Les activités et usages
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Les activités et usages
Thierry Deflandre - 24 Mars 2018 - 19h51
Il faut imposer une alimentation électrique des navires à quai par un raccordement au réseau terrestre pour que les cargos et les paquebots ne produisent pas l'électricité du bord avec des groupes électrogènes peu contraints en termes de rejets atmosphériques.
AVSANE - 24 Mars 2018 - 17h32
• le 1er port militaire français et ses activités de défenses,
• les activités de Recherche et de développement du Technopole de la Mer,
• l'accueil des navires de croisière, ferry et navire de transport de véhicule,
• les chantiers navals spécialisés dans l'entretien et la restauration des yachts,
• la pèche professionnelle,
• la culture marine,
• les lieux culturels.
• Continuer de concentrer sur Marseille et Fos le trafic maritime deviendra, à terme, intenable. Pourquoi ne pas envisager de délester une partie du trafic (navires de petit et moyen tonnage dans un premier temps) vers d'autres ports du littoral existant tels que Sète, ou à créer, avant que les armateurs ne choisissent définitivement Gènes ou Barcelone,
• Pour Marseille-Fos-sur-Mer, le maintien des activités des transports de pondéreux, des produits minéraliers, qui ne peuvent se faire par route ou par fer, est un impératif. Toutefois la régulation de circulation des conteneurs demeure une préoccupation majeure.
Marion B. - 23 Mars 2018 - 18h49
Il fait établir, dans chaque port accueillant des navires marchands, des zones de déversement des eaux de balast qui n'entrent pas directement avec l'eau de la Méditerranée. C'est un des points d'entrée majeure des espèces exotiques sur nos côtes, ces espèces sont potentiellement invasives et présentent un risque pour l'écologie locale. De plus chaque port devrait être équipé des systèmes de récuprécupération des déchets flottants type Seabin et des eaux de nettoyage emdes bateaux. On pourrait aussi mettre en place un label pour les ports les plus respectueux de l'environnement et surtout faire la promotion de ces ports.
Lorus - 22 Mars 2018 - 08h46
Application sur smartphone COMMUNE et multilingue à tous les ports : pour s’informer, réserver, acheter prestations etc etc
Isabelle Gouleret - 22 Mars 2018 - 06h20
Le développement des ports est limité par des castes et des syndicats
Il faut deja faire sauter ce verrou pour envisager une vraie evolution
Cat78 - 18 Mars 2018 - 20h19
Les carburants utilisés par la marine marchande, les ferries... sont encore beaucoup plus polluants que les carburants automobiles alors que ces bateaux ne sont pas eux réglementairement contraints d'être équipés de systèmes de dépollution aussi performant que les PL et VL. Il est temps que la réglementation évolue et pas seulement dans les zones côtières où une limitation de pollution existe ( bien qu'insuffisante).
vévé - 17 Mars 2018 - 09h36
Je vis à Bastia , ville donnant sur la mer , comme beaucoup de ville principale et touristique en Corse (Calvi/Porto Vecchio/Propriano/Bonifacio/Ajaccio)
Je vois , dès que le vent se lève , et il se leve souvent et parfois fortement, tous les cartons, poubelles containers, laissés sur les trottoirs de la ville se déverser et les déchets suivrent le sens du vent.
C'est rien d'alarmant, mais beaucoup se retrouvent en mer.
Si toutes les villes côtières étaient attentives à cette gestion, ça serai une goutte d'eau à mettre en place pour une contribution surement notable.
pierre 17 - 03 Mars 2018 - 19h01
Le transport maritime est effectivement parmi les moins polluants, mais :
-l’heure est à privilégier la consommation locale, donc limiter les importations ;
-une importante pollution aux hydrocarbures est générée par le trafic maritime malgré les réglementations contraignantes (et les importations d’Espèces Exotiques Envahissantes dans les eaux de ballasts sont un facteur aggravant pour les écosystèmes marins) ;
-l’emprise au sol des plates-formes portuaires est énorme ;
-l’activité économique fondée sur l’import/export a dominé les 50 dernières années et généré beaucoup de PIB, mais est-elle un modèle durable et indispensable pour l’économie locale ?
-il est nécessaire de viser la sobriété de la consommation, en France comme dans les pays d’exportation, accompagnée d’une modération démographique partout indispensable ;
Donc dans cette logique, le trafic portuaire serait plutôt amené à se réduire, avec des échanges commerciaux réduits à l’essentiel.
Ju - 03 Mars 2018 - 11h32
Le rhone est le meilleur vecteur de dispatch des marchandises: developper le trafic fluvial a l'instar de la zone ARA; creer des canaux commerciaux(1 barge=100aine de camions)
Faire revivre la marine marchande francaise a l'agonie et abandonnée par les gouvernements depuis longtemps: des emplois a terre et en mer!
Branchement des navires sur courant de terre systematisé et obligatoire sur tous les postes de tous les bassins du port.
