Les activités et usages
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Les activités et usages
Soaz44 - 26 Mars 2018 - 23h04
Utilisation de crèmes solaires non polluantes, action des pouvoirs publics pour infléchir les pratiques des industries cosmétiques
Soaz44 - 25 Mars 2018 - 23h31
Campagnes d’information, manuels de bonne conduite distribués par les offices du tourisme, les capitaineries, création de zones interdites au public lorsque les milieux sont dégradés
jean-Sébastien Flinois - 25 Mars 2018 - 09h44
La préservation et le contrôle des usages sont les garants de la protection de notre patrimoine. La zone de la côte de granite rose dispose d'une richesses géologique et faunistique importante.
Le tourisme doit être intelligent et ce milieu est idéal pour sensibiliser à la protection de la nature et instruire la population.
La création d'un Geoparc permettrait d'appréhender la nature comme un ensemble et lier terre et mer. Peu de gens connaissent la richesse et l'importante du sol et du sous sol. Elle raconte pourtant une histoire ancienne à forte valeur culturelle.
Entre2Eaux-Plongée - 24 Mars 2018 - 21h20
Tout le littoral français est parsemé de clubs de plongées dont la majorité sont composés de bénévoles, la plupart affiliés à la FFESSM. Nous connaissons les fonds marins de notre secteur par coeur, nous suivons l'évolution de la faune et de la flore depuis des dizaines d'années, nous constatons aussi les dégâts aiguës et chroniques provoqué s par les humains. Nous pourrions être un excellent réseau de surveillance et de proposition. A bon entendeur
Nicolas Ducos - 24 Mars 2018 - 12h07
espèces protégées……
Les actions des volontaires seraient évaluées, qualifiées, récompensées par des bonifications, par exemple : séjours gratuits, suppression de la taxe de séjour, baisse d’impôts…
Ainsi, en éduquant et en incitant d’une manière ludique et positive, la collectivité agirait en amont et diminuerait ses coûts de gestion de l’espace public.
Nicolas Ducos - 24 Mars 2018 - 12h06
Aujourd’hui, tout le monde prend conscience de l’impact de l’homme sur son environnement, c’est criant en ce qui concerne le littoral.
Pour autant, nous entretenons un incroyable paradoxe : celui de l’intérêt particulier pour la jouissance d’un bien commun….
L’attrait du littoral a des conséquences directes sur le milieu : urbanisation, fréquentation, érosion, gestion des déchets….
Pourquoi ne pourrait-on pas éduquer, réguler et mieux gérer l’espace? développer des initiatives positives pour inciter au bon usage du bien commun ?
1) Éduquer
C’est une évidence : l’homme dégrade le milieu sans mauvaise volonté, mais par méconnaissance et manque d’information.
Imitons les compagnies d’assurances, qui ont développé des applications pour les conducteurs vertueux :
Pourquoi ne sensibiliser, via une application Internet géolocalisable, la population littorale et les touristes aux bons gestes comme par exemple, le tri sélectif, l’utilisation des transports en commun, le respect des ....
Yves ETIENVRE-LE PRIOL - 23 Mars 2018 - 18h58
Pour toutes les décisions, il est nécessaire de dialoguer avec les utilisateurs. En tant qu'association de pratiquants de kite surf, (PIKC Presqu'ile Kite Club) nous sommes les mieux placés pour définir les zones de pratique, les possibilités d'améliorations pour une pratique écologique, pour informer, former les nouveaux pratiquants, pour négocier avec les autres utilisateurs et avec les ministères, régions, départements, DDE, etc... Notre pratique est fondamentalement écologique, respectueuse et en symbiose avec notre environnement. Il convient de la développer, ce qui développera l'emploi, la richesse et la beauté de notre Bretagne. Arrêtons d'interdire, et dialoguons pour le bien de tous
axel-peigne - 23 Mars 2018 - 13h21
La filière nautique est très dynamique avec des marques françaises mondialement connues. Ces entreprises emploient de très nombreux ouvriers, vendeurs, concessionnaires et autres mécaniciens qui dépendent de la bonne forme de la filière. A l'heure où l'état cherche à valoriser le made in France, c'est une chance énorme de pouvoir compter sur cette industrie en croissance.
Il faut évidemment que cette industrie progresse dans sa transition écologique, mais elle ne peut se faire à marche forcée, sous peine de pénaliser les entreprises françaises face à leurs concurrents étrangers.
Attention également aux services aux plaisanciers qui sont souvent mal notés dans les ports français, en comparaison avec les ports étrangers. Il faut développer de nouveaux services plus en adéquation avec les attentes des plaisanciers (services numériques, location de bateaux, commerces, etc...)
Stephan SERRA - 23 Mars 2018 - 11h08
La plaisance est aujourd'hui une source très importante d'emplois:
les chiffres d'une étude réalisée en 2016 par la Région Bretagne et la FIN sur le poids de la filière nautique bretonne sont éloquents :
1,75 Milliards de retombées directes et indirectes
7500 emplois
2000 acteurs économiques
Nos côtes fourmillent d'entreprises qui vivent de ce marché et qui font vivrent des centaines de familles.
