont normalement "communes" et "publiques" ) ainsi elles pourront devenir de vraies réservoir de biodiversité et pas juste une zone ou 1 espèce se rapatrie mais où des dizaines d'espèces seront présentes.
Mais attention ! cette démarche ne pourra justifié des comportement complètement incohérents des lors que les frontière de la zone protégée sont franchies !
esox_13 - 05 Février 2018 - 19h00
Lourdement taxer les containers ou autres frets perdus en mer. Cela implique un contrôle de la cargaison au départ et à l'arrivée. Les nouvelles technologies devraient pouvoir permettre cela avec des coûts raisonnables.
Obliger les transporteurs maritimes à récupérer les containers ou autres frets perdus en mer. Il devrait être possible de mettre une balise GPS sur ces objets pour les traquer. Si il est définitivement perdu : lourde taxe. Cela obligerait les transporteurs à mieux sécuriser leurs cargaisons.
esox_13 - 05 Février 2018 - 18h57
Proposer des mouillages organisés (corps morts) partout où il es possible de mouiller afin d'éviter les ravages des évitements d'ancres sur le fond.
Evidemment cela implique le renforcement des moyens de contrôle (Police Maritime, Douanes). On pourrait proposer aux pêcheurs artisanaux qui adhéreraient à une charte de durabilité une accréditation / assermentation rémunérée pour remplir ces tâches en dehors de leurs temps de pêche. L'Etat ou les collectivités mettant à leur disposition le matériel nécessaire (base, embarcations...). Cette rémunération pourrait peut-être prendre la forme de crédit d'impôt ou de crédit de charges ou de TVA à hauteur de leur implication.
Phil Bap - 05 Février 2018 - 10h31
Comment le transport le plus polluant sur Terre (et en l’occurrence sur mer) peut il échapper à ce point à toutes taxes et même informations concernant sa dangerosité ! ?
Ce phénomène reste un réel mystere pour moi
Vinoceant - 05 Février 2018 - 07h09
Comme pour l’automobile il y a 30ans, personnes en mer ne respecte les lois qui existent déjà. Que ce soient les pêcheurs professionnels ( pêche et chalutage de nuit à moins de 3 miles, non respects des tailles minimum de capture) ou les plaisanciers : non utilisation des cuves à eaux noire, non respects des limitations de vitesse (jet skis), des professionnels du tourisme (non respect des normes de rejets) ou des collectivités (aménagements et permis de construire non conformes à la directive cadre sur le milieu marine. Mais pour cela les DDTM doivent parler d’une seule voix et d’une voix objective, or chacun y va de son interprétation selon le département et la compétence des fonctionnaires impliqués.
Mumu - 04 Février 2018 - 15h15
Veiller au bon fonctionnement des stations d'épuration qui rejettent en mer, sans cacher les dysfonctionnements sous le tapis pendant des années : L’ASSAINISSEMENT, c'est UNE OBLIGATION REGLEMENTAIRE (Cf : circulaire du 8 décembre 2006)
Assurer la récupération des eaux grises et noires des mouillages organisés. Les navires véhiculent des parasites.
L'Etat doit arrêter de brader le patrimoine littoral des français (inaliénable) en faveur de commerçants qui privatisent les plages et rejettent les simples usagers citoyens qui n'ont pas les moyens d'être clients privilégiés faute de moyens financiers suffisants.
Les simples citoyens subissent non seulement la spoliation d'une partie de leurs justes droits d'accès libre et gratuit aux plages du littoral, mais ils perdent également une partie de la valeur patrimoniale environnementale de ce bien collectif par l'augmentation de la pression sur les milieux induite par la fréquentation massive de cette clientèle.
Djé d'Agay - 04 Février 2018 - 14h40
Instaurer une pêche no kill sur une période de 5 ans pour les plaisanciers. Analyser les résultats et décider de l'évolution de ce hobby que j'adore.
Vu de mes yeux l'exemple du "cap roux" à Anthéor. Résultat époustouflant ! Plaisir retrouvé de la ballade avec masque et palmes
Mathieu - 04 Février 2018 - 12h32
Pour protéger il faudra également s'attaquer au problème de l'eau qui alimente la méditerranée.
Donc entre autre séparer les eaux grises de "lavage" des eaux noires des toilettes.
Oliviermouren - 04 Février 2018 - 00h00
Prévoir des cendriers dans l espace public et sanctionner les jets de mégots sur la voie publique
Oliviermouren - 03 Février 2018 - 23h58
Interdire les rejets industriels et en particulier les boues rouges dans la fosse de cassidaigne
Oliviermouren - 03 Février 2018 - 23h53
Taxer la navigation de plaisance et organiser des zones de mouillage
Lilijuste - 03 Février 2018 - 23h12
Il existe tant de choses à faire mais encore faut-il se mettre autour d'une table et échanger. La mer méditerranée ne concerne pas que l'Europe mais l'ensemble des pays du pourtour méditerranéen. Il faudrait harmoniser la réglementation et financer des programmes d'action et de préservation
Philou - 03 Février 2018 - 14h46
À quel endroit le poisson peut il se reproduire tranquillement en Méditerranée ?
