Les activités et usages

Comment développer le tourisme et les loisirs pour qu’ils soient source de développement durable, non polluants, générateurs de retombées économiques et sociales positives ?

 
  • Sensibiliser les publics 2

    Soaz44 - 26 Mars 2018 - 23h04

    Utilisation de crèmes solaires non polluantes, action des pouvoirs publics pour infléchir les pratiques des industries cosmétiques

  • Sensibiliser les publics

    Soaz44 - 25 Mars 2018 - 23h31

    Campagnes d’information, manuels de bonne conduite distribués par les offices du tourisme, les capitaineries, création de zones interdites au public lorsque les milieux sont dégradés

  • Créer un parc naturel Geoparc

    jean-Sébastien Flinois - 25 Mars 2018 - 09h44

    La préservation et le contrôle des usages sont les garants de la protection de notre patrimoine. La zone de la côte de granite rose dispose d'une richesses géologique et faunistique importante.
    Le tourisme doit être intelligent et ce milieu est idéal pour sensibiliser à la protection de la nature et instruire la population.
    La création d'un Geoparc permettrait d'appréhender la nature comme un ensemble et lier terre et mer. Peu de gens connaissent la richesse et l'importante du sol et du sous sol. Elle raconte pourtant une histoire ancienne à forte valeur culturelle.

  • Et si l'État considérait les plongeurs comme des éco-citoyens

    Entre2Eaux-Plongée - 24 Mars 2018 - 21h20

    Tout le littoral français est parsemé de clubs de plongées dont la majorité sont composés de bénévoles, la plupart affiliés à la FFESSM. Nous connaissons les fonds marins de notre secteur par coeur, nous suivons l'évolution de la faune et de la flore depuis des dizaines d'années, nous constatons aussi les dégâts aiguës et chroniques provoqué s par les humains. Nous pourrions être un excellent réseau de surveillance et de proposition. A bon entendeur

  • Eduquer par application smartphone (2)

    Nicolas Ducos - 24 Mars 2018 - 12h07

    espèces protégées……
    Les actions des volontaires seraient évaluées, qualifiées, récompensées par des bonifications, par exemple : séjours gratuits, suppression de la taxe de séjour, baisse d’impôts…
    Ainsi, en éduquant et en incitant d’une manière ludique et positive, la collectivité agirait en amont et diminuerait ses coûts de gestion de l’espace public.

    Entre2Eaux-Plongée
    Bonne idée si en retour on ne trace pas l'itinéraire des personnes ...
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  • Eduquer par application smartphone (1)

    Nicolas Ducos - 24 Mars 2018 - 12h06

    Aujourd’hui, tout le monde prend conscience de l’impact de l’homme sur son environnement, c’est criant en ce qui concerne le littoral.
    Pour autant, nous entretenons un incroyable paradoxe : celui de l’intérêt particulier pour la jouissance d’un bien commun….
    L’attrait du littoral a des conséquences directes sur le milieu : urbanisation, fréquentation, érosion, gestion des déchets….
    Pourquoi ne pourrait-on pas éduquer, réguler et mieux gérer l’espace? développer des initiatives positives pour inciter au bon usage du bien commun ?
    1) Éduquer
    C’est une évidence : l’homme dégrade le milieu sans mauvaise volonté, mais par méconnaissance et manque d’information.
    Imitons les compagnies d’assurances, qui ont développé des applications pour les conducteurs vertueux :
    Pourquoi ne sensibiliser, via une application Internet géolocalisable, la population littorale et les touristes aux bons gestes comme par exemple, le tri sélectif, l’utilisation des transports en commun, le respect des ....

  • Dialoguer avec les utilisateurs

    Yves ETIENVRE-LE PRIOL - 23 Mars 2018 - 18h58

    Pour toutes les décisions, il est nécessaire de dialoguer avec les utilisateurs. En tant qu'association de pratiquants de kite surf, (PIKC Presqu'ile Kite Club) nous sommes les mieux placés pour définir les zones de pratique, les possibilités d'améliorations pour une pratique écologique, pour informer, former les nouveaux pratiquants, pour négocier avec les autres utilisateurs et avec les ministères, régions, départements, DDE, etc... Notre pratique est fondamentalement écologique, respectueuse et en symbiose avec notre environnement. Il convient de la développer, ce qui développera l'emploi, la richesse et la beauté de notre Bretagne. Arrêtons d'interdire, et dialoguons pour le bien de tous

    Entre2Eaux-Plongée
    Bonne proposition, les kiteurs, surfeurs et glisseurs sont à la surface, nous les plongeurs prolongeons cette connaissance du milieu sous la surface ... et on a plein de choses à dire
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  • Développer la filière nautique et les services aux plaisanciers

    axel-peigne - 23 Mars 2018 - 13h21

    La filière nautique est très dynamique avec des marques françaises mondialement connues. Ces entreprises emploient de très nombreux ouvriers, vendeurs, concessionnaires et autres mécaniciens qui dépendent de la bonne forme de la filière. A l'heure où l'état cherche à valoriser le made in France, c'est une chance énorme de pouvoir compter sur cette industrie en croissance.
    Il faut évidemment que cette industrie progresse dans sa transition écologique, mais elle ne peut se faire à marche forcée, sous peine de pénaliser les entreprises françaises face à leurs concurrents étrangers.
    Attention également aux services aux plaisanciers qui sont souvent mal notés dans les ports français, en comparaison avec les ports étrangers. Il faut développer de nouveaux services plus en adéquation avec les attentes des plaisanciers (services numériques, location de bateaux, commerces, etc...)

  • Une source de développement d'activités, de développement économique et social

    Stephan SERRA - 23 Mars 2018 - 11h08

    La plaisance est aujourd'hui une source très importante d'emplois:
    les chiffres d'une étude réalisée en 2016 par la Région Bretagne et la FIN sur le poids de la filière nautique bretonne sont éloquents :
    1,75 Milliards de retombées directes et indirectes
    7500 emplois
    2000 acteurs économiques
    Nos côtes fourmillent d'entreprises qui vivent de ce marché et qui font vivrent des centaines de familles.
    Sur cette grande région en particulier, les activités de voiles sont très importantes. Il suffit de regarder le week end le nombre de bateaux sur les plans d'eau pour comprendre l'enjeu de cette filière que ce soit en loisir ou en compétition.
    Inutile d'ostracisé le motonautisme qui lui aussi est pourvoyeur d'emplois, La gestion des ports de plaisance est de plus en plus stricte, les zones de carénages sont réglementées.
    Evidemment nous devons sans cesse améliorer l'impact environnemental de la pratique de la plaisance et des loisirs.

    Entre2Eaux-Plongée
    Beaucoup de boulot de sensibilisation pour les plaisanciers (moteur et voile) car sous l'eau on a des preuves visuelles de l'irrespect de certains
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  • Sauvons la Loi Littoral

    Yves ETIENVRE-LE PRIOL - 20 Mars 2018 - 20h23

    Le tourisme ne peut que s'envisager avec un littoral très préservé, mais avec une accessibilité pour tous.
    Il faut se résoudre
    à des zones protégées
    à un recul des activités ( logement, parkings, restaurants,...) en toute bord de mer ( éviter ce qui se passe en côte Sud , Riviera, etc...)
    mais
    il faut laisser des accès à tous et à toutes les activités sur le littoral.
    Toutes les activités de bord de mer et à proximité doivent être non polluantes ( ostréiculture, tout à l'égout, agriculture, transport..)
    Le tourisme se développera tout seul en fait si le cadre est préservé et les accès aussi.

