Les activités et usages

Comment voyez-vous l’avenir de la pêche et de l’ostréiculture face au défi de la transition écologique et à la concurrence des nouvelles activités en mer ?

 
  • Créer des banc de poisson leurres pour effectuer une pêche sélective

    Jean-christophe Calderon - 16 Mars 2018 - 18h02

    Aujourd’hui nous sommes arrivés à créer des parfaites imitations de poissons en guise de leurre il est temps d’en fabriquer des bancs pour mettre en place une peche sélective véritable en taille et en espèces

  •  Le partage de l’espace marin :

    FNPA - 12 Mars 2018 - 17h52

    Les récents conflits d’usage de l’espace littoral entre les différents acteurs de l’économie bleue démontrent qu’ils ne conduisent qu’à d’interminables actions juridiques qui ne résolvent rien et coûtent beaucoup d’argent aux entités concernées.
    Il serait surement plus satisfaisant de mettre en place un véritable processus de concertation entre tous les acteurs sous la forme d’un organisme reconnu pour son équilibre en termes de représentativité. Cette entité pourrait être intégrée dans les Conseils Maritimes de Façades, dotés des moyens adéquats pour agir comme un véritable arbitre et prescripteur des conditions d’attribution de l’espace public maritime à un ou plusieurs porteurs de projet
    Il serait de plus souhaitable d’avoir préalablement revisité « « l’empilage administratif » des organismes existants à tous les niveaux d’organisation (communes, communautés de communes, départements, régions et état) de façon à éliminer les nombreuses redondances et recommandations contradictoires

    Bernard Durand
    La première chose à faire est de vérifier si ces installations servent ou desservent la collectivité . Il n'y a jamais eu de débat sincère sur cette question, et celui-ci, c'est déjà visible, n'abordera pas cette question
    • Pas d'accord
      2
    RBLOIX
    Le partage de l'espace Mer et Littoral : c'est vraiment la question essentielle pour le futur. Il est plus que nécessaire qu'il y ait une réelle concertation entre tous les acteurs professionnels et non-professionnels avant toute appropriation (voire annexion !) d'une partie d'un domaine.
    • Pas d'accord
      0
    Robert LAINÉ
    Bien dit
    • Pas d'accord
      0
  • La pêche professionnelle et la préservation du milieu marin

    Estuaire pour Tous - 10 Mars 2018 - 16h39

    Les marins-pêcheurs sont soumis à de fortes contraintes économiques, notamment à la concurrence des fermes d'élevage, qui les obligent à utiliser des engins de plus en plus performants. Exemple la technique dite de « chalutage en boeufs », légale et très efficace ( filet tiré par 2 bateaux en parallèle) mais qui présente l'inconvénient majeur de provoquer la prise accidentelle massive de dauphins. 6000 de janvier à mars selon Sea Shepherd le long des côtes de Vendée et de Charente-Maritime, 4000 selon l'Observatoire PELAGIS (CNRS Université La Rochelle). Toujours selon PELAGIS la capture accidentelle de cétacés par un engin de pêche est la principale cause de mortalité du dauphin commun depuis 1990. Pour tenter de mettre fin à ce massacre un système d'alerte sonore provoquant la fuite est actuellement expérimenté.Ce système une fois opérationnel sera t'il obligatoire et à quelle échéance ?

  • Ile d'Oléron: Filières de la MALCONCHE - un exemple d'appropriation exclusive de l'espace

    UNAN CM - 07 Mars 2018 - 18h15

    Depuis plus de 7 ans, 1) L’Association pour la préservation du littoral de la Malconche et des Pertuis Charentais (APLIMAP), La Société de protection des paysages de l’île d’Oléron (SPPIO), L'UNAN CM et les Communes de Saint Denis d'Oléron et de la Brée-les-bains s'oppose avec succès à ce projet et ont gagné tous les recours au TA.

