Les activités et usages

Comment développer le tourisme et les loisirs pour qu’ils soient source de développement durable, non polluants, générateurs de retombées économiques et sociales positives ?

 
  • ETALER LA FREQUENTATION SUR L'ARRIERE-PAYS

    Faby 34 - 24 Mars 2018 - 18h06

    Lors de leur séjour, proposer aux touristes des bons de réduction ou autres avantages avec effet immédiat pour la visites de sites naturels, sportifs ou culturels de l'arrière-pays. Et ce, dès leur réservation d'hébergement (par internet) ou via leur smartphone (avec un code spécifique). Le système pourrait relever d'un blockchain qui offrirait la garantie financière aux prestataires et une facilité d'usage aux vacanciers.
    Parmi ces visites de l'arrière-pays, celles sur des activités économiques peuvent aussi être source de développement durable. Agriculture, artisanat et industrie locale peuvent profiter de cette fréquentation tout en réveillant les consciences : derrière la plage il y a un écosystème qui vit toute l'année et qu'il faut protéger et encourager. L'emploi de personnel saisonnier et la création de lieux d'accueil pourraient être subventionnés afin d'inciter ces acteurs économiques à organiser ces visites de manière structurée quand eux même n'ont souvent pas le temps.

  • Développer le tourisme et les loisirs

    AVSANE - 24 Mars 2018 - 17h13

    • Allonger au maximum la période des congés estivaux afin de diluer la concentration de population pendant cette période. Favoriser les séjours en juin et septembre pour les familles sans enfant et les retraités.
    • Développer la connaissance et le partage du littoral par des survols en ULM, par exemple, sur des sites particulièrement intéressants en termes de paysages, de structure et d’écologie. Par exemple, le golfe de Giens, la rade d’Hyères et les îles d’or. Ce principe pourrait être développé sur l’ensemble du département du Var : La Sainte-Baume, Le Verdon, Le Rocher de Roquebrune, L’Estérel, les Maures, Le Bessillon, L’aire de Villecroze et de Tourtour, Les moulins de Régusse etc…

  • Les 5 thématiques prioritaires du tourisme en PACA et Occitanie

    AVSANE - 24 Mars 2018 - 17h10

    • Nautisme (plaisance et sports nautiques),
    • Baignade (qualité des eaux, stabilisation des plages),
    • Découverte du milieu marin (plongée et randonnée palmée),
    • Tourisme de savoir-faire:
    - Visite de fermes aquacoles,
    - Projets d'éolien Offshore flottant Occitanie et Paca
    • Valorisation du patrimoine culturel marin et côtier.
    Un des axes est de développer des activités touristiques terre-mer pour « décharger » la pression sur le littoral : ex parcs naturels mer-terre (Parc des Calanques, etc.)

  • Contribution des voyagistes

    Henzdom - 24 Mars 2018 - 14h45

    Dans le monde entier créer obligatoirement des chartes touristes responsables , notamment dans les "all inclusive" , campings.... et faire de la sensibilisation en expliquant les conséquences des actes

  • Faire du tourisme local et responsable

    Marion B. - 23 Mars 2018 - 18h39

    Le tourisme est la base de l'économie de ces régions. Pour aller vers un tourisme durable (on en est loin) il faut diversifier les offres touristiques, privilégier les petites structures de decouverte et de protection de la nature plutot que le tourisme de masse que l'on peut observer. Cela passe par la sensibilisation mais aussi par les démarches gouvernementales (financement des petites structures, limitation des quotats de personnes dans certaines zones, meilleure gestion des déchets grace à la consigne) et juridiques (plus de surveillance dans les zones protégées, sur les plages, les zones sensibles et des peines plus lourdes et des procédures plus systématiques) avec des juges spécialisés dans ces domaines. En gros accorder tous les services de l'état mais aussi les citoyens avec les enjeux à long terme.

  • Réflexions autour du développement touristique en corrélation avec le développement durable

    Mairie Villeneuve-Loubet - 23 Mars 2018 - 09h04

    • Généralisation de la mise en valeur des plages au niveau d’un ensemble de territoire via l’intercommunalité (et non pas de chaque Commune) par l'engagement d'un processus de certification de la qualité des eaux de baignade et l'obtention de labellisations (anti-tabac, etc.).
    • Réduction de l’usage des engins à fonctionnement thermique (VNM) par la limitation des lots de plages sur lesquels sont autorisés l'exploitation d'activités nautiques (type VNM).