  • Informer et sensibiliser à la mer la société civile de la façade NAMO

    Bretagne Vivante - 20 Mars 2018 - 15h33

    Pour beaucoup la mer reste un lieu de loisir. Les enjeux et les risques de l’économie bleue, le changement climatique suscitent interrogation et parfois crainte. De nombreuses mobilisations ont montré une capacité à s’opposer à certains projets. Seule une information partagée et la plus objective possible permettra aux citoyens de s’approprier les connaissances et de se forger un avis.

    Bretagne Vivante propose de
    - Faire des aires marines protégées, des sites Natura 2000, des réserves nationales ou régionales des lieux d’éducation à la mer et aux enjeux de protection du milieu marin.
    - Utiliser le numérique pour mettre à disposition du plus grand nombre les connaissances scientifiques et bancariser l’information.
    - Favoriser les sciences participatives, les activités de découverte du milieu marin, la découverte des métiers liés à la mer.
    - Promouvoir et développer les aires marines éducatives.

  • Sauver, avec la loi Littoral, ce qui peut l'être encore !

    chouan - 18 Mars 2018 - 16h15

    En 50 ans, le littoral a été très artificialisé pour développer le tourisme (construction sur dunes/forêts/marais/terres agricoles), au mépris de la qualité de celui-ci (vision à court terme, ignorance des enjeux relatifs aux milieux). Appétits immobiliers nuisant aux activités économiques en place, explosion des coûts du foncier expulsant les jeunes, bien que de nombreux logements soient souvent fermés : est-il trop tard pour y remédier ?

    Tentons :

    - moins de résidences secondaires (à taxer si jamais louées), de NA devenant AU, de construction de ports parkings (sédiments bloqués, dragages répétés)

    - plus de contrôles de légalité par l’Etat, d’aides au maraîchage bio (emplois, respect du sol), de moyens pour le Conservatoire du Littoral

    Renforçons la loi Littoral, prenons en compte la capacité d’accueil du territoire : pression maximum supportable par les ressources de ce dernier (méthodologie existante).

    Retrouverons-nous espaces libres, mixité sociale et générationnelle ?

    Philippe Lavenant
    je ne suis pas d'accord . Le littoral est actuellement une vrai frontière entre la terre et la mer; Il faut pas faire n'importe quoi mais il faut faciliter le passage d'un milieu à l'autre. La mer fait partie de notre territoire, il faut assurer donc une continuité en favorisant les accès public
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  • Pour aller à la rencontre des îles de façon plus respectueuse

    Didier Schneider - 16 Mars 2018 - 09h29

    Vous voulez aller voir l'archipel de Glenan, l'île d'Yeu, Belle île en mer, Groix, Houat, Hoedic et bien d'autres îles... le "meilleur" moyen qui vous est proposé pour vous y rendre c'est un bateau aux moteurs diesel bien polluants.

    Alors que des millions de français rêvent devant le Vendée Globe, devant les exploits de nos skippers, alors que les français se passionnent pour la la mer et la voile, qu'ils rêvent d'une expérience sur un "grand" voilier... arrivés sur nos côtes rien, ou quasi rien, ne leurs est proposé.

    Pourtant plusieurs chantiers francais proposent des catamarans à voile pour le transport de passagers, de nombreux marins professionnels compétents (capitaine 200 voile) sont sur le marché de l'emploi, les infrastructures existent...

    Il manque juste une belle impulsion politique et la coordination d'une ambition partagée.

    Philippe Lavenant
    Belle idée
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    Yves ETIENVRE-LE PRIOL
    Bonne suggestion !
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  • Estuaires Loire Vilaine

    jc.ménard - 14 Mars 2018 - 14h49

    Algoculture ,
    Domaine peu exploité si ce n'est à partir des algues sauvages. Mais des boutiques proposent et vendent de plus en plus des algues préparées (carpaccios d'algues). En Asie la consommation des algues est importante et est une culture maîtrisée. Les algues sont riches en oligos éléments et protéines, elles ne font pas grossir et sont agréables en goût, crues ou séchées elles accompagnent les poissons les potages. La production d'algues (locales et correspondant aux espèces existantes, en Bretagne, Kombu royal, Dulce, ulves) pourrait connaître un développement intéressant. Cette culture peut être associée à la production par exemple des moules sur filières.

    jc.ménard
    erreur de page à lire en aquaculture
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  •  La Gestion des Ports de Plaisance

    FNPA - 12 Mars 2018 - 17h46

    Depuis la promulgation de la loi NOTRe, la gestion des Ports de Plaisance revient le plus souvent au Département, qui se regroupe parfois avec la Communauté des Communes (CDC) ou d’agglomération (CDA) en un syndicat mixte.
    La loi n’a rien prévu pour associer les usagers (plaisanciers amateurs pour leur plus grande majorité) à cette gestion : Aussi nous demandons que le législateur corrige son oubli en modifiant le Code des transports, de façon à ce que les représentants élus des usagers aux Comités de Liaisons avec les Usagers des Parts de Plaisance (CLUPP, organismes purement consultatifs et souvent ignorés des gestionnaires des ports de Plaisance) deviennent des membres effectifs des Conseils Portuaires et puissent participer avec voix délibérative à la gouvernance de leur port de plaisance.

    Philippe Lavenant
    Cela me parait effectivement nécessaire
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    doudou
    Associer les usagers au processus permettrait de faire accepter les notions de partage et de respect du milieu littoral.
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  • Le droit d'accès à la mer

    Philippe Lavenant - 08 Mars 2018 - 20h20

    Pour ma part , j'estime qu'actuellement trop de contraintes existent en France pour accéder à la mer. La mer ( les 12 milles ) fait partie à part entière du territoire national.

    Pour des raisons idéologiques environnementales , la France tourne le dos à la mer et à son possible développement. Le littoral doit pouvoir être intelligement aménagé. Les diverses réglementations ( natura 2000 ) bloquent tout.

    Nous manquons actuellement cruellement d'infrastructures tels que bases nautique , cales de mise à l'eau , ports de plaisance , ports de pêche et ostréicoles , terminales ferry , port de navires de servitude pour les éoliennes.... N'ayant pas peur de réaménager

    Se loger (sous réserve de ressources financières ) demande quelques semaines. Acheter une voiture demande une journée.

    Disposer d'un accès actuellement sur le littoral pour son bateau , son dériveur , son surf son kayak , son navire est un parcours du combattant.

    Pouvoir aller sur l'eau devrait un droit





    FNPA
    Si c'et un droit, il faut en accepter aussi tous les devoirs! La création d'une véritable entité de décision des conditions de partage de l'espace est indispensable
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    Philippe Lavenant
    C 'est quoi les devoirs pour vous ?
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    Stephan SERRA
    Entièrement d'accord avec vous.
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  • SOS-SAUVEZ BRÉTIGNOLLES SUR MER D’UN PROJET DE PORT DESTRUCTEUR.

