Le bon état écologique des milieux marins et littoraux

Comment renforcer la protection des milieux marins et littoraux en Nord Atlantique - Manche Ouest?

 
  • Allier bon état écologique et développement

    Bretagne Vivante - 24 Mars 2018 - 00h43

    Bretagne Vivante demande qu'une réflexion rigoureuse soit engagée sur la création de sites naturels de compensation sur chaque façade maritime conformément à la Loi n° 2016-1087 du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité marine. Cette requête est faite au regard du nombre de projets d’aménagements et de développement des activités anthropiques actuellement dans le milieu marin.

    Par exemple, la création d'une macro-zone de compensation "îles et îlots de Bretagne" permettrai la conservation et la restauration d'habitats, la préservation de l’avifaune et la protection des eaux marines environnantes.

  • pour enrayer la perte de biodiversité , Eau et rivières souhaite que:

    Jean-Yves - 23 Mars 2018 - 18h20

    - soient développées des mesures réglementaires strictes pour garantir une bonne qualité microbiologique, organique et chimique de toutes les eaux afin d’obtenir pour tous organismes marins un milieu propice à leur survie, leur fonctionnalité et leur biodiversité ;
    - soient évaluées la répartition et les variations annuelles du stock de certaines espèces marines vivant en milieu côtier ;
    - soient contrôlée et interdite l’introduction des espèces invasives dans les ports et les déchargements d’eaux de ballast, que la dissémination d’espèces non-indigènes soit répertoriée et réduite au minimum lors du transfert de naissains et de stocks d’huîtres.

  • Pour protéger les milieux marins et littoraux, Eau et Rivières souhaite que...

    Jean-Yves - 23 Mars 2018 - 18h18

    - dans le SDAGE, les masses d’eau douce responsables du déclassement des masses d’eau de transition ou côtières ne soient pas classées en bonne qualité mais au moins au même niveau de déclassement que les masses d’eau de l’aval en contact avec le littoral ;

  • Pour protéger les milieux marins et littoraux, Eau et Rivières souhaite que...

    Jean-Yves - 23 Mars 2018 - 18h18

    - les SCOT et PLU ayant une façade littorale soient obligatoirement dotés d’un volet maritime ;
    - l’urbanisation de la bande littorale soit arrêtée par une application stricte et fidèle de la loi Littoral ;
    - des solutions de repli soient instituées par les collectivités dans les zones d’érosion côtière et les surfaces submersibles en réponse au changement climatique ;
    - soient simplifiés et harmonisés les outils de protection des milieux marins dans des documents communs et des gestions ouvertes et concertées (PAMM, SDAGE, Natura 2000, Aires Marines Protégées…) ;
    - se développe une meilleure collaboration entre le Comité de bassin de l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne et le Conseil Maritime de Façade, CMF-NAMO, en ce qui concerne les domaines communs touchant le littoral.

  • Pour protéger les milieux marins et littoraux, Eau et Rivières souhaite que...

    Jean-Yves - 23 Mars 2018 - 18h14

    - le développement agricole intensif terrestre ne soit pas reproduit en mer par une exploitation abusive de même type ;
    - la pêche et les projets d’aquacultures tiennent compte des conséquences sur les écosystèmes, de l’impact sur les autres activités, de la viabilité et de la valorisation économique que ces projets apportent aux territoires locaux ;
    - soient prévues des études d’impacts sur les sédiments portuaires en regard de leur toxicité, que soient interdits les clapages et les rejets de dragage en mer ;
    - soit maintenu un contrôle renforcé des navires circulant devant nos côtes, que les rejets de ballast et les carburants soufrés soient interdits, que les pollutions atmosphériques, les pluies acides et les pollutions acido-particulaires soient répertoriées ;
    - les projets d’extractions de granulats marins tiennent compte de la destruction des habitats, de leurs écosystèmes et de la pérennité des ressources non renouvelables ainsi que de l’effet sur l’érosion côtière accélérée;

  • Limitation des pêches

    Blancky29 - 23 Mars 2018 - 07h26

    Pour préserver les réserves halieuthiques:
    interdiction de la pêche pendant les périodes de reproduction dans les zones de frai,
    interdiction toute l'année des filets pour les plaisanciers,
    interdiction de chaluter dans les zones semi fermées (rades, baies...),
    tailles minimum des prises identiques pour les pro et les plaisanciers correspondant à des poissons d'âge adultes.

  • Information et sensibilisation des publics

    Bretagne Vivante - 22 Mars 2018 - 15h14

    Informer et sensibiliser les publics pour partager la connaissance, engager une prise de conscience et l’appropriation collective des enjeux de conservation :

    - Faire des aires marines protégées, des sites Natura 2000, des réserves nationales ou régionales des lieux d’éducation à la mer et aux enjeux de protection du milieu marin.
    - Utiliser le numérique pour mettre à disposition du plus grand nombre les connaissances scientifiques et bancariser l’information.
    - Favoriser les sciences participatives, les activités de découverte du milieu marin, la découverte des métiers liés à la mer.
    - Promouvoir et développer les aires marines éducatives.

  • Aires marines protégées

    Bretagne Vivante - 22 Mars 2018 - 15h12

    Poursuivre la démarche mise en œuvre de création et de gestion des aires marines protégées, outils de protection et de gestion intégrées des activités humaines. Il faut notamment relancer le parc marin normand-breton dont la préfiguration n’aurait pas dû être mis en stand bye.

    doudou
    La sanctuarisation est une fausse bonne idée. Partager de manière raisonnée serait bien plus acceptable pour le public
    • Pas d'accord
      0
  • Dégazage sauvage

    Mhuchet - 21 Mars 2018 - 20h24

    Pour éviter les dégazages en mer, pourquoi ne pas créer une taxe annuelle obligtoire. Cette taxe financerait les dégazages faient dans les ports qui seraient gratuits.

  • Protection des milieux marins

    Louis - 21 Mars 2018 - 18h53

    Protéger les ressources en limitant les périodes de pêche. interdiction de pêche en péride ou sur les lieux, de nidification
    Il semble que la concentration d'élevage d'huîtres détruit la biodiversité des fonds et du littoral (baie de Quiberon). Analyser cet impact
    ne doit-on pas interdire le chalutage de fond (baie de Quiberon)
    Ne pas jouer avec les huîtres triploïdes et encore pire avec la privatisation des tétra ?

  • Faire de l’environnement un fondamental du développement de l’économie bleue

    Bretagne Vivante - 20 Mars 2018 - 15h31

    Les propositions de Bretagne Vivante en matière de prise en compte de l’environnement dans le document stratégique de façade :
    - Poursuivre l’effort d’acquisition de connaissances et le développement de la recherche-action pour que la connaissance de la mer soit un moteur de la décision publique.
    - Pour chaque projet, les études sur les enjeux environnementaux et les diagnostics écologiques seront mis à disposition de tous. Une clause de suivi et de révision des impacts sera prévue et son exécution contrôlée par l’État.
    - L’évaluation des risques environnementaux lors de nouveaux projets doit être décloisonnée pour mieux prendre en compte les effets cumulés et doit être étendue à l’ensemble des activités y compris celles déjà existantes.
    - Aider les ports et le transport maritime à devenir plus neutre en matière d’impact environnemental.
    - Favoriser une pêche qui respecte la ressource halieutique et utilise des techniques respectueuses des écosystèmes.

  • Faire de l’environnement un fondamental du développement de l’économie bleue

    Bretagne Vivante - 20 Mars 2018 - 15h31

    Les pratiques passées doivent éclairer les choix qui seront opérés. Le risque de porter atteinte au milieu marin existe déjà sur la façade NAMO : l’aquaculture intensive dégradant le milieu ; la pêche non maîtrisée de certaines espèces ; une exploitation des sédiments altérant les fonds marins ; le développement d’infrastructures générant destruction de zones humides et dragages polluants; la mer devenant réceptacle des déchets humains, source de pollutions biologiques et chimiques, dégradant la qualité des eaux marines, entraînant l’eutrophisation, les algues vertes, les efflorescences planctoniques parfois toxiques ; l’accaparement par certains du DPM.
    Ces constats appellent vigilance dans les choix qui seront opérés pour définir les orientations futures. Le respect de l’environnement marin et de la biodiversité, qui y est associée, ainsi que le bon état de conservation des milieux et des espèces sont constitutifs de la qualité des activités humaines qui se déploient en mer.

  • Niveaux de l'océan

    jipebe29 - 19 Mars 2018 - 10h48

    Depuis le début des années 1800, le marégraphe de Brest mesure les variations du niveau marin. La droite de tendance est de +1,05+/-0,08 mm/an et aucune accélération n'a été observée, même sur les dernières décennies. J'ai lu des commentaires qui prévoyaient une montée de 1 m, voire plus, pour la fin de ce siècle : ces prophéties sont irréalistes. Quant aux pouvoirs Publics, plutôt que de gober les prophéties irrationnelles du GIEC/IPCC et les délires d'Al Gore -qui prévoit +6m en 2100), ils doivent s'en tenir aux observation et ne pas engager des dépenses pharaoniques pour des prunes.

