Les activités et usages
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Les activités et usages
Jean-christophe Calderon - 16 Mars 2018 - 18h02
Aujourd’hui nous sommes arrivés à créer des parfaites imitations de poissons en guise de leurre il est temps d’en fabriquer des bancs pour mettre en place une peche sélective véritable en taille et en espèces
FNPA - 12 Mars 2018 - 17h52
Les récents conflits d’usage de l’espace littoral entre les différents acteurs de l’économie bleue démontrent qu’ils ne conduisent qu’à d’interminables actions juridiques qui ne résolvent rien et coûtent beaucoup d’argent aux entités concernées.
Il serait surement plus satisfaisant de mettre en place un véritable processus de concertation entre tous les acteurs sous la forme d’un organisme reconnu pour son équilibre en termes de représentativité. Cette entité pourrait être intégrée dans les Conseils Maritimes de Façades, dotés des moyens adéquats pour agir comme un véritable arbitre et prescripteur des conditions d’attribution de l’espace public maritime à un ou plusieurs porteurs de projet
Il serait de plus souhaitable d’avoir préalablement revisité « « l’empilage administratif » des organismes existants à tous les niveaux d’organisation (communes, communautés de communes, départements, régions et état) de façon à éliminer les nombreuses redondances et recommandations contradictoires
Estuaire pour Tous - 10 Mars 2018 - 16h39
Les marins-pêcheurs sont soumis à de fortes contraintes économiques, notamment à la concurrence des fermes d'élevage, qui les obligent à utiliser des engins de plus en plus performants. Exemple la technique dite de « chalutage en boeufs », légale et très efficace ( filet tiré par 2 bateaux en parallèle) mais qui présente l'inconvénient majeur de provoquer la prise accidentelle massive de dauphins. 6000 de janvier à mars selon Sea Shepherd le long des côtes de Vendée et de Charente-Maritime, 4000 selon l'Observatoire PELAGIS (CNRS Université La Rochelle). Toujours selon PELAGIS la capture accidentelle de cétacés par un engin de pêche est la principale cause de mortalité du dauphin commun depuis 1990. Pour tenter de mettre fin à ce massacre un système d'alerte sonore provoquant la fuite est actuellement expérimenté.Ce système une fois opérationnel sera t'il obligatoire et à quelle échéance ?
UNAN CM - 07 Mars 2018 - 18h15
Depuis plus de 7 ans, 1) L’Association pour la préservation du littoral de la Malconche et des Pertuis Charentais (APLIMAP), La Société de protection des paysages de l’île d’Oléron (SPPIO), L'UNAN CM et les Communes de Saint Denis d'Oléron et de la Brée-les-bains s'oppose avec succès à ce projet et ont gagné tous les recours au TA.
1- Ne parait-il pas suspect que les promoteurs d’un tel projet de culture marine aux spécificités si nouvelles et particulières (nature, ampleur et méthode d’élevage) s’opposent systématiquement, et ce depuis plusieurs années, à la réalisation d’une étude d’impact complète par une entité indépendante des acteurs privés et publics ?
2- Est-il normal que ce projet vise à s’approprier de manière exclusive une aire si proche de lieux touristiques aussi connus que Fort Boyard, alors qu’il pourrait aisément être repositionné dans une zone reconnue par tous comme plus propice à ce genre d’activité ?
Philippe GARCIA - 26 Février 2018 - 11h57
La pêche doit redevenir PETITE. DIMINUER les capacités de pêche et les subventions qui faussent les règles économiques. CESSER l'exploitation intensive par la pêche INDUSTRIELLE. Privilégier les vraies pêches ARTISANALES durables, sélectives et sans rejets, celles qui créent un emploi sain, les moins gourmandes en carburant et faire DISPARAÎTRE le chalut catastrophique pour l'écosystème et les autres métiers. Gérer la pêche par REGION. Créer des RESERVES de surface suffisante pour réparer les dommages causés. La formation des marins doit enfin leur donner conscience des problèmes environnementaux et de conservation et les ouvrir vers l'exploitation RECREATIVE de l'océan (guidage, surveillance, pédagogie). IL faut CONSOMMER MIEUX par une fiscalité incitative en faveur des productions durables.