    V..O - 06 Mars 2018 - 18h45

    Il est évident qu’un port serait une catastrophe environnementale (7 avis négatifs de la commission d’enquête publique de 2011). Mais c’est le projet d’un maire buté, qui depuis 15 ans, détruit notre commune :
    • Il divise la population.
    • Il engloutit des sommes astronomiques au détriment d’investissements pour les Brétignollais.
    • Il a saboté notre lac marin :
    ◦ Les petits, les personnes à mobilité réduite, ne peuvent plus se baigner.
    ◦ Nous avons perdu un lieu convivial.
    ◦ Les camping cars ont été refoulés devant le cimetière.
    ◦ Les bateaux de l’école de voile sont transportés en tracteur
    ▪ jusque dans l'étang de pêche, plein d’hameçons et de ragondins, auparavant interdit aux activités nautiques !
    ▪ et sur notre plage encadrée de rochers, auparavant le 2ème lieu où l’on pouvait se baigner aisément, activité désormais interdite !
    De nombreux estivants ne viennent plus.
    Libérez nous de ce projet !!!

    Cyr
    Les zones lunaires sont des espaces sensibles et protégés. Comment un tel projet coupant la dune de la Sauzaie en deux a-t-il pu voir le jour et perdurer malgré les nombreux avis défavorables émis?
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    Cyr
    Les zones lunaires sont des espaces sensibles et protégés. Comment un tel projet coupant la dune de la Sauzaie en deux a-t-il pu voir le jour et perdurer malgré les nombreux avis défavorables émis?
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    Pragmatique
    Le projet a perduré avec la réélection 3 mandats de suite de l’équipe municipale proposant ce projet face à votre liste qui était contre. Ce projet a en effet une légitimité populaire et démocratique. De plus vos arguments sont partisans et donc tronqués. Allez voir le film de qqs minutes présentant le projet sur le site de la communauté de communes du pays de saint gilles pour avoir les réponses à vos inquiétudes.
    • Pas d'accord
      2
    V..O
    1)Je ne fais partie d'aucune liste. 2)Ce ne sont pas des arguments mais des faits!!! 3)Je ne vois pas l'intérêt de visionner ce film, je connais trop bien votre souci avec les chiffres! Vous affirmez par exemple que "87% des Brétignollais veulent le port"... pourtant, plus de 44% ont voté contre, et depuis, le nombre de lassés, déçus, fâchés, augmente de jour en jour... Les Brétignollais ont d'autres besoins, écoutez les!
    • Pas d'accord
      6
    V..O
    J'aime Brétignolles. J'ai réalisé mon rêve d'enfant en venant m'y installer. Je suis triste de voir tout ce que ce projet a déjà détruit, et je fais et ferai tout mon possible pour voir la fin de cet insensé gâchis.
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  • Commencer par le début

    philippe - 04 Mars 2018 - 13h59

    La majeur partie des activités touristiques et de loisir en contexte littoral prennent appui sur les espaces naturels. Pour limiter l'impact de ces activités cela nécessite aménagements, mise en protection etc qui sont le plus souvent financés sur les budgets dédiés aux espaces naturels. Résultat de cette politique, les fonds normalement dédiés à la préservation des espaces naturels sont finalement utilisés en aménagements préventifs des activités touristiques et de loisir, ramassage des déchets etc. La politique préservation de la faune/flore dotée de moyens normalement confortables s'en retrouve en slip avec des moyens dérisoires. La majeure partie des fonds alloués étant en effet affectée aux aménagements et mesures curatives. Le principe "pollueur/payeur" ne s'applique pas à l'environnement lui même. Chaque activité doit contribuer à financer la résolution de l'impact qu'elle génère, sinon la volonté de préservation de la biodiversité sera un fiasco évident.

    philippe
    un bel exemple dans la presse ce jour. Les bateaux à touristes ayant massacré les coraux ceux-ci vont accéder désormais à travers l'île et la réserve naturelle à la plage. Qui devra gérer le flux de public, qui devra restaurer les sentiers usés par la sur-fréquentation, dans le mille: la réserve naturelle. [lien supprimé]
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    philippe
    "Maya Bay est une perle en Asie avec ses eaux cristallines et ses grandes falaises de calcaire en arc de cercle formant une crique rocheuse. Chaque jour, dès le début de matinée y affluent par bateau près de 5000 personnes.La faune marine est affectée, les récifs coralliens se retrouvent blanchis en raison de l'ancrage et des allers et venues des bateaux....Face à l'urgence écologique, les autorités thaïlandaises ont pris une décision radicale et inédite sur ce site: fermer temporairement l'accès aux bateaux entre juin et octobre, durant la basse saison. Les curieux pourront toujours l'atteindre par l'arrière de la baie, les embarcations les déposant de l'autre côté de l'île."
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  • Développer les activités sportives non polluantes

    albizia - 03 Mars 2018 - 11h22

    La jeunesse d'aujourd'hui est plus attirée par les sports de glisse ou de voile, alors facilitons l'accès au plus grand nombre, au lieu de créer des ports de plaisance dangereux pour l'environnement

    lesako
    Encourager et favoriser la pratique du kayak de mer, soit en sorties à la journée, soit en randonnée autonomie. Le bivouac ne laissant pas de traces est quasi interdit aujourd'hui. Or cette activité, faite d'engagement physique et de contemplation, induit chez les jeunes une connaissance intime avec le monde maritime. D'où un respect ressenti comme naturel, et non imposé.
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    Philippe Lavenant
    Même pour les sports de glisse et voile , il faut des aménagements. Aujourd'hui , c'est un peu le parcours du combattant pour accéder à la mer
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  • Respecter le trait de côte

    BonmaMarie - 02 Mars 2018 - 11h49

    En Vendée, le littoral est fragile. Pour le protéger, des dunes ont été en particulier construites pas les hommes aux siècles derniers en complément des dunes naturelles. La côte vendéenne est le fruit d'une action respectueuse de l'homme envers la nature.
    Les tempêtes plus ou moins récentes mettent en évidence que les entailles non naturelles (ports, digues ...) sont des points de vulnérabilités.
    Il est indispensable de penser la mise en valeur du littoral en tenant compte de cette vulnérabilité, pour l'Homme et pour les espèces animales et végétales nombreuses qui y vivent.