  • TOURISME DU FUTUR

    Frédéric Gidron - 22 Mars 2018 - 19h27

    Arrêter la politique du tourisme de masse en stoppant les programme d'urbanisation d'envergure ;
    Faire respecter strictement la loi de protection du littoral
    Développer les activités touristiques liées à l'économie sociale et solidaires ;
    Favoriser et promouvoir le tourisme vert ;
    Sensibiliser au respect du milieu naturel ;
    Dans le cas contraire appliquer des sanction.

  • Arrêter le tourisme de masse

    Martine Balestié - 22 Mars 2018 - 10h53

    Arrêter le tourisme de masse arrêter de construire démesurément s'éloigner des côtes préserver la diversité écologique et naturelle.

  • Protéger nos plages

    Lorus - 22 Mars 2018 - 08h40

    Interdiction de fumer . ( prevention pollution et incendies )
    Pas de tolerance pour les camping car.
    Repousser plus au large les jetskis pour baisser la pollution sonore.
    Pas de chiens admis pour les plages fréquentées par des enfants.
    Creer une journée de mobilisation citoyenne des plages : tout le monde va nettoyer la plage la plus proche de son domicile : on pèse les détritus récoltés et on valorise l’action.
    Guide des plages / mer sur internet: indication du biotop, faune, flore, composition de la roche, fragilité, regle de bonne conduite .

    Marion B.
    C'est quoi le problème entre les chiens et l'environnement?
    • Pas d'accord
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  • Tourisme senior

    Isabelle Gouleret - 22 Mars 2018 - 06h16

    Favoriser par des activites specifiques d avril a octobre un tourisme en direction de la population retraitee
    Et multiplier les plages privées pour proteger le littoral de l envahissement d ete

    Martine Balestié
    Les plages privées seront payantes et la plage appartient à tout le monde et surtout aux autochtones
    • Pas d'accord
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    Marion B.
    La privatisation des plages? Personne pourra y aller? Oui juste certains privilégiés, comment ils seront choisis?
    • Pas d'accord
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  • REDEFINIR LES ESPACES

    Faby 34 - 21 Mars 2018 - 18h12

    Les campings ne sont pas par nature les plus intrusifs dans l'environnement, mais leur concentration et l'afflux massif de touristes qu'ils impliquent oui ! Peut-être devrait-on limiter leur emprise au sol en obligeant ou en incitant à augmenter la superficie de chaque emplacement. Le nombre d'étoiles en fonction de l'espace accordé à chaque emplacement plutôt qu'au nombre d'infrastructure de loisirs offertes.
    Par contre, tant que les nouvelles constructions en dur seront autorisées au mépris de la Loi Littorale, toute nouvelle proposition paraît dérisoire. Combien de nouveaux projets immobiliers sortent de terre chaque année (avec "vue mer" bien sûr), tandis que d'innombrables anciens appartements sont à vendre sans trouver preneurs.
    A l'échelle d'une commune, il conviendrait d'étaler la fréquentation sur l'ensemble de la station en créant des zone de loisirs à l'arrière du front de mer et en redynamisant des quartiers complets sur plusieurs spots (commerces, équipements, loisirs).

  • Développement en profondeur

    Pierre-Olivier Milanini - 21 Mars 2018 - 07h35

    Le littoral n’est pas une ligne.
    Ou une surface. Comme une falaise, ou une plage. Ni des rochers. Les mots « frange » ou « façade » paraissent tout autant réducteur...
    C’est un écosystème. La relation avec la mer influe sur un territoire profond.
    Aujourd’hui l’enjeu n’est-il pas d’identifier les ressources actuelles et potentielles de ce territoire pour les articuler entre elles?
    Peut-on considère le paysage comme une de ces ressources? L’héliotropisme doit-il être subi et contrôlé ou bien utilisé à des fins précises articulées dans une vision politique?
    La concertation des acteurs de ce littoral profond sur des projets structurants n’est-il pas le mode opératoire à privilégier?
    Ou bien faut-il continuer à s’appuyer sur des lois et des règles qui ignorent souvent les spécificités et les besoins locaux?

  • Rien de nouveau sous le soleil

    citoyenlittoral - 18 Mars 2018 - 13h46

    En 2003, le CNADT était clair : « L’impressionnante croissance démographique, touristique et plus généralement économique n’a pas été maîtrisée », elle ne l’est toujours pas, aucune mesure préconisée n’a été prise.
    La stratégie européenne pour plus de croissance et d’emploi dans le tourisme côtier et maritime (2016-2020) enfonce le clou avec des aides. On sait ce qu’il faut faire mais on ne le fait pas.
    Les logements « dits sociaux », construits avec l’aide de l’Etat, seront dans15 ans des résidences pour leurs propriétaires fortunés acquises à prix réduits. Où construire de véritables logements pour actifs ?
    Passer d’un tourisme de masse balnéaire et saisonnier à un tourisme durable à l’année nécessite qu’on arrête de construire toujours plus d’hébergements touristiques.
    Il faut prendre les mesures qui sont préconisées au niveau local, national et européen depuis des années et mettre un frein à la spéculation immobilière qui aggrave tous les problèmes.