  • Valoriser la recherche

    Vince29 - 18 Mars 2018 - 18h33

    Il me semble impératif de mieux valoriser la recherche publique :
    - En favorisant les partenariats publique/privée, tout en s'assurant qu'une partie des bénéfices reviendront à l'état (nous). Par exemple, en déposant plus de brevets, en stipulant des clauses sur l’exploitation des résultats des chercheurs dans leur contrat de travail;
    - En pérennisant et en ouvrant des postes dans la recherche publique ;
    - En soutenant les associations, le recherche participative ;
    - En soutenant les micro-entreprises qui innove (incubateurs).

    Et pourquoi ne pas créer une bourse de l'innovation marine (mise en contact de financeurs, chercheurs, porteurs de projets, VSC...) ?

  • Estuaires Loire Vilaine

    jc.ménard - 14 Mars 2018 - 12h09

    le réchauffement climatique entraîne des tempêtes plus fortes une augmentation du niveau de la mer (plus d'1m en 2100!). Risques de submersion, inondations, érosion, un espace côtier qui va être bouleversé.
    La seule réponse est l'adaptation.
    - Pas de protection bétonnée de la côte ou par des enrochements sans en comprendre les conséquences.
    - Il faudra laisser la mer reprendre les zones remblayées et s'étaler pour réduire les surcotes !
    - Il faudra déconstruire pour construire différemment, sur pilotis, avec possibilité d'arriver par des canaux aux maisons. Maisons flottantes (la Hollande vit depuis longtemps dans ces conditions) pouvant être déplacées ..
    -Tout l’assainissement doit être repensé, les collecteurs doivent être surélevés ainsi que les pompes de relevage.
    - Des terrains proches de la mer doivent être'' gelés'' pour répondre au recul des installations conchylicoles !
    - Des plans réactualisés de submersion.
    - Une gouvernance plus participative

  • Estuaires Loire Vilaine

    jc.ménard - 14 Mars 2018 - 12h08

    le réchauffement climatique entraîne des tempêtes plus fortes une augmentation du niveau de la mer (plus d'1m en 2100!). Risques de submersion, inondations, érosion, un espace côtier qui va être bouleversé.
    La seule réponse est l'adaptation.
    - Pas de protection bétonnée de la côte ou par des enrochements sans en comprendre les conséquences.
    - Il faudra laisser la mer reprendre les zones remblayées et s'étaler pour réduire les surcotes !
    - Il faudra déconstruire pour construire différemment, sur pilotis, avec possibilité d'arriver par des canaux aux maisons. Maisons flottantes (la Hollande vit depuis longtemps dans ces conditions) pouvant être déplacées ..
    -Tout l’assainissement doit être repensé, les collecteurs doivent être surélevés ainsi que les pompes de relevage.
    - Des terrains proches de la mer doivent être'' gelés'' pour répondre au recul des installations conchylicoles !
    - Des plans réactualisés de submersion.
    - Une gouvernance plus participative

    jipebe29
    Depuis le début des années 1800, le marégraphe de Brest mesure les variations du niveau marin. La droite de tendance est de +1,05+/-0,08 mm/an et aucune accélération n'a été observée, même sur les dernières décennies. Votre prophétie de 1 m ou plus en 2100 ne repose sur rien de sérieux.
    • Pas d'accord
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  • Pêche professionnelle

    Xavier Lc - 13 Mars 2018 - 15h50

    Il serait de bon aloi tandis que les restrictions concernant la pêche de loisir sont de plus en plus pesantes de les appliquer aussi aux pêcheurs professionnels; un exemple étant celui de la pêche du bar, interdite à tout les plaisanciers au nord du 48ème parallèle (limite arbitrairement fixée en raison de l'intérêt financier représenté par les zones de pêche au bar du raz de sein à belle-île située plus au sud). Pendant le même temps, les bateaux professionnels, armées par la grande distribution ou de tailles plus modestes, continuent à pêcher sur les frayères (lieux de reproduction) où ce poisson est alors particulièrement vulnérable. Les stocks sont aujourd'hui dans un état catastrophique et aucune action autre que celle de la mobilisation citoyenne n'est menée. Nous scions la branche sur laquelle nous sommes assis dans l'appât d'un profit à court-terme, cela met aussi bien l'environnement que la filière pêche en péril. Je salue néanmoins l'action de certains équipages responsables

  •  La raréfaction de la ressource halieutique

    FNPA - 12 Mars 2018 - 17h43

    Toutes les études montrent que la ressource en poissons « à haute valeur ajoutée », tels que le bar, le lieu, le maigre ou la dorade, se détériore rapidement: il est surprenant que dans la définition des enjeux 2030, l’administration n’aborde pas ce sujet
    En effet, la carte des « Enjeux forts à majeurs spatialisables etc...» ne mentionne pas ces espèces. Ceci est d’autant plus inquiétant que le document associé produit par l’Etat Français: « Enjeux et objectifs de développement durable » chapitre 1, pêche maritime professionnelle, se fixe comme objectif de « Maintenir la capacité des organisations professionnelles à gérer la ressource en fonction de l’évolution des stocks ».
    La FNPA s’oppose au maintien d’un tel conflit d’intérêt et demande qu’une vraie gouvernance de la ressource halieutique (comprenant aussi les organisations de loisir concernées et des personnes qualifiées dans la gestion de la ressource) soit mise en place et dotée des moyens législatifs et de contrôle adéquats.

  • Conscience citoyenne, responsabilité publique et statut légal du DUMP

    Association T EAU T O PHIL - 11 Mars 2018 - 20h31

    Oui : en protégeant les milieux marins des flux de déchets véhiculés par les émissaires d’eau de pluie par un statut légal au Déchet-Urbain-Migrant-Polluant (DUPM).
    Partons des années 2000 avec « SOS-mer propre » et une définition du CEDRE du macro-déchet : « Par l'effet d'un geste de négligence, d'un coup de vent, d'une crue ou d'un accident malencontreux, les déchets sortent de leur cycle de traitement normal (...) Ce sont des produits hors la loi, échappant aux contrôles et aux systèmes en place ». 20 ans après... une prise de responsabilité politique par une action législative s'impose !
    Et en attendant, toute aire urbaine peut déjà s’engager dans la propreté de son espace public et de ses réseaux pluviaux avec un impact immédiat positif : un DUMP récupéré à tout endroit des terres émergées, ce sont des milliards… gagnés demain pour le littoral et les océans.
    Un DUPM « légalisé » agira 365 jours par an pour leur futur et des étés avec moins de rejets de l'océan sur nos plages !

    FNPA
    Je n'ai pas bien compris ce que fait le DUPM!
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    Association T EAU T O PHIL
    A la base, il y a un vide juridique... A la base, il y a un Déchet Urbain sans statut légal. Ensuite, il est Polluant-Migrant (un DUPM) ou Migrant-Polluant (un DUMP)... nous hésitons! Nous hésitons, tout en préférant le DUMP phonétiquement, même si le statut du macro Déchet Urbain est de Polluer, puis de Migrer. DUPM ou DUMP, c'est une recherche de sigle pour un statut légal, qui permettra de manière très pragmatique d'imposer une politique globale cohérente de réductions de tous les flux polluants... en commençant par intercepter/traiter ce qui est le plus gros.
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    davidgaloppe
    Le DUMP éveillera les consciences
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    Association T EAU T O PHIL
    Sans statut légal, il ne s’agit au mieux que de bonnes intentions, de bonnes recommandations, de louables incitations et du bon sens… qui manifestement ne suffisent pas. Le DUMP, pour éveiller les consciences citoyennes... et politiques!
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  • Les dangers

    jaquotiere - 06 Mars 2018 - 22h15

    Tout le monde le sais notre planète est malade nous le savons toutes et tous. Le littoral subit a chaque grandes marées et vent cumulé des asseaux d'une violence inouï. Pourtant la pression immobilière sur le littoral est de plus en plus fort. Pour mémoire les anciens non jamais construit au bord de l'eau!! le recul du trait de côte et en forte progression y compris sur la côte ouest de la Manche.
    Donc, il faudra bien évacuer lorsque le danger sera présent. Je voudrais vous rappeler que lors du Grenelle de l'environnement et de la mer en 2008 2009 sous l'autorité de Jacques CHIRAC trois députés de la majorité dont Alain COUSIN de la circonscription Coutances Granville ont sorti un rapport de 200 pages. Ce rapport et très positif car il parle vrais .

  • Plan de Prévention des Risques Littoraux

    VPBN - 06 Mars 2018 - 17h17

    Faire une évaluation périodique des Plans de prévention des risques littoraux (PPRL) et les actualiser en conséquence

    Marcel
    Ce plan doit prendre en compte les grandes manifestations organisées sur le littoral et plus particulièrement la pollution possible vu le nombre de bateaux à moteur, le ramassage des déchets et les vidanges des toilettes, la préparation des bâteaux y compris la peinture dans des lieux prévus à cet effet.
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  • études scientifiques, communication et éducation.

    Eric NOËL - 03 Mars 2018 - 18h11

    Au niveau mondial, de nombreux scientifiques de très haut niveau disposent de toutes les compétences pour étudier le milieu marin et littoral. Problème : Le financement de leurs recherches est très couteux, peu encouragé et ils sont confinés dans leurs études qui ne sont que peu communiquées au grand public.
    Le citoyen lambda n'a pas accès aux informations scientifiques et s'en préoccupe que rarement. Rares sont les émissions radio ou télé à se faire l'écho des interrogations et autres découvertes des scientifiques et la population ignore la réalité des enjeux liés à la protection de la plus grande superficie visible et invisible de notre terre, l'eau.
    Les Etats sont les acteurs majeurs et indispensables du développement des connaissances liées au milieu aquatique sous toutes ses formes. Leurs responsabilités sont immenses et il est urgent de donner les moyens aux chercheurs de réaliser à échelle mondiale un audit concerté de la situation sur notre bonne vieille terre...