  • Le tourisme est éphémère

    Dominique - 01 Mars 2018 - 19h05

    Tout miser sur le tourisme mène très rapidement à une activité limitée à 2 mois de l'année. Activité qui suppose des infrastructures importantes. Les 10 mois restants sont réservés aux vieillards et à quelques randonneurs qui ne savent ni où dormir ni où manger, tandis que les infrastructures coûteuses restent inutilisées.
    Ceci est vrai non seulement en France, mais dans la majorité des pays européens qui connaissent un climat "frisquet". Que ce soit en Irlande ou en Grèce, même problème.
    Alors, c'est autre chose qu'il faut non pas inventer, mais soutenir ou rétablir : une activité locale basées sur les richesses et le savoir faire. Une ou des activités qui constituent, encore, la culture du littoral.

    vendéenne
    Pourquoi ne pas conserver des fermes biologiques en limite du littoral.../. c'est une façon de protéger la côte !
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    Pragmatique
    Des projets alternatifs à l’urbanisation sont possibles, reste à les étudier objectivement sans à priori. C’est le cas de Port Brétignolles
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  • Arrêter des projets de ports qui ne servent à rien

    Hugues de Grandmaison - 01 Mars 2018 - 14h32

    Nous avons à Brétignolles un port fait par un maire qui est jusqu'au boutiste pour son port. Beaucoup de gens sont contre et sont attachés aux jolies plages que nous avons.. Plus de contrôle public est nécessaire pour empêcher ces maires irrespectueux et qui dépensent l'argent public sans compter.. Il serait temps de faire les choses un peu sérieusement et de mettre fin aux actions de ses tristes sires qui dépensent sans compter, laissent des dettes aux générations futures et ruinent l'environnement....

    arvensis
    Les véritables marins amateurs montrent tous les jours qu'ils n'ont pas besoin de port de plaisance pour aller en mer. Le projet vendéen est une aberration écologique et économique puisque les communes concernées n'ont pas besoin de ce port pour se développer, comme on peut le constater par l'augmentation conctante de la population résidente principale.
    • Pas d'accord
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    Philippe Lavenant
    Je connais pas la situation particulière de votre région mais le littoral a besoin de ports bien pensé. c'est un trait de liaison indispensable entre la terre et la mer au nom de la continuité territoriale. Pas de port = peu ou pas de possibilité d'aller en mer !
    • Pas d'accord
      0
    Pragmatique
    Il faut voir le projet en effet avant d’être pour ou contre. ... et rester objectif ! En effet ces communes ce sont développées mais avec des lotissements de résidences secondaires type merlin ou ferinel. Et c’est que nous ne voulons plus . Un projet intégré dans l’environnement comme ce port qui est une alternative à l’équivalent d’environ 4000 résidences secondaires est un bon projet qui mérite d’être mené au bout.
    • Pas d'accord
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  • sensibilisation!!!

    oliv93 - 01 Mars 2018 - 11h30

    Créer des postes pour sensibiliser les estivants et les locaux. (Infos/stages/panneaux/contrôles de sensibilisation …)

    Encourager le tourisme vert, la remise en état des marais salants, des moulins à vents et à marées. culture de la salicorne...

    Aider l'étude et l'implantation d'écloseries pour les espèces menacées (comme pour le saumon)

    Revenir à une pêche côtière responsable optimisant tout ce qui est pêché, encourager les pêcheurs à se diversifier (culture d'algues, pêche-promenade, resto-bateaux…)

    Organiser des campagnes pour sauver les traits de côte. Des gens pourraient ainsi se lier pour fabriquer des kilomètres de murets et sauver des villages entiers de la montée des eaux prévue, comme les marées noires qui ont bénéficié de ce genre d'élan.

    Pourquoi pas une émission TV? Les propriétaires côtiers seraient certainement ravis d'accueillir une semaine les courageux sauveurs du trait de côte!

  • la mer et le littoral sont à valoriser

    hughes blachere - 27 Février 2018 - 10h17

    Il est bien entendu que les quotas de pêche, les mailles, les périodes de pêche, tout règlement visant à protéger notre environnement marin forment des décisions indispensables.
    Ces décisions doivent être réfléchies et " intelligentes"; leur application doit être sans faille à condition qu'elle soit réalistes et équilibrées.
    Toute décision outrancière va immédiatement générer des contournements de la règle.
    La difficulté est de s'affranchir de la force des "lobbys" et de ne pas céder aux intérêts particuliers. Seul l'intérêt général doit être pris en compte.
    Une politique juste et équilibrée forcera le respect de l'un vers l'autre ; nous serons tous heureux de participer à la valorisation de notre bien commun

  • Interdiction dès extractions de sable

    ValDKG - 24 Février 2018 - 11h21

    Interdire tout les extractions de sable dans les eaux territoriales française. Les extractions contribuent à la disparition des plages et à la disparition des espèces marines.

    Il faut commencer par annuler tous les chantiers envisagés, par exemple l’extraction de sable de Lannion

    Nicolle Perier Micheaux
    les plages de Noirmoutier coté Est sont de moins en moins sablonneuses tous les ans nous voyons apparaitre des roches qui étaient sous le sable autre fois !!au Vieil,c'est flagrant
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  • L

    Rhizome - 22 Février 2018 - 14h52

    Il faut élargir la réflexion sur le littoral à l'arrière pays, et ne pas limiter les interventions et réglementations à la bande côtière. La notion de littoral s'ancre autant dans le paysage maritime que dans celui de l'arrière pays constitué par les falaises, les collines, les vallons, mais aussi le bocage, les différentes agricultures, les cours d'eau... Élargir la réflexion, c'est rendre plus attractif l'arrière pays, lui donner un rôle touristique à part entière, donner à voir la diversité, la richesse et la complexité du territoire. Mais cela permet aussi de faire "baisser la pression" touristique sur la bande côtière à proprement parler.
    Quelques pistes: soutenir l'agriculture et mettre en valeur son intérêt patrimonial et touristique et intérieur, renforcer les activités de loisirs à l'intérieur des terres, renforcer les sentiers piétonniers et cyclables entre l'arrière pays et la cote, renforcer l'accessibilité en transport en commun, réglementer l'urbanisation...

  • Développer les transports en commun en saison

    MYLÈNE TESSON - 21 Février 2018 - 11h39

    Développer les navettes vers la côte : navettes en bus, navettes en bateau pour traverser la rade, embaucher des pouces-pouces (un cycliste qui peut emmener deux personnes dans un cariole), augmenter les fréquences! Un petit bus qui dessert la plage toute la journée et même le soir! ça évitera les bouchons, les pollutions, la multiplication des parkings et des voitures dans le paysage!

  • ne pas sous estimer la place des loisirs

    brestfishing - 20 Février 2018 - 09h48

    la mer et le littoral ne doivent pas être un espace quasi exclusivement réservé a l'industrie et a l'exploitation de la ressource. le domaine des loisirs doit y avoir sa place. c'est un domaine pourvoyeur d’emploi et qui facilite la prise de conscience collective sur la fragilité du milieu. par exemple dans le domaine de la pêche de loisir, la réglementation actuelle privilégie l'exploitation de la ressource par la filière pro. mais le loisir crée 8 fois plus d'emplois et rapporte 10 x plus d'argent sans bénéficier de subventions.
    a mon sens la protections des espèces marines doit être une priorité le bon état de santé des stock de poisson pourra nous permettre de développer le loisir tout en continuant une exploitation resonée de la ressource halieutique.

