Mixité sociale et capacité d’accueil sur le littoral

Comment limiter la pression foncière et l’impact sur les milieux et les paysages des activités de tourisme et de loisirs ?

 
  • residents permanents et secondaires

    atepomaros - 25 Mars 2018 - 12h38

    instaurer un quota de résidents secondaires sur les communes ou la pression foncière due au tourisme est forte ! un quota au 1/3 me semblerait raisonnable

  • Mieux rentabiliser le bati

    Nicolas Ducos - 24 Mars 2018 - 12h14

    Sur ma commune de 4 200 habitants à l'année, 7000 résidences secondaires sont fermées 10 mois sur 12.
    Pour limiter la consommation d’espace, ne pourrait-on pas favoriser la multi propriété, l’habitat partagé ou encore l’habitat groupé par une réelle politique incitative, plutôt que de mettre en place une mesure impopulaire qui consisterait à taxer davantage les résidences secondaires ?

  • Mieux contrôler l’artificialisation du littoral

    Bretagne Vivante - 20 Mars 2018 - 15h37

    Propositions de Bretagne Vivante :

    - Veiller à une application exigeante de la loi Littoral sur l’ensemble de la façade NAMO, sans remise en cause.

    - Séparer la question de l’adaptation des territoires côtiers au recul du trait de côte de la question immobilière sur les littoraux pour laquelle une réflexion permettra de proposer des alternatives à la consommation des espaces non encore construits.

    - Mettre en place une méthodologie systématique qui vise à économiser l’espace pour garantir un littoral de qualité : si le besoin d’urbaniser un secteur ne peut être évité, il faut pouvoir trouver une contrepartie et restituer des terrains.

  • Mieux contrôler l’artificialisation du littoral

    Bretagne Vivante - 20 Mars 2018 - 15h37

    Un urbanisme excessif a dégradé certaines parties de la façade NAMO et porté atteinte à la qualité des eaux.
    Certes, quelques évolutions ont été constatées mais elles sont insuffisantes pour permettre des activités de loisirs de qualité.
    Depuis quelques années, plusieurs rapports parlementaires et propositions de loi cherchent à apporter une réponse à l’érosion du trait de côte conséquence du réchauffement climatique mais veulent aussi assouplir les conditions d’urbanisation du littoral. Bretagne Vivante affirme avec force que la solution ne passe pas par une remise en cause de la loi Littoral.

  • Changer de vision sur le développement du littoral !

    jc.ménard - 19 Mars 2018 - 13h26

    Quelques suggestions pour essayer(sans trop d'illusions) d'améliorer la situation existante et à venir !
    - Arrêter de faire des schémas d'aménagement qui prévoient des augmentations de la population du littoral de 20 à 30% dans 20 ans et surtout des retraités !
    - respect et renforcement de la loi littoral
    - développer un tissu d'entreprise autour de la mer
    - Préserver les terres agricoles (maraîchage, circuit courts)
    - Favoriser l'économie circulaire (emplois locaux et innovation)réserver les rénovations (municipalités) dans les centres des villages côtiers pour les personnes qui travaillent à l'année et en saison (déplacements limités )
    - Construire différemment, architecture et urbanisme adapté aux conséquences du réchauffement climatique, villages passifs voir autonomes, déplacements non polluants. - - - - travail numérique permettant installation d'entreprises.
    - Trop de tourisme et de bétonnage tuera l'attractivité du littoral


  • Bon sens et rigueur pour sauver ce qui peut l’être encore, avec la loi Littoral

    COORLIT 85 - 15 Mars 2018 - 20h27

    En 50 ans, le littoral a été très artificialisé pour développer le tourisme (construction sur dunes/forêts/marais/terres agricoles), au mépris de la qualité de celui-ci (vision à court terme, ignorance des enjeux relatifs aux milieux). Appétits immobiliers nuisant aux activités économiques en place, explosion des coûts du foncier expulsant les jeunes, bien que de nombreux logements soient souvent fermés : est-il trop tard pour y remédier ?
    Tentons :
    - moins de résidences secondaires (à taxer si jamais louées), de zones NA devenant AU, de construction de ports-parkings (sédiments bloqués, dragages répétés)
    - plus de contrôles de légalité par l’Etat, d’aides au maraîchage bio (emplois, respect du sol), de moyens pour le Conservatoire du Littoral
    Renforçons la loi Littoral, prenons en compte la capacité d’accueil du territoire : pression maximum supportable par les ressources de ce dernier (méthodologie existante).
    Retrouverons-nous espaces libres, mixité sociale et générationnelle?

    Cyr
    Prendre en compte le seuil de tolérance de la population face à une urbanisation débridée faisant peu de cas d'un patrimoine bâti qui fonde un paysage et le rattache à un passé commun, fondement de la cohésion sociale
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  • Bon sens et rigueur pour sauver, avec la loi Littoral, ce qui peut l'être encore

    chouan - 15 Mars 2018 - 18h11

    En 50 ans, le littoral a été très artificialisé pour développer le tourisme (construction sur dunes/forêts/marais/terres agricoles), au mépris de la qualité de celui-ci (vision à court terme, ignorance des enjeux relatifs aux milieux). Appétits immobiliers
    nuisant aux activités économiques en place, explosion des coûts du foncier expulsant de fait les jeunes, bien que de nombreux logements soient souvent fermés : il est bien tard pour y remédier.

    Tentons :

    - moins de résidences secondaires (à taxer si jamais louées), de NA devenant AU, de construction de ports parkings (sédiments bloqués, dragages répétés)

    - plus de contrôles de légalité par l’Etat, d’aides au maraîchage bio (emplois, respect du sol), de moyens pour le Conservatoire du Littoral
    Précisons : la capacité d’hébergement est différente de la capacité d’accueil (pression maximum des activités+population supportable par les ressources du territoire). Retrouverons-nous : espaces libres, mixité sociale et générationnel

  • protection des zones naturelles

    montois - 15 Mars 2018 - 10h15

    je vis dans une commune ou il y a pratiquement 70% de résidences secondaires fermées 10 mois sur 12.Ces constructions obligent a surdimensionner tous les réseaux. Mais les élus continuent a favoriser ces constructions au détriment des espaces naturels; foret et marais pourtant classés espaces naturels. il est impératif de ne pas assouplir la loi littorale pour protéger le peu d'espaces naturels restant.