    1- Ne parait-il pas suspect que les promoteurs d’un tel projet de culture marine aux spécificités si nouvelles et particulières (nature, ampleur et méthode d’élevage) s’opposent systématiquement, et ce depuis plusieurs années, à la réalisation d’une étude d’impact complète par une entité indépendante des acteurs privés et publics ?
    2- Est-il normal que ce projet vise à s’approprier de manière exclusive une aire si proche de lieux touristiques aussi connus que Fort Boyard, alors qu’il pourrait aisément être repositionné dans une zone reconnue par tous comme plus propice à ce genre d’activité ?

    SKITINE
    Le Comité Régional de la Conchyculture a perdu tous les recours tant au Tribunal Administratif qu'en appel. Et pourtant, le Ministère de la Transitiion Ecologique continue d ele soutenir: cherchez l'erreur!
    • Pas d'accord
      0
    Robert LAINÉ
    Comme toute activité, c'est au bénéficiaire de cette activité de démontrer a priori son innocuité, c'est la loi et si les administrations ne l'exigent pas, elles sont coupables! De plus de telles activités en bordure de zones de navigation devraient être dotée d'un balisage lumineux payé par l'utilisateur des filières, pas par l'état c'est à dire les autres usagers.
    • Pas d'accord
      0
  • La pêche doit redevenir de nature artisanale comme l'agriculture.

    Philippe GARCIA - 26 Février 2018 - 11h57

    La pêche doit redevenir PETITE. DIMINUER les capacités de pêche et les subventions qui faussent les règles économiques. CESSER l'exploitation intensive par la pêche INDUSTRIELLE. Privilégier les vraies pêches ARTISANALES durables, sélectives et sans rejets, celles qui créent un emploi sain, les moins gourmandes en carburant et faire DISPARAÎTRE le chalut catastrophique pour l'écosystème et les autres métiers. Gérer la pêche par REGION. Créer des RESERVES de surface suffisante pour réparer les dommages causés. La formation des marins doit enfin leur donner conscience des problèmes environnementaux et de conservation et les ouvrir vers l'exploitation RECREATIVE de l'océan (guidage, surveillance, pédagogie). IL faut CONSOMMER MIEUX par une fiscalité incitative en faveur des productions durables.
    La triploïdie des huîtres est une invention lancée avec précipitation : un modèle de culture intensive qui comme sur terre ne fonctionne pas et détruit des métiers.

  • Une vraie politique Européenne

    Wd40 - 24 Février 2018 - 19h00

    Les Hollandais et les espagnols ont des faveurs politiques dans le secteur de la pêche avec des engins de pêche interdits en France et des tailles de capture inférieures aux nôtres...
    Pour réguler la pêche française on impose plus de réglementation, plus d'administratif, mais les contrôles ne suivent pas et les sanctions forfaitaires sont inadaptées aux multiples cas, ce qui pénalise les petites unités encore une fois.
    La cène danoise, comme les autres engins trop destructeurs, est un mode de pêche à proscrire. Il s'agit de constituer des réserves et à interdire des zones, notamment les frayères durant les périodes de reproduction, et certains engins; mais interdire la pêche d'une espèce, comme le bar, conduit à rejeter des poissons morts, ce qui n'est pas le but.
    Des études scientifiques sont menées mais les politiques ne s'y intéressent pas et sont conduites par les lobbys. Nous demander notre contribution est un vaste enfumage pour nous faire croire à la démocratie

  • Pêcher raisonnablement

    YVES d'Arcachon - 19 Février 2018 - 17h51

    Concernant les petits professionnels du bassin d'Arcachon, je constate des moyens de pêche de plus en plus performants (bateaux, moteurs, sondeurs, GPS), des filets de plus en plus nombreux, et donc une très forte pression de pêche. Les poissons qui entrent dans le bassin (de moins en moins nombreux car prélevés aux filets devant les passes Nord et Sud, jour et nuit), sont ensuite traqués sans cesse. Cette course à la productivité est préoccupante. Qui régule quoi dans cette pêche professionnelle intra-bassin?
    Concernant la pêche Loisir, non au permis Mer, qui ne réglera rien, mais taxera encore davantage les français moyens. Oui à la responsabilisation, au carnet de prélèvement, aux contrôles renforcés. Il faut s'appuyer sur les clubs de pêche amateurs.

