Les activités et usages
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Les activités et usages
Annegge - 25 Mars 2018 - 17h53
Exploiter les énergies de la mer est un grand défi, que notre époque à l'opportunité de pouvoir relever.
Les technologies sont prêtes : 4000 éoliennes fonctionnent dans les pays d'europe du nord, les hydroliennes, qu'on ne distingue pas à la surface, fonctionnent en france, en écosse, au canada (etc.), l'énergie de la houle et des marées aussi.
L'opportunité de la transition énergétique, nécessaire à la préservation de notre environnement et de nos modes de vie est excellente : ces énergies sont prévisibles, produisent massivement de l'électricité et à des coûts maitrisés et maitrisables (contrairement au nucléaire), que leur développement en série permettra de réduire (comme toute technologie).
Il reste à notre gouvernement de décider de la saisir, et d'en faire profiter notre territoire car c'est ici que les machines seront construites et installées, permettant à des savoir faire locaux de perdurer ou de se positionner sur ce nouveau marché. Il est grand temps de cesser d'hésiter.
Robert LAINÉ - 25 Mars 2018 - 09h56
C'est une évidence, on en a besoin. Par contre il faut être raisonnable quand aux restrictions imposées autour de ces champs d'éoliennes, pas comme dans les Pays du Nord de l'Europe ou il faut faire un détour qui se compte en dizaines de miles pour les contourner. On est bien conscient que pour des raisons aérodynamiques ces champs sont "linéaires" mais il faut laisser des passes marinières bien balisées jour et nuit pour que les autres usagers puissent les traverser en sécurité.
Ouaouah - 24 Mars 2018 - 13h36
Plutôt que de créer de nouveaux moyens de production d'énergie, il faut réduire la consommation. N'oublions pas que même si elles sont moins polluantes les éoliennes hachent menu les oiseaux et sont source de pollution visuelle.
Tigen - 23 Mars 2018 - 22h39
L'éolien en mer est une des composantes du mixte énergétique à côté de laquelle il ne faut pas passer, en complément des autres sources de production renouvelables.
Pourquoi encore aucune éolienne dans les eaux françaises alors qu'elles se multiplient chez nos voisins européens ?
wenmax - 23 Mars 2018 - 22h17
Il faut développer se moyen de production d’électricité qui n’est pas encore exploité en France. La France a une chance immense d’avoir autant d’espace maritime pour pouvoir installée des éoliennes en mer qui sont plus puissantes que celle qui sont sur le continent. Les parcs éoliens offshore permettront d’augmenter la puissance installée éolien et qui permettra de diversifier le mix énergétique .
CHLJO - 23 Mars 2018 - 18h56
Encore des études, toujours plus d’avis, etc etc.
Il faudra bien à un moment ou à un autre que les autorisations soient données.
Cela fait plus de six ou sept générations que nous polluons avec des énergies fossiles, puis avec l’energie nucléaire, qui devait sauver le monde et qui va peut être le tuer.
Et toujours rien.
Alors je dis stoppe aux avis des uns et aux recours des autres. Nous sommes face à un defit NATIONAL. Nous devons prendre des mesures radicales.
A condition que la santé publique soit préserver. Que cela ne soit pas dommageable au milieu naturel (exemple : pas d’aluminiun).
Allons y laissons investir ceux qui le veulent bien et démontons nos centrales plus que coûteuses (En voilà un scandale, le prix du démantèlement).
Je suis pour toutes les énergies en mer, sous les conditions ci-dessus.
Pour, mais pas que chez les autres....
LRlycéeBTS - 23 Mars 2018 - 14h53
Le but de réaliser des énergies propres est un des nouveaux défis majeurs à l’échelle du globe en effet le gouvernement français cherche à s’inscrire dans une perspective du développement durable. La part des mers et océans représentent plus de 70 % à l’échelle du globe et l’espace n’est pas encore exploité alors que cet espace est une source écologique et favorable pour construire de l’énergie renouvelable. En effet en mer, on retrouve des vents qui sont plus importants, une houle souvent favorable ...
Les conditions pour réaliser des projets c’est qu’il faut cibler des zones propices selon l’énergie ciblée, des zones à forts vents constants pour les éoliennes par exemple.
Mais cette décision d’établir une zone repose sur des échanges avec tous les acteurs qui exploitent la zone, donc il peut être difficile de choisir une zone mais il est nécessaire de se rendre à jour dans ce domaine ou la France est en retard comparé à certains voisins européens.
le pecheur de 17 - 23 Mars 2018 - 14h41
Développer l'énergie renouvelables en mer est essentiel, la transition énergétique est nécessaire et l'énergie marine va jouer un rôle important dans cette évolution. L'installation de tous ces dispositifs doit se faire dans le respect de l'environnement, ne pas handicapé les professionnel du milieu ( pêcheurs, ostréiculteurs... ) et ne pas trop impactés la biodiversité local. Il faudrait privilégier des dialogues entres tous les acteurs, pour convenir, au mieux aux différentes attentes.