  • l'État Français doit légiférer

    Nicko - 19 Février 2018 - 00h28

    Légiférer sur ce que les entreprises auront le droit de vendre à l'avenir concernant les navires à moteur, l'état doit se substituer aux entreprises pour imposer un futur plus respectueux de l'environnement en interdisant les ventes de moteur thermique dans les bateaux qu'ils soient juste à moteur mais aussi voiliers.
    Et pour ça l'état doit investir dans la recherche fondamentale mais aussi imposer aux entreprises fabriquants ces navires de changer de paradigme.
    À nos élus d'imaginer comment mais quand on mets de l'argent de la table ou que l'on efface des impôts avec des contreparties généralement tout est faisable :-).

    Concernant le tourisme ce sont aux communes et aux acteurs de faire en sortes que les gens soient respectueux. Mais peut-être que mettre des amendes pour mise en danger d'autrui (exemple sauvetage périlleux en montagne) ou pour déchets jeter dans la nature(plage)/rue (exemple Taïwan) ça permettrait aux gens de mieux se comporter

    Alain Redon
    Interdire les moteurs thermiques pour les voiliers !? Vu le peu d'heures où ils sont utilisés voilà une mesure très utile ! Plutôt ridicule...
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    doudou
    La plaisanc ne représente rien dans le processus! Les vrais sujets sont sur terre et nécessite une remise en cause réaliste des pratique tant agricoles que de transports individuels
    • Pas d'accord
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  • Aider les touristes à avoir de bonnes pratiques, c'est aussi la responsabilité de l'hôte

    Titi Wattou - 16 Février 2018 - 23h47

    J'accueille un touriste. Vais-je lui faciliter les déplacements collectifs, en mode doux, ou continuer à lui faire préférer sa voiture? On peut avoir une politique de restriction des parkings proches des plages, accompagnée d'un développement des circuits bus gratuit et des pistes cyclables aménagées, par exemple. Voire interdire la circulation automobile dans certaines zones...
    Quand le touriste revient de la plage, est-ce qu'il se douche et nettoie ses affaires à l'eau potable? Les campings font-ils de la récupération d'eau de pluie? Est-ce que l'eau traitée des STEP pourrait être utilisée à certains usages?
    Le touriste va acheter des souvenirs. Vais-je lui vendre des bricoles à moins de 2€ made in China?
    Un travail pourrait être fait, sur tous les plans du développement durable, avec les professionnels déjà en place qui vivent du tourisme au lieu de "culpabiliser le touriste" ou de développer de nouvelles offres qui attirent un segment particulier de la population, de "niche".

  • Développer un tourisme original ... pas facile

    Jérôme Legoux - 16 Février 2018 - 22h40

    A Saint Nazaire, jusqu'il y a quelques mois on pouvais dormir dans une pêcherie ! Saluée de Tous, du guide du routard, à France 2, TF1, et de très nombreux passages dans la presse, Madame la préfète a eu une interprétation de la loi littoral qui n'est pas la même que dans d'autres départements ou le préfet a validé des activités similaires.
    C'est bien dommage. Cet hébergement était de plus entièrement écologique et autonome électriquement....
    Pour quelle raison une interprétation d'un préfet dans une région autorise ce que l'interprétation d'une autre préfète mène a une interdiction en Loire Atlantique ?
    Madame Klein, pourrait-on se rencontrer?

  • rajouter des critères pour l'obtention des pavillons et stations pour les communes

    philippe - 16 Février 2018 - 20h21

    Des plages propres c'est bien, pavillons bleus par ci par là, tout comme statut de station balnéaire/touristique, mais ceci cache bien des déséquilibres. Pour un développement effectivement durable, il faudrait repenser l'attribution de pavillons aux communes ou en créer un nouveau sur une base de critères plus vaste: démarche globale de développement durable, engagement à préserver les espaces naturels, valorisation respectueuse de la nature, qualité des eaux, etc

  • Que le domaine du tourisme soit ponctionné pour préserver les espaces naturels

    philippe - 16 Février 2018 - 20h09

    Les communes concernées par un statut de protection des espaces naturels représentent à elles seules la grande majorité de la capacité d'hébergement touristique française. Il me paraît évident qu'il y a un lien de cause à effet: paysages agréables, cadre de vie agréable, authenticité, supports de moulte loisirs nature,.... Nombres de sites naturels accueillent bien plus de visiteurs que beaucoup de musées nationaux, bâtis remarquables classés au patrimoine national. Tous protégés par les mêmes loi, les éléments patrimoniaux bâtis sont bien soutenus financièrement et les gestionnaires d'espaces naturels ont leur jette des cacahouètes. Le dispositif Natura 2000 n'est quasiment plus soutenu depuis trois ans déjà et les mesures agri-environnementales biodiversité viennent d'être supprimées. A quand, une réversion d'une partie de la taxe de séjour au profit des espaces naturels, ce serait un juste retour de reconnaître enfin les enjeux économiques énormes qu'ils représentent.

  • Une charte, un label pour le tourisme et les loisirs des communes littorales

    vigibaie - 16 Février 2018 - 16h56

    Le développement durable est l'affaire de tous. Communes, acteurs du tourisme, des loisirs, etc... doivent s'engager collectivement dans un plan d'actions selon un cahier des charges National ou Régional débouchant sur un label.
    L'Etat ou la Région doit définir les critères à retenir et les objectifs à atteindre. Des communes pilotes pourraient être choisies créant ensuite une émulation avec les autres communes. La promotion de ces communes labellisées serait bénéfique à leur image et à leur développement. Le principe du label dans d'autres secteurs est bien connu. Son intérêt pour une démarche qualitative n'est plus à démontrer. Il faut promouvoir les bons exemples.
    Autre commentaire lu : "Développer la plaisance sans miter le littoral de parkings à bateaux sous-utilisés". Nous appuyons ce commentaire pertinent.

    Eric Soudy
    Ce label existe déjà en Bretagne pour les hébergements de tourisme [lien supprimé]
    • Pas d'accord
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    MYLÈNE TESSON
    Ok mais il faut un label exigeant, sinon, aucune confiance des consommateurs et le label finit par se superposer à tous les autres sans distinction.
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  • Remettre les classes de mer au gout du jour

    Claude Martinuzzi - 15 Février 2018 - 10h33

    Permettre à chaque élève du Primaire de vivre une fois un séjour collectif de 2 semaines à 3 semaines au bord de l'eau .
    Développement personnel, socialisation , valorisation, respect collectif pour vivre ensemble, découverte des pratiques nautiques et amour du milieu sont des graines pour une vie meilleure en société. Une alternative au besoin d'un Service national si on fait de même avec un séjour long à la montagne, à la campagne...?

    MYLÈNE TESSON
    La classe de mer c'est génial. La mer est un super support pédagogique, on peut dire ce qu'on veut en classe sur l'écologie et le développement durable, c'est bien de voir la mer et les bêtes dans l'eau qui donne envie aux futurs adultes de protéger leur milieu.
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    Calliope
    Pour qu'il y ait un véritable changement, nous devons proposer ces partenariats sur le plus long terme. On doit penser à une continuité dans l'éducation et ne pas s'arrêter au primaire mais au -delà. On arrive alors dans la logique de la refondation du collège et de l'école (2015) et à créer un continuum et un parcours de formation cohérent. S'agissant, bien évidemment, de tous les classes (montagne, mer, foret, ..)
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  • Arrêter l'enseignement en classe primaire en Optimist qui effraie nombre d'enfants.

