Autres commentaires sur la vision d’avenir proposée
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Autres commentaires sur la vision d’avenir proposée
Mauro Pili - 25 Mars 2018 - 23h49
SI TRASMETTE PETIZIONE CHANGE.ORG [modéré] OLTRE 9.700 FIRME
"MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE : NO ALLO SCIPPO FRANCESE DEL MARE"
SCARICABILE NELLE FIRME E NEI PARERI NEL SEGUENTE LINK:
[lien supprimé]
1) Il piano proposto sembra dare per acquisito un accordo bilaterale Italia – Francia sottoscritto a Caen nel 2015 che avrebbe ridefinito il contesto internazionale dei confini marittimi. Si tratta di un accordo mai ratificato dal parlamento italiano e come tale privo di qualsiasi efficacia giuridica, economica e politica;
2) La modifica dei confini marittimi proposto nel Piano strategico tenta di dare per acquisito il presupposto quando, invece, tale ridefinizione dei confini e il conseguente utilizzo di una nazione a scapito di un’altra è destituito di ogni possibile presupposto giuridico;
SI ESPRIME PARERE CONTRARIO
Mauro Pili - 25 Mars 2018 - 23h42
Spett.le
Ministère de la Transition Écologique Et Solidaire
della Repubblica Francese
Oggetto: consultazione pubblica documento strategico facciata Mediterraneo – opposizione
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Il sottoscritto Mauro Pili in qualità di cittadino Sardo, cittadino europeo, interviene nella procedura di consultazione promossa dal Ministero della Repubblica Francese al fine di esprimere la propria contrarietà alla proposta avanzata nel documento strategico, relativamente alla definizione dei confini marittimi proposti e riferiti alla facciata del Mediterraneo, [modéré] particolare riferimento alle acque internazionali prossime alla Sardegna e alla Liguria. Il Piano strategico sottoposto a consultazione pubblica dalla Repubblica Francese dispone di carte marittime, riferite ad un accordo di Caen non ratificato dall'Italia, su acque di stretta pertinenza internazionale e che per nessun motivo possono essere annesse da singoli Stati
AVSANE - 24 Mars 2018 - 18h05
o L a notion de développement durable rappelle que l'intégration des questions environnementales aux impératifs du développement économique doivent répondre aux besoins immédiats des populations sans pour autant mettre en péril les aspirations des générations futures.
o Les activités et les usages à développer et à concrétiser pour notre façade méditerranéenne ne doivent pas porter des atteintes graves à la sécurité des personnes et à l'environnement.
o Il faut donc agir sans relâche à réduire nos pollutions à la source (bassins versants, activités industrielles), recycler au maximum, poursuivre intensément les recherches pour des emballages autre que les plastiques.
o Il faut opter pour un tourisme côtier durable.
Frédéric Gidron - 22 Mars 2018 - 20h11
Le vision est reflechie et intéressante. Toutefois, il faut prendre au compte aussi la culture latine et sudiste. Il est important de remettre de l'ordre dans tout cela en mettant en place une réelle politique d'aménagement de la façade méditerrannéenne (SCOT ou PLU) en tenant compte impérativement des enjeux environnementaux et économiques. Il faut bien évidemment appuyer sur la cohésion des territoires et faire respecter les lois. Il est important aussi de prendre en considération l'etang de berre qui a une ouverture vers la méditerranée par martigues port de bouc. Il a du potentiel pour notre territoire autre que le développement industriel. C'est un joyaux qui demande à s'épanouir. Mais l'état l'oublie et s'en désintéresse. Il est temps de concrétiser et de mettre en oeuvre réellement sa réhabilitation en favorisant une politique de développement économique vert et touristique. Il faut arrêter les guerres de clocher et avoir une vraie cohésion. Il en va l'avenir de notre territoire
PIERRE H - 22 Mars 2018 - 12h03
Je viens d'escalader péniblement les rochers pour poser ma serviette et être face à la mer. Je me suis préalablement enduit de répulsif contre le moustique tigre qui infeste nos cotes.
Sur la plage,ou du moins ce qu'il en reste suite à la dernière submersion, c'est la beach party et les haut-parleurs crachent la dernière musique à la mode, on sent bien l'odeur d'huile de grillade aujourd'hui..
Je regarde au loin scintiller de tous ses feux la foret d'éoliennes au son des hélicoptères de maintenance et les ballets des avions de combat qui s'entrainent.
Une mère de famille essaye vainement d'empêcher son fils d'aller dans l'eau, rendue impropre suite à l'alerte médicamenteuse. Des poissons crevés jonchent les abords du site.
Je viens pour méditer cette phrase de C Singer:
L’état de ce monde me révulse, m’indigne, me déchire, et c’est mieux que l’indifférence, mais rien ne sera changé si je n’entre pas dans la compassion .
soyons respectueux de la nature.