La buche - 23 Mars 2018 - 14h38
Le développement des énergies marines renouvelables est désormais un enjeu majeur, d’autant plus que la France est en retard par rapport à ses voisins européens, notamment en Angleterre ou au Danemark dans le cas de l’éolien offshore. Les diverses projets français de parcs éoliens sont toujours à la traînent et peinent à trouver des financements. A Saint-Nazaire, par exemple, il a fallut plus de 10 ans pour parvenir à mettre en place une seule éolienne. Le processus est beaucoup trop lent, l’État ne s’implique pas assez dans le développement de l’offshore français.
thé-vert-equitable - 23 Mars 2018 - 14h34
Il faudrait un investissement massif de la part de l'état concernant ces énergies nouvelles et concrétiser les promesse non tenu de l'état depuis des années, et parallèlement une réduction régulière et constante de la part du nucléaire.
Nous devons nous inspiré de nos voisins nordique (Pays bas , Angleterre...).
thé-vert-equitable - 23 Mars 2018 - 14h34
Il faudrait un investissement massif de la part de l'état concernant ces énergies nouvelles et concrétiser les promesse non tenu de l'état depuis des années, et parallèlement une réduction régulière et constante de la part du nucléaire.
Nous devons nous inspiré de nos voisins nordique (Pays bas , Angleterre...).
thé-vert-equitable - 23 Mars 2018 - 14h34
Il faudrait un investissement massif de la part de l'état concernant ces énergies nouvelles et concrétiser les promesse non tenu de l'état depuis des années, et parallèlement une réduction régulière et constante de la part du nucléaire.
Nous devons nous inspiré de nos voisins nordique (Pays bas , Angleterre...).
thé-vert-equitable - 23 Mars 2018 - 14h34
Il faudrait un investissement massif de la part de l'état concernant ces énergies nouvelles et concrétiser les promesse non tenu de l'état depuis des années, et parallèlement une réduction régulière et constante de la part du nucléaire.
Nous devons nous inspiré de nos voisins nordique (Pays bas , Angleterre...).
Fanny P - 23 Mars 2018 - 11h24
Les conditions favorables au développement des énergies renouvelables sont principalement liées à l'acceptation locale de ces projets.
En ce sens, l'information et le dialogue sont des éléments indispensables au bon déroulement d'un projet.
Les progrès effectués ces dernières années pour faciliter la participation du grand public au développement des énergies marines seront à coup sûr bénéfiques.
Poseïdon_FR - 22 Mars 2018 - 17h18
On oublie volontiers que le réchauffement climatique ne se limite pas à un impact sur les conditions météorologiques. Il provoque des catastrophes naturelles, contribue à l'érosion des littoraux, fait disparaître la biodiversité. L'éolien en mer présente l'avantage de produire une électricité propre, de s'intégrer harmonieusement dans l'environnement et de créer des emplois locaux non délocalisables. Plus de 4000 éoliennes dans les eaux européennes à la fin 2017, qu'attendons-nous ? La France a tous les atouts pour valoriser ses compétences et son économie maritime.
Il faut que l'Etat prenne a sa charge des études techniques préalables afin de mieux définir les meilleures implantations possibles, comme en Europe du Nord, il faut aussi garantir une visibilité aux entreprises, et accumuler des retours sur expérience qui prouveront que les impacts écologiques sont mineurs voire nuls, et parfois positifs (effet refuge). Quant aux paysages, c'est une fausse question, il a déjà changé !
bonam - 22 Mars 2018 - 14h37
Parmi les différents segments de la chaine de valeur de l'éolien en mer, certains ont un fort impact en terme d'emploi et d'activité pour les territoires proches. Mobilisés depuis quelques années sur les projets de la façade atlantique de nombreuses entreprises (PME et autres) sont dans l'attente du lancement de ces projets pour s'engager sur cette filière.
De plus, le solde des impacts sur l'environnement est positif. Soyons constructif.
Estuairepourtous Monique - 21 Mars 2018 - 15h05
La façade atlantique dans son ensemble et l'estuaire de la Gironde en particulier ont un fort potentiel de courants propices à l'hydrolien d'énergie. Les projets hydroliens ne sont pas encouragés et souvent même pas envisagés alors que cette production d'énergie serait beaucoup plus consensuelle que d'autres sources d'énergie renouvelable : influences limitées sur l'écosystème, peu ou pas d'impact visuel, de nuisance sonore, de mobilisation de parcelles agricoles ou forestières.