    Plijadur
    Effectivement les études des chercheurs devraient être plus diffusées vers le grand public, qui doit pouvoir juger de la pertinence des mesures prises (par les gouvernements ou autres) pour protéger les mers. A savoir par exemple que l'ONU se penche à nouveau sur le droit et la protection de la - haute - mer, qui encore un peu une zone de non-droit malgré la Convention de Montego bay. C'est important parce que c'est notre patrimoine mondial , à protéger. Je n'ai pas entendu de commentaires des médias, des gouvernements, de l'Europe, et pourtant il leur incombe de défendre nos mers et océans ( exploitation, pollutions ...)
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  • Construction de port sur le littoral vendéen : une menace majeure

    Colombium - 02 Mars 2018 - 12h26

    A l'heure où l'on prend conscience de la fragilité de notre littoral, le projet de port de plaisance à Brétignolles sur mer (Vendée) est un projet peut-être à la mode dans les années 70 mais complètement dépassé à l'heure actuelle. La tempête Xynthia et les autres tempêtes moins fortes mais cependant régulières sont là pour le prouver. La côte et plus particulièrement les dunes sont menacées par les tempêtes de plus en plus fréquentes sur le littoral atlantique. A l'heure où on entame une réflexion majeure sur la préservation du littoral, certains pour satisfaire un ego démesuré veulent encore plus de béton sur la côte en prétextant un développement économique ! Si l'on construit un port qui accélérera l'érosion et la destruction de notre patrimoine côtier, la réparation, si elle est encore possible, sera encore plus coûteuse. Le vrai développement économique consiste à gérer raisonnablement les richesses de notre littoral.

    vendéenne
    Comment peut-on vouloir encore faire une nouvelle percée pour créer un port, quand on voit comment la dune est attaquée par les grandes marées et tempêtes chaque hiver ! Que de dépenses stériles faites depuis 2003 pour des études concernant ce futur port hypothétique... et tout le reste est délaissé au niveau environnement : routes dans un piteux état, restriction depuis quelques années sur le ramassage des ordures ménagères, (diminution de moitié...) ganivelles non remises en état, accès des plages non sécurisés et se détériorant chaque année, perte du petit lac d'eau de mer, près de la plage de la Normandelière.... etc. C'est une abérration que de vouloir créer un port à cet endroit là....
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    vendéenne
    Comment peut-on vouloir encore faire une nouvelle percée pour créer un port, quand on voit comment la dune est attaquée par les grandes marées et tempêtes chaque hiver ! Que de dépenses stériles faites depuis 2003 pour des études concernant ce futur port hypothétique... et tout le reste est délaissé au niveau environnement : routes dans un piteux état, restriction depuis quelques années sur le ramassage des ordures ménagères, (diminution de moitié...) ganivelles non remises en état, accès des plages non sécurisés et se détériorant chaque année, perte du petit lac d'eau de mer, près de la plage de la Normandelière.... etc. C'est une abérration que de vouloir créer un port à cet endroit là....
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  • Alerte à Brétignolles

    vasco - 01 Mars 2018 - 11h17

    Le littoral vendéen a beaucoup souffert de l’urbanisation anarchique qui sévit dans la région. En outre, le recul du trait de côte ne cesse de s'aggraver.
    Depuis plus de 15 ans, le conseil municipal de Brétignolles-sur-Mer nourrit un projet de port contraire en tout point aux préconisations élémentaires de protection des espaces littoraux : destruction de zones rocheuses, de dunes, d'une zone humide, coupure du transit sédimentaire, intrusion massive des eaux marines à l'intérieur des terres, urbanisation, etc. Ce projet a reçu en 2011 des avis totalement négatifs de l'autorité environnementale et de la commission d'enquête publique.
    Et pourtant ce projet n'est pas abandonné : la communauté de communes le reprend en le modifiant à peine. On voit ainsi qu'entre la réalité du terrain et les orientations officielles de protection du littoral, d'une part, et les ambitions de certains élus locaux, d'autre part, il y a un abîme.

    clydes
    en effet ce projet de port serait catastrophique pour le rivage dunaire , les rochers et la zone humide que le rivage délimite. jm
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    Michel Beaumont
    Il faut tout faire pour empêcher ce projet catastrophique pour tout ce qui touche à l'écologie,l'environnement etc, ainsi que le porte monaie des habitants de la communauté de commune du pays de St Gilles.
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    maryvonne GUERIN DAVIET
    un projet de développement économique de cette ampleur est désastreux car il modifie le littoral et sa configuration naturelle.
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    Pragmatique
    vous êtes plus opposés aux personnes portant le projet ... je vous invite à comprendre réellement le projet en faisant abstraction de la "politique"
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  • Nautisme et environnement

    Union Plaisanciers Ports Morbihan - 28 Février 2018 - 21h09

    L' impact du Nautisme sur l’environnement est très faible . Il ne fait l’objet d’aucune remarque spécifique dans l'analyse qui nous est fournie. On ne peut pour autant en ignorer certains aspects tels que le dragage des ports et chenaux de navigation, la nécessité d'installation de pompage des eaux noires , la nécessité de cales de carénage équipées, ...Qu'envisageons-nous à l'horizon 2030 ?

    Camille Carrée
    Nous avons construit massivement beaucoup trop de port de plaisance...Qui à l'horizon 2030 serons certainement sous utilisé vu l'évolution actuelle du nautisme ... C'est terriblle l'impact d'un port comme le Crouesty. Il faudra réaménager et partiellement détruire à terme
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    UNAN CM
    L'UNAN CM soutient ces arguments de bon sens
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    Piwisy Armor
    Pourquoi détruire les ports de plaisance, alors que certains ports s'équipent, comme au Bénélux et ailleurs de maisons flottantes entre les catway avec place pour le bateau en option. Tout cela se loue en résidence de vacances ou même en résidence principale. Non les ports ont de l'avenir et les plaisanciers y trouveront leur compte.
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  • Mobiliser les professionnels

    MYLÈNE TESSON - 21 Février 2018 - 11h19

    Les premiers acteurs impliqués pour défendre un milieu doivent être ceux qui l'utilisent : ils connaissent leur environnement, ils en ont besoin et leurs enfants en auront besoin : les pêcheurs pour les poissons, les ostréiculteurs et les agriculteurs pour les cours d'eau. Il faudrait mettre en place des ateliers à petite échelle, avec un petit nombre de participants, pour la gestion fine des milieux par les 1ers concernés. Différentes instances peuvent se saisir ou se saisissent déjà de ce thème de l'implication des citoyens et des professionnels usagers du milieu. C'est à renforcer, encourager, développer.

    Nathalie Marty
    Je pense que le métier de marin devrait davantage se tourner vers la protection du littoral et des espèces. Je suis suffisamment âgée pour avoir connu les plages couvertes d'étoiles de mer, les petits trous d'eau grouillant de petites crevettes transparentes à marée basse... tout ceci a disparu ! Nous sommes entièrement responsables de ce massacre car nous n'avons rien fait pour' l'éviter ... nous ne savions pas.... maintenant, l'information circule. Nous n'avons plus d'excuse. Intégrons au plus vite les mesure se sauvegarde et enseignons dès le plus jeune âge, les valeurs et la beauté du milieu marin, l'intelligence des espèces qui nous entoûrent. La mer n'est pas un réservoir alimentaire.
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    UNAN CM
    Les professionnels sont juges et partie: ils doivent accepter la participations des autres acteurs dans les instances.
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  • Préserver les aires marines protégées de la façade Nord Atlantique – Manche Ouest

    FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 21 Février 2018 - 10h35

    Au sein des aires marines protégées, la pression touristique augmente, avec un boom de l’activité de plaisance, des sports de plein air et des loisirs motorisés. Ces activités affectent les habitats littoraux et la faune et la flore associées comme les oiseaux qui voient se réduire leurs zones de halte migratoire et de reproduction sur l’estran.
    Pour que le développement des activités humaines dans les aires marines protégées ne se fasse pas au détriment de la nature, il est indispensable de mettre en place une évaluation des impacts de ces activités et donner la possibilité de les réduire voir de les interdire en fonction de l’importance de leurs impacts négatifs sur le milieu marin. En parallèle, il est essentiel d’informer et de sensibiliser le public sur ces enjeux
    Propositions :
    - La mise en place d’outils et la surveillance accrue des espèces, habitats et écosystèmes marins;
    - Le déploiement d’aires marines éducatives sur la façade Nord Atlantique - Manche Ouest.

