Les activités et usages
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Les activités et usages
Faby 34 - 24 Mars 2018 - 18h06
Lors de leur séjour, proposer aux touristes des bons de réduction ou autres avantages avec effet immédiat pour la visites de sites naturels, sportifs ou culturels de l'arrière-pays. Et ce, dès leur réservation d'hébergement (par internet) ou via leur smartphone (avec un code spécifique). Le système pourrait relever d'un blockchain qui offrirait la garantie financière aux prestataires et une facilité d'usage aux vacanciers.
Parmi ces visites de l'arrière-pays, celles sur des activités économiques peuvent aussi être source de développement durable. Agriculture, artisanat et industrie locale peuvent profiter de cette fréquentation tout en réveillant les consciences : derrière la plage il y a un écosystème qui vit toute l'année et qu'il faut protéger et encourager. L'emploi de personnel saisonnier et la création de lieux d'accueil pourraient être subventionnés afin d'inciter ces acteurs économiques à organiser ces visites de manière structurée quand eux même n'ont souvent pas le temps.
AVSANE - 24 Mars 2018 - 17h13
• Allonger au maximum la période des congés estivaux afin de diluer la concentration de population pendant cette période. Favoriser les séjours en juin et septembre pour les familles sans enfant et les retraités.
• Développer la connaissance et le partage du littoral par des survols en ULM, par exemple, sur des sites particulièrement intéressants en termes de paysages, de structure et d’écologie. Par exemple, le golfe de Giens, la rade d’Hyères et les îles d’or. Ce principe pourrait être développé sur l’ensemble du département du Var : La Sainte-Baume, Le Verdon, Le Rocher de Roquebrune, L’Estérel, les Maures, Le Bessillon, L’aire de Villecroze et de Tourtour, Les moulins de Régusse etc…
AVSANE - 24 Mars 2018 - 17h10
• Nautisme (plaisance et sports nautiques),
• Baignade (qualité des eaux, stabilisation des plages),
• Découverte du milieu marin (plongée et randonnée palmée),
• Tourisme de savoir-faire:
- Visite de fermes aquacoles,
- Projets d'éolien Offshore flottant Occitanie et Paca
• Valorisation du patrimoine culturel marin et côtier.
Un des axes est de développer des activités touristiques terre-mer pour « décharger » la pression sur le littoral : ex parcs naturels mer-terre (Parc des Calanques, etc.)
Henzdom - 24 Mars 2018 - 14h45
Dans le monde entier créer obligatoirement des chartes touristes responsables , notamment dans les "all inclusive" , campings.... et faire de la sensibilisation en expliquant les conséquences des actes
Marion B. - 23 Mars 2018 - 18h39
Le tourisme est la base de l'économie de ces régions. Pour aller vers un tourisme durable (on en est loin) il faut diversifier les offres touristiques, privilégier les petites structures de decouverte et de protection de la nature plutot que le tourisme de masse que l'on peut observer. Cela passe par la sensibilisation mais aussi par les démarches gouvernementales (financement des petites structures, limitation des quotats de personnes dans certaines zones, meilleure gestion des déchets grace à la consigne) et juridiques (plus de surveillance dans les zones protégées, sur les plages, les zones sensibles et des peines plus lourdes et des procédures plus systématiques) avec des juges spécialisés dans ces domaines. En gros accorder tous les services de l'état mais aussi les citoyens avec les enjeux à long terme.
Mairie Villeneuve-Loubet - 23 Mars 2018 - 09h04
• Généralisation de la mise en valeur des plages au niveau d’un ensemble de territoire via l’intercommunalité (et non pas de chaque Commune) par l'engagement d'un processus de certification de la qualité des eaux de baignade et l'obtention de labellisations (anti-tabac, etc.).
• Réduction de l’usage des engins à fonctionnement thermique (VNM) par la limitation des lots de plages sur lesquels sont autorisés l'exploitation d'activités nautiques (type VNM).
Frédéric Gidron - 22 Mars 2018 - 19h27
Arrêter la politique du tourisme de masse en stoppant les programme d'urbanisation d'envergure ;
Faire respecter strictement la loi de protection du littoral
Développer les activités touristiques liées à l'économie sociale et solidaires ;
Favoriser et promouvoir le tourisme vert ;
Sensibiliser au respect du milieu naturel ;
Dans le cas contraire appliquer des sanction.
Martine Balestié - 22 Mars 2018 - 10h53
Arrêter le tourisme de masse arrêter de construire démesurément s'éloigner des côtes préserver la diversité écologique et naturelle.
Lorus - 22 Mars 2018 - 08h40
Interdiction de fumer . ( prevention pollution et incendies )
Pas de tolerance pour les camping car.