  • Nationaliser le tiers du littoral: une hérésie !

    Dranreb - 14 Mars 2018 - 09h16

    L'acquisition du tiers des côtes françaises à horizon 2050 est en marche année après année, en toute opacité pour les particuliers directement visés; c'est considérable, hautement contestable et excessivement lourd en ces temps d'argent public rare. Cette appropriation massive, pour l'essentiel sur des espaces privés, s'apparente à une nationalisation en cours alors même qu'aucun processus législatif ne l'encadre et que l'Etat français est en principe le premier garant de la propriété privée.

    25 000 ha sont actuellement programmés à l'acquisition sur les 30 ans à venir en région NAMO. Puisse la CNP intégrer ce sujet dans sa synthèse, a minima dans l'optique d'une réelle proposition d'économie pour le budget de l'Etat. Il existe des alternatives innovantes à l'achat.

    Il faut réorienter à la baisse le prochain contrat quadriennal d'objectifs Etat/Conservatoire 2021-2025

    Sevy
    Ouah ! Remarquable cumul de contre-vérités sur fond - à peine - caché - d'idéologie !
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  • Interdire les conflits d'intérêts

    Sylvain LC - 08 Mars 2018 - 09h28

    Je viens d'une commune de moins de 5000 habitants qui compte pas moins de 4 projets immobiliers d'envergure en ce moment, et dans laquelle il y en a constamment depuis ces 10 dernières années. Sur cette période de temps, la population y a quasiment doublée. C'est que, successivement, les maires élus et leurs conseillers sont aussi des propriétaires terriens (terres agricoles, zones inondables), dont les propriétés deviennent étonnamment monnayables et sont vendues à des groupes immobiliers au cours de leur mandat.
    N'y a-t-il pas de loi pour interdire les conflits d'intérêt au niveau communal ? Si oui, il faut veiller à ce qu'elle soit appliquée ; sinon, il faut en créer une. Ces élus ne deviennent pas propriétaires de leur commune quand ils prennent leurs fonctions.

  • Pas faire du n'importe quoi

    jaquotiere - 06 Mars 2018 - 22h55

    Depuis les Congés Payés le littoral est devenu très attractif. Les promoteurs immobiliers le savent bien et en joue. Les élus des communes littoral sont très souvent confronter a des problèmes qui sont liés aux demandes l’urbanisation intensive et très souvent au péril de la loi littoral. Nous pouvons l'observer sur le département de la Manche. Les sénateurs députés utilise ces demandes locales pour détricoté cette loi littoral de 1986, nous en avons tous pour preuve récente. Non il na faut pas laisser les mains libre aux élus locaux, la maîtrise doit reste aux mains de l'état. Le loisir fait partie des enjeux mais la nature doit être respecté

  • Loi Littoral et capacité d'accueil

    VPBN - 06 Mars 2018 - 17h14

    - Maintien et renforcement de la loi littoral

    - Obligations de définir les actions menées en vue de respecter la capacité d'accueil du territoire littoral concerné, ainsi que dans tout nouveau projet d'aménagement de ce territoire, tant au niveau environnemental que sociétal (mixité sociale et générationnelle)

  • revenir sur les pouvoirs donnés aux préfets concernants les normes environnementales.

    papyrus - 01 Mars 2018 - 21h42

    un decret fin 2017 passé complétement inapercu,concernant les pouvoirs préfectoraux minorant les normes environnementales en matière d'urbanisme,projets économiques,etc..
    sur une période déterminée certes,ces mêmes préfets auront toute lattitude de décider comme bon leur semble,en évitant les considérations de protection du littoral.quelles seront les marges de manoeuvre des élus concernés par de tels projets ?
    la pression foncière échappe complètement aux citoyens,aux élus tellement les enjeux financiers guident la raison de la sphère immobilière et du BTP.
    arrêtons ce discours hypocrite et mieleux car nous avons tous que les pouvoirs restent concentrés dans les mains de quelques décideurs avertis et totalement cupides.

    SKITINE
    Les préfets sont de simples exécutants des consignes de l'2Etat: De nombreux exemples montrent qu'ils n'ont pas l'indépendance. Un cas d'école: les filières de la Malconche sur Oléron
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  • soutien à l'habitat local

    michelk - 01 Mars 2018 - 18h53

    Tous les matins des flots de voiture convergent vers la cote; c'est les artisans et commerçants qui viennent travailler car il ne peuvent s'y loger. Tous les 10 ans, la commune réalise des lotissements pour loger ces gens qui achètent des programmes immobiliers pour eux. Quelques années après, ils ont déménagé, divorcé,...le logement est revendu... à des touristes. Il faudrait établir un organisme genre HLM qui construit et loue des logements à ces artisans commerçants en en gardant la propriété de façon à qu'ils restent disponible pour des travailleurs locaux à l'année.

    Camille Carrée
    oui, je partage cette vision...Sauf que ça ne touche pas que les commerçant et artisants Le première victimes sont les jeunes actifs
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  • Laissons l'océan reprendre sa place !!

    chouan - 01 Mars 2018 - 15h56

    Les communes littorales privilégient le développement du tourisme au travers de l'urbanisme à outrance. La commune où je réside a presque 70% de résidences secondaires qui lui rapportent mais lui coûtent peu. Il faut instituer un contrôle plus strict des PLU et donc des PC ainsi que de la Loi Littoral souvent détournée au prétexte de "dent creuse... " ou autre.
    En plus du recul du trait de côte, on continue à construire près du littoral. N'autorisons plus une construction à moins d'un km du littoral pour laisser l'océan et la nature reprendre leurs place !