Installation de VAPOUR RETURN LINE sur tous les postes petroliers et chimiquiers de Lavera et Fos.
Veritables amendes aux usines qui ne respectent pas les taux de rejets: ca fait du pognon dans les caisses et c'est dissuasif, les raffineries preferent payer les petits "pourboires" aux communes plutot que de se confirmer a la legislation!
Mesure constante et enregistrement des taux de rejets directement vers un organisme de surveillance pour etre sur de se faire payer et de ne pas passer a coté de certains rejets "en louzedé"
Morgane le Bars - 27 Février 2018 - 17h31
Les rejets dans la mer sont énormes, que ce soit l'eau du rhône, les impacts des activités portuaires, les bateaux enormes, ferries, tankers... Les boues rouges, la zone de Fos...
Imposer des activités propres
jeanyves - 26 Février 2018 - 12h01
Mise en place d'une zone d'échange semblable à celle de l'Union Européenne entre les pays européens ayant une facade maritime sur la Méditerranée et les pays du Maghreb et pourquoi pas des pays du Moyen-Orient ( Turquie, Liban, Égypte...)
Gabrielle Raynal - 21 Février 2018 - 22h09
Soutenir les filières Qualité par du cofinancement volontariste et de la détaxe.
Encourager les filières sur des volumes "moindres", intermédiaires et plus réactifs en interaction avec du fret ferroviaire.
bref : ne plus importer des conteneurs de pailles en plastique et autres produits éphémères ou d'obsolescence ultra-programmée pour valoriser des filières de produits de qualité, éco-conçus etc... comme un standard.
Accompagner au changement les entreprises en place. et celles qui ne veulent pas évoluer, les taxer lourdement... avant de leur interdire progressivement l'accès aux ports! ça vaut pour les croisières!
Nico Servel - 20 Février 2018 - 19h08
Complètement écrasé par l’activité militaire, le port de Toulon doit être développé comme le centre méditerranéen de la plaisance et des loisirs dans le cadre d’une opération d’intérêt national
Si possible, cession d’espace par la marine. Transfert de l’activité ferry vers la Seyne pour désengorger le centre ville.
Création d’une grande marina renouvelable pour accueillir la plaisance de loisir, avec interface ville port redessinèe sur le modèle de Sydney et équipements culturels et touristiques
Création d’un complexe grande plaisance et d’un pôle luxe pour désengorger Monaco.
YEBABJL - 14 Février 2018 - 11h45
Le potentiel du Pole Fos Marseille est énorme, mais il est illusoire de penser que c'est par un manque d'investissement que les navires s'en détournent. Tant que le pouvoir de nuisance des dockers ne sera pas remis en cause, aucune perspective de développement. Les bateaux iront à Gènes, Anvers, Rotterdam.
Faudra-t-il en arriver à une situation identique à celle de la SNCM pour se décider à agir ?
Lilijuste - 03 Février 2018 - 23h49
Leur activité continuera à augmenter occasionnant encore plus de pollutions diverses. Chaque impact doit être étudié et permettre de réinventer des modes d'exploitation. Accueillir des navires non polluants électriques ou fonctionnant au gaz nagurel, en respectant les normes du pavillon bleu. Permettre la récupération des eaux noires, des déchets. Simplifier et optimiser le fonctionnement des ports pour limiter les déplacements et les coûts environnementaux. Rénover en énergie positive sont des pistes
Rémi Hergé - 03 Février 2018 - 14h38
Il faut moderniser le transport maritime et le port et accentuer les protections environnementales sur les quais comme les minéraliers qui déversent de la pollution dans l’eau car à ciel ouvert ou les déchets du port de caronte métaux ect
Aude littorale - 31 Janvier 2018 - 17h47
Pourquoi vouloir développer les grands ports ? La folie des échanges commerciaux des trois dernières décennies doit se calmer: nous allons devoir tous, y compris les pays exportateurs (Chine, vietnam) réduire nos échanges en quantité et les rendre plus qualitatifs , donc nécessitant plus d'intelligence, d'agilité, d'interconnexions avec les autres modes de transports, mais certainement pas d'agrandir les ports !
Georges Laussucq-Kubler - 31 Janvier 2018 - 15h38
Les majorités des cargos en provenance de Suez passent devant Marseille-Fos sans s'arrêter. J'ai fait un déménagement depuis le Pacifique sud vers le sud de la France, le porte containers
(une compagnie française) a livré le frêt à Bordeaux et mon déménagement est arrivé par camion depuis Bordeaux soit 800 km de route alors que je réside à 100 km de Fos.
Quand Marseille Fos se réveillera-t-il? A moins que les syndicats continuent à se tirer une balle le pied.
TRRT - 31 Janvier 2018 - 10h37
L'axe rhodanien est sous-employé. Les collectivités locales ont implanté leurs ZI autour des nœuds autoroutiers. Il faut deécongestionner las circulations littorales en utlisant mieux le fleuve.