Les activités et usages
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Les activités et usages
Soaz44 - 25 Mars 2018 - 23h37
Favoriser l’éolien flottant plutôt qu’arrimé aux sols qui s’en trouvent gravement impactés. Investir massivement dans la recherche sur
l’hydrolien, l’énergie des vagues doit pouvoir être exploitée dans les meilleurs délais
Frank Wessels - 25 Mars 2018 - 22h06
Nous sont choqués par les plans d’installer plusieurs grands parcs d’éolien en mer près de la côte et des îles bretonnes.
On ne comprend vraiment pas pourquoi cettes grands centrales éolien aves les éoliennes plus de 200 m de haut doivent être implantées dans les plus beaux cadres côtiers européen à seulement quelques kilomètres environ de la côte. Le paysage côtier unique le long de la côte bretonne ne peut pas être «sacrifié» pour quelques megawatts de courant électrique !
Nous sommes une famille norvégienne qui adore passer ses vacances chaque année par la côte de la Bretagne. Un paysage côtier fantastique ! C’est pourqoui nous voudrions achéter un gite dans cette region.
Si on voudrait utiliser l’ éolien comme une source d’ énergie il faut installer les éoliennes flottantes à moins de 50 kilomètres des côtes pour ne pas détruire et les paysages côtiers et l’horizon libre.
Nous n’acheterons certainement pas un gite dans une region côtière avec vue
"parc éolien en mer"!
Annegge - 25 Mars 2018 - 17h28
L'éolien en mer est une formidable opportunité pour la transition énergétique en France : outil de substitution massif au nucléaire, compétitivité démontrée en Europe du Nord (coûts de démantèlement inclus !) qui se reproduira en France, énergie propre.
nouvelle activité pour valoriser les savoirs faire français dans l'industrie énergétique et la maitrise du monde maritime.
C'est aussi une superbe opportunité pour l'avenir du littoral si ces projets sont conçus avec le territoire (permettre l'investissement citoyen ?) et clairement concertés par l'Etat et les entreprises qui les construiront. Prenons le temps de planifier et discuter (combien de projets ? où ? quand ?), et n'hésitons plus ensuite ! Le réchauffement climatique n'attend pas, les industries de la façade ce marché non plus : elles travaillent aujourd'hui pour l'export ...
Il faut saisir l'opportunité d'une énergie d'avenir sur notre littoral du futur, et oser en faire une fierté industrielle française.
Entre2Eaux-Plongée - 24 Mars 2018 - 21h33
Tant que la Lune tourne autour de nous, nous aurons des marées et donc des courants, et ce quelque soit le devenir du réchauffement climatique. Les façades Manche et Atlantique sont des zones de fort courant exploitable par ces turbines. Reste à savoir qui les exploitent ? les citoyens eux-mêmes ou des multinationales qui n'ont que faire du bien commun.
delion-b - 23 Mars 2018 - 22h41
"La France doit s'inscrire dans une véritable alternative au nucléaire pour assurer sa production énergétique".
Les impacts des éoliennes sont très mineurs sur l'environnement et à des coûts beaucoup plus faibles que le nucléaire.
Le démantèlement est prévu dans le cahier des charges de tout projet, à la charge de l'énergéticien.
Leurs impacts sur la faune, visuels et environnementaux sont dérisoires comparés au service rendu.
Les parcs "interdits aux pêcheurs" serviront, en fait, de frayères protégées, donc à la reconstitution de la ressource halieutique ! …
Pour pallier le risque de dissémination d'aluminium, on n'utilise plus d'électrodes « consommables », pour éviter la corrosion ; on leur préfère des courants de faible intensité.
Tigen - 23 Mars 2018 - 22h38
L'éolien en mer est une des composantes du mixte énergétique à côté de laquelle il ne faut pas passer, en complément des autres sources de production renouvelables.
Pourquoi encore aucune éolienne dans les eaux françaises alors qu'elles se multiplient chez nos voisins européens ?
wenmax - 23 Mars 2018 - 22h15
Il faut développer se moyen de production d’électricité qui n’est pas encore exploité en France. La France a une chance immense d’avoir autant d’espace maritime pour pouvoir installée des éoliennes en mer qui sont plus puissantes que celle qui sont sur le continent. Les parcs éoliens offshore permettront d’augmenter la puissance installée éolien et qui permettra de diversifier le mix énergétique .
GL - 23 Mars 2018 - 14h28
L'éolien en mer est une formidable opportunité pour contribuer à la Transition Energétique en France.
Les zones potentielles sont vastes, et les couts diminuent au fil des ans avec la maturité de la filière : à terme les prix seront compétitifs.
Fanny P - 23 Mars 2018 - 11h10
Le réchauffement climatique est un danger pour notre planète et chaque citoyen du monde doit se sentir concerné par le développement durable.
Les parcs éoliens offshore doivent être financés par les citoyens et pour les citoyens.
Les éoliennes en mer permettent :
- la création d'emplois
- la production d'une énergie propre
- la réussite d'une filière française
- l'indépendance énergétique
- le démantèlement complet possible en fin de vie
- un bilan carbone positif
- ...
Les retombées sur l'environnement seront bénéfiques pour l'ensemble des citoyens.