Sur cette grande région en particulier, les activités de voiles sont très importantes. Il suffit de regarder le week end le nombre de bateaux sur les plans d'eau pour comprendre l'enjeu de cette filière que ce soit en loisir ou en compétition.
Inutile d'ostracisé le motonautisme qui lui aussi est pourvoyeur d'emplois, La gestion des ports de plaisance est de plus en plus stricte, les zones de carénages sont réglementées.
Evidemment nous devons sans cesse améliorer l'impact environnemental de la pratique de la plaisance et des loisirs.
Yves ETIENVRE-LE PRIOL - 20 Mars 2018 - 20h23
Le tourisme ne peut que s'envisager avec un littoral très préservé, mais avec une accessibilité pour tous.
Il faut se résoudre
à des zones protégées
à un recul des activités ( logement, parkings, restaurants,...) en toute bord de mer ( éviter ce qui se passe en côte Sud , Riviera, etc...)
mais
il faut laisser des accès à tous et à toutes les activités sur le littoral.
Toutes les activités de bord de mer et à proximité doivent être non polluantes ( ostréiculture, tout à l'égout, agriculture, transport..)
Le tourisme se développera tout seul en fait si le cadre est préservé et les accès aussi.
Bretagne Vivante - 20 Mars 2018 - 15h33
Pour beaucoup la mer reste un lieu de loisir. Les enjeux et les risques de l’économie bleue, le changement climatique suscitent interrogation et parfois crainte. De nombreuses mobilisations ont montré une capacité à s’opposer à certains projets. Seule une information partagée et la plus objective possible permettra aux citoyens de s’approprier les connaissances et de se forger un avis.
Bretagne Vivante propose de
- Faire des aires marines protégées, des sites Natura 2000, des réserves nationales ou régionales des lieux d’éducation à la mer et aux enjeux de protection du milieu marin.
- Utiliser le numérique pour mettre à disposition du plus grand nombre les connaissances scientifiques et bancariser l’information.
- Favoriser les sciences participatives, les activités de découverte du milieu marin, la découverte des métiers liés à la mer.
- Promouvoir et développer les aires marines éducatives.
chouan - 18 Mars 2018 - 16h15
En 50 ans, le littoral a été très artificialisé pour développer le tourisme (construction sur dunes/forêts/marais/terres agricoles), au mépris de la qualité de celui-ci (vision à court terme, ignorance des enjeux relatifs aux milieux). Appétits immobiliers nuisant aux activités économiques en place, explosion des coûts du foncier expulsant les jeunes, bien que de nombreux logements soient souvent fermés : est-il trop tard pour y remédier ?
Tentons :
- moins de résidences secondaires (à taxer si jamais louées), de NA devenant AU, de construction de ports parkings (sédiments bloqués, dragages répétés)
- plus de contrôles de légalité par l’Etat, d’aides au maraîchage bio (emplois, respect du sol), de moyens pour le Conservatoire du Littoral
Renforçons la loi Littoral, prenons en compte la capacité d’accueil du territoire : pression maximum supportable par les ressources de ce dernier (méthodologie existante).
Retrouverons-nous espaces libres, mixité sociale et générationnelle ?
Didier Schneider - 16 Mars 2018 - 09h29
Vous voulez aller voir l'archipel de Glenan, l'île d'Yeu, Belle île en mer, Groix, Houat, Hoedic et bien d'autres îles... le "meilleur" moyen qui vous est proposé pour vous y rendre c'est un bateau aux moteurs diesel bien polluants.
Alors que des millions de français rêvent devant le Vendée Globe, devant les exploits de nos skippers, alors que les français se passionnent pour la la mer et la voile, qu'ils rêvent d'une expérience sur un "grand" voilier... arrivés sur nos côtes rien, ou quasi rien, ne leurs est proposé.
Pourtant plusieurs chantiers francais proposent des catamarans à voile pour le transport de passagers, de nombreux marins professionnels compétents (capitaine 200 voile) sont sur le marché de l'emploi, les infrastructures existent...
Il manque juste une belle impulsion politique et la coordination d'une ambition partagée.
jc.ménard - 14 Mars 2018 - 14h49
Algoculture ,
Domaine peu exploité si ce n'est à partir des algues sauvages. Mais des boutiques proposent et vendent de plus en plus des algues préparées (carpaccios d'algues). En Asie la consommation des algues est importante et est une culture maîtrisée. Les algues sont riches en oligos éléments et protéines, elles ne font pas grossir et sont agréables en goût, crues ou séchées elles accompagnent les poissons les potages. La production d'algues (locales et correspondant aux espèces existantes, en Bretagne, Kombu royal, Dulce, ulves) pourrait connaître un développement intéressant. Cette culture peut être associée à la production par exemple des moules sur filières.
