Les activités et usages
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Les activités et usages
PIERRE H - 25 Mars 2018 - 18h57
les canalisations de transport de produits dangereux sont classées en trois catégories selon les fluides transportés : gaz naturel, hydrocarbures / produits pétroliers (pétrole brut et produits raffinés) et produits chimiques (éthylène,oxygène, azote, hydrogène, etc.):
1 237 km de canalisations de transport en Occitanie, dont 1 165 km de canalisations de transport gaz, 42 km de canalisations d'hydrocarbures et 30 km de canalisations de produits chimiques
4 900 km de canalisations de transport en Provence-Alpes-Côte d’Azur, dont 1500 km de canalisations dédiées au gaz, 2500 km aux hydrocarbures et 900 km aux produits chimiques
Les risques TMD concernent près des trois quarts des communes littorales méditerranéennes (73 %). C’est 30 points de plus que la moyenne des communes littorales métropolitaines et plus du double de la moyenne hexagonale. Plus de 80 % des communes littorales continentales sont concernées contre un peu plus d’une commune littorale corse sur deux (57 %)
Thierry Deflandre - 24 Mars 2018 - 19h38
Il est très difficile de faire respecter des règles trop nombreuses et portant sur des comportements. Il est préférable de donner à chacun la connaissance de son impact et l'envie de s'améliorer. Des campagnes de sensibilisation à l'environnement sont nécessaires et doivent s'appuyer sur des bénévoles d'associations environnementales, avec des financements publics. Exemples : impact des mégots sur les plages, impact des mouillages sur les fonds de posidonie, impact des batteries abandonnées...
AVSANE - 24 Mars 2018 - 17h39
o La fréquentation des ports de plaisance devient préoccupante en raison des bateaux qui ne sortent jamais et occupent ainsi des places à quai infructueuses. La encore on ne peut multiplier les espaces pour faire des ports à terre. Il conviendrait donc d’imaginer une gestion des postes à quai qui ne font que du stationnement pendant trois ans, par exemple, de libérer le poste puisque les demandes sont croissantes.
AVSANE - 24 Mars 2018 - 17h39
o Il n’y a pas compatibilité entre le nombre d’individus fréquentant une plage à 7m2/personne et la surface de parc de stationnement nécessaire pour les véhicules portant même quatre personnes. Sachant qu’un véhicule en stationnement organisé occupe 25 m.2, l’aire de stationnement, pour une plage de 1000 m.2 occuperait environ 900 m.2. Si l’on considère une occupation individuelle de 2,5 m.2, avec quatre occupants par véhicule, la même plage de 1000m.2, le stationnement de 400 véhicules nécessiterait un espace de 10 000m.2. Donc des déplacements par transport en commun s’imposent d’eux même.
o Par ailleurs, les accès des véhicules aux presqu’îles devraient être réalisés aussi par des transports en commun pour éviter d’engorger les voies d’accès nécessairement en impasse. Par exemple, le quartier de la Tour Fondue à Giens pour accéder au parc national de Porquerolles.
AVSANE - 24 Mars 2018 - 17h38
• Les activités de carénage et d'entretien des yachts bateaux de plaisanciers dans la petite rade réclameraient un contrôle plus sérieux des zones utilisées à ces activités.
• Les déchets plastiques et les hydrocarbures qui sont déversés en mer issu des continents, des bateaux de croisière ,des plaisanciers et même des avions, que l'on retrouve régulièrement suivant les vents par exemple dans la veille darse et aussi sur les plages environnantes.
• Les premières eaux pluviales particulièrement polluantes, non maitrisées par les communes balnéaires, qui ne sont pas renvoyés dans le réseau d'égout puis vers les stations de traitement , quand elles existent…
AVSANE - 24 Mars 2018 - 17h36
• Les activités de carénage et d'entretien des yachts bateaux de plaisanciers dans la petite rade réclameraient un contrôle plus sérieux des zones utilisées à ces activités.
• Les déchets plastiques et les hydrocarbures qui sont déversés en mer issu des continents, des bateaux de croisière ,des plaisanciers et même des avions, que l'on retrouve régulièrement suivant les vents par exemple dans la veille darse et aussi sur les plages environnantes.
• Les premières eaux pluviales particulièrement polluantes, non maitrisées par les communes balnéaires, qui ne sont pas renvoyés dans le réseau d'égout puis vers les stations de traitement , quand elles existent…
Marion B. - 23 Mars 2018 - 18h57
Une meilleure réglementation de la pêche de loisir et du dialogue avec les usagers (à l'achat du matériel, lors de contrôles). Les jets skis posent de gros problèmes de sécurité et environnementaux dans les zones côtières sensibles, seuls les professionnels devraient être autorisés dans ces zones et d'autres pour les particuliers (comme pour la moto cross).
Mairie Villeneuve-Loubet - 23 Mars 2018 - 09h06
Celles-ci méritent d'être limitées selon les secteurs; complétées par le développement d’une pratique de mouillage écologique.
Actuellement, chaque manœuvre de mouillage entraîne une ancre qui traîne, puis “croche”.
La chaîne, sous l’effet de la houle et du vent, “rague” et balaye le fond sur tout le secteur d’évitage du bateau. Lorsque le bateau repart, l’ancre laboure à nouveau le fond.
Les ravages causés sur la faune animale et végétale sont importants et particulièrement dramatiques sur l’herbier de posidonies.
flocuillie - 22 Mars 2018 - 20h45
J’habite et travaille très prêt du littoral varois.Quotidiennement je constate une mauvaise gestion des déchets humains qui atterrissent systématiquement dans la mer. En particulier les marchés locaux de fruits et légumes n.ont pas à leur disposition des containers . Les fins de marché sont apocalyptiques surtout les jours où le mistral souffle car les déchets que les revendeurs ont laissē sur place s.envolent jusqu.a la mer. Il en est de même pour les polystyrènes des emballages des appareils électroménagers que les gens achètent. Ils jonchent les trottoirs et ne sont presque jamais dans des poubelles , ce qui éviterait pourtant de polluer la mer avec
Frédéric Gidron - 22 Mars 2018 - 19h48
Compte-tenu des faits depuis plusieurs décénnies et des résultats négatifs quand à la pollution de l'air ainsi que la qualité de l'eau, il est important de revoir la politique d'aménagement industriel en la transformant et en faisant respecter les règles liées à la transition écologique. Il faut être plus strict au sein de notre territoire. Il en va de la santé de ses habitants. C'est intolérable. Réduire les zones seveso !