    Claude Martinuzzi - 15 Février 2018 - 10h21

    Revenir aux dériveurs collectifs voile aviron pour mettre de la joie sur l'eau.
    La majorité des cycles voiles des classes primaires se pratique sur des bateaux individuels pré destinés à la sélection sportive.
    L'enseignement d'une classe lambda visant l'épanouissement , l'amour du bateau et de sa région gagnerait à se faire avec des bateaux collectifs rassurants et conviviaux .
    Chacun sait que mettre à l'eau 24 bateaux prend 40 minutes avec de petits mousses pas toujours motivés.
    Embarquer en 5 minutes sur 3 collectifs à flot, avec moniteur, double le temps et permet à la magie du bateaux d'opérer pour consolider la passion...

  • Un écotourisme REELLEMENT utile !

    FAREA - 12 Février 2018 - 18h46

    Les FaréVillages s’intègrent dans une stratégie de développement touristique locale, c’est à dire en phase avec les impératifs d’atractivité touristique, et ceux de la protection des sites. Pour assurer cette mission les FaréVillages respectent une charte dans laquelle les “clients” peuvent devenir acteurs sur des actions correctrices adaptées. Ceci permet d’avoir à la fois des séjours ponctués d’action ludiques, correctrice, et formateur pour les jeunes générations.
    Par ailleurs, les Evennementiels organisés sur dans les FaréVillages seront décidés avec les Elus.
    Les FaréVillages seront (a terre) installés sur les PPRI
    [lien supprimé]

  • Des projets innovants assurant le développement économique et aussi l'environnement

    Pragmatique - 12 Février 2018 - 13h08

    Il faut dans ce "nouveau monde" regarder tous les nouveaux projets de développement touristique qui peuvent être une alternative réaliste et durable à l'urbanisation par les résidences secondaires. Ces projets structurants de notre territoire doivent être le moyen de concilier de façon moderne (et sans préjugé) développement touristique, essor des communes littorales et protection de l'environnement. La création de "zones classées" et de lois supplémentaires ne sont pas la solution car il n'est pas envisageable de "figer" et d'empêcher les communes littorales de se développer. Ainsi des projets de thalassothérapie, port de plaisance, parc naturel touristique... doivent être étudiés objectivement.

  • Commerce et accompagnement

    gael mathurin - 11 Février 2018 - 21h38

    Encourager les magasins du littoral à informer sur les pratiques à tenir. Un livret indiquant la réglementation pour toutes les pêches, mailles, périodes de reproduction à respecter, respect de la sécurité. Conduite à tenir en littoral avec une bonne gestion des déchets et de la faune, flore environnante.
    Encourager des partenariats avec des acteurs locaux pour apprendre les bonnes pratiques.
    Cela ne concerne pas que la pêche mais tous les secteurs. Avec un paddle on peut aussi créer de vrais soucis en s'approchant de trop près de zones de nidifications inaccessibles en bateau ou à pied.

  • nettoyage des plages

    christian b 1 - 08 Février 2018 - 23h10

    arrêter le nettoyage mécanique des plages qui bouleverse l'écosystème des plages. Tout ça juste pour que des touristes aient l'impression que la plage est propre alors qu'ils polluent les eaux et le sable avec leurs crèmes solaires ou autobronzants.

    V..O
    Une solution: le #seauplagepropre!
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  • Développer tourisme vert et loisirs respectant la nature

    Tom - 08 Février 2018 - 17h34

    -Stopper le développement des marinas, parkings à bateau et autres sources d'artificialisation pour des engins à moteur bruyants et polluants.
    -Aider au contraire le développement des activités de pleine air type randonnées, voile, vélo, kayak, surf, beaucoup moins impactantes.
    -Développer les pistes cyclables, les chemins de randonnées, les canaux navigables littoraux, les circuits marins, la promotion des sites de plongée, pouvant générer de l'activité économique respectueuse de tous (logement, centre sportif, ...).
    -Faire découvrir aux plus jeunes les activités littorales et marines peu impactantes, et accessibles à tous (pêche à pied, sport,...) dans le respect du milieu

  • Limiter les conflits d'usage en permettant le rencontre de ces usages

    Grégory Hoareau - 07 Février 2018 - 09h15

    Les pollutions et diverses atteintes à l'environnement que nous pouvons observés sont souvent attribués à un corps de métier ou une activité en particulier (agriculture, pêche, plaisance...). Si les pollutions et la dégradation de l'environnement sont quasi-exclusivement d'origine humaine, il pourrait être intéressant d'inverser la pédagogie en mettant réellement en avant les efforts en cours ou déjà réalisés pour protéger le littoral. En effet, les initiatives lancées pour la préservation de l'environnement sont encore trop isolées les unes par rapport aux autres. Un portail recensant l'ensemble des actions initiées ou à venir permettrait de mieux évaluer les progrès à faire. Cela serait aussi très utile d'un point de vue pédagogique pour le milieu scolaire.

  • Tourisme.Loisirs

    Raez44 - 05 Février 2018 - 18h50

    Réserver les chemins littoraux aux engins non motorisés, sauf pour les personnes à mobilité réduite.

  • Développer tourisme populaire et loisirs respectant la nature

    Jean-Yves Bourcereau - 05 Février 2018 - 15h52

    Il faut privilégier un tourisme populaire et développer un accueil permettant de le recevoir. C'est déjà le cas sur certaines plages vendéennes
    Il faut développer des loisirs respectant l'environnement et répondant aux besoins du plus grand nombre (surf, paddle, kite, voile, ...) et éviter de développer des activités polluantes sur les côtes (multiplication des bateaux à moteurs, des scooters, ...).
    Tout nouveau port de plaisance sur la côte est un nouveau parking à bateaux et une source potentielle de pollution compte tenu de ce qu'il entraîne (développement des engins à moteurs, dragage, ...).

  • Eco Nautic Challenge

    Claude Martinuzzi - 05 Février 2018 - 10h15

    Développer une dynamique évènementielle spectaculaire et vertueuse mettant en scène des équipes "Tous talents" réunies sans compétition au prétexte de construire un dériveur collectif voile / aviron ludique depuis un KIT PUZZLE malin.
    Pour cela, attirer des sponsors qui choisissent la coopération d'équipes multiples co réalisant des chefs d’œuvre qui seront utiles à l'enseignement des activités durables tant aux écoles qu'au tourisme vert ainsi que lors de rassemblements spectaculaires des équipes.
    Développement et expériences ici: [lien supprimé]

    CHRIS
    Le KIT, on l'a fait... et c'est SUPER ! CHRIS
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  • Intégrer les activités nautiques dans l'EPS des collèges et lycées du littoral qui le souhaitent.