FNPA - 12 Mars 2018 - 17h46
Depuis la promulgation de la loi NOTRe, la gestion des Ports de Plaisance revient le plus souvent au Département, qui se regroupe parfois avec la Communauté des Communes (CDC) ou d’agglomération (CDA) en un syndicat mixte.
La loi n’a rien prévu pour associer les usagers (plaisanciers amateurs pour leur plus grande majorité) à cette gestion : Aussi nous demandons que le législateur corrige son oubli en modifiant le Code des transports, de façon à ce que les représentants élus des usagers aux Comités de Liaisons avec les Usagers des Parts de Plaisance (CLUPP, organismes purement consultatifs et souvent ignorés des gestionnaires des ports de Plaisance) deviennent des membres effectifs des Conseils Portuaires et puissent participer avec voix délibérative à la gouvernance de leur port de plaisance.
Philippe Lavenant - 08 Mars 2018 - 20h20
Pour ma part , j'estime qu'actuellement trop de contraintes existent en France pour accéder à la mer. La mer ( les 12 milles ) fait partie à part entière du territoire national.
Pour des raisons idéologiques environnementales , la France tourne le dos à la mer et à son possible développement. Le littoral doit pouvoir être intelligement aménagé. Les diverses réglementations ( natura 2000 ) bloquent tout.
Nous manquons actuellement cruellement d'infrastructures tels que bases nautique , cales de mise à l'eau , ports de plaisance , ports de pêche et ostréicoles , terminales ferry , port de navires de servitude pour les éoliennes.... N'ayant pas peur de réaménager
Se loger (sous réserve de ressources financières ) demande quelques semaines. Acheter une voiture demande une journée.
Disposer d'un accès actuellement sur le littoral pour son bateau , son dériveur , son surf son kayak , son navire est un parcours du combattant.
Pouvoir aller sur l'eau devrait un droit
V..O - 06 Mars 2018 - 18h45
Il est évident qu’un port serait une catastrophe environnementale (7 avis négatifs de la commission d’enquête publique de 2011). Mais c’est le projet d’un maire buté, qui depuis 15 ans, détruit notre commune :
• Il divise la population.
• Il engloutit des sommes astronomiques au détriment d’investissements pour les Brétignollais.
• Il a saboté notre lac marin :
◦ Les petits, les personnes à mobilité réduite, ne peuvent plus se baigner.
◦ Nous avons perdu un lieu convivial.
◦ Les camping cars ont été refoulés devant le cimetière.
◦ Les bateaux de l’école de voile sont transportés en tracteur
▪ jusque dans l'étang de pêche, plein d’hameçons et de ragondins, auparavant interdit aux activités nautiques !
▪ et sur notre plage encadrée de rochers, auparavant le 2ème lieu où l’on pouvait se baigner aisément, activité désormais interdite !
De nombreux estivants ne viennent plus.
Libérez nous de ce projet !!!
philippe - 04 Mars 2018 - 13h59
La majeur partie des activités touristiques et de loisir en contexte littoral prennent appui sur les espaces naturels. Pour limiter l'impact de ces activités cela nécessite aménagements, mise en protection etc qui sont le plus souvent financés sur les budgets dédiés aux espaces naturels. Résultat de cette politique, les fonds normalement dédiés à la préservation des espaces naturels sont finalement utilisés en aménagements préventifs des activités touristiques et de loisir, ramassage des déchets etc. La politique préservation de la faune/flore dotée de moyens normalement confortables s'en retrouve en slip avec des moyens dérisoires. La majeure partie des fonds alloués étant en effet affectée aux aménagements et mesures curatives. Le principe "pollueur/payeur" ne s'applique pas à l'environnement lui même. Chaque activité doit contribuer à financer la résolution de l'impact qu'elle génère, sinon la volonté de préservation de la biodiversité sera un fiasco évident.
albizia - 03 Mars 2018 - 11h22
La jeunesse d'aujourd'hui est plus attirée par les sports de glisse ou de voile, alors facilitons l'accès au plus grand nombre, au lieu de créer des ports de plaisance dangereux pour l'environnement
BonmaMarie - 02 Mars 2018 - 11h49
En Vendée, le littoral est fragile. Pour le protéger, des dunes ont été en particulier construites pas les hommes aux siècles derniers en complément des dunes naturelles. La côte vendéenne est le fruit d'une action respectueuse de l'homme envers la nature.
Les tempêtes plus ou moins récentes mettent en évidence que les entailles non naturelles (ports, digues ...) sont des points de vulnérabilités.
Il est indispensable de penser la mise en valeur du littoral en tenant compte de cette vulnérabilité, pour l'Homme et pour les espèces animales et végétales nombreuses qui y vivent.