  • pêche pro et plaisance

    FB17 - 15 Février 2018 - 01h06

    pêche pro : laissons la bande côtière aux petits métiers (fileyeurs ,ligneurs )armés à la petite pêche , que les gros fileyeurs , chalutiers et autres restent au large (pas sur les frayères);les petits créent aussi des emplois, ont peu de matériel et respectent la ressource en pêchant raisonnablement et en valorisant leur pêche ( pêche à la marée , poissons de qualité extra )
    Anticipons les surpêches sur certaines espèces en mettant des quotas par bateau ( chaque bateau devrait avoir droit à un quota , et les organisations pro devraient garder un quota de réserve pour les nouveaux installés ) cela évitera bien des dérives et permettra une gestion plus juste et plus équitable
    plaisance: un permis de pêche mer plaisance , permettant aux plaisanciers les moins connaisseurs de pêcher en toute légalité , en étant informés des tailles et quantités à pêcher
    Déclaration obligatoire pour toutes les débarques pro et plaisance , permettra d'avoir une idée plus précise des pressions de pêche

    SKITINE
    Quotas journaliers d'accord, permis pêche et quotas mensuels pas d'accord: usine à gaz et contrôle impossible
    • Pas d'accord
      0
    Robert LAINÉ
    Faire en sorte que tous les pêcheurs pros gardent en marche leur AIS et surtout gardent un homme à la barre comme la réglementation le demande. Tous les plaisanciers ont eu un jour ou l'autre à faire à ces chalutiers 'fantômes' et quand on les signale à la marine on se fait remercier gentiment, et sans suite pour le pro...
    • Pas d'accord
      0
  • Pêche/environnement

    babarette33 - 11 Février 2018 - 16h35

    - Privilégier les métiers de l'hameçon en bande côtière (pêche durable et responsable)
    - Supprimer la pêche aux filets dans les baïnes (depuis terre ou mer, pros + amateurs), la ressource s'en portera mieux
    - Interdire/réguler senne danoise
    - Interdire définitivement la pêche du bar sur frayères (ex: Rochebonne) tous modes de pêche confondus
    - Instaurer une déclaration électronique obligatoire gratuite pour les pêcheurs récréatifs (y compris touristes) pour recensement et attribution d'un carnet de pêche actualisé à imprimer ou à retirer chez distributeurs matériel de pêche, capitainerie, annexe mairie locale, autres...
    Ainsi, nous pourrons ENFIN évaluer le taux précis prélevé par les récréatifs et non estimé/supputé en vue de l'élaboration des futurs textes par la Commission européenne.
    - Durcir les contrôles vitesse/fréquentation des engins motorisés dans la bande des 300m et dans le bassin d'Arcachon
    - Augmentation des contrôles en tous genres dans la bande côtière

    Amaury
    Interdisons la pêche du bar sur les frayères et généralisons la taille à 45cm pour tous et notamment les professionnels !
    • Pas d'accord
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  • Préserver la ressource et le milieu

    olivier perez - 08 Février 2018 - 10h06

    Il faut interdire la pêche sur les frayères, les grosses unités qui sont les plus destructrices et favoriser ligneurs et petits bateaux.
    La pêche industrielle détruit les fonds et la ressource.
    Il faut mettre en place des moyens de contrôle plus efficaces,(zones de pêche, quotas et débarquements) et des périodes de fermeture pour le bar et autres espèces en danger.
    Fixer une maille identique aux pros comme aux récréatifs et limiter au maximum les pêches non sélectives.
    Implanter des récifs artificiels.
    Pour la pêche de loisir, interdire la pêche aux filets et instaurer un quotas journalier ou mensuel.
    Faire passer la ressource et le milieu avant l'économie est la seule façon d'avoir un avenir.