Poseïdon_FR - 22 Mars 2018 - 17h29
Au-delà de sa biodiversité riche, les territoires de la façade sont riches de compétences dans la perspective des projets éoliens en mer : il faut valoriser ces savoir-faire pour que les territoires soient en mesure de produire une énergie verte, compétitive et durable. Les projets éoliens en mer permettront le développement de l'économie, financeront des programmes innovants et participeront à la préservation de la biodiversité (effet refuge). Et il faut planifier, co-construire et cela rapidement, sans attendre 10 ans : 4000 éoliennes en fonctionnement dans les eaux européennes à fin 2017, sans scandale écologique, financier et autre vue de l'esprit. Peut-on en dire autant des énergies du vieux monde ?
GE produit à Montoire, STX à St-Nazaire, Rollix en Pays de la Loire, Naval Energies en Bretagne... toutes ces entreprises font vivre nos territoires et contribuent à la réussite de la transition écologique et solidaire ! Accélérons !
Bretagne Vivante - 22 Mars 2018 - 15h16
- Pour chaque projet EMR, les études sur les enjeux environnementaux et les diagnostics écologiques seront mis à disposition de tous.
- Une clause de suivi et de révision des impacts sera prévue et son exécution contrôlée par l’État.
Christine Nicaise Le Gall - 22 Mars 2018 - 11h58
Quand je pensais éolienne , j'associais cela à l'écologie, l'énergie propre , un coût faible ( le vent , c'est gratuit non ?) , la pérennité d'un système, une super solution , alternative au nucléaire .
Et puis j'ai écouté , lu et je me suis renseignée .
Et j'ai trouvé des réponses à l'opposé de mes opinions initiales en ce qui concerne les champs d'éoliennes dont l'implantation est prévue sur nos côtes .
Un scandale financier tout d'abord, avec un prix de vente au mégawatt heure 4 à 5 fois les prix des éoliennes dernier modèle , et un enrichissement au-delà du raisonnable des actionnaires des consortiums (40 milliards d'euros sur nos impôts et factures d'électricité)
Une pollution des eaux territoriales , avec largage d'aluminium , d'huiles des rotors qui vont contaminer les parcs ostréicoles , le sel des marais salants , les poissons etc ..
Perte d'exploitation des pêcheurs en mer ( ils ont envoyé une pétition s'opposant au projet)
Promesse utopique d'emplois créés
Louis - 21 Mars 2018 - 19h39
Pour avoir participer en tant qu'élus au projet éolien du banc de Guérande, au projet d'agrandissement de Donges-Est (pas fait) et au projet de NDDL (pas fait non plus). Notre difficulté est la procédure de concertation qui ne se fait pas en amont. Les pré-études, voir des décisions se font en katimini. Nos élus ont peur des citoyens. Et les citoyens se réveillent après avec des recours, etc ...
Des rapports ont été faits sur ce sujet. Le CeDpa (Collectif d'élu-e-s Doutant de la pertinence de l'aéroport de NDDL), ont édité un document en juin 2016, sur le sujet et François Verchère a écrit un livre "La fabrication d'un mensonge d'Etat".
Encore aujourd'hui, je participe à l'étude de tracé de la SPPL (Servitude de passage pour piétons sur le littoral) en tant qu'association, nous sommes dans le comité de pilotage ...mais les pré-études ne sont surtout pas diffusées !
Locquirec Environnement - 21 Mars 2018 - 19h32
Chaque projet est regardé au cas par cas et dans son seul périmètre. Toute action de l'homme ayant un impact, impossible de chercher le projet qui n'en aura pas ...
En revanche, impossible de trouver une référence fiable qui permette de comparer l'impact des différentes activités sur le milieu maritime (le déversement des eaux des rivières, les ports, le tourisme, la plaisance, la pêche, le fret, les granulats marins, les projets d'EMR...).
L'idée n'est pas d'opposer les projets les uns aux autres, mais de permettre à chacun de reconsidérer l'impact d'un projet au regard de l'impact existant d'un ensemble d'activités.
Cet organisme (qui ira naturellement chercher à l'international des retours d'expériences) pourra également guider l'Etat dans sa planification de l'espace maritime.
(cela s'ajoute naturellement à une bonne concertation et participation/implication des acteurs du territoire afin que chacun puisse s'approprier chaque projet)
Yves ETIENVRE-LE PRIOL - 20 Mars 2018 - 20h44
il faut juste se poser la question du démantèlement une fois obsolète/usée/autres solutions trouvées
Ne pas se retrouver dans la situation de la centrale nucléaire d'essai Brennilis ( pas demantelée 30ans après l'arrêt) ou de Bure ( je cache ma misère sous terre)
Essayons les éoliennes, payons le prix réel global cumulé des investissements, exploitation, démantèlement;
on ne peut pas nier la réalité : cf wiki : L'énergie éolienne est une source d'énergie majeure au Danemark, pays qui a joué un rôle pionnier dans le développement de cette technique : l'éolien assurait 48,8 % de la consommation électrique danoise en 2015 oui vous avez bien lu : 48% !!!!!!!!