    Calliope
    propositions 3 : - agrandir ces zones protégées. - évaluation de nouvelles zones à risque et du développement des côtes maritimes protégées et non-protégées.
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    Poulie
    - Limiter d'avantage, voire interdire à certaines périodes ou pendant un certain temps et dans certaines zones à tour de rôle la pêche à pied. Et surtout contrôler, (au moins épisodiquement) la taille des prises des pêcheurs à pied et les quantités qu'ils ont pêchées (contrôles aléatoires assortis d'amendes par les policiers municipaux par exemple). Près de chez moi, il devient difficile de trouver les moindres bigorneau, crevette ou crabe vert, alors qu'il y en avait tant quand j'étais enfant.
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    N.Robaux
    Il est également nécessaire d'assurer l'application de la règlementation applicable. A titre d'exemple, dans certaines zones Natura 2000 existantes en Sud Bretagne, la fréquentation touristique et la navigation de plaisance mettent en danger l'écosystème marin et le mouillage à l'ancre, pourtant interdit, reste largement pratiqué. Inutile de prévoir de nouvelles règlementations dans ce cas. Il est uniquement nécessaire d'appliquer de manière effective les textes applicables.
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    UNAN CM
    Pas de sanctuarisation!
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    SKITINE
    Protéger surement! Mais pour partager et non pas exclure!
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    Cyr
    Pour une meilleure information du public et une prise de conscience plus générale, une synthèse de l'évaluation des impacts préconisée devrait faire l'objet d'une publication obligatoire -au minimum annuel- dans 2 journaux locaux du département concerné.
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  • PLAN DE N'ETTOYAGE LITTORAL, D'URGENCE ET PERMANENT

    Ariane Ringenbach - 19 Février 2018 - 21h44

    Après la tempête Eleanor, notre littoral à pris l'apparence d'une décharge à ciel ouvert. Pour pérenniser le tourisme et garantir un avenir aux futures générations, il faut agir maintenant et dans la durée, après chaque grande marée ou état d'urgence de marées « multicolores ».Dans l'urgence et avec peu de moyens, des solutions sont possibles!

    informer, protéger, valoriser, s'impliquer, uniformiser
    -reprise de la gestion de la plate forme INFO LITTORAL PROPRE.
    -mise en place d’opérations de ramassage réguliers par les communes.
    -valorisation des déchets ramassés grâce au recyclage.
    -installation et vidage de bacs à marée attractifs incitant le public a ramasser (intégration dans le paysage ex : bac en bois).
    -renforcement de la campagne de sensibilisation, d éducation et de transparence sur le traitement des détritus avec les mairies, O.T, écoles, médias,...
    -mise en place d'une signalétique commune sur le littoral visant à sensibiliser aux abords des plages et sentiers.

    Annie Tibook
    Travailler avec les écoles!
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    Sylvain MOREL
    Des plans de nettoyage permanent doivent être financés. Par la valorisation des déchets, certes, mais ce ne sera pas suffisant.
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  • proteger les ecosystèmes remarquables côtiers et littoraux. Comment?

    Yveline le Moal - 17 Février 2018 - 18h29

    Par l'éducation. et c'est difficile. Comment faire comprendre que nous dépendons des écosystèmes. Comment cesser l'attraction d e la mer, l'urbanisation et la multiplication des usages. Depuis 20 ans se succèdent une multitude de mesures: Natura 2000, Parcs naturels,
    Conservatoire du littoral, loi littoral, znieff, sage, grand site.....mais concrètement ? Pourquoi les emplois écologiques ne se sont ils pas développés et encore maintenant. en inventaires, en gestion, en éducation..... On s'est jetté sur le numérique, l'automatisation, la modélisation, la génétique, l'exploitation des ressources. Mais quand comprendrons nous que nous avons besoin des services des écosystèmes, dont nous dépendons.

    Eco-réfèrent
    Il faut éduquer la jeunesse au respect de l'environnement et du littoral
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  • les complexes dunaires, en Bretagne atlantique

    Yveline le Moal - 17 Février 2018 - 18h21

    2 grands complexes dunaires persistent encore en Bretagne atlantique, celui de la baie d'Audierne , en Finistère et celui " d Erdeven". en Morbihan. On y trouve encore l'ensemble du complexe, dune embryonnaire , régulièrement remaniée l'hiver, la dune mobile , souvent protégée, la dune fixe. Sur Ces 2 complexes, ces zones s'étendent encore. Chaque système possède sa flore et sa faune spécifique. Sur la dune embryonnaire les plantes nitrohalophiles. Sur la dune mobile, les plantes constructives de cette dune. Sur la dune fixe, une multitude de petites plantes, calcicoles, propres à ce milieu. A cette organisation, il faut ajouter les zones humides, marais arrière littoraux, à valeur écologique inestimable.

    Sylvain MOREL
    Oui à protéger coute que coute. Des solutions existent pour éviter les érosions. les dunes sont des endroits ou la faune et la flore se développe tout en protégeant l'intérieur des terres
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  • ecosystèmes remarquables en milieu rocheux. Champs de blocs , champs de maerl

    Yveline le Moal - 17 Février 2018 - 18h12

    aux champs de Laminaires, il faut ajouter les champs de blocs. C'est une structure ou s'empilent les blocs rocheux. Elle crée une diversité de micromilieux. et une grande diversité d'animaux benthiques, ombrophiles et cavernicoles. De plus ce sont les lieux de reproduction et les nurseries des crustacés décapodes comestibles," crabes, araignées...". De même , les champs de maerl fonctionnent de façon semblable. C'est une algue calcaire, à croissance très lente qui crée la structure vivante, où vivent polychètes , Crustacés...

  • Les ecosystèmes remarquables des milieux rocheux. zone infralittorale et champs de laminaires

    Yveline le Moal - 17 Février 2018 - 18h05

    parmi les systèmes remarquables des substrats rocheux, qui s'organisent en ststèmes avec présence de macroalgues, ou pas, en mode battu , par exemple. A citer d'abord la zone infralittorale exondable. zone des basses marées de vive eaux, exondables. ce sont des sites de grande diversité , où se rencontrent les éponges, les cnidaires, les oursins, les gros crustaces décapodes ( crabes) , les ormeaux...... Un milieu riche mais fragile. Régulièrement saccagé par la pêche à pied. Le système le plus divers et le plus productif, les champs de grandes Laminaires, des forêts sous marines, stratifiées, abritant toute une diversité d'algues rouges. une diversité d'animaux benthiques, se nourrissant ou se protégeant dans ces milieux vivants. Zone de ponte et nurserie de divers poissons. Très productifs, quel est le devenir? en raison de leur exploitation et des changements climatiques, car les laminaires sont des espèces d'eau froides en région tempérée.

    Cory
    La pêche à pied est une activité très prisée en Bretagne mais qui s'est développée d'une manière massive avec l'idée "c'est gratuit, j'en prends le plus possible même si ça finit à la poubelle". Les réglementations sont mal connues, variables et quand on fait des remarques aux pêcheurs, on se fait presque insulter. Alors... un permis pour la pêche à pied ?
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  • Cohérence de l'action de l'état sur les mouillages permanents de Plongée

    laurent Dubost - 17 Février 2018 - 18h05

    L'Agence Française de la Biodiversité et les PAMM promeuvent les mouillages permanents afin de réduire les impacts sur les habitats ( fonds sableux et rocheux, champs d'algues, ....). En tant que Fédération titulaire des délégations pour la gestion des activités subaquatiques ( plongée sous marine), nous avons demandé à nos clubs littoraux de s'emparer de cette question. L'investissement à leur charge est de l'ordre de 1500 à 2000€ ( matériels et mises en oeuvre), l'entretien et la maintenance peut représenter 500€ par an..... Alors que la réglementation ( article L2125.1 du code la propriété) prévoit une exonération des taxes de mouillage pour les structures associatives à but non lucratif ....nos clubs font l'objet d'un assujettissement à cette taxe pour utilisation du domaine maritime public ( plusieurs centaines d'euros)!
    Incohérence de l'action de l'ETAT qui promeut les mouillages permanents.....pour mieux les sanctionner financièrement !

  • Faut-il renforcer la protection ?

    Titi Wattou - 16 Février 2018 - 23h29

    De nombreux outils et réglementations existent déjà pour encadrer les pratiques. Il me semble qu'il ne s'agit pas nécessairement d'en "rajouter une couche" mais par contre de ne pas faiblir sur les engagements et textes pris. Exemple : mettre les moyens (financiers, ce qui suppose de les enlever d'autres politiques) pour atteindre effectivement le bon état écologique des masses d'eau sur lequel la France s'est engagée. Autre exemple : arrêter de reculer les échéances qui sont fixées dans les lois (5 ans de recul dans la loi biodiversité sur l'exigence de continuité des cours d'eau liste II). Mettons l'énergie et le temps du peu de fonctionnaires qui nous restent à faire appliquer les réglementations existantes, plutôt qu'à en inventer de nouvelles.

    Yveline le Moal
    d'accord avec ces propos, j'ajoute; créer des emplois écologiques, techniciens , ingénieurs.... pour agir concrètement. ils n'ont jamais été crées et ne le sont pas encore. Il nous faut comprendre que nous sommes dépendants des écosystèmes
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  • conséquences de la pêche

    philippe - 16 Février 2018 - 22h55

    On parles peu des conséquences des pratiques des pêcheurs sur les fonds marins, pourtant il est évident que des fonctions écologiques sont malmenées. Destructions de frayères, d'habitats marins, dispersion d'espèces invasives etc.
    La pêche professionnelle des coquillages en plongée est à encourager notamment: préservation des fonds, faible consommation énergétique, pas de dispersion d'invasives.

    De même, il paraît peu admissible que les dispositifs de pêche perdus ne soient pas signalés pour permettre une récupération. Certains continueront en effet de pêcher de manière fantôme pendant de longues périodes poissons et crustacés.

