Les activités et usages
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Les activités et usages
Soaz44 - 25 Mars 2018 - 23h57
La surpêche menace la pérennité de l’activité, la pêche de poissons non commercialisables doit être évitée grâce à l’évolution des techniques de pêche. S’agissant de la conchyliculture, les intéractions entre agriculture intensive et qualité des eaux doivent être mise en évidence, et ce phénomène combattu par des mesures drastiques. Arrêt de l’artificialisation des sols, survie des zones humides, réfection des bocages pourraient être des premières mesures permettant de lutter contre les nuisances.
Le batracien - 25 Mars 2018 - 18h22
Le projet d'un nouveau port sur le littoral fait débat depuis des années.
En dehors de nombreuses considérations qui plaident déjà contre ce projet (voir la VIGIE),
la pollution qu'il engendrerait est absolument rédhibitoire ; justement en fonction du relief du terrain local. Indépendamment de la pollution par les bateaux eux-mêmes et par leurs usagers, ce port deviendrait vite un CLOAQUE !
Au même endroit se trouvait le lac dit de la Normandelière, une belle surface alimentée artificiellement en continu en eau de mer à l'aide de pompes pendant la belle saison, et vidé pendant l'hiver. Cette alternance permettait de garder une eau saine où parents et enfants trouvaient leur bonheur.
Ces pompes étaient nécessaires car cette aire N'EST PAS ALIMENTEE NATURELLEMENT PAR UN DEBIT D'EAU SUFFISANT POUR LE RENOUVELLEMENT DE CETTE EAU.
Ainsi la construction d'un port sur le site (situé plus haut que le niveau de la mer) entraînerait une pollution croissante qui en ferait rapidement un CLOAQUE.
Brunellière - 24 Mars 2018 - 12h54
Quand les problèmes deviennent insolubles à force d’être complexes,
alors il temps de changer d’horizon, d’échelle et de modèle de développement.
Développer des modes de productions, de circulations et d’échanges
moins gourmands en énergie fossile en valorisant les savoirfaire
des métiers et les compétences des territoires, c’est avoir une autre
vision de la géographie qui réinvestie le domaine maritime comme
un espace de coopération. Un vaste mouvement est déjà à l’oeuvre.
Bientôt les priorités économiques seront nettement plus polarisées sur
l’accès aux ressources et à des capacités de production à proximité, que
centré sur la mise en marché. Dans ce contexte, des territoires peuvent
tirer leurs épingles du jeu, sans forcément être équipés de lourdes infrastructures.
Alors la bonne échelle, l’échelle humaine, c’est l’échelle
de la diversité des territoires de l'arc atlantique.
Pour un écosystème coopératif de commerce
par cargos-voiliers
pour les Ports Secondaires de l’Arc Atlantique
Bretagne Vivante - 22 Mars 2018 - 15h30
Propositions de Bretagne Vivante :
- Renforcer les contrôles sur les bateaux de pêche avec la présence d’observateurs indépendants qui vérifient si les chalutiers respectent les règles de la politique commune de la pêche ;
- Elargir l’évaluation des captures accidentelles et de l’impact sur les populations à l’ensemble de la mégafaune marine, y compris l’avifaune;
- Engager une réflexion approfondie sur les pratiques et les engins de pêches afin de dégager les solutions à mettre en œuvre pour réduire au plus bas les captures accidentelles;
- Prôner et faciliter l’adoption systématique des engins et pratiques respectueuses de l’environnement.
Bretagne Vivante - 22 Mars 2018 - 15h28
De janvier à avril 2017, l’institut PELAGIS a recensé plus de 3 500 cas d’échouements de dauphins sur la façade Atlantique. Pour une grande part, ces animaux ont été victimes de la pêche au chalut pélagique. Le niveau des captures accidentelles liées à ces engins de pêches inquiète à juste titre les citoyens et la communauté scientifique. La pérennité des populations de mammifères marins pourrait être menacée à moyen terme dans cette zone géographique. Les facteurs de risques ont été en grande partie identifiées et des solutions existent d’ores et déjà mais ne sont pas mises en œuvre systématiquement.
Louis - 21 Mars 2018 - 19h53
Si on exploite dans le respect du maintient des équilibres écologiques avec une empreint = 1.
Yves ETIENVRE-LE PRIOL - 20 Mars 2018 - 20h51
Etre intraitable avec les navires dégazant en mer
Idem pour les causes connues (nitrates) qui font prospérer les algues vertes -> dangereux pour l'homme, un désastre pour le tourisme et pour les indigènes !!!! ( s'inspirer des actions menées en ria d'Etel dans l'objectif principal de préserver l'ostréiculture, la pêche des plaisanciers, les villégiatures)
Keraret - 12 Mars 2018 - 11h21
Contribution du comité de Keraret
Projet de quai multifonctions en eau profonde dans le Trégor
Le comité de soutien du quai de Keraret comme avant port de Tréguier
www(.)keraret(.)eu
La construction d'un quai à Keraret est un projet ancien qui a été élaboré au milieu des années 70. Le lieu figure parmi les rares sites en Bretagne nord ou la profondeur de l'eau à marée basse, est supérieure à 10 m, à une distance inférieure à 200 m du trait de côte.
A l'époque pour le promouvoir un comité de soutien au projet de Keraret avait été créé réunissant 56 communes du Tregor représentées par leurs élus et plusieurs conseillers généraux.
Ce comité de soutien vient d'être réactivé en 2014 afin d'actualiser le projet de Keraret et l'inscrire dans le plan d’action de l'Union Européenne pour une stratégie maritime dans la région atlantique :
(http:)//eur-lex.europa(.)eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:52013DC0279&from=EN
Keraret - 12 Mars 2018 - 11h19
Au départ ce projet était basé sur la bonne connaissance de la côte et de ses contraintes de navigation par ses initiateurs, dont certains étaient des commandants de navire.
Mais hélas la décentralisation tout juste initiée par le gouvernement de l'époque, donna la main au département plutôt qu'à la région et ce qui devait arriver arriva. La décentralisation départementale conduisit à centraliser ''évidement" à Saint Brieuc, le port principal... du département. C'est ainsi que le port du Légué en dépit de considérations techniques antagoniques en faveur de Keraret obtint tous les subsides et fut réalisé en dépit de toute logique maritime.
Cependant après 40 années "d'exploitation", le constat reste accablant. Le port du Légué n'a jamais réussi à recouvrer son niveau d'activité des années 70, malgré des dizaines de millions d'euros d'investissements.
Keraret - 12 Mars 2018 - 11h18
En effet, une contrainte irréductible demeure qui n'aura jamais de solution (en attendant l'élévation du niveau des océans). Le Légué situé en fond de baie, à une cote où il n'y a pas d'eau à marée basse condamne un tel site. Cette contrainte limite l'accès au Légué à 3 semaines sur 4, car lors des mortes-eaux, il n'y a même plus assez d'eau pour que les bateaux viennent à quai.
Il faut pourtant doter la cote nord de la Bretagne d'un quai multifonctionnel accessible à toute heure entre Saint-Malo et Brest.
Il convient donc de se donner les moyens d'offrir une alternative locale de transport maritime en remplacement de l'option routière pour au moins une partie des 70 semi-remorques qui transitent chaque jour dans la zone de Keraret.
Car plus propre que le transport routier, l'acheminement de marchandises par voie maritime représente 40% des échanges intra-européens. Mais cette part de marché stagne, malgré le report modal promu par Bruxelles.
Keraret - 12 Mars 2018 - 11h15
Le temps du projet de Keraret est donc venu.
C'est pourquoi la ré activation de l'association initiale est intervenue en 2014 pour porter un projet actualisé et rechercher des soutiens financiers afin de produire, dans une première phase, de nouvelles études indispensables à l'affirmation (ou l'infirmation) du caractère économique, écologique et néanmoins rentable d'une telle infrastructure.
Il pourrait en outre constituer un port refuge dans un secteur maritime dangereux ou il n'y en a pas énormément d'autres.
Par ailleurs un tel quai doit également permettre l'accostage de paquebots de croisières de moyenne capacité pour des excursions à terre et contribuer ainsi à l’attractivité touristique du Tregor et de ses villes moyennes côtières.
Keraret - 12 Mars 2018 - 11h14
Un site Internet est en cours de finalisation et continuera d'être alimenté dans les prochains mois.
[lien supprimé]
Un dossier de présentation succinct et provisoire peut être téléchargé mais il est en évolution permanente du fait des nouvelles données qui viennent continuellement étayer le projet.
Le projet de Keraret rencontre au moins deux problématiques inscrites dans la démarche de concertation préalable "Stratégies de façade maritime"
- L’accompagnement des évolutions qui impacteront les ports et les activités associées, dans une logique de complémentarité, d’optimisation et de mise en réseau.
- La planification de l’espace maritime doit promouvoir la cohabitation des multiples usages dans le temps tout en maintenant l’accès aux ressources, en préservant le milieu marin, la sécurité maritime tout en développant l’économie bleue.
Sylvain MOREL - 08 Mars 2018 - 10h57
Toute forme d'activité menant à une destruction irraisonnable des milieux marins.
Les activités militaire en sont une. Hors là il est tellement difficile d'en connaître les impactes réels.
Le dégazage des navires marchands. Renforcer les contrôles, être sévère et intransigeant sur les condamnations.
Le réchauffement global, il modifie la faune et la flore trop rapidement pour que toute adaptation ne soit possible.
Interdire totalement et pour quelque raison que ce soit les pêches destructrices, comme celle des baleines. Quand une espèce est disparue, il est trop tard !!! et la modification de l'équilibre de la chaine est mis en danger.