Repousser plus au large les jetskis pour baisser la pollution sonore.
Pas de chiens admis pour les plages fréquentées par des enfants.
Creer une journée de mobilisation citoyenne des plages : tout le monde va nettoyer la plage la plus proche de son domicile : on pèse les détritus récoltés et on valorise l’action.
Guide des plages / mer sur internet: indication du biotop, faune, flore, composition de la roche, fragilité, regle de bonne conduite .
Isabelle Gouleret - 22 Mars 2018 - 06h16
Favoriser par des activites specifiques d avril a octobre un tourisme en direction de la population retraitee
Et multiplier les plages privées pour proteger le littoral de l envahissement d ete
Faby 34 - 21 Mars 2018 - 18h12
Les campings ne sont pas par nature les plus intrusifs dans l'environnement, mais leur concentration et l'afflux massif de touristes qu'ils impliquent oui ! Peut-être devrait-on limiter leur emprise au sol en obligeant ou en incitant à augmenter la superficie de chaque emplacement. Le nombre d'étoiles en fonction de l'espace accordé à chaque emplacement plutôt qu'au nombre d'infrastructure de loisirs offertes.
Par contre, tant que les nouvelles constructions en dur seront autorisées au mépris de la Loi Littorale, toute nouvelle proposition paraît dérisoire. Combien de nouveaux projets immobiliers sortent de terre chaque année (avec "vue mer" bien sûr), tandis que d'innombrables anciens appartements sont à vendre sans trouver preneurs.
A l'échelle d'une commune, il conviendrait d'étaler la fréquentation sur l'ensemble de la station en créant des zone de loisirs à l'arrière du front de mer et en redynamisant des quartiers complets sur plusieurs spots (commerces, équipements, loisirs).
Pierre-Olivier Milanini - 21 Mars 2018 - 07h35
Le littoral n’est pas une ligne.
Ou une surface. Comme une falaise, ou une plage. Ni des rochers. Les mots « frange » ou « façade » paraissent tout autant réducteur...
C’est un écosystème. La relation avec la mer influe sur un territoire profond.
Aujourd’hui l’enjeu n’est-il pas d’identifier les ressources actuelles et potentielles de ce territoire pour les articuler entre elles?
Peut-on considère le paysage comme une de ces ressources? L’héliotropisme doit-il être subi et contrôlé ou bien utilisé à des fins précises articulées dans une vision politique?
La concertation des acteurs de ce littoral profond sur des projets structurants n’est-il pas le mode opératoire à privilégier?
Ou bien faut-il continuer à s’appuyer sur des lois et des règles qui ignorent souvent les spécificités et les besoins locaux?
citoyenlittoral - 18 Mars 2018 - 13h46
En 2003, le CNADT était clair : « L’impressionnante croissance démographique, touristique et plus généralement économique n’a pas été maîtrisée », elle ne l’est toujours pas, aucune mesure préconisée n’a été prise.
La stratégie européenne pour plus de croissance et d’emploi dans le tourisme côtier et maritime (2016-2020) enfonce le clou avec des aides. On sait ce qu’il faut faire mais on ne le fait pas.
Les logements « dits sociaux », construits avec l’aide de l’Etat, seront dans15 ans des résidences pour leurs propriétaires fortunés acquises à prix réduits. Où construire de véritables logements pour actifs ?
Passer d’un tourisme de masse balnéaire et saisonnier à un tourisme durable à l’année nécessite qu’on arrête de construire toujours plus d’hébergements touristiques.
Il faut prendre les mesures qui sont préconisées au niveau local, national et européen depuis des années et mettre un frein à la spéculation immobilière qui aggrave tous les problèmes.
Kubagde - 14 Mars 2018 - 11h22
Sur le littoral de l'ancien LR, un grand nombre de camping sont situés à proximité immédiate de la mer, se situent souvent en zone submersible et viennent encombrer un paysage déjà trop urbanisé, nuisant de fait à l'installation d'un littoral naturel, qualitatif et attractif. Hors, il apparaît que, sur cette côte, les touristes, bien que restant souvent enfermés dans les campings, ne sont pas prêts à s'éloigner du rivage. Mais avec la montée du niveau de la mer et l'augmentation de l'aléa submersion, il faudra un jour déplacer ces équipements.
Aussi pour préparer ce mouvement et le faire en douceur, il convient dès aujourd'hui d'aménager le littoral pour mettre en place un réseau de voies douces vers les zones rétro-littorales. Cet aménagement qualitatif en s'appuyant notamment sur une renaturalisation des sites commencerait à habituer les estivants à vivre différemment leurs séjours, et permettrait à terme le transfert des campings, sans rompre avec habitudes et attentes.
Jahan - 12 Mars 2018 - 20h11
Considérer les habitants comme les premiers touristes de leur territoire.