  • Renforcer le maillage de zones protégées

    philippe - 16 Février 2018 - 19h48

    L'Etat pourtant seul propriétaire du domaine marin, a bien du mal à promouvoir/développer un réseau d'espaces marins protégés efficient. Un manque de courage/volonté évident et ce d'autant plus qu'il n'y s'agit pas d'y interdire toutes activités mais seulement d'y réguler quelques unes portant atteinte à l'environnement.

  • Protection des milieux sous pressions

    Lolotte1329 - 16 Février 2018 - 14h51

    Les pressions sur les milieux maritimes et milieux de transition entre la terre et la mer, sont fortes, tourisme, usine, développement durable sont difficiles à concilier. Au vu des dégâts irréversibles sur ces milieux, et de la dégradation actuels du milieux maritimes, il est temps de prendre des mesures "contraignantes" de gestion de l'espace pour tous! Ex : Si le conservatoire du Littoral (ou autres organismes de protection) impose un cahier des charges sur un milieu type, ce cahier des charges doit être suivi! Ex : organisation d’évènements sportifs sur des cordons dunaires accueillant plus de 10 000 personnes (imaginez les dégâts et la gestion de l'accueil de tous ce publics...)

    YG
    Il faut donner au conservatoire du littoral les moyens d'exercer sa mission
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  • Protection des fonds marins

    GUERROT anne - 16 Février 2018 - 09h13

    Respecter les fonds marins . Éoliennes en mer..A t' on pensé aux conséquences dans 20 ans quand elles seront hors d'usage. Prévoir un fond financier pour le recyclage. En regardant les fonds encombrés de câbles c'est désolant. Pire qu'un chalutier dans un cimetière à bateaux.
    Les fonds sont à protéger et donc impliquer au maximum les grosses sociétés qui utilisent le fond marin . Pas de consessions en mer. Nous en sommes tous propriétaires et donc responsables.

    Jean-Jacques Berland
    Plaisance: inciter les col.Loc. à aménager des mouillages sur bouées pour limiter les effets des mouillages classiques sur ancre qui saccagent les fonds marins des littoraux.
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    Yveline le Moal
    je ne suis pas d'accord. Les éoliennes en mer, c'est une opportunité inouie d'énergie renouvelable. là ou la ressource est la plus abondante et fonctionnelle. Là aussi où les impacts écologiques sont moindres. et on peut y assoccier des cultures marines.
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  • Contenir la pression grandissante des usagers loisirs du littoral. Sensibiliser

    vigibaie - 15 Février 2018 - 19h11

    Interdire toute autorisation pour le stationnement des véhicules sur le Domaine Public Maritime et sur les espaces littoraux non aménagés pour du stationnement. Stop au stationnement sauvage. Les camping-cars doivent stationner sur les espaces publics ou privés équipés pour la collecte des eaux usées. Favoriser l'accès littoral par déplacements doux. Harmoniser la réglementation pêche à pied. Supprimer les remorques (passagers) derrière les véhicules pour accéder aux lieux de pêche. Moratoire pour zones d'espèces en danger. Police maritime insuffisante. Sanctions plus dissuasives. Moyens supplémentaires au Conservatoire du Littoral pour gérer les espaces littoraux NATURA 2000. Relance du projet de PNM Normandie-Bretagne. Sensibilisation - Information : Pas uniquement les enfants, les adultes surtout, principaux prédateurs. Les assos environnementales, plus écoutées et respectées par les Collectivités et l'Etat. Un Etat beaucoup plus régalien pour la gestion du Littoral.

    Jean-Jacques Berland
    interdire définitivement l'utilisation de peintures anti-salissure (antifouling): aménager les bassins de plaisance avec des grilles de carènage qui permettraient de nettoyer les carènes exemptes d'antifouling sans avoir à lever les bateaux. Disposer dans les ports de stations mobiles de vidange des cuves à eaux noires ou grises.
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    JMC
    Oui mais il faut rester dans le "bon sens" et la simplicité. Certains sites sont interdit de baignade....mais sont des spots de surf. Il faut pouvoir organiser la sécurité de ces spots, il semble que la loi littoral l'interdit.
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  • à coté des mileux côtiers, des milieux littoraux continentaux originaux, associés.

    Yveline le Moal - 15 Février 2018 - 19h09

    en poursuivant l'organisation spatio-temporelle de l'interface terre-mer, après les estrans, les marais maritimes, apparaissent des milieux continentaux contigus, soumis aux influences marines et associés. Ce sont les milieux dunaires, les pelouses aerohalines et les fourrés des falaises, les boisements, les peuplements subhalophiles, prairies humides, boisements marécageux. Chacun de ces milieux est riche des communautés spécifiques , originales, dues aux adaptations écologiques propres à ces interface terre-mer. Très méconnues, elles sont souvent négligées.

  • à coté des mileux côtiers, des milieux littoraux continentaux originaux, associés.

    Yveline le Moal - 15 Février 2018 - 19h08

    en poursuivant l'organisation spatio-temporelle de l'interface terre-mer, après les estrans, les marais maritimes, apparaissent des milieux continentaux contigus, soumis aux influences marines et associés. Ce sont les milieux dunaires, les pelouses aerohalines et les fourrés des falaises, les boisements, les peuplements subhalophiles, prairies humides, boisements marécageux. Chacun de ces milieux est riche des communautés spécifiques , originales, dues aux adaptations écologiques propres à ces interface terre-mer. Très méconnues, elles sont souvent négligées.

  • les marais maritimes.

    Yveline le Moal - 15 Février 2018 - 19h01

    les estrans sableux, ou vaseux, déja riches écosystèmes, peuvent se couvrir d'herbiers à zostères. Déja évoqués. plus haut si la dynamique spatiotemporelle naturelle est respectée, s'installent alors les marais maritimes, d'abord par les spartinaies, puis les salicornes mélées, puis au dela des pleines mers, l'obione. Tous ces végétaux marins sont des halophytes originaux, liés uniquement à ces conditions écologiques extrêmes. ces prairies maritimes sont très productives en matière organique et enrichissent les sédiments des estrans, comme les champs de laminaires, autre milieu remarquable. Ces marais maritimes sont encore des habitats ornithologiques, des aires de repos, de nidification. Actuellement j'observe souvent une érosion de ces milieux, par la montée naturelle , du niveau marin, amplifiée par les réchauffements climatiques. De plus, le développement de ces systèmes se heurtent souvent à la fixation du littoral , par son artificialisation: digues, murs, urbanisation...

  • Faire connaitre les composantes des écosystèmes côtiers et leur originalités.

    Yveline le Moal - 15 Février 2018 - 18h51

    au fonds sédimentaires que j'ai déja évoqués, s'ajoutent la corrélation avec d'autres communautés interactives. Ce sont par exemple: les remarquables champs de Zostères, en régression, sur l'ensemble des côtes atlantiques. pourtant ces végétaux marins complexifient les écosystèmes benthiques et apportent divers services écologiques: fixation des sédiments, densification des réseaux d'espèces et diversité. ils sont utilisés par divers migrateurs herbivores. ils sont un élement fort de ces migrations ornithologiques, ou halieutiques. Nombreuses pratiques humaines impactent directement ces milieux, échouages, mouillages, aquacultures, pêches.

  • faire connaitre les écosystèmes marins et littoraux.

    Yveline le Moal - 15 Février 2018 - 18h43

    Ces écosytèmes interconnectés restent très méconnus dans leur fonctionnement, leur originalité, leur association, leur productivité. par exemple les écosystème benthiques , liés aux sédiments, que l'on ne voie restent méconnus. pourtant ils abondent en annélides polychètes divers, petits crustacés amphipodes, et bivalves. Ces organismes sont organisés en systèmes, soit filtreurs de plancton, soit déposivores, consommateurs de matière organique mortes. Ces organismes sont très structurant pour les communautés et aident un réseau de consommateurs, Poissons, Oiseaux. Impossible de faire de l'ornithologie , sans comprendre ceci, qui ne se voit pas.

  • pêche à pied

    anne drouet - 14 Février 2018 - 14h40

    il conviendrait de contrôler davantage la pêche à pied notamment sur des sites comme le gois et d'interdire le stationnement des véhicules sur ces zones.

    Jeyjey
    Contrôler et éventuellement faire un moratoire sur certaines pêches à pieds de quelques années le temps que les ressources se reconstituent .
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  • proteger le tourisme

    anne drouet - 14 Février 2018 - 14h38

    l'implantation d'une centrale, c'est à dire d'une usine éolienne au large des iles risque de générer de fortes baisses de fréquentation touristique, dans la mesure où pour les iles de yeu et Noirmoutier, ce que les gens aiment, c'est la nature... personnellement, je n'irai pas me poser sur une plage ni même ne partirai en vacances en face d'une usine...
    tout ce défaut de fréquentation fera forcément baisser l'activité de tous les corps de métiers et par conséquent, génèrera des emplois en baisse... il conviendrait de réfléchir aux conséquences d'une telle implantation et le fait que ces projets soient décidés de façon unilatérale par l’État, quant à leur implantation géographique est un non-sens, surtout en zone hautement touristique comme ces deux iles.