Quasiment nulle part
Faudrat il arriver à une absence de ressource pour aboutir?
Quel est le niveau de la population de l’anchois? De la sardine?
Une politique ferme sur le thon a permis une reprise du niveau de la population
Interdire la pêche sur les 5 miles côtiers serait il une possibilité en sachant que la reproduction des’ especes se fait plutôt aux abords des côtes
octopus - 03 Février 2018 - 14h45
Réinsérer les tortues marines et protéger les raies en Méditerranée, participerait de la biodiversité et de l'attractivité du territoire.
octopus - 03 Février 2018 - 14h38
Il faut protéger 50 % du Territoire marin de chaque commune où seraient interdites toute pêche et dégradation. Cela ressourcerait l'écosystème des ces lieux, profitant aux pécheurs locaux, à l'attractivité naturelle du lieu, et son économie ( création d'emploi de protection, de tourisme...)
octopus - 03 Février 2018 - 14h32
Le poulpe étant une espèce très facile à pécher, et sa consommation s'étant accrue, il est urgent de protéger cette espèce qui se fait plus rare sur le littoral méditerranéen. Nous préconisons dans un premier temps de réglementer sa pèche comme celle des oursins, ouverture de la pèche du 1er novembre au 15 avril.
Rémi Hergé - 03 Février 2018 - 14h25
Augmenter les bouées et coffres pour le mouillage agrandir les parcs marin avec pêches très contrôlées interdire les mouillages sauvages et les grosses unités faire de la prévention et faire signer une charte de protection de l’environnement aux clubs de plongées.
octopus - 03 Février 2018 - 14h15
Les posidonies sont un eco-système central, poumons et lieu de nidation essentiels. Tout comme il est interdit d'arracher des arbres ou des buissons de forêts communales ou de parcs nationaux, il faut protéger ces plantes essentielles à l'eco système marin. Chaque saison estivale de nombreux bateaux s'ancrent dans des baies, des criques, entre 50 à 200 bateaux par jour et cela non stop durant deux mois et tous les week-ends des beaux jours avant et après les mois de juillet et aout. Il faut interdire l'ancrage dans les posidonies, en tolérant celui dans le sable, et augmenter les bouées fixes. Chaque municipalité peut créer des équipes d'informations et de répression des dégradations. A la suite d'une campagne dans la presse et d'informations auprès des plaisanciers, il faut proposer des amendes de 50 à 100 euros par infraction.
Denis Roeder - 03 Février 2018 - 09h44
Je pense que pour préserver le milieu écologique il faut que l'activité de pêche soit repoussée plus loin des côtes notamment dans la Méditerranée. J'ai constaté que de plus en plus de chalutiers raclent les fonds près des côtes et que certains pêcheurs n'hésitent pas à mettre de longs filets à 200 m du bord le long des plages. Je ne connais pas la réglementation mais je trouve cela anormal. Pêcheur à pieds du bord j'ai abandonné depuis 2 ans parce que le poisson de taille réglementaire et n'existe plus en temps normal en bordure du littoral...
m.lapinski - 03 Février 2018 - 08h28
Il n’est plus possible de laisser le littoral s’urbaniser et de voir les écosystèmes côtiers et fonctions écologiques associées complètement détruits.
Aujourd’hui chaque nouveau projet d’infrastructures (digues, ponton, émissaire, polder, mouillage...) devraient intégrer une approche d’éco-conception. Il s’agit ici d’ajouter à chaque nouvel ouvrage (mais également à ceux en place) une ou plusieurs objectifs écologiques sans en altérer les fonctions techniques initiales. Nurseries artificielles, transplantation d’espèces, intégration de bétons innovants, de cavités pour les poissons et crustacés, récifs artificiels... De nombreuses solutions existent et ne sont à ce jour pas mises en oeuvre à grande échelle malgré les impacts parfois énormes des projets.
En ce qui concerne les récifs artificiels, a minima ils devraient être installés pour protéger les pêcheurs artisanaux contre le chalutage illégal trop proche des côtes comme l’ont d’ores et déjà fait les espagnols...
BAST34240 - 03 Février 2018 - 01h05
Peux etre peut on subventionner la collecte des déchets par les pecheurs. Au lieu qu ils ne les remettent à l eau. Ils peuvent aussi etre des lanceurs d aletres de pollution.