Faire en sorte qu’ils soient acteurs de leur territoire, développer des actions et activités qui permettent aux’ habitants de s’approprier leur territoire, d’en mesurer les enjeux, et surtout l’interet De le préserver et où de l’ewploiter en mettant tous les garde fous pour que les retombées économique bénéficient d’abord aux habitants du territoire.
La mise en Tourisme d’un territoire, surtout celui fragile, sensible, et surexploité comme le littoral, ne peut se faire d’une façon durable qu’à la condition que les habitants se soient approprié leur territoire et en soient les acteurs.
Une personne dans cette rubrique a mentionné les Asspciations qui effectivement font ce travail auprès du public, des scolaires notamment.
DEBO - 12 Mars 2018 - 19h54
L' état doit encadrer et contrôler plus strictement ces zones fragiles que sont les cotes littorales,l'enjeu écologique est national, les communes conservent un pouvoir d'action trop important, subjectif,local, et ne font pas toujours les meilleurs choix pour la protection de leur cotes privilégiant souvent leur développement économique . Une véritable politique d'ensemble est indispensable pour protéger et pérenniser ces éco-systèmes en péril, en privilégier toutes les solutions . Etalement des vacances, arrêt de l'urbanisation massive, protection contre les pollutions diverses, aides et accompagnements aux développement de projets durables et vertueux, contrôle de la peche intensive, multiplication des zones protégées.... c'est l'avenir économique de ces zones.
Robert Leyret - 12 Mars 2018 - 08h53
Cette année les vacances scolaires ont induit la concentration des vacanciers du 14 juillet au 23 septembre ( avec par surcroît une période de 11 semaines pour une zone scolaire, loin des 7 semaines prônées). Donc étaler les vacances de mi juin à mi septembre (par exemple) permettrait d'une part de diminuer considérablement l'occupation du littoral tout en protégeant, voire en développant les emplois saisonniers dans la durée.
Robert Leyret - 12 Mars 2018 - 08h48
Cette année les vacances scolaires ont induit la concentration des vacanciers du 14 juillet au 23 septembre ( avec par surcroît une période de 11 semaines pour une zone scolaire, loin des 7 semaines prônées). Donc étaler les vacances de mi juin à mi septembre (par exemple) permettrait d'une part de diminuer considérablement l'occupation du littoral tout en protégeant, voire en développant les emplois saisonniers dans la durée.
Eric Carlier - 11 Mars 2018 - 20h09
Les rois du net sont de plus en plus flou. Tu rajoutes un politicard et il se pend.
Frédéric Bertrand - 09 Mars 2018 - 15h29
Toutes les pratiques liées au tourisme sur notre littoral doivent faire l'objet d'études d'impact visant à réguler la pratique des activités. il faut avoir le courage de se fixer des seuils maximaux de fréquentation, des quotas en instaurant des numerus clausus et surtout un contrôle de la pratiques de ces activités. Or les moyens alloués à la surveillance de ces milieux sont en constante régression (Gendarmerie Maritime, Douane, police de l'environnement)
Cédric Dubois - 07 Mars 2018 - 16h34
A l'aide d'un outil cartographique dynamique, définir par secteurs écosystémiques, les conditions d'aménagements et d'activités pour permettre la réalisation de projets vertueux.
CoLLecT-IF environnement - 06 Mars 2018 - 16h03
Les Associations de protection de l'environnement (Petites structures avec uniquement des bénévoles) ont de grandes difficultés à faire bouger les choses ET POURTANT certaines y arrivent avec beaucoup de détermination, de courage et de créativité...
Souvent à leurs têtes des personnes charismatiques et stratèges qui influencent les institutions, les pouvoirs publics, les entreprises à grands renforts de mobilisations citoyennes.
Notre proposition : Le Ministère devrait identifier ces structures locales (en dehors des WWF, FNE et autres structures nationales qui sont de véritables entreprises) qui font preuve d'efficacité et font bouger la société sur des thématiques importantes, les reconnaître et les aider à poursuivre leurs missions d'intérêts citoyennes...
NEIGE - 06 Mars 2018 - 15h14
De nombreuses guinguettes pensent détenir le droit d'écouter la musique à fond toute la journée une vrai pollution sonore !
Alors que le bruit de la mer fait aussi partie de notre plaisir, on voit la mer mais ne peut l'écouter étrange !!!
A Sete les politiques ont décidé d'accueillir des gros bateaux à moteur au quai d'Alger !
avec des moteurs qui tournent en permanence pour alimenter leur douches tv ....
Des polueurs de 1er ordre ! comme à Marseille ou tout le monde hurlent maintenant ! trop tard !