Dominique - 01 Mars 2018 - 19h05
Tout miser sur le tourisme mène très rapidement à une activité limitée à 2 mois de l'année. Activité qui suppose des infrastructures importantes. Les 10 mois restants sont réservés aux vieillards et à quelques randonneurs qui ne savent ni où dormir ni où manger, tandis que les infrastructures coûteuses restent inutilisées.
Ceci est vrai non seulement en France, mais dans la majorité des pays européens qui connaissent un climat "frisquet". Que ce soit en Irlande ou en Grèce, même problème.
Alors, c'est autre chose qu'il faut non pas inventer, mais soutenir ou rétablir : une activité locale basées sur les richesses et le savoir faire. Une ou des activités qui constituent, encore, la culture du littoral.
Hugues de Grandmaison - 01 Mars 2018 - 14h32
Nous avons à Brétignolles un port fait par un maire qui est jusqu'au boutiste pour son port. Beaucoup de gens sont contre et sont attachés aux jolies plages que nous avons.. Plus de contrôle public est nécessaire pour empêcher ces maires irrespectueux et qui dépensent l'argent public sans compter.. Il serait temps de faire les choses un peu sérieusement et de mettre fin aux actions de ses tristes sires qui dépensent sans compter, laissent des dettes aux générations futures et ruinent l'environnement....
oliv93 - 01 Mars 2018 - 11h30
Créer des postes pour sensibiliser les estivants et les locaux. (Infos/stages/panneaux/contrôles de sensibilisation …)
Encourager le tourisme vert, la remise en état des marais salants, des moulins à vents et à marées. culture de la salicorne...
Aider l'étude et l'implantation d'écloseries pour les espèces menacées (comme pour le saumon)
Revenir à une pêche côtière responsable optimisant tout ce qui est pêché, encourager les pêcheurs à se diversifier (culture d'algues, pêche-promenade, resto-bateaux…)
Organiser des campagnes pour sauver les traits de côte. Des gens pourraient ainsi se lier pour fabriquer des kilomètres de murets et sauver des villages entiers de la montée des eaux prévue, comme les marées noires qui ont bénéficié de ce genre d'élan.
Pourquoi pas une émission TV? Les propriétaires côtiers seraient certainement ravis d'accueillir une semaine les courageux sauveurs du trait de côte!
hughes blachere - 27 Février 2018 - 10h17
Il est bien entendu que les quotas de pêche, les mailles, les périodes de pêche, tout règlement visant à protéger notre environnement marin forment des décisions indispensables.
Ces décisions doivent être réfléchies et " intelligentes"; leur application doit être sans faille à condition qu'elle soit réalistes et équilibrées.
Toute décision outrancière va immédiatement générer des contournements de la règle.
La difficulté est de s'affranchir de la force des "lobbys" et de ne pas céder aux intérêts particuliers. Seul l'intérêt général doit être pris en compte.
Une politique juste et équilibrée forcera le respect de l'un vers l'autre ; nous serons tous heureux de participer à la valorisation de notre bien commun
ValDKG - 24 Février 2018 - 11h21
Interdire tout les extractions de sable dans les eaux territoriales française. Les extractions contribuent à la disparition des plages et à la disparition des espèces marines.
Il faut commencer par annuler tous les chantiers envisagés, par exemple l’extraction de sable de Lannion
Rhizome - 22 Février 2018 - 14h52
Il faut élargir la réflexion sur le littoral à l'arrière pays, et ne pas limiter les interventions et réglementations à la bande côtière. La notion de littoral s'ancre autant dans le paysage maritime que dans celui de l'arrière pays constitué par les falaises, les collines, les vallons, mais aussi le bocage, les différentes agricultures, les cours d'eau... Élargir la réflexion, c'est rendre plus attractif l'arrière pays, lui donner un rôle touristique à part entière, donner à voir la diversité, la richesse et la complexité du territoire. Mais cela permet aussi de faire "baisser la pression" touristique sur la bande côtière à proprement parler.
Quelques pistes: soutenir l'agriculture et mettre en valeur son intérêt patrimonial et touristique et intérieur, renforcer les activités de loisirs à l'intérieur des terres, renforcer les sentiers piétonniers et cyclables entre l'arrière pays et la cote, renforcer l'accessibilité en transport en commun, réglementer l'urbanisation...
MYLÈNE TESSON - 21 Février 2018 - 11h39
Développer les navettes vers la côte : navettes en bus, navettes en bateau pour traverser la rade, embaucher des pouces-pouces (un cycliste qui peut emmener deux personnes dans un cariole), augmenter les fréquences! Un petit bus qui dessert la plage toute la journée et même le soir! ça évitera les bouchons, les pollutions, la multiplication des parkings et des voitures dans le paysage!
brestfishing - 20 Février 2018 - 09h48
la mer et le littoral ne doivent pas être un espace quasi exclusivement réservé a l'industrie et a l'exploitation de la ressource. le domaine des loisirs doit y avoir sa place. c'est un domaine pourvoyeur d’emploi et qui facilite la prise de conscience collective sur la fragilité du milieu. par exemple dans le domaine de la pêche de loisir, la réglementation actuelle privilégie l'exploitation de la ressource par la filière pro. mais le loisir crée 8 fois plus d'emplois et rapporte 10 x plus d'argent sans bénéficier de subventions.
a mon sens la protections des espèces marines doit être une priorité le bon état de santé des stock de poisson pourra nous permettre de développer le loisir tout en continuant une exploitation resonée de la ressource halieutique.