Liraco - 22 Mars 2018 - 15h39
Il ne semble pas acceptable, à l'heure de la prise de conscience écologique, de maintenir une forme de glorification du meilleur tueur. Les concours ou compétitions de pêche en tout genre (traîne, jig, chasse sous-marine...), sous couvert de pratique sportive, constituent une activité impactante.
Malgré les chartes ou règles propres à chaque association (quotats, "mailles biologiques"...) et donc dépendantes des organisateurs, il n'en reste pas moins que ces compétitions concentrent les prélèvements à un moment donné (parfois lors de périodes de reproduction), sur un secteur géographique (parfois restreint) et sur certaines espèces (parfois sédentaires ou à haute fonctionnalité écologique).
La mer est un bien commun, il n'est ainsi pas soutenable de laisser se dérouler de tels compétitions n'importe où, n'importe quand, n'importe comment (simple déclaration nécessaire). Le principe même de gagner des points en tuant ne devrait pas perdurer.
Lorus - 22 Mars 2018 - 08h48
Plage non fumeur
Repousser au large jetskis
Interdire camping home
Isabelle Gouleret - 22 Mars 2018 - 06h22
La structure economique n a pas assez évolué localement
L industrie doit devenir propre et appliquer les regles, celles de la France pas celles du sud
Isabelle Gouleret - 22 Mars 2018 - 06h22
La structure economique n a pas assez évolué localement
L industrie doit devenir propre et appliquer les regles, celles de la France pas celles du sud
PIERRE H - 19 Mars 2018 - 20h48
Sur la façade méditerranéenne – au sens des départements littoraux : 130
établissements Seveso, dont 75 établissements « seuil haut » et 55 établissements
« seuil bas »
La région Provence-Alpes-Côte d’Azur est la 2e région française en termes
d’installations Seveso « seuil haut »
Pour les communes littorales méditerranéennes : 76 établissements Seveso, dont
50 établissements « seuil haut » et 26 établissements « seuils bas »
85 % des communes de Provence-Alpes-Côte d’Azur sont concernées par un
risque naturel ou technologique
Une forte concentration autour de la zone industrialo-portuaire de Fos et de
l'étang de Berre : 37 établissements Seveso « seuil haut »
Irène Cho Dan - 19 Mars 2018 - 14h15
La pollution par les bateaux est connue
Des villes ont mis en place des poubelles flottantes pour le dépôt des ordures
Après sur mer comme sur terre c’est le civisme minimal qui serait souhaitable.
Majorer le permis bateau par une taxe sup?
Plus de poubelles avec tri sélectif aux abords des plages
mariana Giuglaris - 19 Mars 2018 - 10h49
La pêche sous-marine avec harpon est devenue un vrai problème sur nos côtes. Sur la côte d'azur les accidents parfois mortels se multiplient, les chasseurs passent très prés des baigneurs, ne respectent pas les limites de baignade et encore moins les zones sanctuaires.
J'ai vu des pères encourager leurs fils à tuer de jeunes poulpes pour les jeter juste après car trop petits pour être mangés... J'ai vu des chasseurs tuer des petites raies pastenagues qui venaient pondre sur le bord, ou "cueillir" des oursins en plein été ( temps de reproduction)
Malheureusement la réglementation pour se procurer un harpon et un permis de chasse est quasi inexistante et il n'y pas vraiment de formation à la biodiversité locale.
N'en déplaise à certains il y a des plages ou seuls les gérants de plages privées arrivent a contrôler ce fléau en contactant les gardes côtes et en préservant le milieu naturel.
La faune et flore méditerranéennes sont un trésor qu'il faut préserver.
citoyenlittoral - 18 Mars 2018 - 13h55
La pratique du jet-ski est impactante pour l’environnement, les habitants et les touristes. C’est bruyant et polluant.
Le développement du nautisme à moteur crée des problèmes aggravés avec le développement exponentiel des semi-rigides très fortement motorisés pas écologiques et dangereux. Le respect des autres usagers se perd. La pratique de la voile légère, du paddle ou du kayak devient très difficile à cause des sillages qui créent une mer croisée dangereuse qui gêne également les pêcheurs. De plus les « plaisanciers » causent d’énormes dégâts dans les filets de poste qui affleurent en surface.
C’est le nombre qui pose problème et tout est fait pour que ce nombre croisse encore.
Ce n’est pas le bateau à moteur qui est en cause mais la non gestion du nombre de bateaux acceptable sur un plan d’eau. Les conflits se multiplient entre plaisanciers.
Le maître mot du développement doit être équilibre et qualité pour être durable.
Louis Despres - 17 Mars 2018 - 21h39
De nombreux bateaux de plaisance jettent l'ancre dans des milieux sensibles (baie du cap d'Antibes ou îles de lerins par exemple). Même si cette pratique est regrettable voir condamnable, force est de constater qu'aucune solution alternative n'est proposée. A ce jour, la mise en œuvre des corps-mors est interdite aux communes pour des questions environnementales. Le développement de mouillages de type corps-mords permetrait pourtant de limiter la dégradation des fonds marins.