Sylvie Lascoutounas - 04 Mars 2018 - 10h11
Le developpement touristique ne peut pas se faire si on ne règle pas d'abord les probleme liés au tourisme actuel. Pourquoi le développer encore puisque nous ne savons plus ou mettre les déchets du tourisme, puisque nous n'avons en Corse pas assez d'energie pour couvrir les besoins, sans polluer via la centrale du vazzio. Pourquoi remplir tant de piscines et crier aux agriculteurs (sources de productions locale) de ne plus arroser leurs jardins. Ce développement la est mortifère pour la ruralité, pour les traditions honnêtes et vertueuses, pour le travail de qualité. Ce tourisme de masse ne fait que dégrader les qualités meme de ces régions qui attiraient autant de monde jusqu'à lors. Une études extraordinaire a été menée et je conseille vivement à tous de la prendre en considération [lien supprimé]. Ici, en Corse, il en va de la survie de ce qui fait la richesse de cette destination, qui a déjà perdue en quelques decennies ses plus belles qualités.
pierre 17 - 03 Mars 2018 - 18h57
Le modèle de tourisme nature anglo-saxon, avec participation financière (symbolique) pour accéder aux zones naturelles en cours de restauration est à mettre en place : il permet de financer les aménagements limitant l’impact de la fréquentation humaine (cheminements hors-sol, balisage, encadrement des visites). Le “développement durable” implique qu’on ne consomme que ce qui est renouvelable à l’échelle de temps utilisée pour la consommation : il faut arrêter d’espérer que ce soit compatible avec les densités de population (en particulier touristiques) observées sur le pourtour méditerranéen. Il suffit de calculer les besoins d’une personne, fut-elle un touriste hyper sobre et respectueux de l’environnement, de multiplier cette consommation par le nombre de touristes+locaux présents à un instant T, et de comparer avec les ressources naturelles disponibles pour constater que ça ne marche pas sans apports extérieurs, c’est à dire de façon artificielle et déséquilibrée...
pierre 17 - 03 Mars 2018 - 18h55
Le tourisme de masse est contraire aux principes de votre titre : il faut donc d’abord diviser par 100 la population touristique (en particulier estivale). On n’est donc pas dans une logique de “développement” mais de réorganisation/révision à la baisse.
Ensuite, ce tourisme estival est concentré sur 3-4 mois dans l’année, donc les installations touristiques destinées à l’accueillir doivent être non permanentes, légères, écologiques (toilettes sèches et restrictions de la consommation d’eaux grises).
Si ce n’est pas agréable, tant mieux, les humains doivent prendre conscience que le confort de leurs vacances au soleil a un impact énorme sur les écosystèmes envahis, qui le payent au prix fort toute l’année.
JMB - 03 Mars 2018 - 11h54
Cette île serait une vitrine pour la découverte et la diffusion des connaissances et innovations liées à la mer et aux EMR. Ce projet présente un intérêt pour la collectivité publique : Scientifiques, plaisanciers, non plaisanciers, scolaires, … pour faire connaître la mer, la démocratiser et sensibiliser les jeunes générations aux bienfaits qu’elle apporte, à condition de la respecter et de la protéger. La conception devra tenir compte de l’hydrodynamique et de l’environnement et ne pas générer d’impacts négatifs sur le littoral et les fonds, la faune et la flore sous-marine. Son implantation devra faire l’objet d’une large concertation avec tous les acteurs concernés (services de l’Etat, collectivités locales, usagers de la mer, riverains, etc.). En étant mis en œuvre de manière exemplaire, ce projet développerait une nouvelle forme de tourisme éco-responsable et de loisirs de découvertes en mer. Il contribuerait au rayonnement de la région Occitanie et même de la France en Europe.
Morgane le Bars - 27 Février 2018 - 17h25
Les hors bord, les jet skis, sont bruyants , polluants ( néfastes pour les poissons, dangereux pour les baigneurs, plongeurs...). Il me semble que leur usage devrait être restreint a certaines zone déjà urbanisées, dégradées etc..; et favoriser les bonnes pratiques, la plaisance "douce", la voile , les moteurs électriques, solaires etc... A terme, interdire les moteurs thermiques pour les usages ludiques sur l'eau.