    BERTRAND
    Oui aux suggestions d'Olivier Perez concernant l'instauration d'une période de fermeture pour le bar, et d'une maille identique pour les professionnels et les pêcheurs de loisir. Non à l'instauration d'un quota journalier pour la pêche des bars par les plaisanciers dont les prises de bars faisant la maille sont bien modestes par rapport aux 10 tonnes présentées chaque semaine à la criée d'Arcachon en hiver Bertrand
    • Pas d'accord
      0
    Patrick Remond
    La pèche "de loisir", comme la chasse, sont d'une autre époque. Avec le développement de la population et en même temps des loisirs, il va bien falloir se rendre compte qu'on ne peut plus s'adonner à ce genre d'activité et prélever de façon anarchique des ressources naturelles. La pêche professionnelle doit être davantage encadrée et contrôlée strictement (en particulier faire cesser le rejet des prélèvements interdits mais qui ont été pris parce qu'un filet ne fait pas bien la différence...), mais la pêche de loisir, bien qu'en apparence peu impactante, doit cesser
    • Pas d'accord
      2
    BERTRAND
    Cessons de tout interdire ! A chacun ses loisirs lorsqu'ils n'empiètent pas sur la liberté des autres ! Prendre deux bars par jour de chance, lorsqu'on en vend 10 tonnes/semaine à la criée d'Arcachon, n'a rien de significatif
    • Pas d'accord
      0
  • On marche sur la tête !

    Sylvie Honoré - 06 Février 2018 - 21h34

    En réalité, actuellement, les pêches à gros tonnages sont favorisées au détriment des petits pêcheurs et de la pêche de loisir. Alors que c'est pratiquement tout l'inverse qu'il faudrait faire si nous voulions préserver les ressources et l'environnement. D'autre part, cela maintiendrait une activité économique des petits ports.
    Les petits pêcheurs et la pêche de loisir sont des activités qui nuisent peu à l'environnement alors que les pêcheurs de gros tonnage font des dégâts considérables.

    SKITINE
    Le problème récent des filets électriques montrent à quel point des lobbies européens vont agir pour faire taire cette demande de bon sens!
    • Pas d'accord
      0
  • S'affranchir de la PCP pour gérer les pêcheries durablement.

    Arnaud Tnt - 06 Février 2018 - 21h03

    Il faut s'affranchir de la PCP ou la modifier pour mettre enfin en place un système de quotas efficaces avec des quotas par espèce, par secteur, par méthode de pêche et par saison.
    Il faut également mettre fin aux subventions pour les métiers les plus destructeur et le bateaux de plus de 12m et favoriser les métiers de l'hameçon ainsi que retirer les licences de pêche aux bateaux étrangers de plus de 12m et aux fraudeurs français.
    Il faut impliquer la pêche récréative avec la mise en place d'un permis de pêche et de quotas spécifiques, qui avec l'instauration d'une licence de pêche professionnelle par espèce, permettra de financer des organismes publics ou parapublics de contrôle et de gestion des pêcheries.
    Il faut réellement impliquer les professionnels dans la gestion de la ressource halieutique par secteur en les insérant dans des programmes positifs subventionnés (récifs artificiels par ex) lors de la fermeture des pêcheries (reproduction, RMD atteint etc).