PIERRE H - 13 Mars 2018 - 16h53
Le Domaine Public Maritime est l'enjeu de pratiques commerciales fortes. L'état y propose des concessions pour l'utilisation de surfaces jusqu'a 20% de la plage naturelle aux mairies moyennant un prix au m2 de 9,27 euros + % recettes dans le var par exemple, qui elles-memes sous-traitent à des restaurateurs. Sur ces lots on y trouve des batiments, terrasses, chaises et tables sur le sable ou matelas parasol.. Le probleme : la surface des plages s'est errodée depuis des lustres et comprend tout et n'importe quoi, surfaces de rochers, enrochements , corbelle, banc, rampes,enrobés, escalier, embarcadères, murs de béton existants , passerelle démontable.. la bande de 3 à 5 mètres pieds-secs face aux lots pour la circulation des personnes. bref les surfaces où l'on peut poser sa serviette gratuitement sont restreintes et de plus en plus..c'est un sujet de mécontentement constant
Jahan - 12 Mars 2018 - 20h47
Aussi ....L’imperméabilisation des sols...pour les parkings, les quais, les digues superficielles...
Bien faire connaître ces nuisances au public, leurs conséquences néfastes sur la nature, faune et flore, les dangers en cas de pluie, (submersion, poches d’inondation, ), de coups de mer.
Bien informer avant d’amenager, de consommer.
Si je suis sur un bateau de croisière je suis conscient de la pollution (bruits, déchets..) que je produis contre la nature par ce mode de tourisme
Si je fais du jet ski, je suis conscient des ondes produites, de la pollution sonore et des effets sur la faune et le milieu sensible du littoral
Formation, information, études scientifiques divulguées largement auprès des élus, associations de terrain, éducation nationale etc. Par des clips- des jeux, des cideos
Nove Agosto - 12 Mars 2018 - 09h45
La mer est aujourd’hui encore un espace de liberté qu’il nous faut préserver.
L’information et l’education doivent être prioritaires auprès des touristes propriétaires ou non de bateaux. Si on commence à interdire les voiliers et bateaux à moteur, va t-on interdire demain la baignade et le bronzage sur les plages Françaises ?
Il existe aujourd’hui des zones protégées en mer et c’est très bien. Peut-être faut-il en créer d’autres au cas par cas ? Je pense que si déjà des mesures drastiques étaient prises pour diminuer l’utilisation de plastiques ainsi que les rejets divers non traités, notre Méditerranée se porterait bien mieux. Les Cargos et autres Paquebots sont également de gros pollueurs et il n’y en a jamais eu autant. Concernant les mouillages, le capitaine à la voile aime poser son ancre sur du sable pour s’assurer d’un mouillage qui ne risque pas de déraper.
Il nous semble qu’il y a bien d’autres priorités!
Jean Rossi - 07 Mars 2018 - 21h37
Les chantiers navals petits ou gros sont de gros pollueurs , quand les plaisanciers font refaire la peinture sous marine qui recouvre la coque de leurs bateaux , il faut poncer , décaper et laver sous pression la coque pour décrocher l'ancienne peinture .
Ce sont des peintures très toxiques
Ou vont tous ces polluants ??
La plupart de temps il s'écoulent tranquillement vers la mer .
Cédric Dubois - 07 Mars 2018 - 16h20
Mode de transport à haut rendement, le trafic maritime présente de multiples impacts sur la qualité des eaux et la biodiversité notamment. Des actions de prévention des pollutions et de restauration des milieux nécessitent des moyens financiers. Cela pose le problème du lien entre l'impact à évaluer et les moyens respectifs nécessaires pour contenir cet impact et promouvoir les milieux impactés.
pierre 17 - 03 Mars 2018 - 19h09
Toutes, même le tourisme nature dans la réserve de la Scandola en Corse fait échouer la nidification des Balbuzards pêcheurs.
Quelques segments de la côte croate sont -presque- totalement dépourvus d’activités humaines, donnant une idée de ce qu’a pu être la Côte d’Azur autrefois. Ce sont les seules zones de bonne qualité écologique que j’ai rencontrées en Méditerranée. Dès que l’homme est présent, il y a dégradation du milieu (évidemment, l’accès massif de visiteurs, les activités polluantes, les rejets d’effluents, l’usage de véhicules à moteur, les activités destructrices de faune et de flore sont à proscrire en priorité).
D’une manière générale, l’humanité a pris la désagréable habitude de se considérer partout chez elle en négligeant totalement toutes les autres formes de vie, à moins de les employer à son service. On en a bien profité pendant quelques siècles, mais c’est une erreur, particulièrement flagrante sur les littoraux méditerranéens. Nous devons réapprendre à partager.
Ju - 03 Mars 2018 - 12h04
Les tirs de missiles et les explosions quotidiens des bases militaires de toulon et autres doivent cesser, les zones doivent etre bien plus au large.
Chaque tir ou explosion tue des milliers de poissons et autre faune et flore.
Ju - 03 Mars 2018 - 11h40
interdiction du chalutage, de fond en particulier.
interdiction de la commercialisation des especes pendant leur periode de fraie.
Promotion de la consommation de toutes les especes marines: les seuls loups et dorades ne sont pas les seuls poissons bons a manger!!!Toutes les especes sont bonnes, il faut avoir une vraie culture du poisson a l'instar des japonais.
Enfin, probleme lié au braconnage sur la zone rhone et camargue en particulier sur le thon, la dorade et le loup: chalut a 0,5 milles des cotes, filets en travers dans l'embouchure, non respect des quotas de thon, etc.Il y a un vrai manque de presence policiere sur ces zones
Bombom - 02 Mars 2018 - 15h51
Le préambule de la présente enquête note : "Le patrimoine maritime et sub-aquatique est riche (musées, phares,(...)sites archéologiques)".
Comment se fait-il qu'un pilier du mode de vie populaire marseillais soit depuis quelques années l'objet des foudres locales et nationales ? Je veux parler du "cabanon marseillais" cher aux chansonniers.
Imaginerait-on les cabines de plage de Deauville attaquées au bulldozer ? Bien sûr que non, leurs propriétaires ne sont pas de la même classe sociale. Ceci explique celà...
Lapôtre Charlotte - 02 Mars 2018 - 12h17
- La surpêche entraine un appauvrissement progressif de la biodiversité et au fil du temps une diminution des ressources. Il me semble urgent que les contrôles soient plus soutenue et que les peines plus lourdes afin d'éviter les débordements.