Nicko - 19 Février 2018 - 00h28
Légiférer sur ce que les entreprises auront le droit de vendre à l'avenir concernant les navires à moteur, l'état doit se substituer aux entreprises pour imposer un futur plus respectueux de l'environnement en interdisant les ventes de moteur thermique dans les bateaux qu'ils soient juste à moteur mais aussi voiliers.
Et pour ça l'état doit investir dans la recherche fondamentale mais aussi imposer aux entreprises fabriquants ces navires de changer de paradigme.
À nos élus d'imaginer comment mais quand on mets de l'argent de la table ou que l'on efface des impôts avec des contreparties généralement tout est faisable :-).
Concernant le tourisme ce sont aux communes et aux acteurs de faire en sortes que les gens soient respectueux. Mais peut-être que mettre des amendes pour mise en danger d'autrui (exemple sauvetage périlleux en montagne) ou pour déchets jeter dans la nature(plage)/rue (exemple Taïwan) ça permettrait aux gens de mieux se comporter
Titi Wattou - 16 Février 2018 - 23h47
J'accueille un touriste. Vais-je lui faciliter les déplacements collectifs, en mode doux, ou continuer à lui faire préférer sa voiture? On peut avoir une politique de restriction des parkings proches des plages, accompagnée d'un développement des circuits bus gratuit et des pistes cyclables aménagées, par exemple. Voire interdire la circulation automobile dans certaines zones...
Quand le touriste revient de la plage, est-ce qu'il se douche et nettoie ses affaires à l'eau potable? Les campings font-ils de la récupération d'eau de pluie? Est-ce que l'eau traitée des STEP pourrait être utilisée à certains usages?
Le touriste va acheter des souvenirs. Vais-je lui vendre des bricoles à moins de 2€ made in China?
Un travail pourrait être fait, sur tous les plans du développement durable, avec les professionnels déjà en place qui vivent du tourisme au lieu de "culpabiliser le touriste" ou de développer de nouvelles offres qui attirent un segment particulier de la population, de "niche".
Jérôme Legoux - 16 Février 2018 - 22h40
A Saint Nazaire, jusqu'il y a quelques mois on pouvais dormir dans une pêcherie ! Saluée de Tous, du guide du routard, à France 2, TF1, et de très nombreux passages dans la presse, Madame la préfète a eu une interprétation de la loi littoral qui n'est pas la même que dans d'autres départements ou le préfet a validé des activités similaires.
C'est bien dommage. Cet hébergement était de plus entièrement écologique et autonome électriquement....
Pour quelle raison une interprétation d'un préfet dans une région autorise ce que l'interprétation d'une autre préfète mène a une interdiction en Loire Atlantique ?
Madame Klein, pourrait-on se rencontrer?
philippe - 16 Février 2018 - 20h21
Des plages propres c'est bien, pavillons bleus par ci par là, tout comme statut de station balnéaire/touristique, mais ceci cache bien des déséquilibres. Pour un développement effectivement durable, il faudrait repenser l'attribution de pavillons aux communes ou en créer un nouveau sur une base de critères plus vaste: démarche globale de développement durable, engagement à préserver les espaces naturels, valorisation respectueuse de la nature, qualité des eaux, etc
philippe - 16 Février 2018 - 20h09
Les communes concernées par un statut de protection des espaces naturels représentent à elles seules la grande majorité de la capacité d'hébergement touristique française. Il me paraît évident qu'il y a un lien de cause à effet: paysages agréables, cadre de vie agréable, authenticité, supports de moulte loisirs nature,.... Nombres de sites naturels accueillent bien plus de visiteurs que beaucoup de musées nationaux, bâtis remarquables classés au patrimoine national. Tous protégés par les mêmes loi, les éléments patrimoniaux bâtis sont bien soutenus financièrement et les gestionnaires d'espaces naturels ont leur jette des cacahouètes. Le dispositif Natura 2000 n'est quasiment plus soutenu depuis trois ans déjà et les mesures agri-environnementales biodiversité viennent d'être supprimées. A quand, une réversion d'une partie de la taxe de séjour au profit des espaces naturels, ce serait un juste retour de reconnaître enfin les enjeux économiques énormes qu'ils représentent.
vigibaie - 16 Février 2018 - 16h56
Le développement durable est l'affaire de tous. Communes, acteurs du tourisme, des loisirs, etc... doivent s'engager collectivement dans un plan d'actions selon un cahier des charges National ou Régional débouchant sur un label.