La triploïdie des huîtres est une invention lancée avec précipitation : un modèle de culture intensive qui comme sur terre ne fonctionne pas et détruit des métiers.
Wd40 - 24 Février 2018 - 19h00
Les Hollandais et les espagnols ont des faveurs politiques dans le secteur de la pêche avec des engins de pêche interdits en France et des tailles de capture inférieures aux nôtres...
Pour réguler la pêche française on impose plus de réglementation, plus d'administratif, mais les contrôles ne suivent pas et les sanctions forfaitaires sont inadaptées aux multiples cas, ce qui pénalise les petites unités encore une fois.
La cène danoise, comme les autres engins trop destructeurs, est un mode de pêche à proscrire. Il s'agit de constituer des réserves et à interdire des zones, notamment les frayères durant les périodes de reproduction, et certains engins; mais interdire la pêche d'une espèce, comme le bar, conduit à rejeter des poissons morts, ce qui n'est pas le but.
Des études scientifiques sont menées mais les politiques ne s'y intéressent pas et sont conduites par les lobbys. Nous demander notre contribution est un vaste enfumage pour nous faire croire à la démocratie
YVES d'Arcachon - 19 Février 2018 - 17h51
Concernant les petits professionnels du bassin d'Arcachon, je constate des moyens de pêche de plus en plus performants (bateaux, moteurs, sondeurs, GPS), des filets de plus en plus nombreux, et donc une très forte pression de pêche. Les poissons qui entrent dans le bassin (de moins en moins nombreux car prélevés aux filets devant les passes Nord et Sud, jour et nuit), sont ensuite traqués sans cesse. Cette course à la productivité est préoccupante. Qui régule quoi dans cette pêche professionnelle intra-bassin?
Concernant la pêche Loisir, non au permis Mer, qui ne réglera rien, mais taxera encore davantage les français moyens. Oui à la responsabilisation, au carnet de prélèvement, aux contrôles renforcés. Il faut s'appuyer sur les clubs de pêche amateurs.
FB17 - 15 Février 2018 - 01h06
pêche pro : laissons la bande côtière aux petits métiers (fileyeurs ,ligneurs )armés à la petite pêche , que les gros fileyeurs , chalutiers et autres restent au large (pas sur les frayères);les petits créent aussi des emplois, ont peu de matériel et respectent la ressource en pêchant raisonnablement et en valorisant leur pêche ( pêche à la marée , poissons de qualité extra )
Anticipons les surpêches sur certaines espèces en mettant des quotas par bateau ( chaque bateau devrait avoir droit à un quota , et les organisations pro devraient garder un quota de réserve pour les nouveaux installés ) cela évitera bien des dérives et permettra une gestion plus juste et plus équitable
plaisance: un permis de pêche mer plaisance , permettant aux plaisanciers les moins connaisseurs de pêcher en toute légalité , en étant informés des tailles et quantités à pêcher
Déclaration obligatoire pour toutes les débarques pro et plaisance , permettra d'avoir une idée plus précise des pressions de pêche
babarette33 - 11 Février 2018 - 16h35
- Privilégier les métiers de l'hameçon en bande côtière (pêche durable et responsable)
- Supprimer la pêche aux filets dans les baïnes (depuis terre ou mer, pros + amateurs), la ressource s'en portera mieux
- Interdire/réguler senne danoise
- Interdire définitivement la pêche du bar sur frayères (ex: Rochebonne) tous modes de pêche confondus
- Instaurer une déclaration électronique obligatoire gratuite pour les pêcheurs récréatifs (y compris touristes) pour recensement et attribution d'un carnet de pêche actualisé à imprimer ou à retirer chez distributeurs matériel de pêche, capitainerie, annexe mairie locale, autres...
Ainsi, nous pourrons ENFIN évaluer le taux précis prélevé par les récréatifs et non estimé/supputé en vue de l'élaboration des futurs textes par la Commission européenne.
- Durcir les contrôles vitesse/fréquentation des engins motorisés dans la bande des 300m et dans le bassin d'Arcachon
- Augmentation des contrôles en tous genres dans la bande côtière
olivier perez - 08 Février 2018 - 10h06
Il faut interdire la pêche sur les frayères, les grosses unités qui sont les plus destructrices et favoriser ligneurs et petits bateaux.