- Le luxe est un volet dont on ne parle jamais, peu de sanctions sont attribuées, ils sont pourtant les champions de la pollution ! Les bateaux de croisières érodent les côtes il suffit de ce rendre à Venise pour en peser les conséquences... A cela s'ajoute la consommation massive de carburant, la dégradation de la qualité de l'air, la perturbation du fond marin et pour finir la gaspillage alimentaire de masse. L'éco-tourisme ne doit pas seulement être vu comme un effet de mode mais plus comme un équilibre fondamental entre l'activité touristique et la conservation des zones naturelles.
-Les rejets de la part de certaines entreprises est intolérable et doit-être sanctionnés également.
Jean Rossi - 28 Février 2018 - 23h34
Continuons a produire des bouteilles en plastique pour boire du soda ou boire de l'eau pleine de polluants . Surtout que les poissons adorent se nourrir de ces objets quand ils se délitent , de plus je pense que leur chair sera bien meilleure . Les tortues adorent manger les sacs qui flottent , c'est aussi bon qu'une méduse , mais plus indigeste !! Bon assez dit de bêtise , savez vous que la méditerranée est une des mers les plus pollué de la planète? 80% de cette pollution vient de notre façon de consommer . Nous refusons la réalité alors qu'il serait si simple d'interdire tout les plastiques non biodégradable . Je suis pessimiste car il est trop tard , le mal est fait .
Ambicor - 26 Février 2018 - 14h00
Aucune prospection pétrolière ne devrait plus être autorisé en raison du risque de pollution mais aussi car nous devons nous tourner vers d'autres énergies pour lutter contre le réchauffement climatique.
L'industrie : un contrôle strict des activités industrielles situées à proximité de la mer avec des visites inopinées des services de l'état et pas uniquement un cahier des charges projet sans suivi par la suite.
L'activité touristique : elle doit être encadrée car elle peut être vertueuse et positive avec des règles mais elle est bien souvent seulement contrôlée par les impératifs économiques.
Un exemple concret : la chasse sous marine est pratiquée de manière intensive l'été sur nos côtes sans contrôle ou presque. En 15 ans de chasse, jamais les affaires maritimes n'ont ouvert ma glacière, jamais je n'ai été contrôlé à la mise à l'eau, jamais je n'ai entendu l'arrestation de braconniers de nuit. Il y a un manque évident de volonté de s'attaquer à des problèmes connus.
Dave Htz - 24 Février 2018 - 18h57
Les pistes cyclables mériteraient d'être développées, sécurisées, balisées. Il serait fantastique de pouvoir circuler à vélo sans discontinuité de Mandelieu-la-napoule à Nice. Des connexions cyclables entre le littoral et l'entrée dans les terres, c'est-à-dire les premières villes les plus proches pourraient être crées et étendues à long terme. Enfin, des circuits balisés à l'instar des chemins de randonnées pourraient être envisagés pour les vélos. La voie ouverte les derniers dimanches de chaque mois sur le boulevard du midi entre Cannes et Mandelieu prête à sourire au vu de sa longueur et de son accessibilité. Un système de vélo en libre service serait également souhaitable, en particulier dans les endroits à forte présence de campings et d'hôtels le long du littoral. Merci pour votre attention.
Dozio Philippe - 24 Février 2018 - 11h00
Depuis de nombreuses décennies l’homme exploite cet espace naturel.
Dans un premier temps avec respect et avec les moyens qui étaient les siens (pêche artisanale) puis petit à petit en exerçant une pression grandissante sur ce milieu, exploitant toujours plus, comme un enfant abusif, avec une technologie invasive et mortifère.
L’homme a modifié le profil des côtes avec ses « aménagements » (ports, digues etc.) et des constructions immobilières. En (in)conscience ou par négligence mercantile il a modifié les courants marins et éoliens, contrarié les écoulements des fleuves.
Il a également négligé l’équilibre de ce milieu en le surexploitant, pensant ses ressources inépuisables.
Plus que jamais, les ressources halieutiques sont considérées comme une simple marchandise et non comme un patrimoine commun de ressources naturelles.
L’espèce humaine a négligé les effets de son exploitation et des diminutions des ressources sur les autres espèces.
Delphine Dargegen - 23 Février 2018 - 22h17
Après avoir vécue plusieurs mois dans le golfe de St Tropez , j'ai pu apercevoir quelques scandales écologiques.
Sur la commune de Grimaud, mise en place d'une évacuation d'eaux usées enterrée dans le sable de la plage et menant ... Dans l'eau (au niveau du port...). Les campings tout près de la mer ont contribué à la dégradation de l'environnement du golfe de St Tropez. Il faudrait rétablir l'environnement dans une version moins altérée par l'homme. À l'époque où les Marines de Cogolin étaient des marécages. Tout rétablir est peut être extrême mais du moins autant que possible sans forcément détruire tout ce qui a été bâti, petit à petit.
Enfin les bateaux de croisière à boycotter et à bannir! (Émissions de particules fines très élevées, jusqu'à l'équivalent d'1millions de voitures par jour)
Delphine Dargegen - 23 Février 2018 - 22h17
Après avoir vécue plusieurs mois dans le golfe de St Tropez , j'ai pu apercevoir quelques scandales écologiques.
Sur la commune de Grimaud, mise en place d'une évacuation d'eaux usées enterrée dans le sable de la plage et menant ... Dans l'eau (au niveau du port...). Les campings tout près de la mer ont contribué à la dégradation de l'environnement du golfe de St Tropez. Il faudrait rétablir l'environnement dans une version moins altérée par l'homme. À l'époque où les Marines de Cogolin étaient des marécages. Tout rétablir est peut être extrême mais du moins autant que possible sans forcément détruire tout ce qui a été bâti, petit à petit.