Franck Dejoie - 19 Mars 2018 - 22h43
Il est encore possible de sauvegarder l'écosystème marin de la pollution, de la surpêche, du réchauffement climatique... n'en rajoutons pas avec des éoliennes en mer dont l'efficacité et l'intérêt économique sont loin d'être prouvés !
sauvonsnotrepatrimoine - 19 Mars 2018 - 10h40
Le parc éolien envisagé entre l'Ile d'Yeu et Noirmoutier est un non sens industriel (coûts prohibitifs). La France doit s'inscrire dans une véritable alternative au nucléaire pour assurer sa production énergétique, mais les projets doivent répondre à deux critères: être justifiés au plan économique ET tenir compte d'une nécessité absolue de préserver ce qu'il nous reste de patrimoine. La proposition de structures industrielles massives, proches de la côte, dans un environnement écologiquement riche mais fragile et dans un milieu déjà exploité qui fait vivre les habitants (tourisme, pêche) ne répond ni à des critères économiques (prix exorbitant du KW/h produit, fausses promesses de création d'emplois), ni aux critères environnementaux. Il existe des alternatives à un tel projet: éolien flottant loin des côtes, hydrolien exploitant les forts courants au large des côtes, ... Pourquoi ne pas les étudier sérieusement?
jc.ménard - 14 Mars 2018 - 14h19
Les EMR sont une nécessité dans la transition écologique. Mais une énergie même dite ''propre'' ne doit pas impacter les écosystèmes marins . le choix des sites doit être le résultat d'inventaires des fonds marins faune et flore et d'une acceptation par les usagers et habitants .
La question n'est pas entre liberté individuelle et l'intérêt général, les deux sont compatibles Mais passe par :
-Une gouvernance participative en amont des projets (co-construits ?)
-La préservation de tous les milieux rocheux et des écosystèmes associés , zostères, champs de laminaires, maërl , niches écologiques.
- Continuer la recherche sur les impacts dont les infra et ultra sons et les conséquences sur la faune.
- Faire de ces ''parcs'' des zones modèles de productions d'énergie, éoliennes posées, flottantes , houlomotrices. Associer des habitats pour poissons ( plus de 300 types d'habitats construits au Japon selon les espèces). des espaces protégés ou la ressource se développe
COORLIT 85 - 13 Mars 2018 - 15h37
La transition énergétique est indispensable, et réalisable par la diversification des sources. Entre autres EMR, le recours à l’éolien est inéluctable. Or les projets de parcs éoliens en mer sont mal acceptés par les populations littorales, ce qui freine leur mise en œuvre.
Ces difficultés pourraient être atténuées à certaines conditions :
- implication de la population dans la réflexion avant le choix du périmètre retenu et l’appel d’offres (présentation des options possibles, avantages/inconvénients)
- concertation en toute transparence sur le périmètre choisi (communication des études : état initial, étude d’impact intégrant, d’une part, le cumul des impacts internes et, d’autre part, du cumul de ces derniers avec ceux des projets d’ordre divers sur la même façade
- désignation d’un garant pour cette concertation (pour aller vers un climat de discussion apaisé).
FredP - 13 Mars 2018 - 09h59
Développons les parcs éoliens non visibles de la côté. (la pollution visuelle est atroce !!)
Développons de l'hydrolien dans les zones à fort courant (Jument / Sein / sorties de fleuves...) Les courants sont une source d'énergie inépuisable et quasi inexploitée.
Arrêtons les éoliennes à terre. C'est épouvantable et détruit les paysages.
Palou - 12 Mars 2018 - 16h04
Pour les promouvoir, elles ne doivent pas être obsolètes, mais être au dernier cri de la technologie d'aujourd'hui (de manière aussi à faire éclore une filière française), respecter l'environnement (qualité des eaux, ressources pèche, faune aquatique, oiseaux) et ne pas nuire aux activités touristiques qui font l'attraction et la richesse (ainsi que l'emploi) de ces côtes. IL EST DONC URGENT D'ARRETER les projets d'éoliennes posées le long des cotes, pour LES REMPLACER par des projets d'éoliennes flottantes beaucoup plus loin des cotes (respect des éléments ci-dessus) et mieux exposées aux vents (augmentation du rendement).
IWAN - 10 Mars 2018 - 11h30
En outre il est possible d'amplifier le différentiel en enfonçant le tunnel dans le sous-sol pour réchauffer le flux d'eau de mer et diminuer ainsi la densité de l'eau de mer du bras remontant, réalisant ainsi une synergie entre 2 énergies (marée-motrice et géothermie) renouvelables et inépuisables. Le profil longitudinal du tunnel (de gros diamètre) est alors en U, avec isolation thermique des extrémités plongeantes. Le revêtement de surface interne exploite les derniers progrès technologiques pour minimiser les pertes de charge par frottement.
Le flux d'eau de mer réchauffée peut en outre être utilisé pour alimenter des réseaux d'eau chaude de chauffage urbain ou encore pour une production supplémentaire d'électricité par la filière thermodynamique (différentiel thermique eau réchauffée / eau de mer du littoral)
Avantages : Sites de production répartis avec installation des groupes enterrés, pas de barrage, pas d'envasement, pas d'impact visuel, électricité produite à terre.
IWAN - 10 Mars 2018 - 11h22
Le principe proposé part du constat de la propagation progressive de l'onde de marée d'ouest en est, tout le long du littoral de Manche, avec un décalage important par rapport au littoral Atlantique.
Pour chaque site côtier, à une heure donnée, la mer est assimilable à un grand lac dont l'altitude de surface est propre et donnée par la hauteur d'eau, compensée de l'altitude (négative) de son zéro hydrographique.
La comparaison des altitudes de surface entre 2 sites judicieusement choisis met en évidence un différentiel d'altitude de surface cyclique et prédictible pouvant dépasser 6 m par grande marée (sources : SHOM).