L'inauguration à Bordeaux d'un site d'essai hydrolien est un encouragement à développer cette production d'énergie en particulier dans l'Estuaire de la Gironde en collaboration avec les communes à fort potentiel (le Verdon ou Meschers par exemple).
Estuaire pour Tous
Ange - 19 Mars 2018 - 13h22
Ce parc éolien hors de prix n'est pas écologique si on compte la fabrication, le transport, l'installation avec tout ce béton injecté dans le fond de la mer, l'entretien, l'ionisation et ses effets. C'est subjectif, mais la pollution visuelle entre aussi en ligne de compte. Pour finir, quid des bénéfices réellement engagés et seront-ils pérennes ?
Alors, non à ce parc entre Yeu et Noirmoutier.
Ange
Bruno D'ERCEVILLE - 19 Mars 2018 - 11h29
Les éoliennes sont coûteuses, leur fabrication polluante 'leur installation non rentable. .....
Arrêtez le massacre de nos paysages etde notre environnement
Bernard Durand - 14 Mars 2018 - 09h33
L’éolien en mer, pas plus que l’éolien terrestre, n’a d’intérêt pour réussir la transition énergétique en France: il produit une électricité inutile, car nous n’en manquons pas. Il ne peut rien pour le climat, puisque notre électricité est déjà décarbonée. Il ne permet de fermer aucun réacteur nucléaire, puisque ceux-ci doivent être conservés pour faire face aux journées sans vent et sans soleil.Il ne peut que faire augmenter le prix de l’électricité, du fait d’un double investissement pour produire la même quantité d’électricité.Il augmentera l'instabilité des côtes sableuses de l'Atlantique au Sud de la Rochelle. Vouloir en mettre dans nos Parcs Naturels Marins comme celui d'Oléron est cynique de la part des ONG environnementales.Pour bien comprendre tout cela, lire« Les constats du collectif NEMO », et « L’électricité éolienne, ses principes et leurs conséquences », sur [lien supprimé] .
CHEMINEAU Dominique Jean - 05 Mars 2018 - 12h24
L'impact des mâts des éoliennes sur l'envasement et sur la rétention de sable à leurs pieds immergés est énorme:
- sur les courants locaux à court terme
- sur l'envasement et la rétention de sédiments à moyen terme
- sur les profils des côtes à long terme
Idem pour la conchyliculture.
Des obligations de mis en réserve bilantielle de fonds pour les démantèlements sont à prévoir pour les exploitants de parcs éoliens (et conchyliculteur).
Philippe GARCIA - 26 Février 2018 - 11h54
Sur les départements 40 et 33, la seule énergie marine captable semble être celle de la houle. Le potentiel houlomoteur est réputé énorme, mais ne refaisons pas les erreurs du passé (énergies fossiles et nucléaire compris) : l'incidence environnementale doit être étudiée avec la même minutie que les questions économiques. Par exemple, la perte d'énergie générée peut impacter la qualité du surf (vagues moins hautes et moins puissantes) mais aussi de la pêche: la houle et les courants qu'elle génère sont des facteurs environnementaux intégrés dans le fonctionnement des écosystèmes côtiers (nourriceries de poissons plats, faune benthique des bancs de sable). Les altérer va donc modifier leur fonctionnement. Il faut l'évaluer, et en tirer toutes les conséquences avant de prendre des décisions toujours trop hâtives. L'idée paraît belle mais sans doute truffée d'écueils.
FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 21 Février 2018 - 10h04
Si la transition énergétique est une nécessité qui ne peut se passer du développement des énergies marines renouvelables, il est indispensable de porter une stratégie nationale visible et cohérente sur le sujet. La prise en compte très variable de la biodiversité liée au déficit de connaissance sur le fonctionnement des écosystèmes marins et le manque de concertation font peser une insécurité juridique de nature à allonger les délais de mise en œuvre des projets. Pour permettre à l'éolien en mer de se développer de façon responsable sur la façade Sud Atlantique, il est indispensable d'apporter à ce développement cohérence, dialogue et prise en compte des enjeux écologiques en s'appuyant sur une instance de concertation.
Proposition : Mettre en place une structure de dialogue à l’échelle de la façade maritime sur l’éolien en mer, permettant de définir les stratégies d’accompagnement des appels d’offres et projets, et associant les acteurs locaux, dont les associations environnementales.