APPAC - 05 Mars 2018 - 16h59
L’accès aux ports de Vilaine maritime n’est plus assuré du fait des fermetures de l’écluse d’Arzal décidée dans le but de préserver la ressource en eau douce. L’écluse d’Arzal ne permet plus de garantir à la fois la non salinité et la libre circulation des navires sur la Vilaine maritime. Une nouvelle écluse permettrait une meilleure gestion de l’eau et une libre navigation. Ce blocage des accès aux ports de Vilaine pose de réelles questions de sécurité en mer. Le ponton installé, en saison, en aval de l’écluse n’est pas prévu pour accueillir les bateaux bloqués en grand nombre. La réouverture de l’écluse, provoque un dangereux embouteillage qui fait naitre des tensions et conflits entre les plaisanciers. Il est urgent que les instances décisionnaires régionales et nationales unissent leurs efforts pour la réalisation d’une nouvelle écluse. Dans l’attente, des solutions palliatives assurant la sécurité de la navigation doivent être mise en place dès le début de la saison 2018.
APPAC - 05 Mars 2018 - 16h10
L’accès aux ports de Vilaine maritime n’est plus assuré du fait des arrêts intermittents de fonctionnement de l’écluse d’Arzal décidé par le gestionnaire EPTB Vilaine pour préserver la ressource en eau douce.
En effet, le mode de fonctionnement de l’écluse d’Arzal ne permet plus de garantir à la fois la pérennité du bon fonctionnement de l’usine de traitement des eaux de Férel et la libre circulation des navires sur la Vilaine maritime.
Le projet de nouvelle écluse s’enlise depuis plus de vingt ans bien qu’elle permettrait une gestion économique et écologique de l’eau et le retour aux conditions normales de navigation.
En tant qu’abri garantissant le refuge aux navires de passage, l’accès à un port maritime ne peut être empêché sans qu’une information AVURNAV soit émise. Cet empêchement ne peut être qu’exceptionnel et ne peut être utilisé de façon récurrente pour résoudre des problèmes connexes sans poser de réelles questions sur la sécurité en mer.
Le ponton installé, en saison, en
albizia - 03 Mars 2018 - 11h43
Mettre fin au massacre des dauphins pris dans les filets en créant des zones protégées et en accompagnant les marins pêcheurs à changer leurs méthodes de pêche
oliv93 - 01 Mars 2018 - 11h20
Jet-ski, promeneur, pêcheur, tous doivent apprendre à se respecter et respecter l'environnement : sensibilisation!
Création de zones:
. Protégées : interdite à la pêche et à toute activité nautique
. Activités nautiques : séparées par activités: baignade, voiles&surf, moteurs (interdites à la pêche).
. Pêches : (amateur et pro) interdites aux activités nautiques.
Le lissage mondial architectural gomme l'identité des régions. Ronds-points, ZAC, mobiliers urbains sont les mêmes à Miami, Cannes ou Damgan (56)
Les mêmes palmiers bordent le front de mer! Bannissons la standardisation !
Pour sauver le Bar il faut interdire toute pêche pro ou amateur de janvier à avril.
Limiter la pêche de loisir à 2 bars par jour, sensibiliser au respect des tailles de capture:
(panneaux avec bb bars expliquant la vulnérabilité des juvéniles).
Arrêt des extractions de sédiments en littoral, les bouchots en pleine mer et arrêt des nettoyages mécaniques des plages.
Union Plaisanciers Ports Morbihan - 28 Février 2018 - 21h37
Les conflits d'usage sont très nombreux à l’intérieur de la mer territoriale ( moins de 12 milles du littoral) et notamment dans la zone côtière .Ils résultent essentiellement de l’affectation de zones exclusives, restreignant et contraignant les activités de la navigation et de la pêche récréative… et concernent tout particulièrement les zones aquacoles , les barrages construits sur des rivières maritimes ( Vilaine, Rance), les futures zones d'éoliennes,..
Il apparait que les Services de l’ETAT ont un rôle déterminant (décideur et juge) dans la l’affectation,la gestion globale et la police de ces zones exclusives, et qu’elles sont insuffisamment structurées au niveau des bassins de navigation.
Une concertation plus poussée est nécessaire au sein de commissions nautiques locales qui devraient avoir plus de pouvoirs et une meilleure représentation des usagers de la mer.
Rene Lacaze - 28 Février 2018 - 11h17
Depuis quelques années, les zones de baignade, les zones de surf de la côte landaise sont confrontées à la proximité, souvent immédiate, d'engins de pêche calés ou manœuvrés à l'intérieur de la bande littorale des 300m et souvent très près des plages.
Cet empiétement toujours plus aigu de l'espace consacré aux activités de loisir finira par provoquer un accident grave, si un baigneur ou un surfeur se fait piéger dans un de ces filets, souvent mal ou pas du tout signalés.
Idem avec les filets calés depuis le bord par des pêcheurs amateurs qui, dans le cadre de la nouvelle réglementation concernant la protection du bar, ne peuvent en outre absolument pas respecter le quota journalier pour ce poisson, ramené à 3 par jour.
Cette multiplication d'engins de pêche finira par provoquer un drame !
breizhlander - 22 Février 2018 - 22h13
interdiction de peche ET de commercialisation du bar sauvage du 1er janvier au 31 mars pour protéger cette espèce en voie de disparition.malheureusement, il est péché actuellement au chalut sur les frayères, alors qu'il se regroupe pour se reproduire, ce qui contribue a son extinction. Bruxelles veut pénaliser les pecheurs de loisir (ce qui engendrera un effondrement de la filière peche de loisir) alors que le problème vient surtout de la peche professionnelle qui, au chalut, ramasse tout ce qu'elle trouve sans distinction de taille... il y a suffisament d'espèces pour que la peche professionnelle puisse s'y retrouver sans détruire cette espèce gravement menacée.
Jean Yves Nicol - 22 Février 2018 - 14h46
Lorsque l'on regarde la carte maritime de Bretagne, on s'aperçoit que l'essentiel des activités économiques liées à la mer sont concentrés sur le sud Bretagne. Dans une objectif de réduction des gaz à effet de serre et du changement climatique, il est important de réduire les distances entre les zones de chalandage et les ports de commerce cabotage. Il est aussi important, me semble t'il d'aller vers des complexes portuaires plus propres et ayant le moins d'impacts possibles sur l'environnement. Privilégier les ports de cabotage en eau profonde, plutôt qu'à échouage est aussi une nécessité pour réduire les coûts de transport à la fois de façon financière mais aussi écologique. Ensuite, accentuer et favoriser progressivement le développement de navires aux moyens de propulsion plus propre est aussi indispensable. Membre du comité pour un port en eau profonde pour le pays de Trégor, je suis prêts avec mes collègues à rencontrer la DIRM NAMO pour discuter sur ce sujet. Merci
FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 21 Février 2018 - 10h37
Plus de 3500 dauphins se sont échoués sur la façade Atlantique entre janvier et avril 2017 d’après le centre PELAGIS. Dans leur grande majorité, ces dauphins ont été victimes de la pêche au chalut pélagique qui se pratique à cette époque au large des côtes françaises. Depuis plus de deux décennies, le niveau des captures de ces engins de pêche inquiète à juste titre les citoyens et la communauté scientifique. Il pourrait menacer la viabilité de la population de dauphins de la façade maritime. Les facteurs de risque ont été en grande partie identifiés et des solutions existent pour diminuer le nombre de captures accidentelles de dauphins mais elles ne sont pas mises en œuvre faute de volonté.
Propositions :
- Renforcer les contrôles sur les bateaux de pêche avec la présence d’observateurs indépendants qui vérifient si les chalutiers respectent les règles de la politique commune de la pêche ;
- Mise en place de dispositifs de sensibilisation et de formation des pêcheurs.
vigibaie - 19 Février 2018 - 11h08
Clarifier la période de reproduction de toutes les espèces pêchées en mer et sur l’estran et interdire leur pêche (Prof. et loisir) à ces périodes. Plus de dérogations dans les 3 milles. Ex. seiche dans la Baie du Mt St Michel. Harmoniser la réglementation pêche à pied. Ex. d’aberration : le bouquet interdit (50) du 01.03 au 01.07 et autorisé toute l’année (35)… ?
2 DDTM / DML voisines qui semblent s’ignorer…
Sans améliorations,, sans culture durable de moules sur bouchots dans la Baie du Mt St Michel, l’Etat ne doit instruire aucune demande de culture de moules sur filières (projets..) entre la Baie et ST MALO.
Pas de sports motorisés, de scooters des mer. Dérangements pour les autres usagers, les mammifères marins.
Pas de vide-greniers avec voitures exposants sur le DPM (Baie du Mt St Michel).
Usagers de plus en plus nombreux et diversifiés sur le DPM et dans l’espace marin, donc : stationnement des véhicules beaucoup plus rétro-littoral et obligation de SCOT avec volet maritime.
Nicko - 19 Février 2018 - 00h17
Je m'explique:
Nous sommes en 2018, nous voyons arriver des voitures électriques, nous voyageons en train électrique (pour la plupart certe) je trouve inconcevable qu'un voilier soit équipé d'un moteur thermique ...
De même les navires à passager et surtout les petites vedettes à touriste, il n'est pas soutenable de dire on ne peut pas mieux faire que des bateaux consommant l'équivalent de plusieurs camions par heure, il faut aller vers des bateaux plus léger et ayant des motorisations électriques.
Encore de même les VNM tel que jet ski et autre petites embarcations à moteur ne devraient plus pouvoir être vendus s'ils sont thermiques dans les années futurs, de par leur bruit et la pollution engendrée.