CapDD21 UHLM - 23 Février 2018 - 20h51
Quand la Sentinelle Labo explorateur du littorale participe au développement durable d'un concept d'observatoire 3.0
Alba - 23 Février 2018 - 13h54
Sur la Côte d’Azur, on a trop longtemps favorisé l’économie au détriment de l’environnement, et la quantité au détriment de la qualité, du coup tout a été détruit, la région est inesthétique et invivable et seuls quelques privilégiés en ont profité, la population dans sa globalité s’est appauvrie. Il faut maintenant développer le tourisme vert et durable et accueillir les touristes qui ont envie de venir sur les côtes méditerranéennes pour profiter de l’environnement et pour le respecter. Pour cela il faut stopper la bétonnisation massive, réduire la pollution de l’air, développer les pistes cyclables, les éco-hébergement, les modes de transport doux, bannir les voitures du bord de mer, permettre des promenades sur des sentiers écologiques, des randonnées, des activités respectueuses de l’environnement telles que snorkelling, observation de la faune marine (encore faut-il ne pas l’avoir détruite), du kayak, du stand up paddle, Windsurf, voile, du vélo et freiner les loisirs polluants.
Grain à moudre - 22 Février 2018 - 14h57
Premièrement, il faut changer le logiciel ... de compréhension et de fonctionnement. Si faire du vert est à la portée de tout le monde, surtout en ajustant sa com, régénérer son mental et construire de nouveaux modèles de développement nécessite humilité, matière grise , travail et transparence. La Région Sud, nouvellement, renommée, est bien loin du compte. Gesticulations, subventions grossièrement habillées de locutions à la mode, ne suffisent pas à masquer ses incohérences
Alors, les entreprises s'installant en PACA, leurs homologues de l'ESS et les start-ups feraient bien de s'emparer des vrais sujets : la fertilisation croisée chère à l'inventeur de Sophia Antipolis, les échanges du bassin méditerranéen et l'innovation pour un développement maîtrisé, solidaire , faisant de toutes les expertises traditionnelles et contemporaines un levier de changement.
L'avenir de la région est à ce prix ! Ne nous y trompons pas !
Nico Servel - 20 Février 2018 - 18h56
En saison, il faut instaurer des quotas plaisanciers mouillage le mouillage, installer des corps morts et interdire le mouillage à l’ancre sur toute la côte. Une application peut donner en temps réel les anneaux disponibles et permet de les réserver à partir de 24h à l’avance.
Contrôle systématique de présence des caisses à eaux noires, condition sinequnone pour mouiller hors ports.
Entre Martigues et Menton, création de lignes de ferries sur le modèle de l’express côtier norvégien pour désengorger les routes, au moins de juin à septembre.
pierre andré holstein - 18 Février 2018 - 15h03
on a trop construit au bord des plages en particulier palavas, carnon, ...
en plus il n'y a pas 2 constructions pareilles, ce n'est pas beau et avec le réchauffement climatique tout cela sera dans l'eau dans 20ans , 40ans ? on ne sait pas quand mais c'est inéluctable. Il y aura de plus en plus de submersion lors de tempêtes donc il ne faut pas renouveler les permis de construire dans ces zones après les gens viendront pleurer "j'ai tout perdu" c'est maintenant qu'il faut agir. Faisons des parkings pour venir à la plage sans y habiter.
margagnoun - 15 Février 2018 - 13h13
Le développement de l'usage de voiliers aux gréements traditionnels protège à la fois les patrimoines culturel et naturel. Par ailleurs l'attractivité touristique de ces voiler est croissante. Mais l'entretien de ces voiliers est une charge considérable, alors que leur usage n'est pas économiquement compétitifs : plus personne n'envisage un pêche professionnelle à la voile.
Or l'utilisation de bateaux de tradition pour les tâches nécessaires pourrait être systématisé par les municipalités ou les départements dans les ports ou sur les aires marines protégées.
L'initiation des enfants à une diversité de gréements serait un acquis culturel considérable, et une solide familiarisation avec l'environnement maritime. Par ailleurs, faute de vent, l'aviron est une discipline excellente pour une bonne santé.
Il faudrait relancer une filière fabrication bois et entretien des bateaux de loisir. Chaque communauté urbaine pourrait se doter d'un beau voilier pour une régate interrégionale annuelle
Alba - 12 Février 2018 - 17h42
Il faut définitivement bannir la privatisation des plages sur le littoral méditerranéen.
La loi littoral a enfin été appliquée et a permis de faire détruire des plages privées, malheureusement d’autres concessions vont être accordées par les mairies dans la foulée et on ne récupérera jamais ces kilomètres de plage. Tout ça pour préserver les intérêts financiers de quelques plagistes. Pourquoi ne pas laisser l’accès à la plage au public sur la Côte d’Azur comme c’est le cas sur la côte atlantique?
Autoriser la privatisation des plages est contraire à l’idée même de développement durable.
Il faut privilégier les locaux et le tourisme durable et non le tourisme de masse et les gros complexes hôteliers, il faut mettre en avant les activités respectueuses de l’environnement plutôt que les activités à forte puissance financière.
Le développement durable a également une dimension sociale. La nature doit être accessible à tous, et le bord de mer et les plages ne font pas exception.