En reliant ces 2 sites par un tunnel creusé plus bas que les zéros hydrographiques il est possible d'exploiter ce différentiel d'énergie potentielle, soit continuellement soit en laissant le flux acquérir de l'énergie cinétique et freiner ce flux sur un faible créneau horaire en restituant ainsi une forte puissance, pour les pointes de consommation.
chouan - 07 Mars 2018 - 18h25
La transition énergétique est indispensable, et réalisable par la diversification des sources. Entre autres EMR, le recours à l’éolien est inéluctable. Or les projets de parcs éoliens en mer sont mal acceptés par les populations littorales, ce qui freine leur mise en œuvre.
Ces difficultés pourraient être atténuées à certaines conditions :
- implication de la population dans la réflexion avant le choix du périmètre retenu et l’appel d’offres (présentation des options possibles, avantages/inconvénients)
- concertation en toute transparence sur le périmètre choisi (communication des études : état initial, étude d’impact intégrant, d’une part, le cumul des impacts internes et, d’autre part de ces derniers avec ceux des projets d’ordre divers sur la même façade - désignation d’un garant pour cette concertation (pour aller vers un climat de discussion apaisé).
L’ensemble de ces mesures mériterait d’être défini et suivi dans le cadre d’une instance à l’échelle de la façade concernée.
Yveline le Moal - 04 Mars 2018 - 17h40
Je parcours régulièrement les littoraux bretons. Une mégapôle de 1 million de personnes habitent le littoral entre Quimper et Vannes. Conséquence, un urbanisme dense, en bordure littorale, souvent innocupé tout au long de l'année. Une loi littorale, souvent , non appliquée, des problèmes de pollution des eaux considérables. et les caps rocheux exposés, subissent une surfréquentation piétonniere si intense qu'elle réduit les pelouses littorales aerohalines et leurs sols. formations végétales très difficiles à restaurer.
Yveline le Moal - 04 Mars 2018 - 17h34
les energies renouvelables terrestres, non fossiles, non polluantes, sont le vent, le soleil, l'hydrodynamisme marin, dans certaines conditions. Alors pour les éoliennes marines, flottantes oui. elles génèrent une forte quantité d'énergie, par l'usage de vents marins. Il est possible de les installer en impactant le moins possible des milieux marins benthiques et pélagiques. les usages marins, les oiseaux marins. Donc oui. pour quand ? l'investissement est nécessaire. la recherche est-elle terminée? Brusquement nous apprenons que General electric investit en France?
Dominique - 01 Mars 2018 - 19h42
Tout contribuable devrait se souvenir des nombreuses "affaires" imbéciles déjà entreprises au nom des "effets de mode": aujourd'hui c'est la solution merveilleuse; demain elle sera un rebut.
J'ai en tête ce qui a été appelé le "scandale des abattoirs de la Villette": un machin onéreux, si mal conçu que les pauvres animaux ne pouvaient y entrer ... Fallait le faire ! Ce n'est qu'un exemple.
Concernant l'énergie éolienne, créer des structures industrielles proches de la côte, dans un environnement écologiquement riche, un milieu déjà exploité qui fait vivre les habitants, est un non sens.
Les promesses d'emplois, de production, de "développement durable" ne pourront, jamais être tenues. Par contre, la destruction de l'écologie, des métiers et de la vie locale restera.
Alors je suis extrêmement méfiant face à ce que l'on nous présente comme la nouvelle "richesse ".
C'est à la mode, cela permet de draguer quelques électeurs, mais ce n'est en aucun cas la solution.
Guillevic Yvon - 27 Février 2018 - 23h50
Propositions :
• Eduquer le monde des travailleurs de la mer et des plaisanciers sur la fragilité du milieu et le développement de bonnes pratiques ;
• Renforcer les contrôles sur les bateaux de pêche avec la présence d’observateurs indépendants qui vérifient si les chalutiers respectent les règles de la politique commune de la pêche ;
• Mettre en place des dispositifs de sensibilisation et de formation des pêcheurs pour qu’ils utilisent les techniques ayant un moindre impact.
Guillevic Yvon - 27 Février 2018 - 23h49
Proposition :
• Imposer l’application de la doctrine ERC aux projets d’énergie renouvelable marine ;
• Imposer au niveau de l’Etat que les études d’impact examinent la totalité des impacts prévisibles des installations marine d’énergie renouvelable et en particulier les impacts sur la marge littorale des parties d’installations positionnées sur l’estran et à terre ;
• Imposer au niveau de l’Etat que les zones naturelles protégées ou préservées soient préservées soient épargnées par les projets ;
• Mettre en place une structure de dialogue à l’échelle de la façade Nord Atlantique – Manche Ouest associant les ONG
ylc - 26 Février 2018 - 23h31
Quand le public aura compris que contrairement a une centrale nucleaire dont la demi vie des elements radiactifs est 10 000 ans (ce qui veut dire que le risque de radiation est du meme ordre) , un champ eolien (ou hydrolien aussi) ne demande que quelques semaines pour etre demantelé, et en attendant il fournit de l'energie , certe intermittente, ( des possibilité de stockage existent) mais gratuite et non polluante, alors les recours seront sans doute moins nombreux.
Il faut donc commencer par un vigoureux travail pédagogique pour expliquer les avantages immédiats et a long terme des énergies renouvelables.