L'usage du pétrole dans la plaisance devrait être prohibé et l'État doit tout mettre en oeuvre pour forcer les entreprises du secteur nautique à sauter le pas du 21ieme siècle
laurent Dubost - 17 Février 2018 - 18h26
Le piège absolu des DSF serait de créer des zones d'usage exclusif dédiées à certaines activités et d'aller vers la privatisation de certains espaces maritimes.
Pour exemple les zones créées au large de l'ile Dumet ( mytiliculture) et qui sont interdites à la navigation, les futures zones des champs éoliens interdites à la pêche sous marine,..... cette situation relève souvent d'une méconnaissance réciproque des activités et des risques qu'elles représentent et d'un souci sécuritaire exacerbé.
L'espace marin s'ouvre à des usagers de plus en plus nombreux et diversifiés, les usagers traditionnels doivent en tenir compte et s'inscrire dans un partage équitable d'un bien commun "la mer".
laurent Dubost - 17 Février 2018 - 17h27
j'ai remarqué que les épuisettes premier prix, vendues dans les grandes surfaces spécialisées et généralistes ou les coopératives maritimes....n'avaient plus 1 filet en coton mais disposaient d'un filet synthétique ressemblant plus à un filet à papillons et donc capable de collecter les plus petits spécimens de poissons ou de crevettes. Les tout jeunes enfants, à qui il est difficile d'enseigner des règles de sélectivité et le respect des jeunes spécimens (que les adultes ne respectent d'ailleurs parfois pas) ne doivent plus être dotés, de ce type d'équipent.
Je propose donc d'interdire la vente d'épuisette dotée d'un filet aux mailles trop petites .
Audrey TipTop - 17 Février 2018 - 10h36
Ces domaines sont absolument non écologiques et contre le développement durable - c'est assez clair je pense
grizzly - 17 Février 2018 - 09h36
Tout les ans nous sommes confrontés au manque civilité des utilisateurs de ces engins ; vitesse excessive dans les 300 m quant c'est pas dans les 30 m , bruits récurrents toute la journée , navigation hors catégorie , pollution . . . Ce bras de mer de 100 m de large sur 1 mille pourrait être un havre de paix . Tout le monde respecte a peut prés les règles sauf que le chenal est contaminé par les utilisateurs de ces engins . J’imagine que beaucoup de lieux idylliques sont dans le mème cas . Ne pourrait il pas y avoir des interdictions locales ?
Lolotte1329 - 16 Février 2018 - 15h11
Dans certaines communes, la loi Littoral a tellement été bien respectée (ironie) que nous avons atteint un point de non retour du trait de côte. Les projets d'endiguements ne pourront plus être crédibles face à la dégradation du littoral, et coûtent très cher au communes. Cela peut coûter plus cher, que ce que le tourisme va réellement leur rapporter. Les activités sur le littoral et en mer doivent être mieux encadrées. Il faut absolument limiter les évènements, construction et camping nouveaux sur le littoral. Les existants doivent recevoir des conseils pour coexister avec le milieux alentours, allier tourisme et préservation de la nature n'est pas facile, cela doit s'apprendre.
FAREA - 12 Février 2018 - 19h17
Les plans de prévention de risque d'inondation, sont bien évidemment légitimes.
Mais, pour l'instant, leur gestion de fait que poser de graves problèmes :
Fermeture de certains camping dans le sud, perte de propriété pour certains particuliers (Faute sur mer). Ou bien la perte de Chiffre d'Affaire pour certaine stations balnéaires...
L'entre prise Faréa va jouer son rôle d'aménagement du territoire (sur les PPRI) afin de :
1) Rendre aux stations balnéaires leur rentabilité
2) Permettre aux propriétaires évincés de leur propriété de retrouver la jouissance (rentable) de leur bien
3) Et aux campings (fermés pour 10 cm d'eau) d'avoir une pleine exploitation en toute sécurité.
Faréa joue son rêle d'aménagement du territoire : 1) Pour créer de l'emploi 2) pour valoriser les activités locales 3) pour protéger la nature. 4) Pour que les PPRI ne soient pas seulement des déserts, mais pour qu'ils deviennent les premiers sites d'implantation des hôtels flottants (a terre).
Alex56 - 11 Février 2018 - 22h16
L'érosion du littoral, notamment en Vendée, s'observe depuis 30 ans: certaines plages où j'allais étant enfant n'existent plus (et j'ai 40 ans). Quel est la part du facteur anthropique sur le recul de la bande littorale? La bétonisation de la côte paraît accélérer la destruction de zones tampons (dunes, marais,...) : pour que les générations à venir puissent profiter des nos belles côtes, n'est il pas urgent de mettre un moratoire sur tous les projets (ports artificiels, éoliennes, ...) en cours avant de ne plus pouvoir faire marche arrière
Tom - 08 Février 2018 - 18h09
- Pêche non artisanale, au chalut, navire usine, chalutier hauturier : surpêche, destruction des milieux, pollution macroscopique et chimique, non respect des cycles biologiques et de la ressource, lobbying sans preuve contre la pêche de loisirs
- Conchyliculture : concentration des élevages, envasement, épizooties, transports nombreux entre zones de production, privatisation de l'estran
- Navigation : non respect des règles et du respect des autres (plongeurs à proximité, vitesse,...), scooter à bannir
- Extraction de granulats : non renouvelable, érosion littorale accrue, impact économique local, environnemental et social pour le profit d'industriels
- Tout urbanisation littorale pour "confort" (parking, éclairage, restaurants,...) : destruction des zones tampons (utiles face aux pollutions, crues, submersions,...),...
-....
Thierry de Fougerolles - 07 Février 2018 - 20h27
Il ne s'agit pas du tout de la rendre impossible, étant moi-même plaisancier régulier, mais plutôt de mieux l'encadrer et de sensibiliser davantage les plaisanciers sur différents points :
- La fragilité des fonds marins, notamment les herbiers de Posidonie à délimiter tout comme apprendre lors du permis bateau à relever une ancre sans la racler sur 30 mètres...
- Une meilleure connaissance des règles de navigation et des réflexes écologiques, qui devraient être inculqués même (surtout?) pour les plaisanciers sur voilier (aujourd'hui pas besoin de permis bateau)
- L'utilisation systématique de produit vaisselle / nettoyants respectueux de la mer par les particuliers comme par les loueurs, à proposer en vente dans les superettes du littoral, chez les magasins d'accastillage, à fournir par les loueurs, etc...
- Inclure 2 poubelles dans l'habitacle des bateaux, une pour les déchets recyclables, l'autre pour le tout-venant..
Véronique - 07 Février 2018 - 11h02
Une réglementation plus stricte et des sanctions exemplaires? Sur les dégazages en mer, les peintures des navires et leurs polluants, la pollution des plages par tout un chacun ...
christinelcp - 07 Février 2018 - 07h19
LE SEUL MOYEN D'ÉVITER LA DÉPOSE CONSTANTE DE DÉCHETS SUR L'ESPACE PUBLIC SERAIT D'ENCOURAGER (OBLIGER??) LE CITOYEN A NETTOYER SON TROTTOIR 2 FOIS PAR JOUR OU LE POURTOUR DE SES ACTIVITÉS (PLAGE, BATEAU ETC ) AVEC MISE À DISPOSITION DE SACS DE RAMASSAGE (ECOLO) ..D'ÉPUISETTES ETC
DANS MA VILLE, SI JE CONSIDÈRE UN DÉPÔT SAUVAGE DE 15 G/M2= MEGOT OU PAPIER OU AUTRE, ELLE FAIT 46 KM2=PLUSIEURS TONNES!! LE NOMBRE EST HALLUCINANT
SI CHACUN BALAYE SON TROTTOIR (EXEMPLE LES CHAMPS -ELYSÉES JONCHÉS DE DÉCHETS) LA VILLE SERAIT ENFIN PROPRE. CORDIALEMENT.
SLOVOU - 05 Février 2018 - 22h16
Le tourisme "blanc" me parait dangereux pour les espèces (faune et flore). Lorsque des centaines de personnes embarquent sur des cargos pour regarder les ours polaires, songent-ils qu'ils participent à leur destruction? A-t-on besoin de partir si loin pour admirer les paysages et les animaux? Revenir à des plaisirs simples et contribuer à la protection de l'environnement
Raez44 - 05 Février 2018 - 20h29
Limitation de la puissance et de la vitesse (satellites ) des bateaux comme cela se fait pour la route (radars).
Jean-Yves Bourcereau - 05 Février 2018 - 15h59
Quand une activité polluante est autorisée en bord de mer, il est difficile de revenir en arrière.
Là où il n'y a pas de problème aujourd'hui, Il faudrait éviter la multiplication des bateaux à moteurs et interdire les scooters de mer qui cumulent pollution et nuisance sonore.
guy - 05 Février 2018 - 11h28
Palourdes, moules, coques,,,,
Ne pourrait-on pas réserver des zones aux seuls estivants ?
Et d'autres aux professionnels ?
Comment vérifier leur droit? Ne peut-on pas leur imposer un badge ?
Pascalou Loulou - 05 Février 2018 - 11h13
Bonjour,
En une quinzaine d'années que je le pêche avec le plaisir dans manger et de le partager, mes résultats sont incomparable bas [j'ai observer aussi un trous de taille (cm) dans les gênerations]. J'en est raz-le-bol tout simplement, je demande pas à manger du Bar tout les jours mais de la à ne plus en faire :/ :
Je propose les mesures suivantes (dans ma maigre connaissance du sujet) :
1-Stop la pêche du bar durant sa reproduction .
2- Une interdiction de 6 ans à nous tous pêcheurs de bord/plaisancier (les récréatifs).
3- Interdiction de poser des filets/palangres à nous autres pêcheurs récréatifs.
4- Des airs marines protéger.