    S-eve S-eve
    Oui le passé parle de lui-même... Que de pacte, directive ou autre charte n'a-t-on pas "pondu" pour quels résultats ? La volonté politique n'a jamais été là. Le sera-t-elle avec N. HULOT ???
    • Pas d'accord
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  • Réorganiser la bande littorale pour préparer le tourisme au retrait stratégique

    Kubagde - 14 Mars 2018 - 11h22

    Sur le littoral de l'ancien LR, un grand nombre de camping sont situés à proximité immédiate de la mer, se situent souvent en zone submersible et viennent encombrer un paysage déjà trop urbanisé, nuisant de fait à l'installation d'un littoral naturel, qualitatif et attractif. Hors, il apparaît que, sur cette côte, les touristes, bien que restant souvent enfermés dans les campings, ne sont pas prêts à s'éloigner du rivage. Mais avec la montée du niveau de la mer et l'augmentation de l'aléa submersion, il faudra un jour déplacer ces équipements.
    Aussi pour préparer ce mouvement et le faire en douceur, il convient dès aujourd'hui d'aménager le littoral pour mettre en place un réseau de voies douces vers les zones rétro-littorales. Cet aménagement qualitatif en s'appuyant notamment sur une renaturalisation des sites commencerait à habituer les estivants à vivre différemment leurs séjours, et permettrait à terme le transfert des campings, sans rompre avec habitudes et attentes.

    BenOceanide
    Bonjour, C'est une vision d'avenir qui accompagne les changements à venir et qui correspond à la politique de gestion du littoral gouvernementale.
    • Pas d'accord
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  • Tourisme, territoire et population. De ce territoire

    Jahan - 12 Mars 2018 - 20h11

    Considérer les habitants comme les premiers touristes de leur territoire.
    Faire en sorte qu’ils soient acteurs de leur territoire, développer des actions et activités qui permettent aux’ habitants de s’approprier leur territoire, d’en mesurer les enjeux, et surtout l’interet De le préserver et où de l’ewploiter en mettant tous les garde fous pour que les retombées économique bénéficient d’abord aux habitants du territoire.
    La mise en Tourisme d’un territoire, surtout celui fragile, sensible, et surexploité comme le littoral, ne peut se faire d’une façon durable qu’à la condition que les habitants se soient approprié leur territoire et en soient les acteurs.
    Une personne dans cette rubrique a mentionné les Asspciations qui effectivement font ce travail auprès du public, des scolaires notamment.

  • faire barrage au tourisme de masse et protéger nos cotes

    DEBO - 12 Mars 2018 - 19h54

    L' état doit encadrer et contrôler plus strictement ces zones fragiles que sont les cotes littorales,l'enjeu écologique est national, les communes conservent un pouvoir d'action trop important, subjectif,local, et ne font pas toujours les meilleurs choix pour la protection de leur cotes privilégiant souvent leur développement économique . Une véritable politique d'ensemble est indispensable pour protéger et pérenniser ces éco-systèmes en péril, en privilégier toutes les solutions . Etalement des vacances, arrêt de l'urbanisation massive, protection contre les pollutions diverses, aides et accompagnements aux développement de projets durables et vertueux, contrôle de la peche intensive, multiplication des zones protégées.... c'est l'avenir économique de ces zones.

    Alba
    Entièrement d’accord. Il suffit d’observer le littoral de la Côte d’Azur pour constater que tout n’est que grosse construction et activités économiques polluantes pour le tourisme de masse, c’est le résultat du choix des maires locaux ces 50 dernières années, ce qui montre qu’ils ne sont pas les mieux placés pour faire les bons choix en matière de protection du littoral.
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  • Eviter la concentration et la saturation du littoral en été

    Robert Leyret - 12 Mars 2018 - 08h53

    Cette année les vacances scolaires ont induit la concentration des vacanciers du 14 juillet au 23 septembre ( avec par surcroît une période de 11 semaines pour une zone scolaire, loin des 7 semaines prônées). Donc étaler les vacances de mi juin à mi septembre (par exemple) permettrait d'une part de diminuer considérablement l'occupation du littoral tout en protégeant, voire en développant les emplois saisonniers dans la durée.