    UNAN CM
    La distance de 1 km est parfaitement arbitraire et la loi littoral encadre très bien les effets d ela pression foncières: augmenter les moyens du conservatoire du littoral pour qu'il en soit le véritable garant serait bie plus efficace
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  • Faire face à l’exode rurale et littorale des jeunes

    Camille Berthou - 28 Février 2018 - 17h01

    Des jeunes de mon territoire littoral local, je suis l'un des seuls y résidant de manière permanente et à avoir fait des études supérieures (Licence, Master). Loin de moi l'idée d'établir des généralités, la très grande majorité des diplômés de ma génération vit aujourd'hui en ville. Cela a pour conséquence, entre autres, un manque de dynamisme culturel et social pour les 25-35 ans. Comme si les territoires littoraux ruraux étaient condamnés à vivre uniquement de Juin à Septembre et subir le vieillissement de leur population. Ainsi, au delà des initiatives individuelles, l'attractivité du territoire pour les jeunes, notamment les jeunes diplômés, est, selon moi, un élément à mettre au coeur des stratégies de développement littoral. Il existe des outils et leviers (aides à la création d'entreprise, au logement, soutien du tissu associatif) pour attirer en milieu littoral rural et ainsi assurer une nouvelle génération d'acteurs du vivent, connaissent et enrichissent leur territoire.

    Camille Carrée
    Oui je suis d'accord à 100%
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  • favoriser une population littorale sedentaire

    ylc - 26 Février 2018 - 23h03

    favoriser une population littorale sedentaire permet de faire vivre une commune : ecoles, commerces , services publics.
    Les résidences secondaires occupent inutilement des terres agricoles, et une fois leur construction achevée , ne contribuent que tres peu a l'économie et l'emploi locaux.
    Il serait preferable de privilégier des equipements collectifs de services, (hotels, campings, ect) createurs d'emplois, et les logements pour une population les occupant a l'année

    Nicolle Perier Micheaux
    pour garder les jeunes scolarisés il faudrait des Lycées ! pour bien les ancrer sur leur territoire
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    Nadege
    Merci beaucoup pour ce commentaire réaliste et soucieux de l'avenir de nos côtes. Je vis à 10min de la côte près de Plouha et chaque balade hebdomadaire me conforte dans cette idée. Pourquoi ce beau littoral est entouré de maison avec volet fermé, sans vie alors que nous, la population qui travaillons dans ce secteur n'avons pas la possibilité d'acheter ces maisons pour y loger au quotidien car leur prix explosent ? Merci de prendre en compte la remarque d'YLC et d' aider la population locale à faire vivre la côte sur les 12 mois et non durant la période estivale (seulement 2 mois)
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  • Capacité d'accueil l'enjeu des profits et le déni des gestionnaires du territoire face a l'intérêt général.

    colibri - 26 Février 2018 - 17h53

    Trop de vision à court terme brouille la capacité de chacun à comprendre et respecter l'intérêt de tous. Les zones littorales sous pression d'une économie touristique ont subit une évolution trop rapide, ce qui a créé quelques développements anarchiques par les ambitions de prises d'intérêts immédiats. Un plan d'avenir correctement élaboré dans l'esprit d'une vrai démocratie participative porterait le consensus qui fait défaut à l'adhésion. Les grands projets dit d'Utilité Public devrons être élaborés sans partis pris, en partage et en totale transparence et pouvoir échapper aux lobis et aux avantages d'intérêts catégoriels.
    Briser le cercle malicieux de la majorité qui dit avoir conscience de l'avenir par la protection de la nature et de l'environnement, la transition énergétique et le développement durables et qui comprend trop de décideurs qui agissent autrement.

  • Vivre autrement le bord de mer.

    vigibaie - 26 Février 2018 - 11h17

    Dans toute urbanisation littorale, la « sacro-sainte voiture » pose problème. Parking flottant pour bateaux ou parking à terre pour voitures = mêmes dégradations littorales.

    Créer volontairement des coupures vertes dans l’urbanisation littorale existante (démolition sans reconstruction) des stations aujourd’hui bétonnées et encombrées. Favoriser le stationnement rétro-littoral et l’accès bord de mer par déplacements doux dans les autres petites communes littorales.
    Les P.C. sont signés par les maires, parfois sans vision à long terme, sans compétence, sans souci de cohérence. Un paysage peut être gâché. L’urbanisme des communes littorales de – 5 000 hab. désormais géré au niveau intercommunal, avec cahier de recommandations pour l’harmonie architecturale littorale. La police d’Etat de l’urbanisme doit être renforcée.

    Plus de mixité sociale avec imposition sur résidences secondaires, un levier fiscal constituant un fond pour la création de logements abordables pour des actifs locaux

  • Interdire de dépot de PC pour résidences secondaires

    Rhizome - 22 Février 2018 - 16h10

    Sur les Iles du ponant, les constructions nouvelles sont pour les 3/4 à usage secondaires. Et souvent dans des logiques de plus-values immobilières. Abimer le littoral et les paysages pour 1 à 2 mois d'utilisation par ans , cela a-t-il du sens ?
    Que l'on soit clair, tout le monde est partie prenante, celui qui achète et qui fait un placement financier, mais aussi celui qui vent son terrain à la découpe, les artisans qui ont du travail, les communes qui voient le revenu de leurs taxes augmenter.
    Mais c'est être de courte vue. A la fin, tout le monde aura à y perdre si les sites sont massacrés.
    Une piste radicale serait d'interdire les constructions neuves en résidence secondaire, ou d'en dissuader financièrement l'opération. Une autre piste serait d'inciter financièrement à mettre en location les résidences secondaires, et en particulier pour les résidents annuels hors saison. Mais aussi soutenir les dynamiques économiques des autres activités pérennes comme l'agriculture et la pêche.

    Loic Juhel
    On héberge les iliens l'hiver dans les résidences secondaires et il les mets dehors aux beaux jours, bravo!!!. Quand aux résidents secondaires ,heureusement qu'ils sont présents pour que l'on maintienne l'agriculture et la pêche car ce sont les premiers consommateurs et non ceux qui sont juste de passage.
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    Nicolle Perier Micheaux
    il faudrait tout simplement augmenter la taxes d'habitation de 20% pour les residences secondaires
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  • Modification des PLU

    Miguelito - 22 Février 2018 - 08h58

    Il est très bien de protéger les côtes de toute invasion et spéculation immobilière, individuelle ou de la part de grands groupes.
    Par contre sous prétexte d'application aveugle de la Loi Littoral, rendre inconstructibles des terrains qui l'étaient jusqu'à présent, du fait qu'ils soient situés à plus de 500 m du bord de mer dans des hameaux, en "dent creuse" ou en bordure immédiate de ceux-ci, c'est inique et sans fondement quand le projet de construction est en plus écologique et respectueux de l'environnement.