  • cesser de faire des projets destructeurs

    anne drouet - 14 Février 2018 - 14h31

    il faut effectivement protéger nos réserves halieutiques, la faune et la flore marine mais aussi la qualité de l'eau.
    comment dans ce cadre peut-on envisager l'implantation d'une usine (puisqu'il s'agit bien de cela) au large de deux iles restées sauvages et protégées que sont Noirmoutier et yeu.
    ces éoliennes offshore vont engendrer une pollution massive à l aluminium, (et au passage poissons et coquillages) sans parler de la destruction des fonds, du bruit et de l'eau chaude reversée à la mer
    c'est totalement incohérent et l'industrialisation de l'océan n'est certainement pas la solution pour protéger nos pécheurs et l'océan dans son ensemble.
    il conviendrait de réfléchir à d'autres solutions, peut-être l'éolien flottant qui permet un éloignement beaucoup plus important des côtes, moins de pollution et moins de dégradation des fonds sous-marins... si tant est que l'éolien soit une solution quand on connait le côté intermittent du vent et l'impossibilité de stocker l'énergie.

    Michel Beaumont
    Regarder le projet du port de Brétignolles, une catastrophe !!!!
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    Pragmatique
    je l'ai étudié de prêt et justement c'est un exemple quant à l'approche environnementale et technique. De plus c'est une réelle alternative à l'urbanisation contrairement à des idées reçues sur les ports.
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  • Implication des citoyens et attitude de veille

    jeandeRennes - 13 Février 2018 - 18h26

    Les administrations qui ont pour mission de protéger le littoral ont elles réellement tous les moyens nécessaires pour résister aux lobbies des entreprises intervenant auprès des élus?
    il serait judicieux de créer un contre pouvoir citoyen que nous pourrions appeler par exemple :
    Les veilleurs du littoral , qui seraient bénévoles , dans chaque commune du littoral, lesquels parraineraient un enfant d'un collège pour sensibiliser nos enfants à l'importance de la préservation du littoral.
    Les veilleurs , indépendants bien entendu, seraient les représentants des citoyens et l'interface entre les parties(administrations, associations etc...).ils seraient systématiquement consultés dans le cadre de nouveaux projets touchant au littoral.

    ATroufléau
    Le programme Gardiens de la Côte de l'association Surfrider Foundation propose une telle démarche. Peut-être travailler main dans la main ?
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  • grande marée

    ébihens 22 - 13 Février 2018 - 16h29

    Bien que cela soit dans l'ère du temps, il faut arrêter de faire de la publicité à outrance dès que se pointe à l'horizon les grandes marées (grand coef ).Cette publicité attire beaucoup de personnes qui ne connaissent en rien d'une part à la pêche récréative ( destruction de la faune et de la flore) et pour certains n'ont aucunes idées des dangers encourus sur l'estran.
    De plus les personnes étant habilité à faire respecter les régles sont en nombres insuffisant par rapport au territoire qu'ils ont à surveiller.Peut être que la solution passe par la création de brigade bleue, composée de volontaire et de professionnels du secteur conchylicole, ceux ci devraient avoir les compétences de sanctionner le cas échéant les contrevenants.
    La pêche récréative ,oui , le massacre non!

  • Dragage des Ports et traitement des Boues de dragage

    jeandeRennes - 12 Février 2018 - 16h43

    La France a signé des conventions internationales notamment OSPAR mais quels sont les organismes qui contrôlent le respect de celles ci lors des prélèvements réalisés par les labos?
    Les boues de dragage sont toxiques et elles contiennent du TBT et du HAP produits cancerigenes... Le bon sens voudrait que les régions créent des usines de traitement de ces boues de dragage pour pouvoir réutiliser celles ci..
    Celles ci seraient créatrices d'emplois avec des objectifs environnementaux précis dans l'intérêt de la santé des populations.
    Qui contrôle aujourd'hui les obligations des concessionnaires des ports qui ont l'obligation de draguer ceux ci conformément au code des Ports maritimes?
    il en va de même pour la Vilaine , qui lorsque le Barrage d'ARZAL est ouvert , à chaque grande marée les poissons s'en vont pendant quelque temps .
    Voilà des grands travaux à faire pour que la biodiversité ne soit pas un vain mot

  • Pêche amateur du bar.

    Hervé Lignelet - 12 Février 2018 - 16h22

    Plutôt qu'interdire tout prelevement de bar pas les pêcheurs non-professionnels, il serait plus juste et judicieux de fixer un cotat et surtout de contrôler celui-afin d'avoir des statistiques fiables.
    La pêche de loisir est une source de revenus pour beaucoups de professionnels et il est injuste de la confisquer pour d'autres.
    Mais si vraiment elle fait autant de dégats que certaines études, soit -disante "scientifique" le prétendent, alors dans ce cas et seulement dans ce cas il faudra interdire tout prelevement.

  • Déclaration en temps réel des rejets en mer par les navires chimiquiers de leurs eaux de lavage

    Plijadur - 11 Février 2018 - 14h55

    Savez-vous que les navires chimiquiers peuvent rejeter légalement leurs eaux de lavage au-delà des 12 milles des eaux territoriales, dans toutes les mers du monde sauf l’Antarctique, sous conditions de quantités , de type de produits, de vitesse du navire. Ceci en vertu de la convention internationale MARPOL Annexe 2; soit, c'est regrettable alors que tout le monde s'accorde à dire qu'il faut protéger les écosystèmes marins (directive européenne DSCMM). Ce qui est inadmissible c'est que personne n'a de données chiffrées sur les produits ainsi rejetés, quantités qualités zones de rejets. Alors que l'Agence européenne EMSA pourrait s'en charger pour un coût nul ( cf les boulettes huile au Guilvinec, suif blanches à Gris-Nez, et les gaz toxiques l'été dernier sur la côte sud anglaise, origines inconnues )

  • Ramassage des dechets des guerres

    Sarah Fallon - 10 Février 2018 - 19h21

    La mer a servi de décharge après les deux guerres mondiales. Des millions de munitions chimiques ou conventionnelles ont été immergées, des cargos remplis d’armes torpillés. Robin des bois estime qu’avec une vitesse moyenne de corrosion de 1 mm par an, entre 100 et 1 000 ans seront nécessaires pour que les épaves soient rongées par la rouille. Elles contamineront alors les fonds marins. Il faut les ramasser et les traiter comme on ferait de nos dechets dangereux ou atomique afin que cette bombe a retardement ne contamine pas fortement la mer bientot.

  • Education

    Alansined - 09 Février 2018 - 18h00

    La protection du littoral doit devenir une cause nationale ; il est nécessaire de sensibiliser dès l'école maternelle et toute la vie scolaire , tous les enfants pour qu'ils deviennent des adultes responsables du patrimoine naturelle et pour qu'ils puissent le transmettre sans l'abimer aux generations suivantes .

  • Garder pour règle la préservation écologique du littoral, et la sécurité et santé des habitants

    Alice - 09 Février 2018 - 12h09

    Ce n'est pas parce que un projet est mené par une grosse société qu'il est bon, ce n'est pas parce qu'il porte sur des énergies renouvelables qu'il est bon. Faire reculer les lobbys. S'assurer que son coût ne soit pas prohibitif par rapport aux gains attendus.
    Ne pas oublier que le tourisme est une source importante de revenus des régions en bordure de mer et en tenir compte lors de l'analyse des choix afin de ne pas le pénaliser.

    YG
    Il ne faut pas tout sacrifier au tourisme. Il faut créer un tourisme "responsable' pour éviter la catastrophe du littoral méditerranéen.
    • Pas d'accord
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  • Arrêter le gigantisme

    Tizef - 09 Février 2018 - 07h43

    Cesser de raisonner géant mais préférer une multitude de petites structures plus faciles à gérer et plus démocratiques. Un ou plusieurs géants qui décident pour tout, ce n'est jamais bon.

  • les éoliennes en baie de St-Brieuc

    CATHERINE KERMEN - 08 Février 2018 - 20h29

    J'habite à Erquy, un très joli village maritîme bordé de très jolies plages; l'une des plus jolies d'entr'elles se trouve menacée par l'installation de cables électriques. Pour cela, la plage de Caroual sera désignée pour y insèrer ces cables, à l'endroit même où les enfants jouent tous les étés. Les risques sanitaires que provoquent ces cables ne sont plus à démontrer. Le public le plus faible que constituent les nourrissons et les personnes âgées se verra donc fortement impacté; la faune et la flore seront également complètement ruinées. Erquy, capitale de la coquille Saint-Jacques, ne sera plus que l'ombre d'elle-même. A quoi cela sert-il de reconnaître un site naturel comme celui qui relie Erquy au Cap Fréhel, si c'est pour le saccager de la sorte? Le tourisme fait vivre cette ville, il n'en sera évidemment plus question après la venue de ces éoliennes.
    Je dis donc avec force, non à la spéculation et oui à la raison!