Enfin les bateaux de croisière à boycotter et à bannir! (Émissions de particules fines très élevées, jusqu'à l'équivalent d'1millions de voitures par jour)
Delphine Dargegen - 23 Février 2018 - 22h17
Après avoir vécue plusieurs mois dans le golfe de St Tropez , j'ai pu apercevoir quelques scandales écologiques.
Sur la commune de Grimaud, mise en place d'une évacuation d'eaux usées enterrée dans le sable de la plage et menant ... Dans l'eau (au niveau du port...). Les campings tout près de la mer ont contribué à la dégradation de l'environnement du golfe de St Tropez. Il faudrait rétablir l'environnement dans une version moins altérée par l'homme. À l'époque où les Marines de Cogolin étaient des marécages. Tout rétablir est peut être extrême mais du moins autant que possible sans forcément détruire tout ce qui a été bâti, petit à petit.
Enfin les bateaux de croisière à boycotter et à bannir! (Émissions de particules fines très élevées, jusqu'à l'équivalent d'1millions de voitures par jour)
Delphine Dargegen - 23 Février 2018 - 22h17
Après avoir vécue plusieurs mois dans le golfe de St Tropez , j'ai pu apercevoir quelques scandales écologiques.
Sur la commune de Grimaud, mise en place d'une évacuation d'eaux usées enterrée dans le sable de la plage et menant ... Dans l'eau (au niveau du port...). Les campings tout près de la mer ont contribué à la dégradation de l'environnement du golfe de St Tropez. Il faudrait rétablir l'environnement dans une version moins altérée par l'homme. À l'époque où les Marines de Cogolin étaient des marécages. Tout rétablir est peut être extrême mais du moins autant que possible sans forcément détruire tout ce qui a été bâti, petit à petit.
Enfin les bateaux de croisière à boycotter et à bannir! (Émissions de particules fines très élevées, jusqu'à l'équivalent d'1millions de voitures par jour)
jc - 23 Février 2018 - 19h28
Je passe beaucoup de temps à naviguer à la voile et à nager dans le golfe de Saint-Florent en Corse.
Je vois passer chaque jour à partir des beaux jours des dizaines de bateaux à moteur et de jetski à très vive allure le long de la côte du coté du désert de l'Agriate et parfois à moins de 100m de celle-ci.
Je suis effrayé des risques que font prendre aux nageurs ces plaisanciers inconscients qui quand ils s'aperçoivent parfois qu'un nageur se trouve sur leur trajet l'insulte copieusement...
A quand une limitation de la vitesse et un contrôle de la route des embarcation à plus de 300m du rivage dans cette zone avec pourquoi pas un moyen de contrôle automatique comme sur les routes dangereuses de façon à préserver la sécurité des usagers les plus exposés ?
Famitt - 23 Février 2018 - 00h01
Il semble que les yatchs et les supers yatchs, enregistrés comme navire de commerce, payent leur carburant moins cher que le plaisancier lambda...
En quoi un yatch est il un navire de commerce? Il faut limiter le nombre de yatch polluant en Méditerranée... Favoriser la voile
Famitt - 23 Février 2018 - 00h01
Il semble que les yatchs et les supers yatchs, enregistrés comme navire de commerce, payent leur carburant moins cher que le plaisancier lambda...
En quoi un yatch est il un navire de commerce? Il faut limiter le nombre de yatch polluant en Méditerranée... Favoriser la voile
Famitt - 23 Février 2018 - 00h00
Il semble que les yatchs et les supers yatchs, enregistrés comme navire de commerce, payent leur carburant moins cher que le plaisancier lambda...
En quoi un yatch est il un navire de commerce? Il faut limiter le nombre de yatch polluant en Méditerranée... Favoriser la voile
Famitt - 22 Février 2018 - 23h48
Certaines plages de la Côte d’Azur comportent tellement de zones privatisées que le paysage visuel et sonore est complètement dénaturé. La plage ne doit pas être un bar à cocktail...
Béar - 20 Février 2018 - 22h20
Les agglomérations sont la source majeure de pollution du littoral et de la mer. Même situées à une certaine distance de la côte. Par exemple, la semaine dernière, à Perpignan malgré mes alertes répétées, un canal traversant le nord de l agglomération, rempli de tonnes de déchets menagers et encombrants accumulés (dépôts saugages permanents, vent, mauvaise gestion de la collecte, absence d entretien et de nettoyage de ce canal), a été remis en eau. Des milliers de déchets évacués vers là mer, filmés par les médias locaux (article du quotidien l Indépendant p.6 du 14 fevrier). Direction les fleuves cotiers, les lagunes, le site N2000 d un PNR marin. J ai depuis écrit aux différents acteurs concernés. Pour l instant, silence radio. Voilà la réalité à Perpignan. Laisser faire, complaisance, inaction, silence. Aujourd hui tout ce littoral déborde de plastique. Et ce n est que la partie visible. Les impacts écologiques, sanitaires, économiques sont déjà enormes et durables. Alors protégeons
Mafalda06 - 20 Février 2018 - 20h04
Il faudrait des brigades qui puissent sanctionner les dépôts de détritus, mégots etc. Davantage de poubelles ( certaines débordent ou sont mal conçues et sont déchiquetées par les goélands) et / ou poubelles mieux pensées. Renforcer les signalisation concernant les incivilités et leur impact sur la mer. En prévoir qui encouragent les actes "civiques" tel que le ramassage des déchets du type "si tout le monde ramassait 3 détritus sur la plage ...) . Surveillance accrue également des plaisanciers avec des drones par ex pour qu'ils cessent de prendre la mer pour une poubelle.
FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 20 Février 2018 - 18h54
Certains navires émettent autant de particules fines qu'un million de voitures. Cette importante pollution de l'air affecte directement les travailleurs des ports et les riverains. Les habitants du littoral méditerranéen sont d'autant plus vulnérables que leurs côtes ne possèdent pas, comme en mer du Nord, de zone de contrôle des émissions, espace où la pollution de l'air du transport maritime est à la fois contrôlée et limitée.