    Loic Juhel
    Tout a fait d'accord avec vous !!!
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    Sylvain LC
    Est-ce à dire que vous souhaiteriez que la loi littoral soit adoucie ? Ou qu'elle soit appliquée au cas par cas ? Comment cela ne pourrait-il pas mécaniquement conduire à l'invasion et à la spéculation immobilière, qui sont déjà bien trop importantes aujourd'hui ? Et si, pour protéger le littoral, il fallait aussi être capable d'accepter de le faire passer avant l'intérêt personnel qu'on voudrait en tirer ?
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    Azerty
    Un projet de construction n'est jamais respectueux de l'environnement. Il est juste moins pire. Le littoral est un bien commun naturel qui doit le rester et surtout rester accessible.
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  • Politique liberticide du conservatoire

    Claude - 20 Février 2018 - 21h53

    J'entends pouvoir continuer à promener mon chien sans laisse dans espaces gérés par le conservatoire. Éduquer les maîtres (à ramasser leurs crottes, respecter les lieux et periodes de nidification, etc) plutôt qu interdire et verbaliser. Le chien, par nature et pour son équilibre, à besoin de courir en liberté. De par sa politique, le conservatoire oppose les utilisateurs des sites et génère des réactions aussi brutales qu'epidermiques à ses décisions. Les propriétaires de chiens sont déjà tant stigmatisés. ..

    bulles76
    ras le bol des chiens 50€ de taxe annuelle serait bien
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  • Un autre horizon que le tourisme

    Gilles B. - 19 Février 2018 - 21h43

    Plutôt que de destiner les communes du littoral quasi uniquement au tourisme, il serait judicieux que d'autres activités économiques se développent localement. Cela permettrait qu'une population de résidents fasse vivre la vie et l'économie locale tout au long de l'année. S'il est compréhensible que des personnes qui travaillent dans les grandes agglomérations viennent se ressourcer et profiter de la mer, beaucoup appréciaient d'y vivre et travailler, les nouvelles technologies, les nouvelles façons de travailler ... sont des opportunités à saisir. Il s'agit d'aménagement du territoire, il est temps de réagir, les grandes agglomérations entrainent tant de pertes de productivité, de mauvaises conditions de travail, de stress des problèmes de circulation et de pollution... Cet aménagement ne peut pas être laissé aux seules communes, mais de manière concertée avec elles et avec les populations.

    Sylvain LC
    Il faut effectivement que le littoral cesse d'être une résidence secondaire des grandes agglomérations et que la vie s'y développe, à condition que cela reste dans la limite des capacités d'accueil de ce littoral.
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  • favoriser le maintien des résidents permanents sur les communes littorales

    Brigitte Perthuis - 18 Février 2018 - 19h12

    l'augmentation des prix de l'immobilier dans les communes littorales ne permet plus aux jeunes résidents de demeurer dans ces communes. Les propriétés sont vendues à des touristes ou des sociétés immobilières qui privilégient les locations saisonnières, obligeants les jeunes actifs à s'éloigner du littoral et les communes à construire sur des terres cultivables.

    Nicolas
    Nous assistons à cette érosion des résidents permanents et issus de familles du littoral : J'ai vendu un bien à un couple qui s'en serviront de résidence secondaire. Synonyme de désertification en basse saison du quartier, de réduction d'une offre compétitive d'achat ou de location pour les résidents du littoral, mais aussi une perte d'identité. Cette vente m'a permis de compenser l'acquisition d'un terrain situé dans une commune du littoral, coûteuse du fait de l'augmentation des prix entretenue par les acheteurs venues des grandes villes dont la capitale. Il est vital que les tous citoyens des zones littorales soient pris en considération - protégés - pour qu'ils se reconnaissent dans l'action de l'Etat.
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    bulles76
    il y a tant de maisons vides et a petit prix a quelques km du littoral nul besoin de construire du neuf rénovons
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    Nadege
    Merci pour ce commentaire Brigitte, j'habite à 20min de la côte car nous ne pouvions acheter de maisons plus proches. Notre budget ne nous permettait pas d'acquérir une maison côtière (notre souhait le plus cher) alors que plus des 3/4 des maisons sur la côte ont chaque jour leurs volets fermés). Aucune aide n'est proposée (État, région, département) à la population locale pour faire vivre la côte en y habitant.
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  • Tempêtes, quand ça pête

    Marie-Christine de Cacqueray - 18 Février 2018 - 14h28

    J'étais présente le soir de la grande tempête du 10( ou 12?) mars 2008 sur le sillon de Saint Malo, à la Table d'Henri. Les dégâts furent terrifiants, la Brasserie du Sillon fût envahie par un bateau qui y est rentrée quoique fortifiée par des vitres blindées. Il y a eu des gens blessés, les serveurs et serveuses ont fini leur service terrorisés par ce qui c'était passé. Nous allons vers un changement climatique sans précédent (en 12000 ans 2° et durant nos 100 ans Entre 5 et 7°?). Les tempêtes à répétition de ce mois de janvier 2018 nous poussent à réfléchir le littoral autrement! Si l'eau se réchauffe, les vents seront plus violents, comment protéger les gens, les animaux, la côte, les sites de productions marins?

    bulles76
    évacuer le trais de côte c'et tout
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  • un arbre qui grandit bien respecte et renforce ses racines

    Marie-Christine de Cacqueray - 18 Février 2018 - 14h12

    J'ai lu le message descriptif des beaux paysages du littoral de la Manche de la Baie à ...
    Merci pour ce beau regard des côtes que nous ont laissé ceux qui parlaient gallo et qui travaillaient seulement pour élever leurs enfants. Ils étaient fiers de travailler dur pour pourvoir aux besoins des générations futures. leurs transmissions étaient structurantes: le respect de Dieu et des gens; le travail physique comme pouvoir énergétique de production (pêcher les crevettes grises au dranet; ramasser les moules à la main; le gouémon à la charette tirée par un cheval...). Nous vivons un siécle de revendications comme droit à... quel devoirs devons nous mettre en face? car les générations futures nous demanderont des comptes sur le capital vivant, la mer, ses côtes. La mixité sociale d'avant avait un même sentiment devant la grandeur et parfois la fureur de la mer: l'humilité. Elle avait cette crainte d'une création qui se déchaine, qui peut briser en un jour des mois de travail. Nos devoirs?

    bulles76
    sans vivre au moyen-âge on peu respecter la nature et faire du sport sans dénaturer le paysage
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  • Favoriser le locatif pour les locaux

    Jv - 17 Février 2018 - 21h28

    Favoriser l'occupation de l'habitat existant et non occupé pour proposer une offre locative aux travailleurs/résidents locaux. Développer des mesures incitatives pour que les propriétaires y trouvent un intérêt. Ne pas sanctionner les propriétaires, mais plutôt les accompagner à cette prise de conscience.