L'Etat ou la Région doit définir les critères à retenir et les objectifs à atteindre. Des communes pilotes pourraient être choisies créant ensuite une émulation avec les autres communes. La promotion de ces communes labellisées serait bénéfique à leur image et à leur développement. Le principe du label dans d'autres secteurs est bien connu. Son intérêt pour une démarche qualitative n'est plus à démontrer. Il faut promouvoir les bons exemples.
Autre commentaire lu : "Développer la plaisance sans miter le littoral de parkings à bateaux sous-utilisés". Nous appuyons ce commentaire pertinent.
Claude Martinuzzi - 15 Février 2018 - 10h33
Permettre à chaque élève du Primaire de vivre une fois un séjour collectif de 2 semaines à 3 semaines au bord de l'eau .
Développement personnel, socialisation , valorisation, respect collectif pour vivre ensemble, découverte des pratiques nautiques et amour du milieu sont des graines pour une vie meilleure en société. Une alternative au besoin d'un Service national si on fait de même avec un séjour long à la montagne, à la campagne...?
Claude Martinuzzi - 15 Février 2018 - 10h21
Revenir aux dériveurs collectifs voile aviron pour mettre de la joie sur l'eau.
La majorité des cycles voiles des classes primaires se pratique sur des bateaux individuels pré destinés à la sélection sportive.
L'enseignement d'une classe lambda visant l'épanouissement , l'amour du bateau et de sa région gagnerait à se faire avec des bateaux collectifs rassurants et conviviaux .
Chacun sait que mettre à l'eau 24 bateaux prend 40 minutes avec de petits mousses pas toujours motivés.
Embarquer en 5 minutes sur 3 collectifs à flot, avec moniteur, double le temps et permet à la magie du bateaux d'opérer pour consolider la passion...
FAREA - 12 Février 2018 - 18h46
Les FaréVillages s’intègrent dans une stratégie de développement touristique locale, c’est à dire en phase avec les impératifs d’atractivité touristique, et ceux de la protection des sites. Pour assurer cette mission les FaréVillages respectent une charte dans laquelle les “clients” peuvent devenir acteurs sur des actions correctrices adaptées. Ceci permet d’avoir à la fois des séjours ponctués d’action ludiques, correctrice, et formateur pour les jeunes générations.
Par ailleurs, les Evennementiels organisés sur dans les FaréVillages seront décidés avec les Elus.
Les FaréVillages seront (a terre) installés sur les PPRI
[lien supprimé]
Pragmatique - 12 Février 2018 - 13h08
Il faut dans ce "nouveau monde" regarder tous les nouveaux projets de développement touristique qui peuvent être une alternative réaliste et durable à l'urbanisation par les résidences secondaires. Ces projets structurants de notre territoire doivent être le moyen de concilier de façon moderne (et sans préjugé) développement touristique, essor des communes littorales et protection de l'environnement. La création de "zones classées" et de lois supplémentaires ne sont pas la solution car il n'est pas envisageable de "figer" et d'empêcher les communes littorales de se développer. Ainsi des projets de thalassothérapie, port de plaisance, parc naturel touristique... doivent être étudiés objectivement.
gael mathurin - 11 Février 2018 - 21h38
Encourager les magasins du littoral à informer sur les pratiques à tenir. Un livret indiquant la réglementation pour toutes les pêches, mailles, périodes de reproduction à respecter, respect de la sécurité. Conduite à tenir en littoral avec une bonne gestion des déchets et de la faune, flore environnante.
Encourager des partenariats avec des acteurs locaux pour apprendre les bonnes pratiques.
Cela ne concerne pas que la pêche mais tous les secteurs. Avec un paddle on peut aussi créer de vrais soucis en s'approchant de trop près de zones de nidifications inaccessibles en bateau ou à pied.
christian b 1 - 08 Février 2018 - 23h10
arrêter le nettoyage mécanique des plages qui bouleverse l'écosystème des plages. Tout ça juste pour que des touristes aient l'impression que la plage est propre alors qu'ils polluent les eaux et le sable avec leurs crèmes solaires ou autobronzants.
Tom - 08 Février 2018 - 17h34
-Stopper le développement des marinas, parkings à bateau et autres sources d'artificialisation pour des engins à moteur bruyants et polluants.
-Aider au contraire le développement des activités de pleine air type randonnées, voile, vélo, kayak, surf, beaucoup moins impactantes.
-Développer les pistes cyclables, les chemins de randonnées, les canaux navigables littoraux, les circuits marins, la promotion des sites de plongée, pouvant générer de l'activité économique respectueuse de tous (logement, centre sportif, ...).