Pourtant, les ports méditerranéens accueillent des porte-conteneurs et autres navires de croisière aux dimensions et aux pollutions gargantuesques. Ainsi, le plus gros paquebot du monde l'Harmony of the Seas fait régulièrement escale à Marseille et émet, avec ses 16 cheminées, près de 450 kg de particules fines par jour, soit plus que les émissions de plusieurs grandes villes réunies.
Propositions :
- Mettre en place une zone de contrôle des émissions (ECA) sur la façade méditerranéenne;
- Développer les bornes électriques et de Gaz Naturel Liquéfié à quai.
FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 20 Février 2018 - 18h37
En Méditerranée française, une nouvelle activité se développe et perturbe fortement les dauphins sauvages : les excursions pour nager avec eux dans leur milieu naturel. Pour pratiquer cette activité, les opérateurs traquent généralement ces animaux en survolant à basse altitude leurs aires de vie, de reproduction, de repos… avec des avions de repérage. Une fois repérés, ils proposent aux clients de se jeter à l'eau pour nager avec ces cétacés.
Pour ces animaux, cette nouvelle perturbation s'ajoute à une liste déjà longue de pressions. Cette activité commerciale perturbe fortement le cycle de vie de ces animaux en menaçant notamment les jeunes dauphins parfois séparés de leurs mères. Une activité loin des vertus du « whale-watching » traditionnel qui, si il est pratiqué dans le respect de règles d’approches strictes, peut être un moyen d’éducation et de sensibilisation sur la protection des cétacés.
Proposition : Interdire la nage commerciale avec les cétacés en mer Méditerranée.
Juliusvéto - 18 Février 2018 - 00h16
* Réglementations complexes pour les pêcheurs amateurs:
Sauf à vouloir ouvertement éliminer la pêche de loisir, il faudrait simplifier et uniformiser des réglementations de plus en plus complexes, sans véritable cohérence, et qui rendent inutilement ce loisir de plus en plus problématique. Les aires concernées par les parcs naturels ont des règlement proches, certes, mais pas identiques avec des quotas et des espèces concernées différents et à quelques miles près ; cela peut mettre en faute un pêcheur de bonne foi.
Pélamides, poissons particulièrement mobiles : 5 kg maximum pour Port Cros ; possiblement plus de 15 kg sur les Calanques !!! cherchez l’erreur.
un pêcheur en bateau qui, après une bonne pêche dans Les Calanques, reviendrait chez lui à Giens et serait contrôlé dans la zone adjacente au Parc de Port Cros serait hors la loi.
La pêche de loisir qui représente une valeur sociale, économique Considérable.
Ne dégoutons pas nos passionnés en les transformant en braconniers .
Juliusvéto - 17 Février 2018 - 23h37
Pêche 20218 : commentaires CONCERTATION PREALABLE
* Tailles légales et pêche durable :
Une uniformisation serait souhaitable, ou au moins une cohérence, des règles destinées aux plaisanciers et au professionnels puisque pour les deux, le but est de préserver la ressource et permettre son renouvellement. Ceci serait souhaitable non seulement par équité mais plus encore car les mailles inférieures pour les professionnels sont très critiquables : elles permettent en effet de rechercher et prélever des poissons immatures ; qui donc n’ont pas assuré de descendance. Comme c’est le cas par exemple pour les bars de 25 cm ( Ifremer indique que la reproduction commence à 4 ans pour une taille de 35 à 40 cm), les soles de 20 cm ( elles se reproduisent à 3 – 4 ans, soit 25 à 30 cm) ou encore les bébés thons rouges de 8 kg ou 75 cm ( ils deviennent adultes à 4 ans en Méditerranée, soit 120 cm ou 30 kg; 6 ans et 120 kg dans l’atlantique).
[lien supprimé]
https:
196phil - 17 Février 2018 - 06h56
Les ports de plaisance doivent être équipés de stations de pompage des eaux noires
Tous les bateaux de plaisance doivent être équipés de caisse a eaux noires
Il nest pas acceptable d’avoir des rejets de tous ces nvires dans les ports et dans les criques
Pierre_Louis - 16 Février 2018 - 17h02
Un projet de réseau de mouillages pour les yachts et les paquebots autour du littoral corse, mouillages dit "mouillages à haut niveau de services dédiés à la Grande Plaisance' est envisagé dans le Plan d’Aménagement et de Développement DUrable de la Corse (PADDUC).
Ce projet monopoliserait une partie du milieu marin et du littoral au profit d'usagers de navires de très grandes tailles tout autour de la Corse.
Outre la nuisance due à la présence des tels navires dans des sites préservés, l'impact environnemental serait important : bruit, pollutions, déchets, atteintes de l'environnement marin et ceux engendrés par les aménagements à terre induits par ces mouillages et la présence de très grands navires.
Ma proposition est d'abandonner ce type de projet qui ne correspond pas à l’intérêt général et à la préservation de l'environnement.
marco - 15 Février 2018 - 14h29
Quel est la pollutions des élevages de loups et de dorades par rapport aux élevages de moules qui purifiaient l'eau. L'a-t-on mesuré?
Mike TDi - 12 Février 2018 - 19h41
Il semblerait que le baigneurs a tout les droits au regard de sa vulnérabilité, soit. Mais si l'on compare les droits du piéton a celui du baigneur il serait temps de signifier aux baigneurs qu'il existe d'autres activités nautiques légales qui sont un vrai phénomène social. Les sports de glisse motorisés sont un vrai danger, car il donne le pouvoir d'atteindre de grandes vitesses très facilement. Même les zones spécifiquement réservées on remarque que les baigneurs sont intouchables !
Il est temps de signifié aux baigneurs que Sa Mer se partage et que leur petit... maillot de bain ne les protège pas vraiment !