  • Renforcer le contrôle de légalité

    Titi Wattou - 17 Février 2018 - 17h20

    Comme souvent, un certain nombre de textes encadrent déjà bien les choses, mais c'est leur application qui est parfois problématique. Avec la réduction du nombre de fonctionnaires (d'Etat en tout cas) et l'augmentation de la frénésie d'activisme, on met plus de fonctionnaires à travailler à l'élaboration de nouveaux textes législatifs et réglementaires que de fonctionnaires à contrôler l'application des textes. Avec des choix différents (moratoire sur la création de textes et focus sur l'application des textes existants) on pourrait augmenter le contrôle de légalité et limiter ainsi les dérives.

  • Renforcer les PLU

    Titi Wattou - 17 Février 2018 - 17h16

    Les PLU sont modifiables en fonction des évolutions de vision politique. C'est bien. Mais si on veut que certains choix soient figés, ne pourrait-on imaginer que certaines dispositions (comme c'est le cas avec le PPRL) soient prises après accord de la commune et de l'Etat et ne puissent pas être modifiées sans l'accord des deux parties? Pourquoi également ne pas revenir au COS pour les communes littorales, afin d'éviter la spéculation par densification (car les zones A et N sont assez bien protégées) ? Pourquoi toutes les communes à forte pression (sur des critères à définir) ne seraient elles pas soumise à l'obligation de logements sociaux (loi SRU) ?

  • L'octroie des permis de construire

    valerie - 17 Février 2018 - 14h47

    Dans les "petites communes côtières" limiter les prérogatives des Maires en matière d'attribution des permis de construire surtout face à des interlocuteurs comme les groupes financiers, immobiliers ou encore la grande distribution.
    .

  • Loi Littoral

    Chonchon - 16 Février 2018 - 21h01

    Réviser la Loi Littoral qui permet toujours de construire en bord de plage Si celle ci est en zone U alors que nous à 20 km dans les terres on nous passe nos’ terrains en inconstructible sous prétexte de cette même Loi Littoral.
    Édicter des lois pour protéger les bords de mer , c.est honorable, voir très bien maintenant si c.est uniquement pour « gener » les locaux à 20 km de la plage , il y a peut être un problème ?

    Idem passer des terrains constructibles et construits en terrains inconstructibles et en zone Agricole , quel est l.interet ???
    Hormis avoir son quota de terre agricole que personne n.exploitera jamais comme telle à part à exproprier les gens et à raser les maisons

    toussaint plessis buet
    Tout à fait OK
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  • readapter le principe d'inconstructilité dans la bande des 100 m

    philippe - 16 Février 2018 - 21h00

    Bonjour,

    Nombre de secteurs sont soumis à un aléas érosion fort. Pourquoi y garder un principe d'in-constructibilité de seulement cent mètres. Notre génération aura bien assez d'édifices a effacer, ne retransmettons pas le même fardeau aux générations qui suivent. il serait souhaitable d'élargir la bande des cents mètres en fonction des contextes.

    toussaint plessis buet
    La première des choses est d'interdirela construction en bord de falaise car aujourd'hui si vous etes sur une dent creuse -vous pouvez construire!
    • Pas d'accord
      0
    colibri
    Localement les cartes de zonages doivent être affinées jusqu'au traitement au cas par cas sous contrôle strict d'une autorité compétente (les dents creuses des zones à moins de 100m). La zone fixe et universelle des 100 m de la loi littorale n'est pas correcte, Ici et là, ce pourrait être souvent plus ou moins éventuellement.
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  • CQFD.Limiter l' Impact sur les mileux Naturels

    toussaint plessis buet - 15 Février 2018 - 21h29

    Pour limiter l'impact sur les milieux naturels il faut limiter le tourisme et non l'inverse. CQFD
    Quand allez vous comprendre !!!?

    toussaint plessis buet
    Bravo !
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    Sevy
    En voilà un qui s'applaudit lui-même...
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  • Halte au mensonge permanent. Le Veillon

    toussaint plessis buet - 15 Février 2018 - 08h10

    Depuis des années ( et ça continue ! Nouveau permis en 2017) on délivre des permissions d'extractions de sable, de granulats marins , 24h/24h, 7j/7j au large du Veillon ce qui équivaut à extraire 18 fois le volume de la dune du Veillon et parallèlement on s'étonne de voir la dune du Veillon disparaitre , on accuse honteusement Xynthia et on repaye pour rajouter du sable l'été !
    Enfin on va transformer ce site en grand site de France et donc l'exploiter touristiquement pour l'éliminer définitivement. La boucle est bouclée comme d'habitude. Le VEILLON c'est comme les filons, plus on les exploite moins il en reste.

    toussaint plessis buet
    CQFD
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  • Halte aux incohérences de la Loi du Littoral

    toussaint plessis buet - 15 Février 2018 - 08h02

    On ne peut plus construire à moins de 100m voire 500m de la mer si on est en zone NH/ND mais les communes laissent construire des maisons au ras de la falaise ( 3 m) selon le principe des dents creuses! Remarquable ineptie . Cf Talmont St Hilaire près de Port Bourgenay. La loi du Littoral le permet.