Chantal Lubart - 17 Février 2018 - 14h35
je pense que les éoliennes seront préjudiciables aux oiseaux et animaux marins - très dangereux pour les oiseaux, ont sait qu'il y a des nuisances sonores et autres, la faune marine va en être impacté. Je ne comprends pas qu'on est de telles idées. Celles sur terre ne sont pas mieux, ça coûte cher, bien plus cher que ça ne rapporte
paysroyannaisenvironnement - 11 Février 2018 - 19h16
2 fois par jour et à heures connues , nous avons à nos pieds une source d'énergie non aléatoire car les marées ne sont pas dépendantes de la météo ni du climat. Les moulins à marée des nos grands pères utilisaient déjà cette énergie. Il serait bien que nos ingénieurs de l'école des Mines (ou autres) laissent tomber les gaz de schiste et se préoccupent de transformer cette force motrice en électricité en gardant du bon sens et la préoccupation d'impacter le moins possible le milieu estuarien.
Thomas - 09 Février 2018 - 12h10
Le Gouvernement a voté la Loi pour la Transition Energétique en 2015.
La France, contrairement à d'autres pays, a la chance de disposer d'un littoral important propice aux énergies marines, principalement l'éolien en mer posé ou flottant.
Arrêtons de tergiverser sur le bien fondé des ces énergies, et fonçons pour définir des zones dédiées à ces projets dont l'intérêt n'est plus à prouver.
Fin 2017, plus de 4000 éoliennes en mer sont à l'eau en Europe, dont les premières ont été installées en 1991 au Danemark. En 2018, soit 27 ans après (!!), la France est toujours à s'interroger si il faut y aller ou non..? Pourquoi? Le nucléaire a ses limites, il faut réduire sa part et le remplacer par les EnR !
Petrus - 03 Février 2018 - 16h00
Si la mer dispense une énergie considérable, c'est également un milieu particulièrement difficile à maîtriser et aujourd'hui, aucune technique n'a dépassé le stade de l'expérimentation pour tenter de récupérer une infime partie de cette énergie potentielle. Il parait souhaitable que la France ne se lance que dans des expériences de faible ampleur avant de permettre que des projets grandioses ne soient proposés et financés par les futurs consommateurs d'électricité.Les éoliennes en mer sont du domaine de l'utopie pour le remplacement des sources classiques d'électricité, dont le nucléaire qui permet une grande souplesse d'utilisation face à la demande et une très faible production de CO². Par contre, l'installation de champs d'éoliennes offshore est source de perturbations importantes des milieux littoraux (substrats, qualité des eaux, biologie) et leur fonctionnement encore plus (pollutions chimiques - pollutions acoustiques modifications des courants)
manu - 01 Février 2018 - 10h21
Comme beaucoup de débats proposés, le débat sur l'éolien intervient bien trop tôt.
Nous en sommes à nous questionner sur le bien fondé de l'implantation d'éoliennes en mer (donc la pollution de notre écosystème), alors que presque rien n'est fait pour limiter la consommation d'énergie au quotidien. Plus on produira, plus on consommera.
Agissons fermement sur les vraies sources de consommations excessives, publiques et privées. Alors peut - être, le développement des énergies renouvelables (mais quand même polluantes) pourra être entrevu de façon constructive.
Freddy Franchi - 01 Février 2018 - 01h16
Suite aux recherches de l'université de Stanford, plus les éoliennes axiales verticales sont raprochées et plus elles sont performantes. Ainsi, 500m2 suffit pour produire autant q'une éolienne de 6MW et qui besoin de 10000m2.
Leurs hauteur de 25m permet la surveillance radar militaire et reduit l'impact visuel. L'éolien marin semi flotant ne nécéssite pas de fondation mais un encrage, avec cette technologie permet de créer un barrage contre les vagues et protégeant le littoral contre l'érosion.
L'éolien est un bien commun pour l'éco-système industriel marin de la aquacole de luxe, cosmétique, médicale et pharmaceutique.
DOMINARI - 29 Janvier 2018 - 16h53
La LPO est très défavorable au projet d'éolien dans les pertuis charentais, première ZPS sur la façade littorale pour les oiseaux. Un courrier a été envoyé en ce sens à la Préfète de Charente Maritime il y a déjà plusieurs années.
Les ZPS n'ont pas vocation à accueillir des parcs éoliens susceptibles d'avoir un impact très fort sur les oiseaux qui fréquentent les pertuis.
Tous les champs éoliens en Europe du Nord évitent les ZPS, dont il faut rappeler que l'Etat s'est engagé à garantir le bon état de conservation.
Je précise qu'au moment où la LPO a donné son avis à la Préfète, l'Agence des Aires Marines Protégées (aujourd'hui AFB) a également donné un avis défavorable au projet.
En séance à la Préfecture, la Préfet maritime avait alors dit que l'Etat devrait choisir entre un projet éolien et un Parc Marin!!
Aujourd'hui, l'Etat semble avoir oublié l'incompatibilité entre un PNM (espace protégé) et une installation d'éolienne en mer, faisant comme si les deux étaient compatibles...