Ensuite il faut limiter dans le temps les possibilités de recours administratifs , pour que la France et la Bretagne cessent d'etre les dernieres regions littorales europeennes sans energies eoliennes offshore.
Gwenolé de Kermenguy - 26 Février 2018 - 18h41
Nous avons une force motrice prévisible et régulière sur du long terme: Les courants (et en particulier ceux de marée). C'est une aberration de ne pas saisir cette opportunité! et de s'appuyer que sur l'éolien qui est trop irrégulier... Aujourd'hui une entreprise Finistèrienne à développé une hydrolienne qui fonctionne de façon crédible! c'est dommage de ne pas investir à plus grande échelle dans cette solution. On pourrait immerger des hydroliennes aux 4 coins de la Bretagne cela permettrait aussi d'investir dans un navire dédié à leurs maintenance et ainsi baisser les coûts...
MYLÈNE TESSON - 21 Février 2018 - 11h48
Le petit éolien individuel, c'est un bon point pour l'intérêt général! Les panneaux solaires individuels aussi, on en voit peu sur les maisons de style néobreton de la façade atlantique...Pourtant tout le monde sait qu'il fait beau en Bretagne! C'est parce que ça coûte cher, et que les politiques qui favorisaient ce type d'installation ont été revues à la baisse. Tout le monde a envie de s'engager pour l'écologie : plantez des arbres, plantez des éoliennes... et les pouvoirs publics : aidez les citoyens à agir par eux-même et communiquez sur ces aides.
FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 21 Février 2018 - 10h31
Si la transition énergétique est une nécessité qui ne peut se passer du développement des énergies marines renouvelables, il est indispensable de porter une stratégie nationale visible et cohérente sur le sujet. La prise en compte très variable de la biodiversité liée au déficit de connaissance sur le fonctionnement des écosystèmes marins et le manque de concertation font peser une insécurité juridique de nature à allonger les délais de mise en œuvre des projets. Pour permettre à l'éolien en mer de se développer de façon responsable sur la façade Nord Atlantique Manche Ouest, il faut apporter à ce développement cohérence, dialogue et prise en compte des enjeux écologiques en s'appuyant sur une instance de concertation.
Proposition : Mettre en place une structure de dialogue à l’échelle de la façade maritime sur l’éolien en mer, permettant de définir les stratégies d’accompagnement des appels d’offres et projets, et associant les acteurs locaux, dont les associations environnementales.
philippe - 19 Février 2018 - 22h50
L'éolien semble la voie énergétique la plus aboutie en l'état, mais votre question me paraît réductrice en déconsidérant les autres techniques. L'hydrolien a pris le choix technique de tout poser au fond, ce qui lui vaut de grosses difficultés de corrosion, coût d'entretien, ... J'ai dans mon souvenir, l'essai d'éolienne très ancien à Ouessant si j'ai bonne mémoire, projet abandonné jugé par EDF inintéressant à l'époque. L'histoire lui aura donné tord. L'hydrolien s'est focalisé sur le tout posé au fond, un peu aussi pour ne pas avoir de structure en surface en "contrepied de l'éolien", mais reconnaissons que sur une autre base de réflexion il est possible d'avoir le gros de la partie technique en surface, sur une structure flottante. Seules les pales et câbles de liaison à la terre nécessitent immersion. L'énergie, le mouvement des pales pouvant facilement être ramené en surfaceCela aurait de plus l'intérêt de pouvoir focaliser le courant sur les pales par des systèmes dirigeant l'eau
Gilles B. - 19 Février 2018 - 22h24
Se positionner sur le passage de l'intérêt particulier à l'intérêt général nécessite de les définir puis de comparer leur avantages respectifs. Par ailleurs, il faudrait aussi définir qui est le garant de l'intérêt général. Cette action est une vrai leçon de démocratie qui demande à ce que tous les avis puissent s'exprimer et être écouter par l'ensemble. Nous sommes tous convaincus de nos positions, mais nous nous enrichirons énormément mutuellement à bien comprendre tous les points de vue. Pourtant, l'intérêt général ne sortira pas d'un compromis entre tous ces avis mais sera l'aboutissement d'un véritable dialogue et d'une réelle écoute entre tous. Par exemple, si l'installation d'un parc éolien se situe sur une zone de pêche, rendant la pêche difficile voire impossible, où se situe l'intérêt général ? Que la zone du parc devienne une réserve pour que les pêcheurs retrouvent de la ressource ailleurs, mais il faudrait des études pour le démontrer.
Gilles B. - 19 Février 2018 - 22h23
Se positionner sur le passage de l'intérêt particulier à l'intérêt général nécessite de les définir puis de comparer leur avantages respectifs. Par ailleurs, il faudrait aussi définir qui est le garant de l'intérêt général. Cette action est une vrai leçon de démocratie qui demande à ce que tous les avis puissent s'exprimer et être écouter par l'ensemble. Nous sommes tous convaincus de nos positions, mais nous nous enrichirons énormément mutuellement à bien comprendre tous les points de vue. Pourtant, l'intérêt général ne sortira pas d'un compromis entre tous ces avis mais sera l'aboutissement d'un véritable dialogue et d'une réelle écoute entre tous. Par exemple, si l'installation d'un parc éolien se situe sur une zone de pêche, rendant la pêche difficile voire impossible, où se situe l'intérêt général ? Que la zone du parc devienne une réserve pour que les pêcheurs retrouvent de la ressource ailleurs, mais il faudrait des études pour le démontrer.