La pêche industrielle détruit les fonds et la ressource.
Il faut mettre en place des moyens de contrôle plus efficaces,(zones de pêche, quotas et débarquements) et des périodes de fermeture pour le bar et autres espèces en danger.
Fixer une maille identique aux pros comme aux récréatifs et limiter au maximum les pêches non sélectives.
Implanter des récifs artificiels.
Pour la pêche de loisir, interdire la pêche aux filets et instaurer un quotas journalier ou mensuel.
Faire passer la ressource et le milieu avant l'économie est la seule façon d'avoir un avenir.
Sylvie Honoré - 06 Février 2018 - 21h34
En réalité, actuellement, les pêches à gros tonnages sont favorisées au détriment des petits pêcheurs et de la pêche de loisir. Alors que c'est pratiquement tout l'inverse qu'il faudrait faire si nous voulions préserver les ressources et l'environnement. D'autre part, cela maintiendrait une activité économique des petits ports.
Les petits pêcheurs et la pêche de loisir sont des activités qui nuisent peu à l'environnement alors que les pêcheurs de gros tonnage font des dégâts considérables.
Arnaud Tnt - 06 Février 2018 - 21h03
Il faut s'affranchir de la PCP ou la modifier pour mettre enfin en place un système de quotas efficaces avec des quotas par espèce, par secteur, par méthode de pêche et par saison.
Il faut également mettre fin aux subventions pour les métiers les plus destructeur et le bateaux de plus de 12m et favoriser les métiers de l'hameçon ainsi que retirer les licences de pêche aux bateaux étrangers de plus de 12m et aux fraudeurs français.
Il faut impliquer la pêche récréative avec la mise en place d'un permis de pêche et de quotas spécifiques, qui avec l'instauration d'une licence de pêche professionnelle par espèce, permettra de financer des organismes publics ou parapublics de contrôle et de gestion des pêcheries.
Il faut réellement impliquer les professionnels dans la gestion de la ressource halieutique par secteur en les insérant dans des programmes positifs subventionnés (récifs artificiels par ex) lors de la fermeture des pêcheries (reproduction, RMD atteint etc).
Palika Londrelle - 04 Février 2018 - 20h14
Stoppons le pêchedu bar pendant les mois de la reproduction de ce dernier ( repos biologique Janvier, Février, Mars , Avril )
Petrus - 03 Février 2018 - 16h11
Leurs avenirs est particulièrement sombre pour les 20 années à venir. La transition écologique et les nouvelles activités marines n'y seront que pour une faible part. Par contre, la bonne qualité des eaux littorales est fondamentale, en particulier ses qualités BIOLOGIQUES. Si aucune mesure concrète n'est prise rapidement pour stopper sa dégradation, la pêche et la conchyliculture seront bientôt de vagues souvenirs pour les anciens. Il faut peser le réel poids des activités maritimes salissantes et revoir totalement les réglementations liées à l'eau dans l'ensemble des bassins versants.
Jugué - 02 Février 2018 - 08h52
La pêche industrielle (chalu) détruit le milieu marin. Reconversion obligatoire des marins pêcheurs. Cultivons des algues!
Jugué - 02 Février 2018 - 08h52
La pêche industrielle (chalu) détruit le milieu marin. Reconversion obligatoire des marins pêcheurs. Cultivons des algues!
Jean Prou - 01 Février 2018 - 17h32
Garder, sauvegarder, entretenir, promouvoir, encourager ce qui est la qualité structurelle de la conchyliculture : se développer, évoluer en phase avec un environnement biophysique littoral lui-même structurellement toujours en mouvement. Entretenir le mouvement, c’est la meilleure attitude pour l’avenir. Comme pour le vélo, s’arrêter de pédaler, c’est se comdamner à tomber...
Jean Prou - 01 Février 2018 - 17h32
Garder, sauvegarder, entretenir, promouvoir, encourager ce qui est la qualité structurelle de la conchyliculture : se développer, évoluer en phase avec un environnement biophysique littoral lui-même structurellement toujours en mouvement. Entretenir le mouvement, c’est la meilleure attitude pour l’avenir. Comme pour le vélo, s’arrêter de pédaler, c’est se comdamner à tomber...