    toussaint plessis buet
    Tout à fait OK
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    Miguelito
    Une incohérence de plus !
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    colibri
    Localement les cartes de zonages doivent être affinées jusqu'au traitement au cas par cas sous contrôle strict d'une autorité compétente (les dents creuses des zones à moins de 100m). La zone fixe et universelle des 100 m de la loi littorale n'est pas correcte, Ici et là, ce pourrait être souvent plus ou moins éventuellement.
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  • Halte à l'exploitation commerciale des sentiers littoraux

    toussaint plessis buet - 15 Février 2018 - 07h57

    C'est simple...A ce jour, plus on labellise un endroit en ENS (Espace naturel sensible) ,EBC (espace boisé classé) Natura 2000 , zone ND et NH et plus on l'exploite parallèlement et commercialement par le tourisme ( plaquettes touristiques des communes, Départements, collectivités XYZ, Régions...) . Le pietinement sur les sentiers littoraux constituent l'érosion principale et première de tous nos sites. Le touriste est le PREMIER PREDATEUR de nos sites remarquables ;allons nous enfin le comprendre! Les sentiers littoraux c'est comme les grottes de Lascaux moins on s'y promène et plus on les protège! Si on est en ENS ou en Natura 2000 on limite le passage à certaines heures ou on fait payer le passage.

    toussaint plessis buet
    Bravo!
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    Dranreb
    ... plus que bravo, c'est exactement cela !
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    philippe
    j'approuves dans le sens ou il est indéniable que le tourisme contribue à la dégradation des espaces naturels (d'où coûts de gestion/restauration) s'il est mal géré. D'un autre côté quasiment pas de tourisme possible sans espaces naturels, sauf style Benidorm, mais c'est pas mieux (tout massacré). Il est donc anormal que celui-ci ne contribue pas financièrement à la gestion/restauration de ces espaces.
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  • créations de zones réservées

    Mike - 12 Février 2018 - 19h32

    Limiter la pression foncière, c'est interdire certaines zones littorales à la construction pour commencer.
    - renforcer l'action du conservatoire du littoral
    - accentuer la protection Loi littoral en définissant une bande plus large de protection.
    - valoriser les installations naturelles, responsables, collectives et respectueuses de l'environnement (réhabilitation marais salants qui permettent de soutenir une activité économique à l'échelle locale; moulins à eaux par exemple).
    - lutter contre la multiplicité des résidences secondaires non occupées.
    - interdire la privatisation des plages.
    Réinvestir l'intérieur des Terres et revaloriser leur image.

  • Contraindre les propriétaires à une occupation minimale des logements secondaires

    SP - 09 Février 2018 - 15h18

    Les territoires littoraux, notamment les stations balnéaires, pâtissent d'une occupation trop ponctuelle et insuffisante des logements. L'hiver il n'est pas rare de devoir passer devant 10 maisons fermées avant d'en trouver une aux volets ouverts. Sachant qu'en parallèle se loger à l'année en location est souvent compliqué sur ces territoires (expérience vécue en octobre 2017 : 0 annonce de logement type T2 à moins de 500€ sur la côte entre Plevenon et Erquy), ne pourrait-on pas mieux faire coïncider l'offre et la demande en obligeant les propriétaires de résidences secondaires occupées moins de 2 mois par an à les louer, en échange de l'entretien du logement par exemple. La contrainte pourrait passer par une augmentation des taxes foncières dans le cas où un logement ne serait pas loué, même ponctuellement, au cours de l'année. Avantages : plus de vie toute l'année sur nos côtes, donc un maintien des services et des commerces.

    Zianya
    Cela fait également monter les prix et les gens qui vivent sur le territoire, le font vivre, y travaillent, ne peuvent pas s'y loger, et sont obligés d'aller plus loin dans les terres. Ce qui n'est pas très juste. On devrait pouvoir limiter le nombre de résidences secondaires dans une commune
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    Sylvain LC
    Un autre problème (vécu), que vos propositions ne résoudraient malheureusement pas, est quand on finit enfin par trouver une location... qu'il nous est demandé de quitter arrivé au mois de juin...
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  • Maisons secondaires.

    Raez44 - 08 Février 2018 - 20h11

    Obligations d'occupation de ces logements, ce qui éviterait les fermetures d'écoles et autres services publics, les déserts médicaux, ...etc...

    Edouard Morin
    Cela paraît difficile. Par contre l'outil fiscal pourrait être mis à contribution. En surtaxant fortement les résidences secondaires dans les territoires en manque d'offre de logement principaux pour les actifs du secteur, on ferait reculer la demande de résidence secondaire tout en se dotant d'une manne financière pour la construction/rénovation de logement (locatif social ou autre).
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  • Pression foncière

    Raez44 - 08 Février 2018 - 20h06

    Ne plus pouvoir construire entre la route existante actuellement, parallèle au littoral, et le front de mer.

  • Activités populaires et démontables, itinérantes, ...

    Tom - 08 Février 2018 - 18h25

    -Mettre en place une charte contraignante indiquant les possibilités d'installation pour des activités touristiques non impactantes (sports de plein air, ...)
    -Développer un tourisme vert
    -Confier à une structure objective et incorruptible la gestion de ces activités et autorisation
    -Permettre aux activités humaines intégrées au paysage et peu impactantes de perdurer/exister, contrairement à l'intégrisme actuel du Conservatoire du littoral
    - Appliquer les lois actuelles en bonne intelligence

    Gabrielle Raynal
    A croire que le mot incorruptible provoque des votes négatifs... pauvre Méditerranée!
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  • protection de l'environnement par un développement raisonné

    Pragmatique - 08 Février 2018 - 11h02

    l'aménagement du territoire en façade littorale est un véritable enjeu. Par contre les nouvelles lois d'urbanisation à travers les PLU et les SCOT ne sont pas toujours adaptées et même parfois contre-productives. En effet la "densification à tout va" entraîne un effet pervers en zone balnéaire: on se retrouve avec des petites parcelles avec de nombreux logements qui ne sont pas destinés pour les habitations principales et de ce fait font les "choux gras" des promoteurs de résidences secondaires. Le but recherché de protéger l'espace n'est pas atteint et la consommation foncière augmentée inutilement. Ces communes ont ainsi du mal à évoluer vers de l'habitat principal. Il faut proposer des projets d'aménagement structurants alternatifs à la construction de maisons.