Isabelle Gouleret - 22 Mars 2018 - 06h40
Le projet est reflechi et intéressant mais sans prise en compte
- de la mentalite sudiste qui n appilique pas les lois francaises avec zele
- de l immigration massive clandestine qui est en train de faire basculer les équilibres démographiques
Isabelle Gouleret - 22 Mars 2018 - 06h40
Le projet est reflechi et intéressant mais sans prise en compte
- de la mentalite sudiste qui n appilique pas les lois francaises avec zele
- de l immigration massive clandestine qui est en train de faire basculer les équilibres démographiques
Isabelle Gouleret - 22 Mars 2018 - 06h40
Le projet est reflechi et intéressant mais sans prise en compte
- de la mentalite sudiste qui n appilique pas les lois francaises avec zele
- de l immigration massive clandestine qui est en train de faire basculer les équilibres démographiques
Isabelle Gouleret - 22 Mars 2018 - 06h38
Scot
plu
droit transfrontalier de l eau
Il y a urgence a faire des choix et surtout a les imposer
Kubagde - 15 Mars 2018 - 09h33
Pour préserver l'espace littoral au profit des générations futures, il est tout d'abord nécessaire de parfaitement connaître cet espace.
Un premier outil pourrait être l'équivalent d'un SCOT maritime. Il concernerait toute la façade méditerranéenne, et reprendrait les connaissances pluridisciplinaires.
Y apparaîtraient les grands équilibres régionaux : voies migratoires, sanctuaires de biodiversité marine, courants, transit sédimentaire littoral, réserves sédimentaires, zones de pêches, voies de transit économique, zones touristiques.
Il pourrait alors préconiser les zones devant être préservées (biodiversité, tourisme, pêche côtière), celles qui pourraient être dévolues à l'aquaculture, à l'habitat marin, et celles industrialisables (énergies marines renouvelables).
Puis, des PLU marins préciseraient ces orientations à des échelles locales, avec notamment la mise en place de couloirs de navigation ou la protection de micro-zones pour favoriser la biodiversité (récifs).
Kubagde - 15 Mars 2018 - 08h53
Avec le changement climatique, l'abandon des énergies fossiles, la pression humaine sur les espaces rétro-littoraux, il ne faut pas se leurrer, et en particulier sur la Méditerranée, la mer est l'eldorado de demain. Un mal, une chance ? Rien n'est encore écrit, à nous d'être intelligents, de faire pencher la balance du bon côté et d'anticiper pour bien aménager au grand bénéfice des générations futures.
Tout ce qui va se faire devra l'être à l'aune de 3 aspects : la nature, le social et l'économique. Aucun ne devra être sacrifié au profit des autres.
L'aménagement du territoire tourne autour des SCOT et des PLU, alors pourquoi pas faire la même chose pour le littoral et la mer ?
CoLLecT-IF environnement - 05 Mars 2018 - 20h22
Malgré l’importance de ce secteur d’activité en France, la mer a disparue des attributions Ministérielles, où l'économie maritime représente quelques 100 000 emplois.
Oublier la mer est une faute grave ! c’est un signal désastreux envoyé à un secteur dynamique pourvoyeur d’emplois : La croissance bleue est pourtant une des clés de la compétitivité de notre pays. La France est présente sur tous les océans avec le deuxième espace maritime mondial et un pays qui ignore la mer est condamné à couler.
La Méditerranée est aux avants postes sur les enjeux environnementaux avec une Biodiversité unique et un fort potentiel en recherches et développement sur les innovations liées à la Mer.
La Méditerranée est le berceau et en même temps l'avenir de notre civilisation...
pierre 17 - 03 Mars 2018 - 21h23
On parle de développement durable par opposition au développement non durable qui a sévi pendant 70 ans. La façade méditerranéenne n’a pas besoin de “développement” durable mais de retour à un équilibre durable, en commençant par réduire sa pression démographique. En ce sens, tout ce qui limitera sa capacité d’accueil (permanent et estival) est souhaitable, même si le prix à payer est une explosion des prix de l’immobilier. Il ne s’agit pas de “créer un sanctuaire pour privilégiés”, il s’agit de sauver ce qui peut encore l’être : allons voir en Espagne, en Grèce, ce que donne la logique de développement littoral poussée à ses fins.
Pierre Naessens - 27 Février 2018 - 15h11
Mon dieu quelles conneries ces consultations citoyennes, c’est du budget dédié à l’environnement qui part uniquement dans de la communication, c’est ainsi qu’est géré le fric de nos impôts, pendant ce temps il parait qu’il n’y a pas de budget pour nettoyer les abords des rivières jonchés de saloperies ( et qui finissent dans les fonds marins )
jmr - 25 Février 2018 - 18h10
l'éducation est la base de tous
nettoyer mer , littoral , plage , bord de route etc c'est bien MAIS INSUFFISANT
1, pourquoi ne pas prendre le mal à la racine et éduquer les nouvelles générations et celle d’aujourd’hui que tous les déchets jetés à même le sol fini un jour ou l'autre en mer
2 , supprimer les emballages plastique de la consommation et mettre des consignes sur d'autres
3 , créer des projets éducatifs avec intervention de nettoyage ramassage de déchet , pour sensibiliser les mentalités
Paris-India Daynà - 14 Février 2018 - 23h42
J'aime imaginer que les collectivités organisent des opérations "plages propres" plus régulièrement (avant et après la "saison touristiques") ...