D'autre part le piéton doit se signaler s'il traverse hors des clous. Ceci pour dire que quand un baigneur vient dans une zone réputée "a vos risques et périls" fréquentée par d'autres usagers équipés de surf, de kite, de kayak, de planche ou de paddle, etc, il serait opportun qu'une signalisation leur rappelle de se signaler avant de prendre des risques inconsidérés !
olivier mareil - 12 Février 2018 - 18h51
J observe que la pêche de loisir le long du littoral et la chasse sous marine
sont assez dévastatrices .
le chasseur sous marin semble ne jamais s'arrêter et fait des prélèvements qui sont loin d être négligeables et touchent sélectivement certaines espèces comme les poulpes les loups
les tailles minimales ne sont pas respectées et la bande côtière est ainsi particulièrement attaquée.
On voit même des chasseurs dans les réserves.
Dans le même ordre d idée on voit de moins en moins d oursins.
J'en viens à penser que la pêche professionnelle tant montrée du doigts n'est pas la seule responsable.
Le mérou a failli y laisser sa peau !
Alba - 12 Février 2018 - 18h22
Les bateaux de plaisance sortent et rentrent à vive allure des petits ports de plaisance, c’est extrêmement dangereux pour les nageurs, kayakistes et stand up paddle. Ils ne respectent pas les limitations de vitesse (et les amendes éventuelles ne sont pas dissuasives compte tenu de leurs moyens financiers). Ces mêmes bateaux de plaisance mouillent beaucoup trop près des côtes dans les criques et les baies, il semblerait que la zone de 300 mètres ne soit pas applicable (pas de bouées). Sur les plages la zone de 300 mètres devrait être étendue (à 500 ou 600 mètres). L’été ces bateaux sont très nombreux et sont polluants et dangereux (lorsqu’ils arrivent et repartent). Il faut les éloigner des côtes, ils ne perdraient rien à se mettre un peu plus loin au large. Quant aux engins à moteur (jetskis et tout engin assimilé qui marche avec un moteur et non à la force des bras) ils ont un comportement extrêmement dangereux, une vitesse excessive, sont bruyants et ils polluent.
Rosy13170 - 11 Février 2018 - 15h52
La sur-pêche, l'industrialisation, le tourisme côtier, le nautisme, .....tout cela crée des perturbations irréversibles.
Je propose de multiplier les zones sanctuarisées, afin que l'on laisse la nature reprendre ses droits sur ces espaces.
En conséquences, on se rend compte, que les zones situées autour de ces espaces retrouvent, elles aussi de la biodiversité
Vincent PONS - 11 Février 2018 - 09h04
Les bateaux de loisirs dans les criques sont trop nombreux.
Ils polluent visuellement, auditivement et écologiquement (hydrocarbures et ancres qui abîment les fonds marins)
Solution : limiter le nombre de bateaux par des corps morts posés par les services publics. Les bateaux ne pourront sattacher Qu aux seuls corps morts. Un bateau par corps mort + paiement d'une redevance.
Vincent PONS - 11 Février 2018 - 09h04
Les bateaux de loisirs dans les criques sont trop nombreux.
Ils polluent visuellement, auditivement et écologiquement (hydrocarbures et ancres qui abîment les fonds marins)
Solution : limiter le nombre de bateaux par des corps morts posés par les services publics. Les bateaux ne pourront sattacher Qu aux seuls corps morts. Un bateau par corps mort + paiement d'une redevance.
Vincent PONS - 11 Février 2018 - 09h01
Les bateaux de loisirs dans les criques sont trop nombreux.
Ils polluent visuellement, auditivement et écologiquement (hydrocarbures et ancres qui abîment les fonds marins)
Solution : limiter le nombre de bateaux par des corps morts posés par les services publics. Les bateaux ne pourront sattacher Qu aux seuls corps morts. Un bateau par corps mort + paiement d'une redevance.
mumumadein13 - 11 Février 2018 - 08h37
dès les beaux jours la grande bleue est envahie d engins motorisés de toutes sortes : bateaux de plaisance (+ ou - gros) jets skis, tous a propulsion mécanique à essence. Non seulement on a droit à une polution sonore mais aussi olfactive et enfin chimique. Sans compter ensuite tous ces plaisanciers du dimanche qui jettent leur reste de pique-nique dans l eau. Cf l état des bords du littoral dès 15 h : nappe de gaz oil, papiers et plastiques flottants
=> sensibiliser, limiter, sanctionner
Daniel Moatti - 10 Février 2018 - 19h09
Obligation pour les navires d'utiliser dès 2018 le fioul le moins polluant à 0,1% de teneur en soufre dès 2018 dans nos zones portuaires et nos ports en attendant la création d'une zone maritime à émissions de soufre contrôlées sur l'ensemble de la Méditerranée, puis le passage le plus rapidement possible à l'utilisation obligatoire du Gaz Naturel Liquéfié
Kilimandjaro - 06 Février 2018 - 16h43
Si le code maritime international a besoin d'une grande refonte intégrant toutes les nouvelles données géopolitiques et commerciales, il serait très vivement souhaitable de créer un code international de bonne conduite touristique sur les plages de Méditerranée (tous pays bordiers confondus).
Le fameux Pavillon Bleu ne ressemble plus à rien, il est octroyé selon des bases obsolètes qui ne tiennent pas compte de tous les paramètres rencontrés dans une ville de bord de côte. Les incivilités ne sont pas réprimandées à la hauteur des dégradations causées. Le comportement citoyen est complètement bafoué : promenades canines (été comme hiver), résidus de consommation anarchique de denrées non recyclables, fumées désagréables dues à la consommation de drogues illicites...
Si l'on ne veut pas que certaines portions de littoral se privatisent pour assurer tranquillité et bien-être de ses occupants, il serait temps de sensibiliser les usagers aux risques de voir disparaître nos belles plages.
Benou - 06 Février 2018 - 16h30
A Marseille 30% de la pollution est due au traffic maritime.
Il est URGENT de :
1- équiper TOUS les quais (Joliette proche du centre mais aussi Marseille Nord) avec des systemes électrique haute performance qui permettent aux navire d'ETEINDRE leurs moteurs durant la période de chargement/dechargement
2- IMPOSER fermement aux compagnies maritimes l'équipement des navires afin que ces systemes soient utilisés (La méridionale a déja accepté, Corsica Linea semble emboiter le pas, Quid de COSTA croisiere ???)