    Granit Rose
    C'est un vrai sujet, car dans notre village de cotes d'Armor, on a qu'une maison sur deux occupées à plein temps et pourtant on continue à construire et à bétonner....
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    colibri
    Les résidences secondaires font parties des visions de développement anarchiques des communes du littoral, la densification n’aura pas plus d’impact si ce n’est boucher les trous du mitage organisé. Cela dit , pragmapratique soutien qu’il faut proposer des projets d'aménagement structurants alternatifs à la construction de maisons, mais là il s’agit du béton du projet de port à Bretignolles-sur-Mer et ses dizaines d’ha agricole naturel d’une coupure d’urbanisation dénaturée et livrée aux futurs aménagements. cqfd
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    Pragmatique
    Ce projet de port a justement la particularité innovante de proscrire tout programme immobilier et se propose d’être une alternative aux résidences secondaires. Le tout sur 40 hectares de nature sanctuarisés
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    Pragmatique
    Ce projet de port a justement la particularité innovante de proscrire tout programme immobilier et se propose d’être une alternative aux résidences secondaires. Le tout sur 40 hectares de nature sanctuarisés
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    Nicolas Ducos
    15 ans du même baratin. Ca prête à sourire quand on connait les coulisses du dossier.
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    Nicolas Ducos
    15 ans du même baratin. Ca prête à sourire quand on connait les coulisses du dossier.
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  • Halte au bétonnage de notre côte

    Granit Rose - 06 Février 2018 - 16h36

    Incitons les Maires à favoriser la préservation de notre patrimoine naturel plutôt que de laisser des promoteurs, qui ne recherchent que le profit, bétonner la côte pour augmenter le ratio nbre de lits disponible sur nbre d'habitants. Ou pénalisons les !!
    A Tregastel on assiste "en ce moment même" à la destruction d'un superbe site à 20 mètres d'une des plus belles plages au Monde car le Maire a donné un PC a Belambra qui construit 45 logements avec vue sur mer..... Venez voir c'est horrible !!!

    aveta
    oh nooonnnn !!!! la Bretagne a su jusqu'à présent préserver la beauté de ses côtes en interdisant ou limitant les constructions et c'est ce qui fait toute l'attractivité de cette région !!!! quand on voit les horreurs qui ont surgi dans le sud on se dit qu'on a eu chaud... d'autant que partout dans le monde, on revient à un éco-tourisme où les lodges se fondent dans la nature et sont quasi invisibles et c'est tant mieux !
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    Granit Rose
    C'est pourquoi il est urgent de se mobiliser. Là on a un Maire qui pense que plus il y aura de lits disponibles dans la commune plus elle sera attractive !!!! Et quand on essaye d'argumenter il sort l'argument de la création d'emplois (4 saisonniers) et l'augmentation des taxes au profit de la commune. Encore une vision court terme qui tue notre patrimoine
    • Pas d'accord
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    Tom
    Effectivement, certains maires littoraux ne voient que par le développement économique gris béton alors que le potentiel de l'économie verte et bleue de nos côtes n'est plus à démontrer... il faut changer de modèle M. Le Maire
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    Pragmatique
    Il faut en effet trouver des voies de développement pour nos communes balnéaires autres que les résidences secondaires. Des projets favorisant la vie "à l'année " et l'accueil de jeunes ménages sont une alternative aux choix urbanistiques des années 70 à 2000.
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  • Pourquoi toujours la même catégorie de population

    kb - 06 Février 2018 - 08h55

    Les logements en bord de mer sont monopolisés par la même catégorie de population (retraités, parisiens...). En plus de faire flamber les prix de l'immobilier, ils militent pour la non construction sur la bande littorale (le comble !!!). Cette sélection par l'argent est lamentable.

    Pourquoi la population de ma génération et de ma classe sociale n'aurait pas le droit de s'installer sur le littoral ?

    Flot
    Ce n'est pas en étant haineux envers des catégories de population que vous améliorerez la préservation du littoral .Le conservatoire le fait très bien,il faut lui donner encore plus de moyens.Une betonnisation ,nous la voyons sur la côte d'azur,ce n'est pas souhaitable pour notre belle Bretagne.
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    guy
    La loi littorale doit être respectée et renforcée au besoin et aucune dérogation accordée....Ceci concerne les "parisiens" comme les locaux. .
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    Granit Rose
    La sélection par l'argent est malheureusement inévitable. La vraie bataille, à mon sens, c'est que les plus roches ne puissent pas plus que les autres construire sur le littoral. Je respecte un riche qui achète et rénove une maison ancienne en délabrement comme on en voit pas mal.
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  • Halte au bétonnage de notre côte

    Granit Rose - 05 Février 2018 - 23h31

    Incitons les Maires à favoriser la préservation de notre patrimoine naturel plutôt que de laisser des promoteurs, qui ne recherchent que le profit, bétonner la côte pour augmenter le ratio nbre de lits disponible sur nbre d'habitants. Ou pénalisons les !!
    A Tregastel on assiste "en ce moment même" à la destruction d'un superbe site à 20 mètres d'une des plus belles plages au Monde car le Maire a donné un PC a Belambra qui construit 45 logements avec vue sur mer..... Venez voir c'est horrible !!!

  • Renforcer l'action du Conservatoire du littoral

    Ju22 - 05 Février 2018 - 23h26

    Le Conservatoire du littoral a permis de mettre en valeur et de préserver de nombreux sites naturels littoraux partout en France. Son action est primordiale pour limiter l'urbanisation intensive, préserver les espaces naturels littoraux et réguler la pression touristique. Il faut renforcer ses moyens (humains et financiers) pour continuer à faire barage à la pression foncière pour que le littoral français reste accessible à tous et qu'il continue à être préservé pour les générations futures.