    Francoise d'Argoeuves
    Suis du même avis ,Je partage ce point de vue = Sécurité d'abord !
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    Francoise d'Argoeuves
    Éoliennes dangereuses à Erquy
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    choucas
    Pour mon instruction personnelle, c'est quoi, le risque sanitaire des cables? vous pourriez développer ?
    • Pas d'accord
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    elyoun
    Des câbles (électricité, téléphonie, fibre internet, etc..) sont présents, pour les plus anciens depuis 120 ans (Trébeurden, Plérin, St Malo...). Combien d'accidents ?
    • Pas d'accord
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    phil53
    J'espère que vous n'utilisez pas d'électricité! C'est bien joli de ne vouloir aucun moyen d'en produire près de chez soi et de tout reporter chez les autres. Les éoliennes ont des inconvénients, les électrodes passives sont une source de pollution, je trouve dommage qu'on utilise pas un système actif de courant électrique. Mais en tout cas les éoliennes font partie des moyens qui peuvent permettre de se passer des centrales nucléaire si en plus on fait des efforts pour diminuer notre consommation. Voulez vous une centrale nucléaire chez vous?
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    YG
    pas chez moi, mais ailleurs je m'en fiche?
    • Pas d'accord
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  • Education, surveillance, contrôle

    Tom - 08 Février 2018 - 17h25

    Renforcer la protection des milieux marins et littoraux passe par :
    - amélioration de l'éducation et du sens civique des jeunes générations à leur intérêt pour notre santé et cadre de vie (enseignement scolaire + intervention spécialisée)
    - doter à nouveau les services d'étude et de contrôle de l'Etat de moyens suffisants (Ifremer, Gendarmerie maritime,...)
    - mettre en place des suivis réguliers des sites (physique, chimique, biologique), plus simples et plus facilement exploitables que les indices DCE ou autres

  • Une règlementation adaptée & appliquée

    Thierry de Fougerolles - 07 Février 2018 - 20h11

    Sur la préservation des ressources halieutiques
    Education des consommateurs
    - A l'école, avec au programme la découverte des différentes espèces, la fragilité du milieu marin, et une classe de mer pour l'appréhender sur le terrain
    - Sur l'étal du poissonnier avec pour chaque espèce un indicateur d'abondance, la mention de la maille et de la méthode de pêche
    - Davantage de promotion autour du site Internet Mr. Goodfish

    Pêche
    - Création / agrandissements des parcs naturels, temporaire au besoin, le temps que les stocks se reconstituent
    - Mise en oeuvre de maille reflétant la biologie et le cycle de reproduction de chaque espèce (bar à 42cm, lieu à 41cm, ...)
    - Incitations fiscales des professionnelles à l'utilisation de méthodes de pêche moins destructrice / plus sélective et promotion de la pisciculture
    - Réduction du gaspillage, en améliorant les prédictions de consommation, et en ajustant les quantités pêchées

    jacquou
    concernant la protection des especes maritimes (bars,lieu,dorades etc)je ne comprends pas pourquoi on ne realise pas comme d'autres pays europeens(portugal,espagne etc )l'immersion de recifs artificiels qui creent des nurseries pour les poissons et interdisent aux pecheurs professionnels indelicats de chaluter dans des zones interdites (moins de 3 milles des cotes)
    • Pas d'accord
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  • Aires marines protégées

    Véronique - 07 Février 2018 - 11h49

    Oui, mais en concertation avec les différents acteurs locaux. On ne peut pas sanctuariser uniquement. Ça fonctionne comme un écosystème.
    Sur la communication et l'éducation: beaucoup reste à faire pour aider les nombreuses initiatives locales! Une véritable volonté politique et des moyens de mise en oeuvre... Et probablement des sanctions plus drastiques et mieux appliquées sur les différents types de pollution (entreprises comme individus).
    Un contrôle indépendant échappant à certains arrangements locaux (les excès du SPANC par exemple; les stations d'épuration de certaines communes encore très douteuses, etc).

    MOUTIC
    et supprimer les rejets unitaires par mélange des eaux usées et de pluies lors des fortes précipitations
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  • Lutter activement contre les déchets en mer

    Olivier PERRIN - 05 Février 2018 - 18h27

    Les déchets sur les plages sont légions et l'océan en apporte tous les jours en plus de ceux directement apportés par le vent ou de la terre via les cours d'eau ou simplement les humains.
    Il est urgent de faire de ce sujet un cause maritime pour que cesse cette pollution aux plastiques et autres détritus flottants ou coulés.
    La faune marine est impactée tous les jours et désormais le poisson que nos mangeons contient des fibres de plastiques. Chaque cycle d’une machine à laver libère au moins 700000 fibres microscopiques dans l’environnement selon une étude réalisée par une équipe de l’Université de Plymouth au Royaume-Uni.
    Bref, il est plus que temps de mettre en place une grande politique coordonnée de réduction des déchets en mer et de lutte contre ce fléau pour les océans, du simple citoyen aux grands acteurs de la mer.

  • Protection du trait de côte et de l'estran

    Jean-Yves Bourcereau - 05 Février 2018 - 15h39

    Court terme : Renforcer le trait de côte par des actions ponctuelles là où c'est possible : alimentation en sable
    Long terme :
    Interdire toute modification du trait de côte, en particulier pour des opérations d'aménagement faisant entrer la mer dans les terres
    Mieux protéger les estrans pour éviter toute destruction de leur biodiversité

    morbrazz
    commencer par interdir l ' extraction de sable , ça me parrait évident !
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    YG
    La mer aura le dernier mot, les digues coutent cher et ne sont pas éternelles. Il faut repenser les actions pour gérer le trait de côte et son évolution.
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    Pragmatique
    ce n'est pas en figeant que l'on préserve ! Cette idée quoique séduisante à première vue est assez simpliste et non adaptée à la réalité. Pour préserver il faut anticiper et voire les alternatives à la pression des résidences secondaires. L'exode urbain vers le littoral est un fait et le "tout résidences secondaires" n'est plus envisageable tout comme il est utopique de croire que l'on pourra figer les communes littorales . Il faut des projets alternatifs
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  • Le rôle clé des aires marines protégées

    Olivier PERRIN - 05 Février 2018 - 14h07

    Le rôle clé des aires marines protégées est largement démontré, elles constituent des réservoirs à espèces qui peuvent se multiplier et alimenter en périphérie les zones de pêche.
    A peine 3 % de la surface des océans est constituée de zones protégées et il en faudrait au moins 10 % pour commencer à permettre à voir les stocks de poissons se reconstituer (Bib : Océans, la grande alarme de Callum Roberts). Des opportunités existent, la création de parcs éoliens fixes ne pouvant constituer des zones de pêche, ils peuvent aussi devenir des zones protégées et les embases des éoliennes devenir des récifs artificiels (mais avec la question des vibrations induites sur la F+F toutefois à prendre en compte). Il faut donc créer plus de nouvelles aires marines protégées en complément des autres activités nautiques.

    ANNETTE CHAUSSEBOURG
    J'ai du mal à imaginer que les parcs éoliens soient une solution ! Embrases en béton ; forage destructeur du plateau continental; vibrations; peintures et métaux polluants...
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    Tom
    Surement moins que les passés et actuels rejets nucléaires en mer... sans parler des pollutions des centrales thermiques... et quid de l'impact d'un barrage selon vous ?
    • Pas d'accord
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    Tizef
    Il faut cesser le gigantisme et raisonner multiple. C'est possible et plusfacilement gérable par de plus petites structures. Cela évite le pouvoir concentré dans les mains des plus puissants.
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  • Une pêche raisonnée

    Yannick Cherel - 05 Février 2018 - 12h08

    Encourager les filières de pêche vertueuses. (Bar de ligne, pêche à l ormeau en plongée...) offrir de nouvelles possibilités d exploitation pour des pêches aujour hui à l origine de beaucoup de dégâts comme la coquille st Jacques qui, pêchées par des plongeurs, permettrait une meilleure sélection et n aurait aucun impact mécanique sur les fonds (drague).
    Réglementer la pêche au large plutôt que d interdire des pêches plus locales a cause des dégâts occasionnés par les hauturiers (pêche au bar, quotas zéro à cause de la destruction des ressources au large). Créer des zones de réserve de pêche. Même des petites zones peuvent être intéressantes. Créer des récifs artificiels sur ces réserves.

    morbrazz
    controler véritablement les pêcheurs pro, controlés par eux me ( comités local des pêche !)les pro sont les principaux responsable de la disparition des espèces, pourtant tout est mis sur le dos des plaisanciers
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    Brice LD
    Une pêche vraiment sélective serait beaucoup plus bénéfique pour la diversité marine.
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    aveta
    Effectivement, le dragage pour les coquilles st jacques fait des dégâts irréversibles et appauvrit considérablement les fonds marins
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    la marie
    moins on pêchera, mieux ce sera …
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    MOUTIC
    je pense que la pêche de l'ormeau en plongée n'est pas vertueuse, elle éradique l'ormeau.
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  • L'action de l'état en mer et la protection du littoral

    Matthieu EVENO - 04 Février 2018 - 20h41

    Il est grand temps de moderniser l'action de l'état en mer en rassemblant les administrations qui interviennent pour notre protection comme les affaires maritimes, la gendarmerie et la douane maritime au sein d'un corps de Garde-côtes civil qui apporterait un peu de cohérence aux contrôles en mer.