Mike TDi - 12 Février 2018 - 17h01
"Plus on est de fous, moins il y a de riz" Coluche.
Comment demander à la population de faire attention s'il n'existe pas un réel outil d'information pour ce faire ?
Et si la "Météo des Oiseaux" permettait de vivre en harmonie en apprenants les règle de l'environnement et en informant en temps réel l'état des zones sensibles du littoral ?
Voilà 3ans que nous développons concrètement un outil de gestion des espace-temps pour conserver la biodiversité et l'harmoniser avec la présence humaine. Par manque de moyen seul l'enjeu "Oiseaux" est pris en compte (les Laro-limicoles grâce au programme Life+ ENVOLL). Ce programme était à l'échelle de la commune de LA PALME (11) en 2015 pour passer à celui de la Méditerranée Française en 2017 !
Son potentiel est énorme. Il mérite d'être une information reléguée au même titre que celui de la météo des plages en saison.
Aidez nous à développer cet outil, en 2019 il n'aura plus de financement, fin du programme LIFE...
CdZ - 12 Février 2018 - 16h40
Malgré la saturation actuelle, la bétonisation du littoral perdure au détriment de l’environnement comme de la qualité de vie des locaux et des touristes : embouteillages, logements et restaurants médiocres, plages bondées, eau polluée, etc. De nombreuses villes ont fait le pari qualitatif d’un tourisme vert qui attire tout autant, crée de l’emploi, offre une meilleure image, et améliore la qualité de vie de tous.
Quelques idées
- Mettre un terme au tout voiture (parkings/navettes), créer plus de voies vertes
- Favoriser les activités propres, les sentiers découverte, les espaces culturels liés au patrimoine naturel
- Créer des zones marines protégées, organiser des randonnées aquatiques
- Sensibiliser au respect de l'environnement, lutter contre l’incivisme
- Encourager les écoquartiers, le recyclage, les énergies propres
- Réglementer les activités nautiques en éloignant celles qui sont polluantes, bruyantes ou dangereuses
- Valoriser les productions locales et les filières courtes
Guillaume JACQUET-LAGREZE - 11 Février 2018 - 22h27
S'inspirer de la plateforme SEAZEN de Beaulieu sur mer pour généraliser le développement de la plaisance solaire en France et à l'international.
La navigation solaire en mer permet de nouveaux usages de la plaisance, plus sur, zen et respectueux de l'environnement.
[lien supprimé]
Aurelle - 11 Février 2018 - 11h36
Le littoral est déjà soumis à de fortes pressions de la part des activités humaines. Peut on raisonnablement envisager de développer encore ces activités? c'est difficilement conciliable avec une vision à long terme de protection de la biodiversité et aussi de lutte contre le changement climatique.
Véronique - 07 Février 2018 - 11h55
Comme par exemple celles qui concernent la gestion des Iles du Levant: Port-Cros, Porquerolles surtout, toutes deux très sollicitées, et où les différents acteurs (Parc National, associations, économie locale) aménagent des solutions en concertation.
Clem Vladi - 06 Février 2018 - 20h38
Il est facile de deposer des rochers ou autre obstacle sur les fonds marins afin de créer un recif artificiel sur lequel les vagues pourront dérouler pour le plus grand plaisir des surfeurs lorsque la houle est présente, et pour le bonheur des plongeurs dans le cas contraire.
Ce type de procédé a deja ete concrétisé avec succès en Australie notamment.
La population de surfeur ayant considérablement augmentée ces dernières décennies (15000 licenciés mais la plupart des surfeurs ne le sont pas), rend la pratique de ce sport parfois périlleuse... la création de recif artificiel permettrait d'endiguer ce risque.
Laurentgeo - 06 Février 2018 - 15h20
Identifier facilement sur un site dédié les rivages où la qualité de l'eau permet la baignade en toute sécurité.
JDM - 06 Février 2018 - 11h11
Un système de consigne des emballages, comme il se faisait auparavant pour les bouteilles en verre, permettrait d'éviter la majeure partie de la pollution par les usagers, sans sur-coûts pour les usagers. de plus ce système a 2 avantages:
1/ Il responsabilise les vacanciers et les particuliers en général
2/ Il permet à certaine catégories défavorisée d'avoir une activité (certes faiblement rémunéré). Aux US par exemple, des "homeless" récupèrent et revendent les cannetes en alu.
Vinoceant - 05 Février 2018 - 07h30
Améliorer les accès et les zones permettant de pratiquer les sports de glisse : kite surf, Windsurf, surf, stand up paddle, etc... et mettre en place des activités connexes : pour la gym, les jeux de plages, etc. Et ne pas oublier des kiosques avec des douches et des vestiaires comme dans beaucoup de pays très divers : Grèce, Australie, Canada,...