Gilles B. - 19 Février 2018 - 22h23
Se positionner sur le passage de l'intérêt particulier à l'intérêt général nécessite de les définir puis de comparer leur avantages respectifs. Par ailleurs, il faudrait aussi définir qui est le garant de l'intérêt général. Cette action est une vrai leçon de démocratie qui demande à ce que tous les avis puissent s'exprimer et être écouter par l'ensemble. Nous sommes tous convaincus de nos positions, mais nous nous enrichirons énormément mutuellement à bien comprendre tous les points de vue. Pourtant, l'intérêt général ne sortira pas d'un compromis entre tous ces avis mais sera l'aboutissement d'un véritable dialogue et d'une réelle écoute entre tous. Par exemple, si l'installation d'un parc éolien se situe sur une zone de pêche, rendant la pêche difficile voire impossible, où se situe l'intérêt général ? Que la zone du parc devienne une réserve pour que les pêcheurs retrouvent de la ressource ailleurs, mais il faudrait des études pour le démontrer.
lino - 16 Février 2018 - 23h03
Aujourd'hui on constate que les destinations appréciées des vacanciers sont éloignées des zones industrielles et des ports de commerce. C'est le caractère sauvage des îles de la cote Atlantique qui explique leur attrait auprès des touristes.
Implanter une "ferme éolienne" à 10 ou 15km des côtes reviendrait à créer une zone industrielle d'une ampleur considérable (70/80 km2) éloignant les touristes dans un rayon proportionnel à la nuisance de pollution (émission dans la mer d'environ 75 tonnes d'aluminium et 4 tonnes de zinc par an pour le projet Yeu/Noirmoutier) et à la nuisance visuelle provoquée par cette implantation. Et l'on est en droit de se questionner sur l'attrait pour le consommateur de la pêche portant le label de cette zone.
Seule la réalisation de centrales éoliennes réellement offshore, c'est-à-dire en éolien flottant à 40/50km des côtes, permettrait de concilier l'intérêt général avec les intérêts locaux liés à la pêche et au tourisme.
vigibaie - 16 Février 2018 - 17h07
Beaucoup de retard en France pour l'éolien en mer. Il n'est donc pas étonnant de constater des réticences et des oppositions. Mais plus ce retard va se prolonger, pire ce sera.
Les démonstrations ont pourtant été faîtes ou sont en cours auprès de chez nous : en Allemagne, au Danemark, aux Pays-Bas, en Grande Bretagne. Alors pourquoi l'Etat ne communique t-il pas sur les résultats, les observations, les conséquences, les avantages et les inconvénients des champs éoliens opérationnels dans les pays voisins ?
Une série de reportages objectifs initiés par l'Etat mériteraient d'être diffusés dans les médias. L'Etat et les Collectivités concernées ne doivent pas se contenter d'être les acteurs administratifs de tels projets. Il faut avancer.
anne drouet - 14 Février 2018 - 14h48
outre la pollution générée par le rejet de tonnes d'aluminium par an pour chaque parc, cela ne sert pas à grand choses, dans la mesure où le vent est intermittent, et que celui-ci n'est pas toujours là quand on a le plus besoin d’électricité. les énergies renouvelables, c'est bien mais ça ne suffit pas! car quand il n'y a pas de vent, il n'y a pas d’énergie! et comme on ne peut pas stocker l’électricité...
de plus, cela dégrade durablement la faune et la flore marine, ainsi que le paysage...il serait bien plus intelligent de réfléchir à l'éolien flottant implanté beaucoup plus loin des côtes et n'entrainant pas la destruction massive des fonds et cette pollution à l'aluminium .
La destruction des paysgaes et la pollution engendrée par ces parcs va détruire les emplois de ces zones hautement touristiques...et tout ça pour générer du profit pour les industriels.
FAREA - 12 Février 2018 - 18h56
A bord des Faréas, sont installé des systèmes permettant une grande autonomie en EAU. Le système "REUSE" certifié et breveté, nous permet de diviser par 3 ou 4 la consommation d'eau.
Les Faréas ne rejettent absolument rien ni dans l'eau ni dans l'air.
L'autonomie en électricité est acquise (P.V + BATTERIES + LED). Avant de chercher comment créer de l'énergie propre on peu réfléchir a comment NE PAS EN DEPENSER ou bien comment la créer soi-même. C'est ce que nous avons fait chez FAREA.
Les Faréas peuvent être installés sur le PPRI car ils n'ont aucune liaison aux circuits de la ville (circuit EAU circuit ELECTRICITE).
stanislas - 12 Février 2018 - 16h11
Arrivera t'on à construire un jour un parc éolien offshore en France ? La question mérite d'être posée car que de retard accumulé ces dernières années. Le grenelle de la mer date de 2007. Depuis beaucoup de discours mais peu de résultat. Elle est où la filière française qui devait être la n°1 en Europe ? L'Etat nous a vendu ces parcs comme un moyen de levier économique formidable pour les territoires concernés. Cela reste à prouver quand on voit à qui les marchés publics ont été attribués. Cela créer beaucoup d'incompréhension sur nos cotes. Ces projets sont devenus une source de division. beau gâchis !
pooky - 09 Février 2018 - 18h42
La mer offre une multitude de possibilités concernant l’énergie.