    Claude Martinuzzi - 05 Février 2018 - 10h03

    En développant des partenariats rectorat/clubs nautiques philanthropes/enseignants volontaires pour être accompagnés le temps d'une formation, proposer des cycles découvertes et approfondissements des activités Voiles, aviron, kayak sans idées compétitives.
    Avec 3 bateaux collectifs voile aviron(30 élèves) , à flots,rapidement mis en œuvre pour doubler le temps de pratique sur l'eau laisser la magie de l'activité opérer avec des équipages nombreux qui absorbent et rassurent tous les caractères composant une classe Lambda.
    Les mentalités des jeunes et l'amour de leur environnement change et les vocations viennent.(Expérience vécue un temps au Lycée de Pornic)

    CHRIS
    Expérience partagée... et validée ! CHRIS
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  • Faire du public le propriétaire de son patrimoine

    christian dromard - 04 Février 2018 - 13h36

    Eviter de procéder uniquement par réglementation, et laisser le public s’approprier ses sites et son patrimoine, sans toujours préjuger de sa capacité - ou de son incapacité - à contribuer à la protection de son propre patrimoine. Il faut que nos administrations se comportent un peu moins en "flics" et fassent confiance au public. Que celui-ci soit en prise directe avec ce patrimoine, et pas uniquement par des conservatoires et autres agences parapubliques intermédiaires, coûteuses et inefficaces. Qui plus est, nos administrations n'ont, de toutes façons et objectivement, pas les moyens de faire autrement. Il faut changer de paradigme.

    Thérèse
    Le public ne peut pas se comporter en "propriétaire" de son patrimoine. Le public est "usager". En tant que tel il est soumis aux règles "d'usage"
    • Pas d'accord
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    V..O
    Sujet très intéressant! A qui servent les espaces publics? Qui les gère? Qui pourrait les gérer?
    • Pas d'accord
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  • Responsabiliser les touristes, et sensibiliser les habitants,

    Jean-Luc GUILLIER - 04 Février 2018 - 11h12

    Mieux les personnes sont informées, plus elle prennent conscience des choses à faire, à moins faire ou à ne plus faire.

    christian dromard
    Eviter de procéder uniquement par réglementation, et laisser le public s’approprier ses sites et son patrimoine, sans toujours préjuger de sa capacité - ou de son incapacité - à contribuer à la protection de son propre patrimoine. Il faut que nos administrations se comportent un peu moins en "flics" et fassent confiance au public. Que celui-ci soit en prise directe avec ce patrimoine, et pas uniquement par des conservatoires et autres agences parapubliques intermédiaires, coûteuses et inefficaces. Qui plus est, nos administrations n'ont, de ttes façons et objectivement, pas les moyens de faire autrement. Il faut changer de paradigme.
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  • Bouées de signalisation d'engins de pêche.

    DDPVA22 - 03 Février 2018 - 16h45

    Autoriser uniquement les bouées homologuées vendues dans le commerce. Interdire les "bouées" réalisées avec des bidons, ayant contenu parfois des polluants, et que l'on retrouve échoués sur le littoral.

  • Pêche à Pied.

    DDPVA22 - 03 Février 2018 - 16h39

    Lors des grandes marées, les pêcheurs à pied envahissent le littoral, et par bâteau, les îlots. Afin de permettre à la faune et à la flore de se renouveller, réguler ce type de pêche en ne l'autorisant par exemple qu'une année sur deux.

    Yannick Cherel
    À mon avis, informer ces pêcheur sur les bonnes pratiques sera toujours meilleur que de l interdire. Puisqu il n y aura de toute façon personne pour faire respecter ces interdictions...
    • Pas d'accord
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    Tom
    Oui, et il faut arrêter de faire croire sans preuve scientifique que la pêche de loisirs est le principal destructeur d'une ressource. Restons pragmatique et objectif en l'absence de ces preuves.
    • Pas d'accord
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  • FAVORISER, RENFORCER, ACCELERER LA DECONSTRUCTION DE NAVIRES

    Daniel Vonthron - 03 Février 2018 - 11h54

    Le nombre de bateaux de plaisance ne naviguant plus ou abandonnés par leurs propriétaires sur les plages ou dans les ports et chantiers nautiques est en croissance permanente.

    En effet, le développement de la plaisance depuis les années 1970 fait que beaucoup de bateaux arrive aujourd'hui en fin de vie. Le gisement des bateaux à déconstruire ne cesse de s’accroître
    problèmes majeurs :
    • il faut faire face à un réel problème écologique (putréfaction des coques en bois, perte des huiles, fusées de détresse...).
    • nous constatons une pénurie des places de port de plaisance.
    il faut rassembler un groupe de professionnels du nautisme (concessions et chantiers nautiques, ports à sec...) souhaitant répondre au problème environnemental que représente la fin de vie des bateaux de plaisance hors d’usage.

    Les différentes étapes:
    • transport et conditionnement.
    • dépollution des bateaux si besoin.
    • déconstruction des coques.
    • valorisation des matières

    Alain Redon
    Le nombre de bateaux à déconstruire n'est pas aussi élevé que d'aucun l'affirment. Une filière de déconstruction devra être rentabilisée dans le temps. Reste également à résoudre la prise en charge de coques dont les propriétaires ne sont plus connus. Il faudra doter les collectivités d'outils juridiques leur permettant de saisir régulièrement les épaves.
    • Pas d'accord
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    Daniel Vonthron
    Se reporter à l’article du journal Ouest France paru pour le dernier salon nautique. Selon l’Ademe , il s’agit au minimum de 147 000 bateaux de plaisance hors d’usage…La fédération des industries nautiques s’est fixe l’objectif de 6000 bateaux déconstruit par an.
    • Pas d'accord
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  • Activitées motorisées

    Adrien Larangot - 02 Février 2018 - 03h37

    Rendre certaines baies golfes estuaires inaccessibles dans un premier temps sur uniquement certaines périodes de rush au engin motorisées à énergies fossile ( peut être laisser un délai plus long aux pro).

  • Réguler les activités

    Nicolas Schlick - 01 Février 2018 - 18h31

    Faire payer un permis aux plaisanciers (pêches à pied, sous marine et à la ligne), ce qui permettrai d'investir dans l'aménagement, dans des programmes de sauvegarde, de réintroduction, de contrôles, de sensibilisation...
    Avec ce permis, des bagues, pour les espèces à forte valeur (homard, bar, sole...)
    "Bonus écologique" pour les moteurs moins polluants, électriques...

    Thérèse
    Faire payer signifie que celui qui paie aura le droit et celui qui ne paie pas n'a aucun droit. A la limite, cela revient à privatiser entièrement le littoral alors qu'aujourd'hui le littoral est patrimoine national.
    • Pas d'accord
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  • Développer la plaisance côtière sans miter le littoral de parkings à bateaux sous utilisés

    Hikayat Hikayat - 01 Février 2018 - 12h42

    Les ports de plaisance cumulent quatre problèmes:
    • ce sont des équipements collectifs sous utilisés
    • la demande d'occupation de postes d'amarrage reste soutenue au point que l'on évoque de manière chronique une situation de pénurie
    • ils sont inesthétiques et défigurent le littoral
    • ils constituent un goulot d'étranglement au développement des industries nautiques en France métropolitaine

    L'équation à résoudre est donc comment assurer un développement des activités de loisirs de type plaisance côtière à la voile et au moteur sans étendre démesurément les ports et marinas.
    La proposition vise à introduire un changement radical dans la gestion des ports de plaisance "parkings" et dans les infrastructures de service à terre qui leurs sont associés. Ce changement est comparable, toute proportion gardée, à celui qui s'est produit dans le monde industriel lors du passage de la gestion des stocks à la gestion de flux. Il s'agit en quelque sorte de passer au juste à temps à flot.