-Faire découvrir aux plus jeunes les activités littorales et marines peu impactantes, et accessibles à tous (pêche à pied, sport,...) dans le respect du milieu
Grégory Hoareau - 07 Février 2018 - 09h15
Les pollutions et diverses atteintes à l'environnement que nous pouvons observés sont souvent attribués à un corps de métier ou une activité en particulier (agriculture, pêche, plaisance...). Si les pollutions et la dégradation de l'environnement sont quasi-exclusivement d'origine humaine, il pourrait être intéressant d'inverser la pédagogie en mettant réellement en avant les efforts en cours ou déjà réalisés pour protéger le littoral. En effet, les initiatives lancées pour la préservation de l'environnement sont encore trop isolées les unes par rapport aux autres. Un portail recensant l'ensemble des actions initiées ou à venir permettrait de mieux évaluer les progrès à faire. Cela serait aussi très utile d'un point de vue pédagogique pour le milieu scolaire.
Raez44 - 05 Février 2018 - 18h50
Réserver les chemins littoraux aux engins non motorisés, sauf pour les personnes à mobilité réduite.
Jean-Yves Bourcereau - 05 Février 2018 - 15h52
Il faut privilégier un tourisme populaire et développer un accueil permettant de le recevoir. C'est déjà le cas sur certaines plages vendéennes
Il faut développer des loisirs respectant l'environnement et répondant aux besoins du plus grand nombre (surf, paddle, kite, voile, ...) et éviter de développer des activités polluantes sur les côtes (multiplication des bateaux à moteurs, des scooters, ...).
Tout nouveau port de plaisance sur la côte est un nouveau parking à bateaux et une source potentielle de pollution compte tenu de ce qu'il entraîne (développement des engins à moteurs, dragage, ...).
Claude Martinuzzi - 05 Février 2018 - 10h15
Développer une dynamique évènementielle spectaculaire et vertueuse mettant en scène des équipes "Tous talents" réunies sans compétition au prétexte de construire un dériveur collectif voile / aviron ludique depuis un KIT PUZZLE malin.
Pour cela, attirer des sponsors qui choisissent la coopération d'équipes multiples co réalisant des chefs d’œuvre qui seront utiles à l'enseignement des activités durables tant aux écoles qu'au tourisme vert ainsi que lors de rassemblements spectaculaires des équipes.
Développement et expériences ici: [lien supprimé]
Claude Martinuzzi - 05 Février 2018 - 10h03
En développant des partenariats rectorat/clubs nautiques philanthropes/enseignants volontaires pour être accompagnés le temps d'une formation, proposer des cycles découvertes et approfondissements des activités Voiles, aviron, kayak sans idées compétitives.
Avec 3 bateaux collectifs voile aviron(30 élèves) , à flots,rapidement mis en œuvre pour doubler le temps de pratique sur l'eau laisser la magie de l'activité opérer avec des équipages nombreux qui absorbent et rassurent tous les caractères composant une classe Lambda.
Les mentalités des jeunes et l'amour de leur environnement change et les vocations viennent.(Expérience vécue un temps au Lycée de Pornic)
christian dromard - 04 Février 2018 - 13h36
Eviter de procéder uniquement par réglementation, et laisser le public s’approprier ses sites et son patrimoine, sans toujours préjuger de sa capacité - ou de son incapacité - à contribuer à la protection de son propre patrimoine. Il faut que nos administrations se comportent un peu moins en "flics" et fassent confiance au public. Que celui-ci soit en prise directe avec ce patrimoine, et pas uniquement par des conservatoires et autres agences parapubliques intermédiaires, coûteuses et inefficaces. Qui plus est, nos administrations n'ont, de toutes façons et objectivement, pas les moyens de faire autrement. Il faut changer de paradigme.
Jean-Luc GUILLIER - 04 Février 2018 - 11h12
Mieux les personnes sont informées, plus elle prennent conscience des choses à faire, à moins faire ou à ne plus faire.
DDPVA22 - 03 Février 2018 - 16h45
Autoriser uniquement les bouées homologuées vendues dans le commerce. Interdire les "bouées" réalisées avec des bidons, ayant contenu parfois des polluants, et que l'on retrouve échoués sur le littoral.
DDPVA22 - 03 Février 2018 - 16h39
Lors des grandes marées, les pêcheurs à pied envahissent le littoral, et par bâteau, les îlots. Afin de permettre à la faune et à la flore de se renouveller, réguler ce type de pêche en ne l'autorisant par exemple qu'une année sur deux.
Daniel Vonthron - 03 Février 2018 - 11h54
Le nombre de bateaux de plaisance ne naviguant plus ou abandonnés par leurs propriétaires sur les plages ou dans les ports et chantiers nautiques est en croissance permanente.
En effet, le développement de la plaisance depuis les années 1970 fait que beaucoup de bateaux arrive aujourd'hui en fin de vie. Le gisement des bateaux à déconstruire ne cesse de s’accroître
problèmes majeurs :
• il faut faire face à un réel problème écologique (putréfaction des coques en bois, perte des huiles, fusées de détresse...).
• nous constatons une pénurie des places de port de plaisance.
il faut rassembler un groupe de professionnels du nautisme (concessions et chantiers nautiques, ports à sec...) souhaitant répondre au problème environnemental que représente la fin de vie des bateaux de plaisance hors d’usage.