Pour se donner une idée, nous pourrions, en exploitant l’ensemble des forces présentes en mer, avec la houle, la marée, l’énergie éolienne, les courants... couvrir l’ensemble des besoins en énergie de l’humanité. Le solaire est en ce moment en expansion, mais avec tous les composés des panneaux photovoltaïques, les énergies marines sont beaucoup plus durables et intéressantes. Il est temps d’agir et de développer ces potentiels au détriment des profits engendrés par les énergies fossiles telles que le pétrole ou le gaz.
B.cezard - 08 Février 2018 - 22h23
Travaillant dans l'industrie de l'éolien offshore et de la construction maritime, depuis une dizaine d'années, je vois en premiere ligne les emplois générer par cet industrie partout en Europe sauf en France. Effet paradoxal sachant que l'on as un des plus grand littoral... Cela nous permetrais de créé à court terme une pléthore d'emploi industriel onshore et offshore. Et l'impact visuel est minimal. Rattrapons les 10 ans de retard que nous avons.
TristanB - 08 Février 2018 - 20h39
Il n'est plus question de la viabilité des E.M.R mais du Quand? et du Comment?, ces énergies nous seront indispensables dans un avenir où nous nous passerons des énergies carbonées.
D'autres pays ont déjà pris les devants et plusieurs longueurs d'avance en terme d'outillage industriel et de compétences en ressources humaines, qu'il s'agisse d'ingénierie, d'installation/déploiement ou de maintenance de ces systèmes.
L'opportunité écologique et économique doit se muer en compétences et savoir faire local, sans quoi les entreprises (principalement d'Europe du Nord) rafleront tous les appels d'offre publics.
Tom - 08 Février 2018 - 17h40
- Stopper le lobbying nucléaire et pétrolier, ainsi que le soutien public à ces formes d'énergie
- Il faut arrêter de mentir à la population sur le coût réel d'énergies conventionnelles ou nucléaires, intégrant par exemple le coût du démantèlement et le coût social
- Réaliser une comparaison point par point de l'éolien avec les autres formes d'énergies et la présenter à la population : aspect paysager, impact environnemental à la construction, impact environnemental au démantèlement, matériaux nécessaires, emprise spatiale et temporelle de la construction, risque sanitaire, coût d'exploitation, coût de démantèlement, coût social,...
- Présenter l'intérêt général
Frederic Rabillard - 08 Février 2018 - 16h38
J'aimerai que ses projets aboutissent ,moi qui suis marin sur le Croisic.
Thomas - 08 Février 2018 - 14h28
Le Gouvernement a voté en 2015 la Loi pour la Transition Energétique et la croissance verte.
Les énergies renouvelables, dont l'éolien en mer flottant ou posé, sont une des réponses à la mise en oeuvre de cette transition énergétique.
Associées à des actions sur la sobriété énergétique, les énergies renouvelables sont clairement bénéfiques pour tous, puisque peu impactantes sur les écosystèmes et de moins en moins coûteuses contrairement aux énergies dites "conventionnelles" telles que le nucléaire dont le coût ne cesse d'augmenter du fait des renforcements liés à la sécurité notamment (cf. rapport 2014 de la Cour des comptes).
Par ailleurs, les sondages réguliers sur les questions énergétiques ne cessent de montrer que les énergies renouvelables sont plébiscitées par la majorité des français interrogés.
Ainsi, ne mettons plus en doute l'intérêt général des EnR et lançons nous dans une vraie politique énergétique ambitieuse pour les EnR, et notamment l'éolien en mer!
Pino La Chance - 08 Février 2018 - 11h15
Les énergies renouvelables, notamment l'éolien et le solaire, s'imposent partout dans le monde comme étant l'énergie de demain, capables de fournir la totalité ou presque de l'électricité que nous consommerons. Leur développement a démarré dès les année 90 et des pays comme le Danemark, l'Allemagne, le Royaume-Uni ou l'Espagne ont su en tirer profit en développant leur marché local, permettant aux industriels de se développer dans ce secteur puis de s'exporter, pendant que la France prenait du retard. L'éolien flottant est aujourd'hui une opportunité exceptionnelle que la France a choisi de saisir, en soutenant le développement de 4 projets pilotes, et en préparant le développement de fermes à plus grande échelle. De nombreuses entreprises françaises sont impliquées dans ces projets, en France et à l'international, en se positionnant sur le marché de l'éolien flottant dont le potentiel est largement plus important que celui de l'éolien en mer posé. Ne manquons pas cette occasion !!
Véronique - 07 Février 2018 - 10h56
Cela fait des années que la question perdure. Il n'y a pas que l'éolien et on peut sans doute faire un mixte énergétique. D'autres pays le font. Des études d'impact existent, des concertations ont été faites. La question du stockage et de la distribution d'énergie a été aussi largement étudiée. Il faudrait sans doute mieux communiquer sur la question auprès du grand public: de façon plus large, plus ouverte, mieux documentée. De façon à comprendre tous les tenants et les aboutissants avec plus de précisions.
Raez44 - 05 Février 2018 - 18h55
Les éoliennes "fleurissent " partout. Le magnétisme engendré par le générateur et les câbles n'est pas bon pour la santé.