Gilles Lemarchand - 05 Février 2018 - 05h14
J'atteris sur cette page de travail suite à la lecture d'un article, où «selon le ministère...les énergies renouvelables ou l'aquaculture ont un potentiel de développement «considérable» » et pas un point de vue sur le sujet ?
Il y a pourtant le SRDAM acté, avec une échéance de bilan pour 2020, des directives européennes, ... Hallucinant !
Un rappel: la France, 2ème ZEE au monde, importe 86% des produits de la mer qu'elle consomme...avec des standards de qualité bien différents des nôtres.
Il est temps d'éduquer nos concitoyens sur ce que peut être une aquaculture raisonnée et surtout mettre en lumière l'efficience écologique de cette production vis à vis de n'importe quelle autre production d'animaux terrestres (boeuf, porc, poulet,...)
Gilles Lemarchand - 05 Février 2018 - 05h12
J'atteris sur cette page de travail suite à la lecture d'un article, où «selon le ministère...les énergies renouvelables ou l'aquaculture ont un potentiel de développement «considérable» » et pas un point de vue sur le sujet ?
Il y a pourtant le SRDAM acté, avec une échéance de bilan pour 2020, des directives européennes, ... Hallucinant !
Un rappel: la France, 2ème ZEE au monde, importe 86% des produits de la mer qu'elle consomme...avec des standards de qualité bien différents des nôtres.
Il est temps d'éduquer nos concitoyens sur ce que peut être une aquaculture raisonnée et surtout mettre en lumière l'efficience écologique de cette production vis à vis de n'importe quelle autre production d'animaux terrestre (boeuf, porc, poulet,...)
Ph - 05 Février 2018 - 00h19
Aménagez des zones d'ombres sur les plages et sur les espaces verts. Trop de soleil détruit la végétation et la peau.
Djé d'Agay - 04 Février 2018 - 15h06
1/ Un littoral propre est un littoral sans automobiles, source de pollution de l'air, source de pollution sonore donc de stress
2/ Grandes zones de parking à 2 km du rivage, larges accés ludiques pour piétons, trottinettes, pistes cyclables, voies 2 roues électriques, navettes autobus électriques, etc...
3/ débétonnage complet du littoral qui appartient aux Français et non aux nantis !
4/ réglementation et limitation trés strict (1 maxi par plage)des plages privées et cabanes à frites
5/ toillettes publiques gratuites et nombreuses.
6/ encore et toujours des poubelles selectives nombreuses.
5 et 6 / mieux vaut ramasser à endroits précis et choisis nos déchets à nos frais que de voir des tas d'imondices qui de toute façon nous couterons encore plus chères à ramasser !
Lilijuste - 03 Février 2018 - 23h34
Une stratégie globale commune à l'ensemble des pays du pourtour méditerranéen, déclinée par secteur (hôtellerie, activités sportives, commerce, etc.). Identifier des règles issues de l'ESS, respectant les trois piliers du développement durable que sont l'économie, l'écologie et le social ; et les faire respecter dans chaque pays. Favoriser l'échange d'initiatives et les partenariats internationaux. Un label ?
Maurice Negri - 03 Février 2018 - 21h00
Ex: Plages Prado Nord à Marseille: La méthode d'entretien de la frange littorale est de repousser au tractopelle le gravier de protection (gravier roulés de Durance) dans la mer en même temps que les déjections canines et autres détritus enfouis, non seulement ça salit l'eau de baignade pour 3 jours mais cela crée un à pic dangereux au bord de l'eau, les enfants des centres aérés pataugeant ainsi dans l'eau boueuse des cratères laissés. De plus cette méthode fait reculer la plage par rapport à la mer puisque ce gravier sert à protéger de l'érosion les particules de sol fines constituant la sous couche émergée de la plage (remblais par fines issues du forage du Métro) . Il faudrait , quand un monticule de gravier se crée au bord, le répartir sur l'arrière en utilisant le rétro godet du tractopelle pour qu'il retrouve ainsi sa vocation de protection de la sous couche et que la sable naturel s'installe au bord (plage en accrétion). Photos disponibles page FB des " Nageurs du Prado".
Fanchon Jaricot-Benozillo - 03 Février 2018 - 18h20
Ne pourrait-on pas installer des pontons et jeux divers et gonflables au large des plages (dans les 200 m) ? Nous bronzerions en rigolant, en échangeant avec les copains ou d'autres estivants. L'espace aquatique serait plus investi et mieux partagé. Cordialement
Rémi Hergé - 03 Février 2018 - 14h29
Augmenter les interdictions de bétonner le littoral pas de privatisation de plage prévention des usagers privilégier les réserves naturelles avec des parcours de randonnées palmés et favoriser les activités nautiques et littoral non motorisés
octopus - 03 Février 2018 - 14h22
En créant des zones marines protégées dans chaque commune du littoral méditerranéen, il sera possible de proposer des activités de snorkeling attrayantes avec de nombreux poissons et une environnement remarquables.