    Hdeuzo
    Des ports à sec pourraient accueillir bon nombre d'embarcations qui ne sortent que quelques jours par an.
    • Pas d'accord
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    Hikayat Hikayat
    Jusqu'ici, les ports à sec se sont développés de manière indépendante des ports à flot. Le concept est d'intégrer ces deux équipements en une seule entité de gestion.
    • Pas d'accord
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    Alain Redon
    Les ports à sec ne sont réellement adaptés qu'aux petites unités, l'hivernage d'un voilier de 40 pieds est beaucoup plus compliqué à terre qu'à l'eau. Les ports de plaisance défigurant le littoral ? Affaire de goûts car ils drainent beaucoup de visiteurs pourtant !
    • Pas d'accord
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    JEAN-MI
    Le mot important est "gestion" effectivement. Pourquoi les mouillages ou place à quai ne seraient-ils pas gérés comme des places de camping pour faire profiter un plus grand nombre? Il n'y a pas de complexité à mettre cette gestion en place. C'est juste une question de volonté.
    • Pas d'accord
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    Niapmoc
    Le problème des bateaux-ventouses mobilise assez peu les gestionnaires de ports de plaisance. Tant que les propriétaires payent leur place, le fait qu’ils naviguent ou pas les indiffère. Du point de vue des plaisanciers, la longueur des listes d’attente est telle que quand ils ont une place, ils la gardent, même s'ils ne naviguent pas ou très peu.
    • Pas d'accord
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    Niapmoc
    Il faudrait encourager les propriétaires de navires ventouses à sortir leur bateau de l’eau et à suspendre leur contrat tant qu’ils ne naviguent pas tout en leur assurant qu’ils pourront retrouver une place au port à la fin de cette période. Une autre solution serait d’avoir des contrats mensuels pour les plaisanciers qui ne naviguent qu’un mois par an. Certains ports le proposent.
    • Pas d'accord
      0
    Niapmoc
    Il faudrait également mettre en œuvre des mesures incitatives pour encourager les propriétaires à naviguer. Il existe un « pass » qui permet à un plaisancier de bénéficier d’escales gratuites dans les ports du Morbihan (Passeport Escale) pourvu qu’il ait informé la capitainerie son départ, de façon à mettre son ponton à disposition pendant son absence. Il faudrait généraliser ce genre de dispositif.
    • Pas d'accord
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    V..O
    Ou encourager la location de bateaux, ce qui optimiserait leur utilisation et celle des ports.
    • Pas d'accord
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  • Les vacances durables

    Suly Bian - 31 Janvier 2018 - 23h49

    Permettre à des familles de contribuer durant leur vacances à une action de nettoyage ou une action utile pour la population locale.
    Favoriser les routes de bord de mer pour cyclistes skate et roller voire segways ou rosalies ( voiturettes à pédales)
    Miser sur les projets fédérateurs originaux et permttre l évolution de festivals déjà existants pour attirer plus de gens.

  • Écotourisme

    Alde - 31 Janvier 2018 - 22h50

    DÉVELOPPEMENT DES VOIES CYCLABLES
    RÉINSERTION DE L'AGRICULTURE EN ZONE LITTORALE AVEC GÎTES ET OU CAMPING
    DECOUVERTE DES MILIEUX (RANDONNÉES COMMENTÉES )
    NETTOYAGES HEBDOMADAIRES DES PLAGES ET DES ZONES NATURELLES
    FAIRE DÉCOUVRIR LA PÊCHE ET LES SPORTS NAUTIQUES NONS MOTORISÉS

  • le bar, une espèce sacrifiée ?

    Baron Von H - 31 Janvier 2018 - 21h28

    Le bar et une espèce emblématique, c'est l'arbre qui cache la foret, en effet il est actuellement, pêché sur ses zones de frayères, bien connues des pêcheurs, là où il se rassemble, avant même qu'il n'ait pu se reproduire, alors que sa chair est d'une qualité médiocre car depuis plusieurs semaines son corps met tout en oeuvre pour produire des gamètes.
    Pour le profit facile, il est pourchassé au moyen de filets, souvent écrasé au fond par le poids des autres poissons il finit en farine.
    il est temps de lui laisser un repos biologique pour qu'il puisse faire en sorte de procréer afin que son espèce perdure.
    Ce qui arrive au bar arrive également à d'autres espèces de poissons, pêchés en grande quantités sur frayères, poissons de médiocre qualité, abondants car vulnérable, ils ne rapportent que peu d'argent.
    Laissons faire la nature , cultivons la mer plutôt que de la rendre stérile.

    Hervé Lignelet
    Il a été prouvé qu'un bar pêché dans un cadre "récréatif" aura un impact économique bien plus positif qu'un bar vendu chez un poissonnier...
    • Pas d'accord
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    Alain Redon
    C'est une problème de surpêche professionnelle on réglemente la pêche des ligneurs hors zones de fraie et on laisse les Hollandais pêcher à l'électricité sur les zones de fraie et en période de reproduction !!
    • Pas d'accord
      0
  • le bar, une espèce sacrifiée ?

    Baron Von H - 31 Janvier 2018 - 20h00

    le bar est un poisson emblematique, c'est

  • Non aux sports motorisés bruyants et gourmands en énergie fosile

    Odile - 31 Janvier 2018 - 15h21

    Interdire les scooters de mer et taxer très fortement les moteurs hors-bord et leur carburant pour les plaisanciers.
    Favoriser par contre le kayak de mer, le surf, le kitesurf, le paddle etc

    Audrey TipTop
    Je suis d'accord - Un vrai problème lié au développement du tourisme - Oui aux activités nautiques mais Non aux sports motorisés, bruyants pour la population et perturbant pour les animaux marins.
    • Pas d'accord
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  • Favoriser les voies cyclables sur les routes littorales

    Koala - 28 Janvier 2018 - 14h04

    Les routes littorales sont souvent étroites et sinueuses et souvent dangereuses pour les vélos quand la circulation motorisée à double-sens est dominante. Pistes cyclables ou mises à sens unique des routes pour les voitures pour sécuriser l’utilisation à vélo.

    Thérèse
    les voies cyclables doivent être ménagées partout, pas uniquement sur les routes littorales.
    • Pas d'accord
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  • Favoriser et promouvoir les sports non bruyant et non polluant

    PIKC - 26 Janvier 2018 - 14h34

    Associer la pratiques des sports de mer ou de bord de mer à des actions écologique (ramassage des déchets). Développer les associations locale en lien avec les offices du tourisme et les défenseurs de la nature.
    Créer des poles mer, nature, sport et loisir dans lesquels sont présents les sachant afin de créer des synergies et réaliser des économies d'échelle sur les traitements administratifs.

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