Les différentes étapes:
• transport et conditionnement.
• dépollution des bateaux si besoin.
• déconstruction des coques.
• valorisation des matières
Adrien Larangot - 02 Février 2018 - 03h37
Rendre certaines baies golfes estuaires inaccessibles dans un premier temps sur uniquement certaines périodes de rush au engin motorisées à énergies fossile ( peut être laisser un délai plus long aux pro).
Nicolas Schlick - 01 Février 2018 - 18h31
Faire payer un permis aux plaisanciers (pêches à pied, sous marine et à la ligne), ce qui permettrai d'investir dans l'aménagement, dans des programmes de sauvegarde, de réintroduction, de contrôles, de sensibilisation...
Avec ce permis, des bagues, pour les espèces à forte valeur (homard, bar, sole...)
"Bonus écologique" pour les moteurs moins polluants, électriques...
Hikayat Hikayat - 01 Février 2018 - 12h42
Les ports de plaisance cumulent quatre problèmes:
• ce sont des équipements collectifs sous utilisés
• la demande d'occupation de postes d'amarrage reste soutenue au point que l'on évoque de manière chronique une situation de pénurie
• ils sont inesthétiques et défigurent le littoral
• ils constituent un goulot d'étranglement au développement des industries nautiques en France métropolitaine
L'équation à résoudre est donc comment assurer un développement des activités de loisirs de type plaisance côtière à la voile et au moteur sans étendre démesurément les ports et marinas.
La proposition vise à introduire un changement radical dans la gestion des ports de plaisance "parkings" et dans les infrastructures de service à terre qui leurs sont associés. Ce changement est comparable, toute proportion gardée, à celui qui s'est produit dans le monde industriel lors du passage de la gestion des stocks à la gestion de flux. Il s'agit en quelque sorte de passer au juste à temps à flot.
Suly Bian - 31 Janvier 2018 - 23h49
Permettre à des familles de contribuer durant leur vacances à une action de nettoyage ou une action utile pour la population locale.
Favoriser les routes de bord de mer pour cyclistes skate et roller voire segways ou rosalies ( voiturettes à pédales)
Miser sur les projets fédérateurs originaux et permttre l évolution de festivals déjà existants pour attirer plus de gens.
Alde - 31 Janvier 2018 - 22h50
DÉVELOPPEMENT DES VOIES CYCLABLES
RÉINSERTION DE L'AGRICULTURE EN ZONE LITTORALE AVEC GÎTES ET OU CAMPING
DECOUVERTE DES MILIEUX (RANDONNÉES COMMENTÉES )
NETTOYAGES HEBDOMADAIRES DES PLAGES ET DES ZONES NATURELLES
FAIRE DÉCOUVRIR LA PÊCHE ET LES SPORTS NAUTIQUES NONS MOTORISÉS
Baron Von H - 31 Janvier 2018 - 21h28
Le bar et une espèce emblématique, c'est l'arbre qui cache la foret, en effet il est actuellement, pêché sur ses zones de frayères, bien connues des pêcheurs, là où il se rassemble, avant même qu'il n'ait pu se reproduire, alors que sa chair est d'une qualité médiocre car depuis plusieurs semaines son corps met tout en oeuvre pour produire des gamètes.
Pour le profit facile, il est pourchassé au moyen de filets, souvent écrasé au fond par le poids des autres poissons il finit en farine.
il est temps de lui laisser un repos biologique pour qu'il puisse faire en sorte de procréer afin que son espèce perdure.
Ce qui arrive au bar arrive également à d'autres espèces de poissons, pêchés en grande quantités sur frayères, poissons de médiocre qualité, abondants car vulnérable, ils ne rapportent que peu d'argent.
Laissons faire la nature , cultivons la mer plutôt que de la rendre stérile.
Baron Von H - 31 Janvier 2018 - 20h00
le bar est un poisson emblematique, c'est
Odile - 31 Janvier 2018 - 15h21
Interdire les scooters de mer et taxer très fortement les moteurs hors-bord et leur carburant pour les plaisanciers.
Favoriser par contre le kayak de mer, le surf, le kitesurf, le paddle etc
Koala - 28 Janvier 2018 - 14h04
Les routes littorales sont souvent étroites et sinueuses et souvent dangereuses pour les vélos quand la circulation motorisée à double-sens est dominante. Pistes cyclables ou mises à sens unique des routes pour les voitures pour sécuriser l’utilisation à vélo.
PIKC - 26 Janvier 2018 - 14h34
Associer la pratiques des sports de mer ou de bord de mer à des actions écologique (ramassage des déchets). Développer les associations locale en lien avec les offices du tourisme et les défenseurs de la nature.
Créer des poles mer, nature, sport et loisir dans lesquels sont présents les sachant afin de créer des synergies et réaliser des économies d'échelle sur les traitements administratifs.