Olivier PERRIN - 05 Février 2018 - 18h18
Toute la question des énergies vertes est que très souvent elles ont elles-mêmes des impacts, soit sur les matériaux consommés (terres-rares notamment) soit sur les effets qu'elles induisent (impacts sur la F&F). Hors il me semble que dans le cas d'un parc éolien en mer (comme à terre d'ailleurs) il serait possible de dédier la production d'une ou plusieurs éoliennes à une autre production, par exemple une station d'hydrogène dans un port qui permettrait elle même d'alimenter un ou plusieurs bateaux de transport de passager ou de pêche à l'hydrogène. Dans un tel cas, on ne penserait pas à la production directe d'énergie à consommer mais on créerait une production en chaine d'énergie vers des usages démultipliées et plus propres. Mais cela dit, la question des impacts du parc ne serait dans ce cas pas pour autant résolue...
ANNETTE CHAUSSEBOURG - 05 Février 2018 - 13h18
Coûts exorbitants d'installation, d'exploitation...et de démantèlement. Aucun emploi créé (ou si peu) pour les locaux avec le risque de faire disparaître ceux liés au tourisme local. Perte d'indépendance des communes concernées. Disparition de paysages uniques : éoliennes clignotantes de jour et de nuit, sorte de sapins de Noël 365 jours par an. Perturbations voire impossibilité de pêche côtière et de navigation de plaisance. Nuisances diverses pour les oiseaux, notamment migrateurs, les poissons et crustacées en ajoutant celles liées aux courants avec potentialité d'ensablement à Fromentine. Technologie obsolète. Absence de débats citoyens qui ajoutent à la suspicion de la nocivité de ce vieux projet Yeu/Noirmoutier
Claire - 05 Février 2018 - 11h41
Bonjour,
Les zones SECA vont s'étendre.Quelle place sera accordée aux nouveaux carburants? Est-il prévu de pousser le développement du GNL?
Merci
Guy Klein - 05 Février 2018 - 08h33
Le développement des nouvelles énergies marines doit s'accélérer afin de palier à l'abandon d'autres sources d'énergies plus polluantes. pour ceux qui rejettent l'éolien sous prétexte d' ésthétique c'est une question temporaire , de mode ( certains de ceux là admirent les moulins à vent ) mais les énergies fossiles et nucléaires détruisent la planète et si on continue au rythme la question esthétique ne se posera plus.
Jean-Luc GUILLIER - 04 Février 2018 - 11h42
Une distance suffisante devra être appliqué si on souhaite une adhésion de la population , d'autres source d’énergie marine pourrait aussi être développé moins agressive visuellement les courants pourrait être aussi exploité pour fournir de l’énergie ne cédons pas à la facilité, L'avenir se décide et se dessine avec les idées de demain.
Toti - 02 Février 2018 - 16h23
La France n'a pas une seule éolienne en mer à l'heure actuelle.Pourquoi?
Sophie Détis - 02 Février 2018 - 12h29
Les projets éoliens actuels sont beaucoup trop proches des côtes. Ils utilisent d'anciennes technologies "plantées" qui occuperaient de larges zones de hauts fonds (environ 80 km2). Ces zones, dans lesquelles l'eau est très oxygénées, sont primordiales pour la reproduction des poissons. Les détruire c'est détruire la ressource halieutique. C'est aussi mettre au chômage tous les marins pêcheurs locaux. Leur flotte est adaptée uniquement à la pêche côtière et ne peut aller au large. Sans compter la contamination de l'eau aux métaux des systèmes anticorrosion des mâts qui toucherait tous les organismes qui voudraient coloniser les fonds dévastés pendant les travaux : Adieu "l'effet récif" ! Le flottant à 50km des côtes est le seul éolien en mer acceptable pour tous. Il utilise moins de métal donc pollue moins, s'implante dans des zones non cruciales pour la reproduction et réduit les problèmes et de maintenance et de démantèlement.Et, en plus il ne se voit pas des côtes !
polmar56 - 01 Février 2018 - 12h34
De fait, les champs éoliens vont être des zones de non pêche pour chaluts et autres filets. Cela ne va pas en faire des sanctuaires. Il faudrait profiter de ces implantations, pour créer des "nichoirs" pour nos amis à écailles. Le cahier des charges de ces champs, devrait imposer que les structures soient un refuge pour la faune marine! A défaut, que des récifs artificiels soient installés au pied des éoliennes. Ces récifs sont déjà en expérimentation en Aquitaine et dans le midi, pour le moins. Qu'on vienne pas nous dire, que le surcoût n'en vaut pas la chandelle, quand la population avec ces récifs peut-être multipliés par 10. Rendons à la nature plus quelle ne peut nous donner, c'est notre survie qui est en jeu...
Guillaume Gaudun - 01 Février 2018 - 01h03
À mon sens le Spectre des énergies renouvelables surtout au niveau de la mer est suffisamment large pour se limiter aux éolienne, ne serait il pas intéressant de lancer des recherches sur les différentes manières de produire de l'énergie par le biais de la Mer? Nous avons 12 ans jusqu'à 2030 c'est largement faisable et des structures existe. Pensons long terme et devenons les leaders mondiaux des énergies alternatives dans le secteur maritime. En France nous sommes un pays novateur prouvons le.
PIKC - 26 Janvier 2018 - 14h17
Les résidents de bord de mer ne voient pas d'un bon oeil l'apparission de parcs eolien au large des cotes ainsi que les travaux et les passages de câbles à proximité des habitations.
Expliquer l’intérêt et les gains associés d'un tel type d’énergie, démontrer le peu de nuisance réel VS les énergies non renouvelables.