Bref des mesures plus draconiennes pour laissez PLUS de chance à la ressource de prospèrer de nouveau.
Dav5150 - 05 Février 2018 - 10h34
Il est scandaleux que l'état Français, et l'Europe octroient des dérogations aux pêcheurs professionnels (34 armements sur le plateau de Rochebonne cette année par exemple) pour pêcher sur des zones de reproduction connues et identifiées. Il est impératif que l'Etat Français s'investisse pleinement dans la protection des espèces marines en créant des sanctuaires où toute pêche serai totalement bannie.
Rogers Margeuteux - 04 Février 2018 - 23h36
La pêche de certaines espèces avec des méthodes destructives est complètement irresponsable car cela entraîne une baisse des populations piscicoles dramatiques, pour du profit à court terme. Par méthodes destructives on entend toutes les pêches industrielles des pélagiques, (comme le chinchard par exemple), ainsi que les pêches sur les zones de reproduction: le bar en est le meilleur exemple car décimé par des chaluts, lorsqu'il se rassemble pour frayer sur des zones restreintes. Il faut privilégier les pêches respectueuse comme les ligneurs avant qu'il ne soit top tard...
Christian Raoux - 04 Février 2018 - 22h32
Il faut que la pêche professionnelle soit assujetti aux même règles.
La ressource n'est pas inépuisable. Les dates de pêche doit être réglementés en fonction des date de reproduction de chaque espèce.
les lieux de frayères doivent être interdite à la pêche.
Pour pêcheur de loisir et compétiteur je ne comprend pas pourquoi la réglementation sur le prélèvement et débarquement de certaines espèces soit différente pour les professionnels et la pêche récréative.
Il faudrait qu'une étude sérieuse soit menée avec les différents fédérations de pêche (FFPS, FNPP, FFPM, FNPSA). ainsi que les professionnels pour connaitre les véritable chiffres des prélévements. Et en tirer les conclusions qui s'imposent :
- Quota pour chaque espèce
- Date de pêche
- lieux de pêche.
ce n'est que dans ces condition que nous arriverons à pérenniser cette activité.
grizzly - 04 Février 2018 - 21h09
A ce rythme là il n'y aura plus de poissons dans l’océan dans peu de temps .
Pourquoi ne pas subventionner les ligneurs , l'aquaculture , en bref les pros qui respectent la ressource .
La liste des espèces éradiquées est suffisamment longue : juste en gironde esturgeon saumon civelles en ont fait les frais . . . . le bar et le maigre sont maintenant les prochains sur la liste de l'éradication réagissez en haut lieu avant qu'il ne soit trop tard
Sylvain Olof - 04 Février 2018 - 19h26
Tous les débarquements de bars pendant les mois de janvier, février et mars doivent être interdits !
L'espèce pourrait ainsi se régénérer et être valorisée dans le cadre d'une pêche durable, à l'hameçon, respectueuse de l'environnement.
Michel Gallou - 04 Février 2018 - 19h16
Il faut arrêter la pêche au barset autres espèces en reproduction l'hiver (les pros ont une caisse pour les tempêtes alors pour quoi pasune pour l'hiver, au chaud à la maison avec un salaire minimun avec une augmentation de pêcheur mineur plus que de chalut ou des kilomètres de filet même si tout le monde a le droit de vivre ) et une pêche de loisir pour tous avec plus de contrôle
Marie Abel - 04 Février 2018 - 17h03
Pêche des bars, notamment en période de reproduction
Non protection des requins (y compris les roussettes ! ) qui sont TOUS menacés
Etablissement de TAC non conformes et reprises de certaines pêches contre l'avis scientifique (thons )
jean claude Papa - 04 Février 2018 - 16h33
engins très perturbateurs des fonds proches des côtes ....devraient être limitès à quelques zones bien encadrées voir interdits...il y a bien d'autres sports nautiques tout aussi gratifiants et respectueux de l'environnement
Steph Ag - 04 Février 2018 - 16h20
Pourquoi laisse t on encore les professionnels pêcher le bar alors qu' il est en pleine période de reproduction et d un autre côté on interdit au plaisanciers de pouvoir prélever un seul poisson.un fois de plus ceux sont les lobbies financiers qui primes sur le bon sens et la protection des espèces.
Greg Vernet - 04 Février 2018 - 14h17
A la fin de l'automne et pendant l'hiver, le bar se regroupe en grands bancs pour se reproduire.
C'est une période pendant laquelle il est donc particulièrement vulnérable.
Il est alors surpêché par les chalutiers et senneurs sur les frayères : ceci est totalement aberrant à notre époque et doit vraiment prendre fin !
D'autant plus que ce poisson noble est classé dans les espèces en danger, à protéger.
Tous les débarquements de bars pendant les mois de janvier, février et mars doivent être interdits !
L'espèce pourrait ainsi se régénérer et être valorisée dans le cadre d'une pêche durable, à l'hameçon, respectueuse de l'environnement.
Philippe Humeau - 04 Février 2018 - 13h07
Une des activités de loisir de littoral est la pêche (avec une activité économique associée importante). Il se trouve qu'il est constaté unanimement une raréfaction des espèces et notamment du bar. La pression de pêche est donc trop importante, et il est urgent d'agir : mise en place de temps de repos pour la pêche (professionnelle et récréative) pendant les périodes de fraie (1er janvier au 31 mars), pêche raisonnée (interdiction de la pêche électrique, pêche au chalut sous quota très faible, mise en place de contrôle avec actions de police ET de formation, suivi scientifique des populations, instauration de "sanctuaires" interdits a la pêche pendant plusieurs années, réglementation identique sur tout le territoire pour éviter le déplacement des problèmes...)
Philippe Humeau - 04 Février 2018 - 13h05
Une des activités de loisir de littoral est la pêche (avec une activité économique associée importante). Il se trouve qu'il est constaté unanimement une raréfaction des espèces et notamment du bar. La pression de pêche est donc trop importante, et il est urgent d'agir : mise en place de temps de repos pour la pêche (professionnelle et recreative) pendant les périodes de fraie (1er janvier au 31 mars), pêche raisonnee (interdiction de la peche électrique, pêche au chalut sous quota très faible, mise en place de contrôle avec actions de police ET de formation, suivi scientifique des populations, instauration de "sanctuaires" interdits a la pêche pendant plusieurs années, réglementation identique sur tout le territoire pour éviter le déplacement des problèmes.
Yvon JEGOUDE - 04 Février 2018 - 11h06
Alors que l'Europe fixe des quotas incompréhensibles suivant les zones maritimes , que des tailles minis ont été instituées, nous constatons que le bar se fait de plus en plus rare.
Plus grave encore, il est systématiquement détruit sur ses frayères du 1er janvier au 31 mars et ce, dans l'indifférence des autorités nationales et européennes. Ca devient ubuesque!!!!
Je pense donc que seule une réglementation partagée, équitable et évolutive permettra de rétablir la ressource :
- Un quota imposé à tous
- une taille mini unique
-Interdiction des pêches destructives (en privilègiant la ligne)
-Fermeture de la pêche durant la période de frai (du 1er janvier au 31 mars)
Il ne peut pas y avoir de réglementation sans contrôles....Ils devront être réguliers.
il en va de la responsabilité de tous....pour la survie de la pêche en pro ou en loisirs....la mer est un bien commun qui ne doit pas être confisqué...
Tangi Peton - 04 Février 2018 - 10h59
Il me semble urgent de cesser le pillage des frayères en période de reproduction...
Il faudrait interdire toute commercialisation de bar sauvage pêché autrement qu' a la ligne afin de sauver cette espèce ...
Dominique Peyrache - 04 Février 2018 - 10h56
pourquoi attendre une trop grande disparition de l'espèce pour prendre des mesures de sauvegarde ??? au moins faire cesser la pêche sur les frayères du 1er janvier au 31 mars ce qui ne serait que logique !
Yohann Mauro - 04 Février 2018 - 10h51
D'être un peut plus derrière leurs pecheurs professionnel que d'écoute c'est pseudo plaisanciers ne pouvant plus remplirent des grosses glacières remplie de bar pour les revendre par en dessous, et oui messieurs il y a d'autre espece comme le maquereaux, mais moin chere a la vente, alors arrêté de vouloir faire la loi. Les pro ont le droit de vivre, et heureusement qu'il sont la pour ramené du poisson au consommateur, ce que vous faite via facebook est complètement inadmissible, en racontant connerie sur connerie et fesant tombé les poissonniers qui vendent du bar, sole, cardine et autre en leurs m'étant des note basse pour les fairent stoppé les ventes, j'espère d'ailleur que cette page sera bientot fermé et pour info les chalutiers ne sont pas sur rochebonne mais a 20miles dans l'est de du plateau a la seiche et encornet et non au bar, pour les pélagique il y en a pas car avec les pseudo plaisanciers ils ont du ce convertirent aux chalut de fond, et les fileyeurs a la sole
Florian Merrer - 04 Février 2018 - 10h49
Il est absolument nécessaire de mettre fin aux massacre de la pêche au chalut sur frayère. Il faut interdire tout prélèvement lors de la période de reproduction de certaines espèces comme le bar...
frenchy35 - 04 Février 2018 - 10h38
la pêche professionnelle grande destructrice des ressources marines de plus en plus performants les bateaux actuels détruisent tout, gros consommateurs de subvebtions diverses et variées ces activités coutent une fortune aux contribuables
René Valognes - 04 Février 2018 - 10h35
Il me semble impératif de protéger et de favoriser le reproduction des espèces sauvages. Pour cela des mesures simples doivent être mises en oeuvre. Je propose:
L'interdiction de toutes pêches pendant la période reproduction , par exemple du bar du 1er janvier au 31 mars chaque année, ainsi que de la vente de des espèces concernées;
Interdiction de toutes pêches aux filets pour les pêcheurs récréatifs sauf pour les inscrits maritimes (je n'en suis pas un);
Interdiction de la pêche des femelles grainées de homard.