    Tom
    La France est d'ailleurs épinglée régulièrement sur la redondance de ses services en mer avec pourtant un manque de contrôle...
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  • Renforcer la police de l´environnement

    Ariane Theoval - 03 Février 2018 - 12h33

    Dans le 35, ils sont 6 agents pour couvrir TOUS les cours d'eaux et s'assurer qu'il n'y a pas de pollution humaine par les cours d'eau! C'est trop peu!
    En plus les magistrats ne s'emparent des PV concernant l'environnement qu'en dernière priorité! Il faudrait des magistrats dédiés et formés à traiter les cas de délit contre l'environnement (et la santé) pour qu'on ait un contrôle et une répression efficace des industriels qui polluent impunément l'eau de Bretagne (et d'ailleurs).

    morbrazz
    il pourrait y avoir chez les pêcheurs plaisanciers des controleurs volontaires !
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    aveta
    Former des gens aux problématiques locales, c'est faire d'une pierre deux coups : - préserver l'environnement - lutter contre le chômage et tout cela contribue à la mise en place d'un cercle vertueux
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    Tristan Hatin
    Dans ce contexte un projet de sciences participatives pourrait apporter de nombreux résultats et un suivi des cours d'eau à moindre coût.
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  • Extraction de Sable en Baie de Lannion

    Yann-Seb Ar Mat - 03 Février 2018 - 06h14

    Surtout, nous devons protéger les dunes marines et stopper les extracteurs de sable coquillier pour maintenir l'équilibre de la biodiversité, sinon la faune et la flore, la pêche, le tourisme vont disparaître de nos côtes si magnifiques.

    morbrazz
    l ' extractions de sables maritimes devraient être interdit dans toutes les zones cotières, la menace d' un deuxième xinthia, la faune sous marine y est exceptionnelle , la magouille presidentiel en plus !
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    Le grillon
    extraction de sable (de Yann): d'autant plus que les scientifiques ont démontré que la mer compensera le sable extrait au large (par des grands groupes du BTP, des cimentiers...) avec celui des plages (que les élus remplaceront en utilisant une noria de camions qui déverseront du sable venant(de?) avec nos impôts...), donc raisonnement par l'absurde : "cimentiers, venez prendre le sable directement sur les plages comme dans les pays"pauvres"...!
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  • Pêche à pied

    Raez44 - 02 Février 2018 - 22h35

    Que les médias locaux diffusent les tailles minimum et quantités maximum de coquillages par personne au moment des grandes marées.

    Alain Tribord
    Il faut absolument limiter de façon très importante le nombre ou le poids des prélèvements en pêche à pied.
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    morbrazz
    même chose controleurs volontaires
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    Marco29100
    Je confirme que des articles concernant la pêche à pied sont régulièrement rédigés dans les journaux locaux du Finistère.
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    blueschist
    Oui, il faut mettre les panneaux près de l'estran plutôt qu'à la mairie ou dans la presse.
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    Tizef
    Plutôt que des panneaux pas bien beaux, une alerte géolocalisée sur les smartphones des pecheurs leur rappelant leurs obligations.
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    Tizef
    Plutôt que des panneaux pas bien beaux, une alerte géolocalisée sur les smartphones des pecheurs leur rappelant leurs obligations.
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    choucas
    perso, j'ai pas de smartphone... :)
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  • Communication

    Frisette - 01 Février 2018 - 22h18

    La sensibilation doit être très forte à l'école des le CE1 et la maintenir jusqu'au lycée. Pour protéger la nature, il faut la comprendre, donc augmenter les connaissances dans ce domaine.
    Pour les adultes, de la com' dans les lieux publics, plages, campings , plus ou moins choc... Installer une police des plages.
    La population du littoral se multiplie par dix, vingt, l'été. Les moyens doivent être très importants ....

    YG
    ... et se donner les moyens de faire respecter l'interdiction des vélos/VTT de toutes sortes sur les GR du littoral!!!
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  • Le bon état écologique nécessite une protection qui passe par la connaissance de l'environnement

    Locquirec Environnement - 01 Février 2018 - 14h52

    Même si des efforts sont faits, nous pouvons faire beaucoup plus pour que chacun comprenne mieux son environnement. Cela passe bien entendu par les enfants, mais pas uniquement.
    Pour éviter certaines croyances, il faut acquérir de la connaissance et la partager.

    Il faut donc :
    - compléter les informations pour disposer d'un niveau de connaissance homogène sur le littoral
    - mettre à disposition les données environnementales par " l'open data " et par un SIG (système d'information géographique) à la fois ludique et complet
    - mettre à disposition des acteurs du territoire (écoles, associations, offices de tourismes, élus, citoyens, professionnels ...) des outils (et moyens si possible) pour faciliter le partage des connaissances sur le terrain
    - travailler sur le long terme

    blueschist
    Le debâcle du site PREVIMER montre clairement que l'IFREMER, le CNRS et l'INRA ne voulaient pas mettre les données environnementales à la disposition du publique. Quel gachis et quel honte pour la science participative. Une bonne protection du millieu littoral pass par la compréhension du publique. Par ailleurs, Natura 2000 doit diffuser plus largement ses observations sur la biodiversité, qui sont pour l'instance très difficile d'accès (p.ex. sur les marais maritimes, estuaires et zones humides terrestres)
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  • Navires de la BAI

    Audierne29 - 01 Février 2018 - 11h10

    Bonjour, j'habite Audierne et toutes les semaines passe le FINISTERRE, ferry de la BAI qui va de Roscoff à Bilbao en passant le Fromveur et le Raz de Sein.
    Pour la BAI, c'est uniquement le coût économique qui est pris en compte.Pendant des jours et des jours et des mois, on nous a rebattu les oreilles avec le ferry COSTA CONCORDIA qui faisait du rase cailloux. Le problème est exactement le même, la BAI recherche une nouvelle marée noire si le FINISTERRE à un problème de barre ou de barreur ou de panne machine
    Jusque quand ces passes droits

  • Entretenir les protections contre l' érosion

    Philippe Denimal - 01 Février 2018 - 09h15

    Dans les zones à fort courant de marée, comme le bassin d' Arcachon, le trait de cote est très fortement agressé. D' importants travaux sont engagés chaque année pour ré ensabler les plages du bassin ; au delà de leur coût, on peut se demander si ils ne déstabilisent pas les fonds marins par le déplacement de quantité impressionnantes de sable. Ne serait il pas plus pertinent de consacrer les ressources engagées à entretenir les digues perpendiculaires à la plage, autrefois construites par nos anciens et actuellement sans entretien, et aussi en construire de nouvelles ?

    choucas
    et contribuer par là à bloquer le transit littorl, en accentuant l'érosion à l'aval.Quelle riche idée!
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    YG
    Faut-il maintenir le trait de côte actuel, avec des dépenses somptuaires pour des travaux voués à plus ou moins long terme à l'échec. Il faut plutôt repenser les choses en tenant compte de l'évolution naturelle. Même les Pays Bas commencent à "dépoldériser" des régions.
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  • Les enfants sont les adultes de demain

    Alde - 31 Janvier 2018 - 23h15

    Il faut laver le cerveau de nos jeunes avec la protection des milieux dès le plus jeune âge !
    Et pour qu'un enfant s'intéresse à quelque chose il doit participer.
    Il faut également plus de surveillance directement sur le terrain, mégots sur les plages, clous et bouteilles cassés , non respect des sentier, mauvaises pratiques de pêche à pied... surveillance en mer également.
    Le film "Demain" doit être obligatoire.

    YG
    attention au "lavage de cerveau" ça a des connotations fâcheuses....
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  • Apliquer et renforcer la loi littoral

    Odile - 31 Janvier 2018 - 18h34

    Cette loi a permis d'éviter le pire. Elle ne doit pas donner lieu à des dérogations.
    Priorité aux chemins côtiers par rapport aux propriétés privées.

  • Apliquer et renforcer la loi littoral

    Odile - 31 Janvier 2018 - 18h34

    Cette loi a permis d'éviter le pire. Elle ne doit pas donner lieu à des dérogations.
    Priorité aux chemins côtiers par rapport aux propriétés privées.

    bannheol
    Stop aux privatisation des "vues de mer". Certain achètent en bordure de littoral et plantes des végétations hautes derrières leurs habitation privant la population de l'accès visuel à la mer, inacceptable!
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      0
    YG
    continuer les sentiers du bord de mer, exproprier si nécessaire. Mettre fin aux dérogations de privatisation du bord de mer!
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  • renforcement du contrôle

    Erwan Castel - 31 Janvier 2018 - 14h29

    Pêcheur à pied, du bord de mer à la canne et en bateau depuis mon enfance, je n'ai jamais été contrôlé et j'en suis fort déçu. Je rencontre régulièrement des personnes en infraction et souhaite plus de moyens de contrôle sur les tailles et le nombre des captures particulièrement sur le littoral (pêche à pied).

    JMC
    Plus de formation pour les pêcheurs en mer....et pourquoi pas un permis comme pour les pêcheurs en rivière
    • Pas d'accord
      1
    YG
    ne pas instaurer un permis de plus, mais en revanche, informer, sensibiliser et... contrôler
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  • Tripler les moyens affectés aux aires protégées

    Geangean - 29 Janvier 2018 - 13h36

    Les moyens alloués à la protection de la biodiversité marine ne permettent pas de surmonter la crise écologique à laquelle nous faisons face :
    - En France, 90% des espèces et habitats marins évalués sont en état défavorable (MNHN 2013) ;
    - Au niveau mondial 30% des populations de poissons sont surexploitées, et 60% exploitées au maximum (FAO 2009). En Europe 50% des populations évaluées sont exploitées au-delà du taux soutenable (CIEM).
    - Les rejets de substances chimiques vers la mer restent problématiques pour les 2/3 des substances évaluées (OSPAR) ;
    - Les eaux marines se réchauffent et s’acidifient ce qui perturbe l’écosystème marin dans son intégralité.
    Le protection des milieux marins est donc une priorité.

    Les estimations du Grenelle de la mer, indiquaient un besoin de 170 M€ pour gérer 20% des eaux en aires marines protégées contre 60 M€ aujourd'hui.
    Le protection des milieux marins passe donc par une augmentation du budget qui lui est allouée.

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