Barnab - 02 Février 2018 - 19h31
Installation généralisée de récifs artificiels anti-chalutage et de protection des plages
Multiplication de la création d'aires marines protégées
Dépollution à la source, (effluents des usines, des stations d'épuration, rejets des bateaux, arrêt des rejets de boues rouges dans un Parc national etc.)
Dozio Philippe - 01 Février 2018 - 16h52
Sous de douteux prétextes économiques les dérogations à la loi littorale comme à la protection des espèces sont nombreuses. Peut-on encore accepter que l'économie prime sur le vivant et sa pérennité ? Les grands groupes et les cartels financiers tiennent les politiques par les intérêts. Les projets "d'investissements" pour les ports d'Occitanie en sont une belle démonstration.
Miramar - 01 Février 2018 - 11h06
Il n'est pas rare de voir trop près des côtes, des chalutiers racler les fonds à moins de un mille du littoral au large d'Argelès sur Mer, entre autres). Les actions de la gendarmerie maritime et les affaires maritimes ne sont pas suffisamment dissuasives. Il faudrait plutôt favoriser la pêche de petits bateaux (par des avantages fiscaux) et interdire (en les contrôlant) les rejets à la mer des poissons "excédentaires" (c'est à dire à faible valeur commerciale) pris dans leurs filets par des chalutiers.
Franck CHAUVET - 01 Février 2018 - 07h58
Il apparaît clairement que de trop nombreuses décisions sont prises sans consultation de la population pire il est souvent très compliqué d'obtenir les rapports concluant a telle ou telle décision.
Il m'apparaît évident que dans toutes commissions il devraient y avoir un collège de citoyens impliqués dans le thème de la comission
Les CLE, commission locale de l'eau, sont le parfait exemple de ces ouvertures et de l'imlocation des citoyens à leur quotidien.
Guillaume d'Ersu - 31 Janvier 2018 - 22h28
Sur l'exemple Monégasque, construire vertical réduit l'emprise au sol et donc le péri-urbain gourmand en espace. Une politique fiscale avantageuse sur les tours pourrait inciter les promoteurs à construire vertical plutôt qu'horizontal...
Julien Baudelet - 31 Janvier 2018 - 21h28
Selon un rapport de l’OCDE de 2014, le transport maritime est responsable de 5 à 10 % des émissions mondiales d’oxyde de soufre, un polluant qui accroît le niveau d’acidité des océans, participe à la formation de « mauvais ozone » et de particules fines et ultrafines. D’autant plus que ces navires utilisent un carburant de très mauvaise qualité, du pétrole quasiment brut et extrêmement polluant
Ce fioul contient notamment 3.000 fois plus de soufre que le diesel automobile. La loi autorise également à ces HLM des mers le déversement de leurs eaux usées très partiellement traitées pour peu qu'ils soient assez loin des côtes.
De plus il faudrait renforcer les contrôles sur les bateaux de plaisance et les aires de carainages sauvages, de nombreux bateaux possédant encore des peintures antifouling dont les composants chimiques sont un désastre pour la mer.
J.Lefi - 31 Janvier 2018 - 13h17
ici on parle déjà de budget, on va demander aux français de mettre encore et encore la main au portefeuille, alors que les vrais responsables se remplissent les poches (industrie, collectivités etc.), mais il serait de déjà stopper la corruption de certains élus qui ferment les yeux sur certaines pratiques serait un bien, ça ne concernent pas que le littoral sud, (la Bretagne ou prolifère les algues verts, avec ses élevages intensif, la baie de Seine ou les produits chimiques arrivent des cultures de beaucoup de départements, Seine Maritime, Oise, Val d'Oise, Seine et Marne, Eure etc) tout fini à la mer, c'est un vaste sujet, impossible en 1000 caractères.
Geangean - 29 Janvier 2018 - 13h38
Les moyens alloués à la protection de la biodiversité marine ne permettent pas de surmonter la crise écologique à laquelle nous faisons face :
- En France, 90% des espèces et habitats marins évalués sont en état défavorable (MNHN 2013) ;
- Au niveau mondial 30% des populations de poissons sont surexploitées, et 60% exploitées au maximum (FAO 2009). En Europe 50% des populations évaluées sont exploitées au-delà du taux soutenable (CIEM).
- Les rejets de substances chimiques vers la mer restent problématiques pour les 2/3 des substances évaluées (OSPAR) ;
- Les eaux marines se réchauffent et s’acidifient ce qui perturbe l’écosystème marin dans son intégralité.
Le protection des milieux marins est donc une priorité.
Les estimations du Grenelle de la mer, indiquaient un besoin de 170 M€ pour gérer 20% des eaux en aires marines protégées contre 60 M€ aujourd'hui.
Le protection des milieux marins passe donc par une augmentation du budget qui lui est allouée.