Claude Chatton - 04 Février 2018 - 10h35
Il devient urgent d’arrêter la pêches sur les frayer. Prendre des mesures sérieuses pour éviter la disparition d'espèce en DANGER Bars Sols ...il et peut être encor temps de faire marche arrière et d’opter pour une pêche responsable.
Magica Freak - 04 Février 2018 - 10h30
Il est grand temps d'interdire totalement la pêche du bar de janvier a mars afin de respecter le repos biologique de cette espèce menacée. La réglementation actuelle est un non sens total. Les plaisanciers se voient imposer une interdiction totale au nord du 48eme parallèle et ce toute l'année alors qu'en ce moment (février) ce même poisson est pillé au chalut sur les zones de frayères par les pêcheurs industriels alors qu'il est plein d'oeuf et les tailles ne sont pas toujours respectées. Bref une loi a 2 vitesses qui met en péril la ressource et va mener a l'extinction de l'espèce.
Autre point: la taille légale doit être la même pour tous! 42 cm aussi bien pour les pros que les amateurs. Que justifie qu'elle soit différente?
Benoît BOZEC - 04 Février 2018 - 10h18
Le bar est, selon toutes les études, menacé dans l'Atlantique Nord Est.
Pendant une grande partie de l'année ce poisson vit en grande partie dans des zones accidentées proches des côtes, voire dans les estuaires et les chalutiers ont peu accès à la ressource.
De janvier à mars, les bars se regroupent sur leurs frayères qui sont des zones dégagées, facilement accessibles aux chalutiers. Il s'opère alors un véritable pillage de la ressource. Ce poisson, pourtant menacé, est prélevé en masse avant d'avoir pu se reproduire. Même s'il est prélevé après la ponte, si un chalut passe sur cette ponte il ne doit pas en rester grand chose.
Il est indispensable de protéger ce poisson, qui se trouve en haut de la chaîne alimentaire, en interdisant sa pêche, notamment au chalut, de janvier à mars et en sanctuarisant ses zones de frayères durant cette période.
Guillaume Faugere - 02 Février 2018 - 22h07
Entièrement d'accord avec ce qui a été dit précédemment. Il faut préserver notre littoral.Interdire toutes pêches au filet dans la bande des 300 mètres, pro et amateur. Interdire la pêche sur les frayères et pendant la periode de fraie des espèces fragilisées comme le bar ou la sole. Etablir des mailles pour les pros qui concordent avec l'âge de reproduction des poissons et non la taille des assiettes.
Nicolas Gillion - 02 Février 2018 - 20h37
la pêche industrielle, et artisanale au chaluts pose des problèmes de ressource aujourd'hui. Un laxisme de nos autorité envers les lobbys industrielle pendant des décennies, puis leurs "compromissions envers ces même lobbys posent aujourd'hui un réel problème de désertification de nos ressources marines, pour le bien de quelques industrielles véreux qui ont détruit ces ressources pour s'enrichir, aider par nos élus et leurs acolytes européens... Il faudrait un moratoires de quelques années, et une interdictions des pratiques industrielles,le temps que les ressources se refasse.
Miche5 - 02 Février 2018 - 08h45
Pourquoi ne pas avoir une seule taille pour ce noble poisson (plaisanciers/professionnels).
Qu'en est il exactement de la réglementation pour 2018 pour la pêche au bar au dessus du 48 ème parrallele ? Droit ou pas droit ?
Denis Vandeputte - 01 Février 2018 - 21h29
Quelle soit professionnelle ou récréative, arrêtons la pêche au filet de quelque nature qu'elle soit (chalut, tramail etc..) !!! C'est une pêche aveugle et destructrice qui ne respecte en rien la faune marine.
Gaylord Planchon - 01 Février 2018 - 20h24
Je suis écoeuré de voir que l'on l'on autorise la pêche d'espèce menacées, comme le bar, sur leurs zones de reproduction, surtout en période de fraie !
De plus les chalutiers ne font que détruire leurs ressources de demain. En effet ils ne font pas de distinctions sur le poids ou les tailles durant leur exercices.
Ses sois disant professionnels de la mer, saccagent et pillent les ressources de nos enfants. Ils mettent en périls, a terme, leurs propres revenus et ceux de pécheurs de ligne, qui eux, remontent beaucoup moins de tonnage de poissons et qui sont beaucoup plus respectueux de cette ressource.
Et je trouve par la même occasion, je trouve absurde d'avoir interdit la pêche du bar aux usagers récréatifs qui ne présente qu'une minorité de poisson remonté par rapport aux professionnels des chaluts.
Revoir également la législations sur la pose de filets et de casiers trop proche de la cote et des plages.
Cédrick Plasseau - 01 Février 2018 - 18h58
En tant que moniteur guide de pêche et donc professionnel dans l'activité de pêche loisir et acteur de l'activité touristique, je me dois de pointer du doigt les pratiques de pêches aux filets et aux engins des professionnels et des amateurs qui pratiques ces techniques anarchiques et dévastatrices sur les milieux côtiers.
En effet la pose de filets et d'engins, sont des pratiques dévastatrices sur notre domaine maritime, ses secteurs sont pour beaucoup d’espèces de poissons et d’animaux marin, des lieux de reproduction et de repos ou les jeunes individus peuvent grandir à l’abri des courants et du grand large, le prélèvement massif effectué chaque année par ses filets et engins dérèglent totalement les cheptels de ses animaux, appauvrissant nos côtes de notre richesse vivante, affluant directement sur l’équilibre déjà fragile de l'ensemble du vivant.
Nous savons tous que ses pratiques ne permettent pas de sélectionner les prises et sont un réel frein aux animaux migrateurs.
MICHEL - 01 Février 2018 - 18h29
Il existe une problématique à laquelle pourrait être apporté une solution bénéfique en termes d’environnement et de développement durable.
Sur les côtes de France, vous pouvez obtenir l’autorisation de poser des filets sur les plages (estran): cette pratique, justifiée au début du siècle pour une certaine population côtière, me semble pour le moins contestable à notre époque, sans aucune justification économique et surtout destructrice : elle contribue à la raréfaction du poisson.
La solution passe, à mon sens, par la suppression de toute autorisation de pose de filets sur l’estran : ce sera un bon exemple de la volonté publique de préservation de la ressource halieutique : sans aucune dérogation possible, tout le monde saura ainsi que c’est interdit. Il serait utile, en outre, d’indiquer un numéro de téléphone pour signaler toute infraction.
mantovani stephane - 01 Février 2018 - 13h00
Je suis scandalisé de voir que l on peut pêcher le bar sur leurs zones de reproduction en pleine fraie ! avec des chalutiers qui ne font aucune distinctions de tailles de poids ou autre , ils ne font que détruire et dilapider les ressources naturelles , une fois qu il n y auras plus de bar se seras quelle autres espèce ? et pour couronner le tout un homme seul avec une canne a pêche et une ligne on lui interdit de prélever un bar ou deux sur une année au nom de la préservation de l espèce, la je crois que l on as toucher le fond de l absurde .
patrick BARDEAU - 01 Février 2018 - 12h26
En ce moment les chaluts détruisent le bar qui c'est rassemblé pour frayer notament sur le plateau de Rochebonne. L'espéce etant en fort déclin il est incompréhensible qu'un préfet est autorisé ce massacre, d'autant plus qu'a cette période la chair du bar n'est pas tres bonne. Il serrait temps de prendre des mesures serieuses pour eviter la disparition de l'espéce et de part le fait la mort de la péche responsable en france. Les ligneurs, eux, respectent et valorisent le produit.
Pier2 - 01 Février 2018 - 09h48
Ces derniers jours les chalutiers se sont concentrés sur les zones de frai du bar .poisson au combien en péril conduite irresponsable delà part de professionnels qui sans vergogne pillent la ressource,leur seule motivation étant leur profit...
Dans le même temps la pêche récréative du bar est interdite pour l'année 2018,au nord de la pointe du Raz.
Alors on veut sauver le bar,prenez alors de vraies mesures pour le protéger.Interdire la pêche au chalut de cette espèce,zones de fraie exclues de toute forme de pêche pendant les trois premiers mois de l'année.
Interdiction de pêche au filet pour les amateurs toute l'année.
Favorisons les pêches propres !!!
Anthony Désiré - 01 Février 2018 - 09h21
Il n'est pas logique d'interdire la pêche du bar au pécheur récréatif pour les motifs d'espèces menacés et en même temps autoriser les professionnels à chaluter des tonnes de bars sur les zones de reproduction entre janvier et mars.
De plus, ces zones de frai connues aujourd'hui devraient être protéger de toute pêche alors que c'est tout le contraire comme sur le plateau de Rochebonne où le site est actuellement entrain d'être pillé par les bateaux venues en nombre de toutes provenances !!!!
Il faudrait également créer des récifs artificiels comme cela sera expérimenté au large de l'ile d'Oléron permettant au espèces de se reproduire à l'abris des chaluts.
Enfin laisser les pêcheurs récréatifs à pratiquer leur loisir sans les faire passer pour des hors la loi...
Il faut privilégier la pêche à ligne, de même pour les professionnels, qui offre du poisson de qualité favorisant ainsi l'activité économique de la plaisance et pèche loisir
Marc Rubio - 01 Février 2018 - 09h15
La pêche intensive et le pillage de toute vie marine monnayable par un groupe d’individus au prétexte de nourrir la population, n’est rien de plus évidemment que de l’enrichissement personnel subventionné par les consommateurs qui payent 2 fois leur poisson, sur leurs impôts et à l’etal du poissonnier.