Et, il n'y. a pas que les plages à touristes ... mais aussi de petits coins sympas qui regorgent de détritus en tous genres ...
Quelquefois, il faudrait de vrais moyens techniques pour enlever ces masses de déchets ... Je n'y arrive pas tout seul ...
nctetu - 13 Février 2018 - 20h29
L'eau étant une ressource commune, il me semblerait judicieux de développer un Droit International de même type que celui qui est en train d'émerger pour la gestion des eaux douces transfrontières... Penser la Méditerranée comme un bassin versant transfrontières, permettrait d'impliquer toutes les parties (individus, états, organisations, ..) vers un but commun de gestion raisonnée de la ressource, tout en en préservant les usages..
mumumadein13 - 11 Février 2018 - 09h00
en 50 ans j ai vu l évolution du golf de Fos dans l'hyper-industrialisation puis depuis peu l effort pour attirer les touristes. Tout ceci au détriment des locaux qui ont subit l augmentation des prix et qui ne peuvent plus se loger (achat ou location) qui ont des difficultés pour se nourrir (flambée des prix l ete) ni accéder aux plages (forte affluence et/ou accès payant).
Vivre et vieillir au "pays" est super difficile.
Et aussi super betonnisation des terrains et le peu d espaces protégés verts ont brûlés. Il manque des parcs ou se promener n toute quiétude ou pratiquer des activités non polluantes.
eric HEYMARD - 10 Février 2018 - 21h51
Partout dans le monde,une solution existe ce sont les "reefs balls". Demi sphère creuse et percée qui en déviant le courant existant génère un contre courant qui protégé le littoral. En France,pour ne pas envahir de ces "balls" en béton, il suffirait: pour les cotes rocheuses ,enfermer le matériau présent dans ce que l'on appelle des "gabions". Ce sont ces cages enfer que l'on voit sur nos routes et autoroutes qui retiennent les éboulis. On peut aussi s'imaginer la magnifique nurserie qui serait ainsi construite!!! Et,pour le tourisme, les ballades magnifiques en PMT(palmes, masque, tuba). Pour les cotes sableuses, enfermer le matériau présent,le sable,dans des sacs en jute ou en chanvre à la fin de l'été en les positionnant comme les reefs balls ils seront recouverts par le sable amené par les vagues d'hiver. L'idéal pour la méditerranée serait des sacs fabriqué a base de posidonies. (J'espère que ce passage sera lu par un plagiste au souhaite élargir sa concession. Voilà, j'ai dit.
Mic Hermine - 05 Février 2018 - 17h57
arrêtons de déraciner les arbres, nettoyons les cours d'eau comme on le faisait il y a plusieurs années
Lilijuste - 04 Février 2018 - 00h13
Arrêtons de remettre au lendemain ce qui est nécessaire. Prendre des décisions radicales et durables au plus vite. Plus d'espaces verts, coulées vertes et bleues, moins de béton, bâtiments rénovés, activités sociales respectueuses de l'environnement, vers une réelle mixité sociale, agriculture locale
Rémi Hergé - 03 Février 2018 - 16h06
Tourisme oui si cela ne veux pas dire que les locaux subissent la spéculation immobilière immodérée, une priorité d’achat doit être créée pour les personnes originaires de la région et il faut réguler les prix hauts toute l’année de tous les magasins arrêter de faire payer les places de parking aux locaux qui paient déjà dans leurs impôts et un vrai accès au littoral en période estivale parking avec navettes gratuites pour les non résidents accès autorisé seulement aux résidents.
marco - 03 Février 2018 - 15h37
Le tourisme est une mauvaise chose à long terme, il engendre pollution et dégradation des fonds marins.
Luc - 02 Février 2018 - 19h44
L'avenir d'une station n'est il pas intimement lié au lien existant entre les habitants et les résidents secondaires ?
Dès lors l'objectif doit être d'animer pour travailler en réseau, communiquer et collaborer entre habitants et résidents secondaires.
Plusieurs pistes peuvent être explorées...
Ecoblue21 - 01 Février 2018 - 16h32
Heureusement que les territoires ultramarins publient leur propre étude et avancent avec leurs clusters maritimes ! Dans une étude très complète publiée ce mardi 30 janvier, les Instituts d’émission d’Outre-mer, IEDOM et IEOM, se sont penchés sur l’Economie bleue dans ces territoires. Chez eux « L’émergence d’une économie bleue est une réalité ».
Grâce à l’Outre-mer, qui concentre 97 % de ses surfaces maritimes, la France dispose du deuxième domaine maritime au monde (11 millions de km²), ce qui représente un atout géopolitique et économique majeur. Le caractère littoral ou insulaire des départements et territoires ultramarins tourne nécessairement ces économies vers la mer et confère à leurs activités maritimes d’importants potentiels de développement.