LaNatureduSud - 03 Février 2018 - 13h27
Le tourisme naturaliste permet de valoriser les nombreux atouts du patrimoine naturel du pourtour méditerranéen, sans aucune addition d'infrastructure, pendant les ailes de saison et auprès d'un public demandeur de nouvelles destinations et qui dépense le double sinon plus que le touriste non-spécifique. Une niche certes, mais une niche en croissance et d'un potentiel important ! Quelques exemples : le tourisme ornithologique; la flore; les papillons - toute notre richesse en biodiversité. En plus le tourisme naturaliste a aussi un effet secondaire intéressante en changeant la perception de la population locale. Au lieu de nous coûter, tout d'un coup la nature "rapporte" - et ainsi devient plus intéressant à préserver !
L'Espagne l'a compris il y a 15 ans, et actuellement des pays comme Hongrie, Pologne, Colombie et Ouganda développent à leur tour le tourisme naturaliste. A quand la France ?
lamouettelaurentine - 03 Février 2018 - 09h23
Le remblai des plages ne semble pas surveillé. Par exemple la construction d'un lycée sur le Paillon retient les agrégats. Au printemps des bulldozers déplacent ces galets vers la plage"à chaque pelletée il y a des anguilles dans la benne" dit un chauffeur.L'espèce est pourtant protégée.
Ces remblais permettent non pas de conserver l'espace la plage mais de faire avancer la zone urbaine, voie de circulation digues (Menton) etc Il faut réguler cette dérive.
Concernant les digues artificielles et les ports: les villes, à coup d'arrêtés interdisent l'accès aux pêcheurs amateurs. Si cela semble à peine justifié en période touristique, aucun accident n'est signalé, les pêcheurs gardant leur distance avec les baigneurs par bon sens!
Cela revient à privatiser l'accès à la mer pour ce qui concerne la privatisation des ports.
La pêche amateur présente un volet touristique surtout en période creuse et commercial pour ce qui est de la vente de matériel
Yoann Rozycki - 01 Février 2018 - 22h04
Résidence d'artiste, bar associatifs, et café concert pourraient se développer le littoral et profitez des paysages splendides qu'offre le littoral et la région Montpellieraine.
Nous disposons de paysages fabuleux (petite camargue, plages...) qui gagneraient à être aussi exploiter comme lieu de vie et de créativité.
Bien sûr en accord avec la nature.
courbou - 01 Février 2018 - 19h47
Figuiers, oliviers et surtout, agrumes sont à la fois des arbres parfaitement adaptés au littoral ont attiré comme des aimants les premiers touristes du XVIIe siècle.
Favorisons leur plantation, leur entretien, leur récolte, leur greffage pour, à nouveau, enchanter nos paysages !
Alain Rozenbaum - 01 Février 2018 - 09h52
Beaucoup de vacanciers apprécient, sur la Côte d'Azur, de pouvoir se garer juste à côté de la plage. Si on les laissait faire, ils se gareraient tous SUR la plage !
Si on veut du tourisme durable, il faut accepter de mécontenter les automobilistes fanatiques.
Il faut mettre fin au tout-automobile. Il faut arrêter la prolifération des parcs et des emplacements de stationnement le long du littoral, voire supprimer une bonne partie de l'existant. Il faut aménager les routes du bord de mer pour les rendre agréables aux piétons et aux cyclistes. Et pourquoi ne pas les interdire à la circulation motorisée (sauf transports en commun, urgences...) et les réserver aux modes doux ?
FAREA - 26 Janvier 2018 - 13h07
Bonjour,
L'entreprise FAREA ([lien supprimé]) à mis au point "le Faréa" : Premier Ecolodge flottant, démontable autonome en EAU et ELECTRICITE , transportable en container, premier et unique bateau conçu pour l'activité de type hôtelière.
Les Faréas sont loués par les clients, l'entreprise apporte un service de type hôtelier, l'activité de Faréa est non impactante sur la nature du site, Faréa valorise la commune, les producteurs locaux, et les acteurs locaux du tourisme déjà en place.
Les Faréas peuvent être installés sur les PPRI (avec étude et accord de l'autorité). Ils sont aussi autorisés sur les Lacs, lagons, lagunes , fleuves et mers protégées.
Rien que sur les PPRI, les Faréas pourraient rendre de grands services aux communes, et créer beaucoup d'emplois... Nous sommes à votre disposition pour toute étude ou discussion.