Témoin tous les ans de la situation de plus en plus alarmante pour de nombreuses espèces qui ont quasiment disparues dans un déni général des instances scientifiques et politiques qui brillent par leur absence sur le terrain, préférant confier la gestion au CNPMEM la gestion de notre océan. Ce comité n’a de cesse de privilégier les gros armements destructeurs sans avenir, aux dépends d’une petite peche artisanale plus raisonnable.
Par ailleurs cette pêcherie cible le rassemblement des poissons pour frayer pour remplir ses chaluts ou senne hollandaise.
Ainsi tous les hivers des milliers de dauphins sont pris au piège et tués, victimes collatérales de cette pêche insensée !
Frugier - 01 Février 2018 - 09h05
Les ressources de poissons sauvages s'amenuisent. Les pêcheurs professionnels sur-pêchent en toute impunité. En ce moment, par exemple, ils pêchent le bar sauvage alors qu'il est en période de frai ! Les observateurs en mer, les relevés de tracés des bateaux, les poissons sur les étals le prouvent. Le reste de l'année, les poissons trop petits sont quand même vendus sur les marchés, ou rejetés déjà morts, car pris dans des filets aux mailles trop petites. Dans le même temps, mon fils n'a plus le droit de ramener ne serait-ce qu'un bar par an à sa grand-mère. Je suis pêcheur responsable depuis mon plus jeune âge. Et je témoigne de la chute vertigineuse des ressources sans intervention de l'état, sinon sur les amateurs. On nous interdit de prebdre un poisson avec une ligne à un hameçon, quand des chaluts en pêchent des tonnes avec des filets de plusieurs kilomètres. Pure honte.
Pierre Guillard - 01 Février 2018 - 08h26
Plusieurs milliers de tonnes pêchées au chalut et débarqué chaque année en pleine période de reproduction ... et presque exclusivement pendant cette période.
Une flottille de pecheurs (ligneurs) qui pêche de manière sélective et hors periode de reproduction qui est presque écrasée par le massacre des premiers.
Et pour finir les plaisanciers qui payent pour tout le monde pendant que le massacre continue
Stop à la pêche du bar sur frayere, même la grande distribution à pris le parti de ne plus commercialiser de bar sauvage en janvier février mars c'est en route
Pouvez vous délibérément continuer à vous cacher derrière Bruxelles parce que vous avez peur d'une réaction des pêcheurs professionnels.
Soyez sur que cette fois le problème est beaucoup trop visible et touche beaucoup trop de monde pour passer ça sous silence
RedSeaFox - 01 Février 2018 - 05h22
La formation de tous permettrait de mieux comprendre et accepter une réalité simple, nous ne pouvons plus nous servir impunément ,et ce pour quelque raison que ce soit (économique à court et moyen terme/ tradition locale etc etc) des ressources qui nous sont offertes.
Troisième et dernier point, la protection.
L'état se doit de mettre en place des mesures afin d'assurer aux générations futures le même accès aux ressources.
RedSeaFox - 01 Février 2018 - 05h16
Madame, monsieur
d'abord merci de concerter vos concitoyens sur la question de l'avenir de nos littoraux.
Dans un premier temps, il est important de mettre en concertation les différents acteurs du milieux au sein d'un groupe de réflexion ( asso de pêche pro/loisir/ écologistes...) sur 3 points principaux.
Le premier est simple, le milieux de la pêche pro, va disparaître avec ses emplois direct et indirect d'ici 15 ans si la surpêche continue à vider nos côtes. Les dommages causés par la disparition complète d'un secteur d'activité au vu du niveau d'emploi dans des zones économiques déjà en difficulté me semble être un risque à ne pas prendre.
En attendant c'est la pêche de loisir qui est montrée du doigt, avec le cas emblématique du bar.
Le deuxième point essentiel serait, la formation; des pêcheurs pro et plaisanciers aux nouvelles réalités d'un milieu changeant. L
Suly Bian - 31 Janvier 2018 - 23h44
Réduire la pêche intensive et informer les gens sur les marchés de la surconsommation de poissons. Créer des zones et des périodes pour la régénération des espèces.
Suly Bian - 31 Janvier 2018 - 23h44
Réduire la pêche intensive et informer les gens sur les marchés de la surconsommation de poissons. Créer des zones et des périodes pour la régénération des espèces.
Krosko Fishing - 31 Janvier 2018 - 23h17
Actuellement, un grand nombre d'espèces marines sont fortement menacées!
Très souvent, la diminution de ces ressources est liées aux activités de l'Homme et de ses pratiques dévastatrices qui ne permettent pas le renouvellement normal des stocks.
Un exemple marquant est la diminution importante des stocks de bars (Dicentrarchus labrax) dans les mers d'Europe. Le bar est un poisson noble, très prisés, notamment des français, dont la période de reproduction (fraie) s'étale de janvier à mars. Durant cette période, les bars migrent sous forme de bancs vers des zones (frayères) afin de se reproduire. Durant cette période toujours, la pêche n'est très malheureusement pas interdite, et les faibles stocks restant sont laissés, sous couverts des législations actuelles (Européennes et Françaises), à la merci de chalutiers pélagiques (par exemple), ravageant la ressource à chaque passage. Il est important de prendre des décisions et de dire STOP!! ... avant qu'il ne soit trop tard!
Marcosammo - 31 Janvier 2018 - 23h08
Il y a des restrictions pour la pêche du bar, mais elles semblent bien dérisoires quand on voit es coups de filets qui sont mis sur les frayeres pendant leur reproduction. Les pêcheurs pros doivent nourrir leurs familles, payer leurs factures et c'est trop facile de ramener des tonnes de bar dans ces conditions. Ils se tirent une balle dans le pied en décimant les ressources futures. Et on retrouve ce poisson sur les étals en promotions, ou en farine après la criée à 5 euros le kilo... Quel gachis! Faites quelque chose d'utile, interdisez la pêche et la vente du bar sauvage les 3 premiers mois de l'année. Cdlt.
Luc Petit - 31 Janvier 2018 - 23h00
Monsieur le ministre un grand pas a été fait avec l'interdiction de la pêche aux filets électriques. Vous avez porté à Bruxelles les bons arguments. Il faut aller plus loin. Aujourd'hui nos réserves en mer s’amenuisent d'année en année. Principalement par la faute d'une réglementation de la pêche en mer qui ne correspond plus à une époque de surconsommation, et du maintien des revenus pour les professionnels de la pêche. C'est la raison pour la quelle les poissons sont prélevés pendant les périodes de reproduction. Les réserves ne sont pas reconstituées. Alors, il faut interdire les périodes de pêche pendant la reproduction du bar mais aussi des autres poissons. Un de mes amis guide de pêche disait, "nos parents pensaient que le capital était inépuisable, il ne nous reste plus que les réserves, et nos enfants les intérêts à payer. Cordialement.
Thierrymerceron - 31 Janvier 2018 - 22h45
Stopper la pêche durant les périodes de reproduction de chaque espèce de poisson
Lo Guillard - 31 Janvier 2018 - 22h16
Il est aberrant de voir qu'aujourd'hui, malgré de nombreux exemples du passé, l'extinction organisée de nombreuses espèces puisse encore exister.
Le pillage systématique du bar par des chalutiers, appuyés par des navires industriels, qui s'organise sur les zones de frayères, telles que le plateau de rochebonne en période hivernale, en est un bel exemple.
Qu'allons-nous laisser aux générations futures? Une mer vidée de ses poissons? Que va_t'il advenir de la pêche plaisancière et de toute l'activité économique qu'elle génère (matériel, tourisme,...)?
Encourageons la pêche douce à l'hameçon, le respect des mailles , le repos biologique, l'éco-tourisme...
Il est urgent d'agir si nous ne voulons pas vivre dans un monde où, les seuls poissons que nous pourrons manger, seront ceux engraissés artificiellement à l'autre bout du monde et où nos seules activités consisteront à aller les acheter dans les supermarchés!
adrien - 31 Janvier 2018 - 22h00
Quelles activités en mer ou sur le littoral vous paraissent poser un problème et pourquoi ?
Vaste sujet... Les activités problématiques dans nos océans et sur notre littoral ne manquent vraiment pas malheureusement.
Je ne vais pas être original, ce qu'il se passe sur les frayères de bar à l'heure actuelle est tout simplement inadmissible.
Mais un des plus gros responsable est l'Etat lui même... Comment peut-on encore délivrer des dérogation pour le chalutage sur Rochebonne en pleine période de fraie, alors que ce meme plateau est interdit à ces même bateaux le reste de l'année ?
Comment peut-on justifier ce massacre alors que la ressource en bar n'a jamais été aussi basse que maintenant ?
Comment peut-on encore faire croire aux pêcheurs pro que ce "cadeau" les sauve, alors même qu'il ne fera que tuer leur metier un peu plus vite ?
Cdlt
Surfin Bird - 31 Janvier 2018 - 21h43
En faisant mes course cette semaine, j'ai vu a l'etal de la poissonerie de mon supermarché, du bar en promotion.
Ce n'est pas normal. Cette espece est menacée, sensée être proptegée par une reglementation de plus en plus drastique ... alors pourquoi va t on le pecher la et quand il est pleine periode frai ?
Si il y a un moment ou il doit être protégé, c'est maintenant, Decembre a Avril au minimum.