    BERTRAND
    La mise en place d'un Permis de pêche ( récréative ) serait une contrainte supplémentaire pour les vacanciers qui restent peu sur place, et finalement une nouvelle taxe déguisée, génératrice d'une bureaucratie additionnelle .
    • Pas d'accord
      1
    Arnaud Tnt
    En quoi les vacanciers seraient ils une catégorie particulière de la population? Le principe d'un permis de chasser ou de pêche pour l'eau douce n'a jamais été remis en question, alors un permis mer, si et seulement si les cotisations servent à financer une garderie et un système de gestion durable, est le seul moyen de contrôle efficace. On peut d'ailleurs imaginer un "permis vacances" comme cela se fait en eau douce. Il permettrait en outre de sensibiliser les pêcheurs occasionnels sur l'existence de tailles légales souvent ignorées et de leur rappeler que des droits impliquent aussi des devoirs. Quant au concepts moisis de "taxe déguisée" et de "bureaucratie additionnelle", pur populisme et démagogie!
    • Pas d'accord
      1
  • Halte à la pêche abusive sur les frayères de bars en hiver

    Palika Londrelle - 04 Février 2018 - 20h14

    Stoppons le pêchedu bar pendant les mois de la reproduction de ce dernier ( repos biologique Janvier, Février, Mars , Avril )

    SKITINE
    Exemple bien connu: plateau de Rochebonne!
    • Pas d'accord
      0
    UNAN CM
    Les affirmations des pêcheurs professionnels ne trompent personne: une règle de bonne conduite doit être imposées et controlée
    • Pas d'accord
      0
  • Pêche et conchyliculture

    Petrus - 03 Février 2018 - 16h11

    Leurs avenirs est particulièrement sombre pour les 20 années à venir. La transition écologique et les nouvelles activités marines n'y seront que pour une faible part. Par contre, la bonne qualité des eaux littorales est fondamentale, en particulier ses qualités BIOLOGIQUES. Si aucune mesure concrète n'est prise rapidement pour stopper sa dégradation, la pêche et la conchyliculture seront bientôt de vagues souvenirs pour les anciens. Il faut peser le réel poids des activités maritimes salissantes et revoir totalement les réglementations liées à l'eau dans l'ensemble des bassins versants.

    SKITINE
    Demander aux conchyculteurs de balayer devant leur porte: nettoyer l'estran et ne pas s'approprier l'espace marin (baie d ela Malconche par exemple) lorsqu'il et utilisé par le plus grand nombre
    • Pas d'accord
      0
  • La pêche n’est pas durable

    Jugué - 02 Février 2018 - 08h52

    La pêche industrielle (chalu) détruit le milieu marin. Reconversion obligatoire des marins pêcheurs. Cultivons des algues!

    Palika Londrelle
    Evidence et constat en tant que pêcheur amateur
    • Pas d'accord
      0
    SKITINE
    La conchyculture industrielle non plus (triploïdes)
    • Pas d'accord
      0
  • La pêche n’est pas durable

    Jugué - 02 Février 2018 - 08h52

    La pêche industrielle (chalu) détruit le milieu marin. Reconversion obligatoire des marins pêcheurs. Cultivons des algues!

    Palika Londrelle
    raréfaction de certaines espèces ( bars..soles..) et abus des professionneles sur les faryères
    • Pas d'accord
      0
  • Conchyliculture

    Jean Prou - 01 Février 2018 - 17h32

    Garder, sauvegarder, entretenir, promouvoir, encourager ce qui est la qualité structurelle de la conchyliculture : se développer, évoluer en phase avec un environnement biophysique littoral lui-même structurellement toujours en mouvement. Entretenir le mouvement, c’est la meilleure attitude pour l’avenir. Comme pour le vélo, s’arrêter de pédaler, c’est se comdamner à tomber...

  • Conchyliculture

    Jean Prou - 01 Février 2018 - 17h32

    Garder, sauvegarder, entretenir, promouvoir, encourager ce qui est la qualité structurelle de la conchyliculture : se développer, évoluer en phase avec un environnement biophysique littoral lui-même structurellement toujours en mouvement. Entretenir le mouvement, c’est la meilleure attitude pour l’avenir. Comme pour le vélo, s’arrêter de pédaler, c’est se comdamner à tomber...

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