    Tom
    Le Conservatoire doit par conte revoir sa politique devenue extrême en termes de protection de l'environnement et n'autorisant plus grand chose. Il faut revoir sa politique et accepter des activités humaines durables sur le littoral au risque de perdre toute considération de la population.
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    Dranreb
    Le budget d'acquisition du Conservatoire est excessif et inutilement coûteux. Le dogme du "tiers sauvage" à horizon 2050 (plus de 25 000 ha sur les côtes de bretagne) devrait être revu. On n'est plus dans les années 1970 ... nationaliser le 1/3 du littoral est une absurdité. Déprivatiser n'est en rien une garantie de meilleure gestion. Il existe des alternatives à l'achat, sans coût pour les finances publiques, jamais mises en oeuvre. Le budget de fonctionnement des immenses espaces déjà acquis par le Conservatoire pour le compte des collectivités y gagnerait
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  • Arrêter de seulement penser tourisme et plutôt penser à une gestion globale

    Loïck Le Roy - 05 Février 2018 - 18h40

    Développer des terres moins chères et plus accessible pour la construction si elles ne dévalorisent pas le paysage (même si c'est une notion relative).
    Introduire une marge entre le trait de côte et l'urbanisation d'au moins 500 à 750m : c'est penser aux générations futures dans un contexte d'évolutions climatiques et à une potentielle montée des eaux et une augmentation de la fréquence des tempêtes sur le littoral.
    Consacrer un certain pourcentage de l'espace bâti d'une commune à des activités touristiques ou de loisirs en fonction des revenus qu'elle en tire (ex : la commune de XXX a généré 5M de revenus liés au tourisme, soit 80% de ses revenus totaux, donc 40% de son espace bâti peut être aménagé dans un but touristique). Cela permettrait de réduire les infrastructures trop coûteuses en espace et inutiles en période hivernale, et ainsi de consacrer une plus grande partie du territoire aux besoins réels des résidents principaux.

    Granit Rose
    L'interdiction de construire à moins de 500 mètres d'une cote me parait une voie à creuser.
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  • SCoT, PLU

    Jean-Yves Bourcereau - 05 Février 2018 - 16h06

    Maîtriser l'urbanisation du littoral dans les plans d'urbanisme.
    L'Etat doit mieux contrôler les plans d'urbanisme des collectivités et doit les inciter à préserver leur bord de mer de toute pression foncière
    Pour mieux protéger les milieux et les paysages, il faudrait qu'ils soient classés.

    Granit Rose
    Ou pourquoi obtenir un peu "d'intelligence" des Maires pour, comme sur la Côte normande, s'il y a construction, au moins que celle-ci respecte le style local
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    Pragmatique
    En effet granit rose il ne faut pas tout interdire. L'interdiction ne peut pas répondre à chaque cas. C'est ce qui nous perd actuellement en France : toutes ces couches successives de réglementation qui bloquent tout. Aussi bien les projets de sortir que leur refus. L'aéroport de notre dames des landes en est l'exemple parfait : 50 ans pour une décision. Donc il faut des lois +/- cadre mais derrière des services de l'état et des politiques qui prennent leur responsabilité pour trancher rapidement. Et qu'on ne passe pas de recours en recours et en commission de conciliation....
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  • Réglementer les prix des maisons

    Yannick Cherel - 05 Février 2018 - 12h28

    L hiver le littoral breton est déserté et nombre de maisons seront vide pendant 10mois. Réglementer les ventes de ces maisons en favorisant les locaux avec des projets de vie locale, avec des tarifs réglementés eux aussi pour permettre aux personnes voulant vivre sur place de le pouvoir. Il est navrant aujourd hui de voir que des personnes travaillant sur la côte doivent habiter à 30km ds les terres pour pouvoir se loger. Ces résidences secondaires devraient aussi voir une obligation de mise à la location pour une période de l année. Cela permettrait entre autre à nombre de petits villages littoraux d avoir aussi une vie en hiver. Aussi bien socialement qu économiquement.

    Etienne
    D'autant plus que le coût de la vie n'est pas le même partout et que la vente d'un appartement à Paris permet l'achat d'une villa de 150m2 ici. La valeur immobilière doit être maitrisée par les communes. On ne peut pas interdire aux autres d'acheter mais un principe devrait être instauré pour favoriser les résidents principaux que les résidents secondaires
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    Granit Rose
    Le marché dépend de la loi de l'offre et de la demande. Un vendeur choisira toujours le plus offrant....
    • Pas d'accord
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    Tom
    Tout à fait. Les communes littorales se vident et vieillissent au regard du prix de l'immobilier. Malheureusement, nombre de maires ne jurent que par l'urbanisation et des projets inadaptés (Thalasso, ports,...) pour essayer de trouver la sacro-sainte CROISSANCE...
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  • Stop au massacre du littoral

    Philbhur - 05 Février 2018 - 09h02

    Simple interdiction totale de construire à moins d'un kilomètre du rivage

    Etienne
    Bonjour, vous ne semblez pas habité à proximité du littoral ou être un usager de la mer. Bien que la loi littoral soit une bonne chose et que la Bretagne ne doit pas être surbétonnée comme ailleurs, la possibilité de construire en bord de mer ne doit pas être bêtement interdite. Nombre de locaux sont nécessaires à l'activité littorale et ne peuvent être déplacés autrepart. Par exemple une extension de gare maritime, de criée, une nouvelle station de sauvetage, etc... D'autant plus, des villes littorales parfois en déclin deviendraient à l'avenir totalement inconstructibles tel Gavres, Quiberon et St Pierre Quiberon, Houat etc...
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  • Stop au parkings flottants

    Marie - 01 Février 2018 - 18h29

    La multiplication des parkings flottants à proximité des ports est insupportable , d'autant plus que la plupart des coques plastiques ne sortent que très en mer.
    C'est une nuisance détestable qui ne fait que se renforcer par l'inter financier des sociétés gestionnaires de ports.

    Camille Carrée
    Et l’intérêt des promoteur immobilier!
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  • Protection accrue

    Suly Bian - 31 Janvier 2018 - 23h57

    Protéger les espaces verts et permettre la démolitions d édifices anciens et abandonnés sans rien reconstruire dessus. Puis renforcement la loi littoral et faire en sorte que les collectivités ne cèdent pas aux pressions des plus riches.

    Nelly
    Il faut renforcer la loi littoral et la faire respecter. Il faut conserver à la côte Bretonne son caractère sauvage et non bétonné.
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  • Des campings plutôt que des marinas

    Odile - 31 Janvier 2018 - 18h39

    Favoriser le tourisme à petit budget : terrains de camping par exemple.

    koko
    ou des structures légères facilement déplaçables
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    Thérèse
    non aux terrains de camping qui s'égrènent et ne servent que pendant 1mois de l'année et enlaidissent le littoral toute l'année.
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    toussaint plessis buet
    Non aux camùpings ! Pitié!
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  • Politique moins émiettée

    Koala - 28 Janvier 2018 - 15h13

    Les communes en charge de l’évolution de l’urbanisme sont un échelon trop petit et trop soumis aux pressions locales aux dépens parfois d’une politique cohérente à l’échelle littorale.

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