De meme, pourquoi un peu partout le long de notre littoral, les administration locale, on t elle le droit d'instaurer des derogations qui detricotent les limitation laborieusement négociées par la CEE ? si tous les pays ont les memes pratiques, autant dire que rien n'est fait
Jm - 31 Janvier 2018 - 21h37
Le bar, espèce grandement menacée selon IFREMER, est littéralement exterminé en ce moment sur les zones de frayères bien connues des pêcheurs peu scrupuleux... Comment laisse-t-on faire cela? Comment sur le plan éthique peut-on autoriser ces zones à la pêche? Il faut absolument interdire la pêche et donc la commercialisation de cette espèce en janvier/ février/ mars. L'homme ne comprend décidément pas qu'il est à l'origine de l'extinction de certaines espèces, seul l'argent compte... Quelle tristesse!
TITI - 31 Janvier 2018 - 21h25
comment peu t on autorisé a notre époque de laisser péché sur les frayères pour le bar et le maigre ,quand on sait que les stocks diminue d'année en année , il ne faut pas etre sortie de st cyr pour le savoir ,mais certain d'entre vous ferez mieux de sortir leurs culs de leur chaise et d’allée sur le terrain ,il est grand temps de mettre des interdiction de peche pour tous le monde pros et plaisancier de pecher pendant la periode de reproduction bar de janvier a fin mars ,maigre de mai a juillet principalement prie au filet dérivant sur l'estuaire de la gironde banc des marguerites face a meschers
cdlt
Flo - 31 Janvier 2018 - 21h20
Bonjour actuellement le bar est une espèce menacée pourtant actuellement on peut voir du bar débarquer en crier à grande échelle celui-ci elle pêcher sur zone de reproduction à l'aide de bateau pelagique actuellement sur le plateau de Rochebonne et aux alentours après avis scientifique ils ont pu remarquer que des barres marquer sur le 48e parallèle redescendre pour une majorité sur le plateau de Rochebonne. comment peut-on autoriser la destruction d'une espèce aussi emblématique !? Il faudrait vraiment interdire la pêche du début janvier jusqu'à fin mars voir début avril dans l'espoir que ces messages change quelque chose et ce à partir de l'année prochaine voire même maintenant il n'est jamais trop tard.
relax - 31 Janvier 2018 - 21h09
j'habite en baie du mont st michel et j'exerce le métier de guide de la baie. Outre cette interdiction de la pêche au bar diverses interdictions pleuvent ces derniers temps , ces interdictions ont un point commun. Sur la forme elles prétendent émaner d'une consultation du public alors que les arrêtés sont pris en catimini sans aucune représentation du public. Par exemple un arrêté datant de septembre 2017 nous interdit la pêche au filet dans une zone délimitée dans le but de protéger le saumon atlantique seuls on été conviés une association de pêche traditionnelle qui n'est pas concernée par cette technique et une association antipêche. résultat interdiction de la pêche dans la zone alors qu'il aurait suffit d’interdire l’espèce alors qu' en amont les pécheurs exerçant dans le domaine fluvial augmentent leur quota chaque année parce que l'espèce se porte bien ... Même le surf casting est interdit dans la zone alors qu'on a jamais pêché un saumon avec cette technique...
grizzly - 31 Janvier 2018 - 20h34
Messieurs les dirigeants .
Vous n’êtes pas sans savoir que le bar est en pleine période de reproduction de janvier a fin mars . Ce poisson se regroupe en bancs sur le plateau de Rochebonne .
Comment pouvez vous laisser des chalutiers ravager cette frayère ! tout le monde peut y assister en direct sur '' marine trafic ais ''
Se sera ensuite la curée sur les bancs de maigres dans l'estuaire de la gironde toujours sur leur lieu de reproduction . La civelle également sur son trajet de migration . Ces pratiques de pêche sans aucune morale ne peuvent perdurer .
La liste des espèces disparues par la surpêche subventionnée pas nos impôts s'allonge d'années en années . Nos enfants et petits enfants nous reprocherons de ne pas avoir tiré la sonnette d'alarme avant qu'il ne soit trop tard .
Pendant ce temps la vous limitez la pêche de loisirs alors que celle ci génère beaucoup plus d'emplois et de revenus
Romain Guillerm - 31 Janvier 2018 - 19h59
Bonjour
je voudrais revenir et dire que la pêche exécuté par des proffessionnels sur les Frayères de bar est une abération total
ils sont entrain de tué une espèce tant convoité par la plaisance qui rapporte beaucoup d argent a de petite entreprise
et qui aussi fait vivre plusieurs pêcheur pro qui on choisit une pêche douce a l hameçon qui ne détruit pas les fonds marins
Bref la comission Européenne marche sur la tête
il est temp d agir contre ses lobbyste qui nous tiennes par les coui...s dsl du thermes mais je n y voyait que celui-là
cordialement
Julien Rafignon - 31 Janvier 2018 - 19h50
De nos jours où la gestion de la ressource est un enjeu majeur pour les générations futures, je ne comprends pas comment l'on puisse autoriser la pêche des bars sur les frayères. Il est aujourd'hui déplorable que l'Europe et encore plus la France puisse autoriser le pillage des frayères lors de la reproduction de ce poisson. Je pense qu'il est urgent de prendre des décisions cruciales pour cet espèce si l'on veut que nos enfants puissent profiter de ce poisson dans les années à venir.
Ben Dlmt - 31 Janvier 2018 - 19h47
Les zones de reproductions sont là pour permettre à l espèce de se repeupler , pas pour la détruire , les chaluts ,les pêcheurs qui abuse des cotâts détruise la biodiversité il serais grand temps de faire quelque chose pour sauvez cette espèces ..!
Jean Pierre Roy - 31 Janvier 2018 - 19h25
Les frayères des bars (dicentrarchus labrax), connues par tous doivent être sanctuarisées en interdisant la pêche de ce magnifique poisson de janvier, février et mars.
Espèce très gravement menacée mais l'on continue à fermer les yeux et permettre à certains de piller le reste d'un stock déjà bien maigre.
En n'intervenant pas "énergiquement" sur des pratiques qui nuisent grandement à sa sauvegarde pendant sa période de reproduction, nous allons vers la disparition très prochaine de ce bar et tout cela par manque de courage politique.
N'oublions pas que Le Bar n'est pas la seule espèce en danger pendant sa reproduction. Il y a aussi le Maigre, l'Anguille, la Civelle, la Sole, etc...
Pierre Bécavin - 31 Janvier 2018 - 19h05
Pêcheurs professionnels et amateurs, scientifiques et autres amoureux de la mer se rendent compte de la destruction rapide du biotope marin et de la biodiversité qui tente d'y vivre. Les pollutions excessives générées par l'homme due à l'agriculture, les chantiers côtiers ainsi que la mauvaise gestion des pêches en sont les principales causes. Les techniques de pêche tel que le chalutage, chalutage élèctrique, drague, détruisent la ressource plus vite quelle ne peut se régénérer. Le comble de ce carnage étant que les plus grands destructeurs sont également ceux qui dépendent de cette ressource. Le parlement européen se laisse manipuler par les puissants lobbyistes de la pêche, et propose des lois loin d'être suffisantes pour arrêter ce massacre. Il est plus que temps de se réveiller et de mettre en place un contrôle des pêches professionnelles et amateurs pour que tous respectent des mesures de préservation: quotas, repos biologique, mailles, ect.
Jack White - 31 Janvier 2018 - 19h04
Il est temps de réguler la surpêche des espèces marines de la part des pêcheurs industriels, chaluts et autres. Il est honteux de voir chaque année se répéter le non respect des lois, le dépassement des quotas et le massacre des poissons comme le BAR, la SOLE pendant leurs periodes de reproduction, sur les zones de rassemblements ou ils sont les plus vulnérables!
Jeremy Soulas - 31 Janvier 2018 - 18h56
Si nous voulons protéger la biodiversité de nos océans,nous devons commencer par préserver les zones de reproduction de celle-ci.
Le plateau de rochebonne joue un rôle essentiel pour la reproduction du bar qui peuple nos côtes.Il paraît maintenant évident d arrêté les pratiques de pêches professionnel sur ce secteur si nous voulons préserver cette espèce qui nous le savons est en grand danger.
Guillaume Le Drole - 31 Janvier 2018 - 18h50
Aujourd'hui je suis consterné de voir que mes impôts financent en partie le "massacre" qui a lieu sur les frayères de Bars, au large de nos côtes, alors que l’Europe interdit dorénavant la pêche du bar aux pécheurs loisirs au dessus du 48eme parallèle, et restreint a 3 poissons par personne au sud de ce même parallèle, les pêcheurs industriels pro ravagent en toute impunité les zones de reproduction de ces poissons menacés. Et ça me révolte d'autant plus que cette pêche soit subventionné par mes impôts.
Guergnon Patrick - 31 Janvier 2018 - 18h35
Il est consternant de voir du bar sauvage mis à la vente dans les poissonneries en cette période alors que c'est, de janvier à mars, leur période de reproduction.
Ces tonnages remontés en cette période sont autant de bars en moins pour les années à venir et font craindre une raréfaction, voire une disparition totale du bar.
D'une manière plus globale, cela devrait également concerner les autres espèces pendant leur période de reproduction.
Soaz Clemot Segalen - 31 Janvier 2018 - 18h30
Le bar est traqué jusque sur ses frayéres, il y est ratissé au chalut et ce en pleine reproduction, nous ne pouvons plus nous citoyens l 'accepter, ras de bol de voir l 'océan et la manche vidés de leur ressources par des professionnels sans scrupules et de voir que personne n 'a le courage d 'arrêter celà , la mer est devenue un milieu mafieux , stoppez cette hérésie, établissez des quotas corrects pas comme là faire semblant de les diminuer ....