Roland Orlando - 05 Février 2018 - 19h27
Arretons le déversement des boues rouges dans la mer
La pollution dans le delta du Rhone est considérable
Deja nous sommes envahis par le béton et le plastic
Gilles Vautrin - 05 Février 2018 - 17h10
Défendons la qualité de l'air des ports de la Méditerranée en exigeant de l'Organisation maritime internationale, le classement de la Méditerranée en zone de basses émissions de polluants.
Pour cela nous demandons pour les ports et notamment ceux de Nice, de Toulon / La Seyne et Marseille :
- immédiatement, l'emploi obligatoire du fioul à 0,1% dans les zones portuaires et les ports dès avril 2018,
- à court terme, l'électrification des quais des ports
- à moyen terme, l'alignement sur la législation protectrice les mers européennes nordiques. Il est actuellement question d'une Zone ECA dès 2023 - donc disparition du fioul y compris à 0,1% au profit du Gaz Naturel Liquéfié.
Ph - 05 Février 2018 - 00h46
La mondialisation est rendu possible par l'utilisation massive de porte conteneurs. Malheureusement, ils polluent largement plus que le trafic automobile mondial. Et le bruit sous marin généré est tout aussi nocif, les dauphins et baleines ne se perdent pas par hasard dans nos ports.
Impossible de les réguler, ils sont protégés par leur pavillon (panama, libéria, ect...). Malheureusement, la protection des mers et océans ne semblent pas être leur priorité.
Lionel Poulain - 04 Février 2018 - 11h24
Mettre fin aux feux d'artifice sur la mer qui polluent l'eau et tuent la faune et la flore. L'été par exemple sur la côte d'Azur sont tirés en été des dizaines de feux d'artifice. Des milliers de fusées atterrissent dans l'eau contenant des produits toxiques dangereux
Lilijuste - 03 Février 2018 - 23h58
Les activités qui respectent la réglementation, ne posent pas individuellement de problème. C'est la multiplication de ces activités agglomérées qui déséquilibre le tout. Arrêtons le béton systématique. Intégrons davantage d'espaces naturels. Canalisations et traitons les eaux de ruissellement. Limitons le bruit et les nuisances quelles qu'elles soient. Un peu de tout, de façon harmonisée
Rémi Hergé - 03 Février 2018 - 14h47
Activités de pêches industrielles et plaisances qui représente pratiquement 50 pour cent de la pression de pêche détérioration du littoral et vnm ; grande plaisance qui a un fort impact
Nicolas Gillion - 02 Février 2018 - 20h39
la pêche industrielle, et artisanale au chaluts pose des problèmes de ressource aujourd'hui. Un laxisme de nos autorité envers les lobbys industrielle pendant des décennies, puis leurs "compromissions envers ces même lobbys posent aujourd'hui un réel problème de désertification de nos ressources marines, pour le bien de quelques industrielles véreux qui ont détruit ces ressources pour s'enrichir, aider par nos élus et leurs acolytes européens... Il faudrait un moratoires de quelques années, et une interdictions des pratiques industrielles,le temps que les ressources se refasse.
Miramar - 01 Février 2018 - 11h17
1. Dans les ports de plaisance, une très grande majorité de bateaux restent à quai plus de la moitié de l'année et souvent rejettent leurs effluents directement. Il faudrait taxer plus fortement (ce ne sont pas des SDF)en fonction de la durée de séjour à quai.
2. Serait il possible d'imaginer d'obliger les bateaux de plaisance à avoir un petit moteur auxiliaire électrique pour les manœuvres dans le port et jusqu'à la sortie de la passe ? Il y aurait en plus une possibilité de développement industriel et économique.
Alain Rozenbaum - 01 Février 2018 - 09h14
Le "jet ski" pose un problème de rapport bénéfice/nuisance : pour une personne qui s'amuse à faire "vroom vroom", plusieurs milliers de personnes subissent un bruit qui les amène au bord de la crise de nerf. Il y a là un déséquilibre manifeste, qui justifierait qu'on interdise purement et simplement cette activité (sans compter la pollution qu'elle génère, ni les risques de collisions).
CREUPELANDT - 01 Février 2018 - 08h51
les engins à moteur, type jet-skis, créent une pollution sonore à grande distance. Il serait souhaitable de ne les autoriser que au-delà des 300m de la côte, voir plus, à part évidemment les couloirs d'accès.
Les planches à voile et surtout les kite-surfs pratiquent tout près du rivage des vitesses totalement interdites aux bateaux. Les zones de pratique de ces très beaux sports devraient être bien délimitées (et RESPECTEES) afin d'éviter un risque grave pour les nageurs.
CREUPELANDT - 01 Février 2018 - 08h43
il serait souhaitable à tous points de vue de limiter la bétonisation de la côte. Cela implique en particulier:
de faire RESPECTER la législation existante ( loi littoral, etc...)
de limiter le contournement de ces lois par les PLU (création de 'zones urbaines' inutiles, etc...)
de faire respecter les interdictions de construire mais aussi les réglements de clôtures et de 'vue mer', et de sentier littoral.
AntoineMaga - 31 Janvier 2018 - 18h29
Aujourd'hui des milliers de m3 de sable sont pris "au large" de Cannes pour satisfaire le tourisme qui voudrait plus de plage pour plus de gens étalés sur le sable et donc ...plus de consommateurs.
1° massacre écologique sans respect du benthos de la zone privée de son sable
2° stupidité éphémère car après quelques gros coup de sud et forte houle le sable sera retiré
3° gâchis économique
Ceci n'est pas la bonne méthode, c'est du tourisme "de masse" avec uniquement des fins mercantiles. Je ne suis pas contre le business, mais pas au prix du sabotage ! Trop facile quand ce sabotage est sous l'eau donc invisible. Laisserait-on massacrer une forêt pour faire un plus grand camping ??!...