On pénalise les pêcheurs de loisirs en leur attribuant des prises basées sur aucunes données, des chiffres tronqués , puisqu'ils ne sont pas répertoriés , sans leur laisser aucune parole , ni aucun droit à étre écoutés , ni aucune autre option ( cartes , bagues )
Cerise sur le gâteau , on laisse en revanche des pêcheurs de loisirs non respectueux de la ressource poser palangres et filets , autant dire que ça donne une idée sur le souhait réel de protéger la ressource
On laisse piller rochebonne !!!!
SEVAN - 31 Janvier 2018 - 18h09
Aujourd'hui, en tant que citoyen Français, Européen, mes impôts participent grandement à la destruction de nos océans via la distribution de subventions à des pêcheries INDUSTRIELLES (chalutage sur frayère, pêche électrique....).
Nous ne pouvons pas cautionner une méthode de capture industrielle sur une ressource sauvage; c'est une aberration.
Dans le même temps, passionné de pêche, l'accès à la ressource m'est de plus en plus restreinte!
PRIVATISATION DE LA RESSOURCE PAR LES PROFESSIONNELS LES PLUS DESTRUCTEURS....ENCOURAGES PAR L ETAT FINANCE PAR MES IMPOTS...
MERCI
Cédric Fishing - 31 Janvier 2018 - 18h08
Bonsoir,
En ce moment, le dicentrarchus labrax est en pleine saison des "Amours" reproduction.
Il est inadmissible de voir le nombre de tonnage qui est débarqué en ce moment dans les ports Français du côté de l'Atlantique et de voir sur MarineTraffic, les chalutiers piller la ressource sur les frayères et sur le plateau de Rochebonne.
En plus de piller, ils détruisent tout l'écosystème sur une zone classée Natura 2000.
Il serait vraiment grand temps de faire quelque chose contre ça, car d'ici 2 ans maximum, il n'y aura plus un seul Bar.
Pour finir, il n'y a pas que cette espèce qui est en danger, vous avez réussi à vous battre et à abroger les décision de l'EU pour la pêche électrique, il serait bien d'instaurer aussi un moratoire sur le Bar et autres espèces, pour que celle ci soit interdites de pêches pendant les mois de reproduction, et concernant le 1er cité, c'est minimum, de Janvier à Mars, mais pour tout le monde et pas uniquement pour certains et abroger aussi la limite du 48è.
Tranber44 - 31 Janvier 2018 - 17h55
Le milieu marin est laissé pour compte : Les pollutions en tout genre, la destruction des espèces pendant leur période de reproduction, le braconnage, les abus répétés des pêcheurs industriels et aussi de certains plaisanciers ... Il est grand temps qu'une Police des Mers (Sérieuse) soit mise en place et que les contrevenants répondent de leurs délits ...
Jean-luc Bellieud - 31 Janvier 2018 - 17h53
Il est anormal que les frayères ne soient pas sanctuarisées toute l'année. En effet en prenant exemple sur le Bar les chaluts ravagent celles ci durant cette période cruciale pour cette espèce.
Ils détruisent une ressource qui peine à se régénérer. La faute par manque de courage politique est reportée entièrement sur les plaisanciers. Ces derniers se battent pour qu'un repos biologique soit mis en place pour TOUS pendant plusieurs mois. Faut il attendre que l'espèce ai disparu pour commencer à réagir.
Le Bar n'est pas la seule espèce en danger pendant sa reproduction. Il y a aussi le Maigre, l'Anguille, la Civelle, le Thon rouge, la Sole, etc...
Rémi V'nce - 31 Janvier 2018 - 17h37
Ancestralement, de nombreuses espèces de poissons sont massivement pêchées pendant leur période de reproduction, car les individus se regroupent sur des zones connues : leurs frayères. Or, certains stocks sont dans un état préoccupant et les méthodes de pêche sont devenues très efficaces. Il est donc urgent de prendre des mesures pour laisser des populations naturelles exploitées commercialement se renouveler, et ceci commence par les laisser se reproduire. Si une espèce terrestre se retrouvait dans la même situation, de nombreuses personnes se seraient indignées. Il est urgent de légiférer sur le cas du bar commun dont les populations sont en train de s’effondrer.
frenchy35 - 31 Janvier 2018 - 17h21
la pêche dite industrielle est porteuse de deux aberrations
la première est économique, un bateau de grande taille génère beaucoup moins d'emplois que la pêche artisanale à prélèvement égaux, emploie embarqués ou emploi à terre
la seconde est écologique, ces bateaux pour être "rentables" ont d une part besoin de prélever beaucoup et donc ne sont pas sélectifs, et d autre part les dégâts générés par leurs prélèvements risques d'être irréversibles
Jean Claude Leroy - 31 Janvier 2018 - 17h16
la génération futur ne pourront plus voir et pêcher ce poisson et le pourquoi c est qu en ce moment ce bar ce reproduits et qu il y a des flottilles avec leurs destructeurs sont sur des frayères ou le bars ce trouve surtout qu il est question dé gustative il est draigné et en laitance . ou est le raisonnement a part les lobbies , merci a vous d en prendre compte pour moi ,mes enfants ,petits enfants et pour vous .
Duchdid - 31 Janvier 2018 - 17h07
Je ne comprends pas que les zones de fraie pour le bar (Labrax) et autres especes en déclin soient autorisées à la pêche pendant la période de reproduction (Janvier à Mars pour le bar). Les chalutiers ratissent actuellementsystématiquement systematiquement ces zones et participent activement à la disparition de cette especes. Ne pourrait on pas interdire tous types de pêche sur ces zones pendant les 3 premiers mois de l'année. L'IFREMER connaît parfaitement les zones de fraie pour le Bar.
gillotes - 31 Janvier 2018 - 16h55
Depuis 2 ans des réglementations limitent ou interdisent la pêche du bar pour les particuliers au nord du 48eme parallèle. 2 remarques :
- Comme l'ont prouvé des études de l'IFREMER les bars migrent beaucoup et cette limite est parfaitement théorique puisque des individus de cette espèce non péchés au nord le sont au sud. Donc la protection est à la fois inefficace et injuste
- Plus grave : des professionnels ratissent de façon systématique les zones de fraie pendant la période de reproduction. C'est ainsi qu'en ce moment on trouve du bar sauvage vendu dans les supermarchés à10€ le kg.
Pour vraiment préserver la ressource il faudrait donc que sa pêche soit totalement interdite de janvier et mars et, de plus que des zones parfaitement connues des "professionnels" (golfe de Gascogne entre autres) soient interdites au chalutage pour éviter les prises "accidentelles"
On pourrait privilégier des méthodes de pêche moins destructrices des fonds et plus sélectives que le chalutage
Thomas Jilod - 31 Janvier 2018 - 16h47
La pêche du bar pendant sa période de reproduction est un réel problème. Depuis des années, les zones de frai (exemple: plateau de Rochebonne) sont ratissées alors que le bar s'y regroupe pour s'y reproduire. C'est un non sens de ne pas sanctuariser ces zones, vis à vis des moratoires en place pour la pêche de loisirs. Pour préserver la ressource, il ne devrait pas y avoir de questions à se poser, il faut interdire la pêche du Bar de janvier à mars pour tout le monde afin de laisser se reproduire en paix ce noble poisson à la croissance très lente. La ressource s'amenuise d'année en année, ce qui met non seulement l'industrie de la pêche artisanale, ainsi que l'industrie de la pêche de loisirs (2ème loisir préféré des français) qui génère des milliers d'emplois.
Il faudrait également augmenter la taille de prélèvement pour tout les types de prélèvements particuliers et professionnelles - taille de 45 ou 50 cm minimum
Il est urgent de réagir et d’être cohérent !
Nicolas Fishing - 31 Janvier 2018 - 16h38
La pêche du bar pendant sa période de reproduction est un réel problème. Depuis des années, les zones de frai (exemple: plateau de Rochebonne) sont ratissées alors que le bar s'y regroupe pour s'y reproduire. C'est un non sens de ne pas sanctuariser ces zones, vis à vis des moratoires en place pour la pêche de loisirs. Pour préserver la ressource, il ne devrait pas y avoir de questions à se poser, il faut interdire la pêche du Bar de janvier à mars pour tout le monde afin de laisser se reproduire en paix ce noble poisson à la croissance très lente. La ressource d'amenuise d'année en année, ce qui met non seulement l'industrie de la pêche artisanale, ainsi que l'industrie de la pêche de loisirs (2ème loisir préféré des français) qui génère des milliers d'emplois. Il est urgent de réagir!
Erwan Castel - 31 Janvier 2018 - 14h24
Les activités de chalutage des poissons sur leurs frayères me pose un grave problème d'éthique. C'est un pêche facile qui permet de remplir les bateaux industriels au détriment d'une ressource halieutique gravement menacée. C'est une pêche non durable qui menace clairement le bar déjà en grand danger
Koala - 28 Janvier 2018 - 18h27
Le tri des déchets ne tient pas compte des déchets marins de l’usage personnel et de la restauration : coquilles, carapaces, déchets de poissons, qui sont aussi utiles en mer qu’inutiles à terre !! Payer pour transporter des coquilles d’huîtres vers des incinérateurs est absurde pour une commune littorale alors qu’elles peuvent contribuer à lutter contre l’acidification des océans.
Koala - 28 Janvier 2018 - 15h08
Pollution liée au nautisme : évacuation des eaux noires, multiplication des bateaux neufs pour un taux d’utilisation très bas, entretien polluant, etc.
Réflexion sur l’urbanisme littoral, dont la gestion est trop émiettée à l’échelle des communes.
PIKC - 26 Janvier 2018 - 14h24
Pour protéger le milieu marin des nuisances sonores et des pollutions d'hydrocarbure => soit interdire ou limité l'utilisation d'engins bruyants et polluants uniquement dédiés aux loisirs au profit de sports moins bruyants et non polluants.