    Alba
    Oui et permettrait ausii aux populations locales de profiter de leur région...
    • Pas d'accord
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  • Eviter la concentration et la saturation du littoral en été

    Robert Leyret - 12 Mars 2018 - 08h48

    Cette année les vacances scolaires ont induit la concentration des vacanciers du 14 juillet au 23 septembre ( avec par surcroît une période de 11 semaines pour une zone scolaire, loin des 7 semaines prônées). Donc étaler les vacances de mi juin à mi septembre (par exemple) permettrait d'une part de diminuer considérablement l'occupation du littoral tout en protégeant, voire en développant les emplois saisonniers dans la durée.

  • Quel bordel

    Eric Carlier - 11 Mars 2018 - 20h09

    Les rois du net sont de plus en plus flou. Tu rajoutes un politicard et il se pend.

  • Respecter la capacité de charge du milieu

    Frédéric Bertrand - 09 Mars 2018 - 15h29

    Toutes les pratiques liées au tourisme sur notre littoral doivent faire l'objet d'études d'impact visant à réguler la pratique des activités. il faut avoir le courage de se fixer des seuils maximaux de fréquentation, des quotas en instaurant des numerus clausus et surtout un contrôle de la pratiques de ces activités. Or les moyens alloués à la surveillance de ces milieux sont en constante régression (Gendarmerie Maritime, Douane, police de l'environnement)

  • Prescriptions et contrôles d'aménagements & activités avec l'aide de la géomatique

    Cédric Dubois - 07 Mars 2018 - 16h34

    A l'aide d'un outil cartographique dynamique, définir par secteurs écosystémiques, les conditions d'aménagements et d'activités pour permettre la réalisation de projets vertueux.

  • Donner les moyens aux associations locales qui font preuves d'efficacité...

    CoLLecT-IF environnement - 06 Mars 2018 - 16h03

    Les Associations de protection de l'environnement (Petites structures avec uniquement des bénévoles) ont de grandes difficultés à faire bouger les choses ET POURTANT certaines y arrivent avec beaucoup de détermination, de courage et de créativité...
    Souvent à leurs têtes des personnes charismatiques et stratèges qui influencent les institutions, les pouvoirs publics, les entreprises à grands renforts de mobilisations citoyennes.
    Notre proposition : Le Ministère devrait identifier ces structures locales (en dehors des WWF, FNE et autres structures nationales qui sont de véritables entreprises) qui font preuve d'efficacité et font bouger la société sur des thématiques importantes, les reconnaître et les aider à poursuivre leurs missions d'intérêts citoyennes...

    CoLLecT-IF environnement
    Notre cher Ministre en connaît quelques unes pour les avoir soutenues à une autre époque... N'est ce pas Nicolas ?
    • Pas d'accord
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    CoLLecT-IF environnement
    On protège ce que l'on aime ! Donc l'objectif est de faire aimer. Et pour aimer il faut fabriquer des souvenirs en partage. Donc pour le tourisme durable il est nécessaire d'avoir des "guides découverte " pour présenter la Nature sous son plus bel aspect...
    • Pas d'accord
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    DEBO
    D'accord à 100% ces associations sont sur le terrain et se battent tous les jours pour des résultats décevants. Elles devraient être reconnues, écoutées et soutenues elles sont souvent le seul contre pouvoir et livrent des combats de titan. inadmissible
    • Pas d'accord
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  • Musique sur la plage moi j'aime écouter la mer !

    NEIGE - 06 Mars 2018 - 15h14

    De nombreuses guinguettes pensent détenir le droit d'écouter la musique à fond toute la journée une vrai pollution sonore !
    Alors que le bruit de la mer fait aussi partie de notre plaisir, on voit la mer mais ne peut l'écouter étrange !!!
    A Sete les politiques ont décidé d'accueillir des gros bateaux à moteur au quai d'Alger !
    avec des moteurs qui tournent en permanence pour alimenter leur douches tv ....
    Des polueurs de 1er ordre ! comme à Marseille ou tout le monde hurlent maintenant ! trop tard !

    Berrebi Remy
    non a la pollution sonore!
    • Pas d'accord
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  • Developper les tourismes verts Oui, mais l'été, c'est déjà trop ! Basta !

    Sylvie Lascoutounas - 04 Mars 2018 - 10h11

    Le developpement touristique ne peut pas se faire si on ne règle pas d'abord les probleme liés au tourisme actuel. Pourquoi le développer encore puisque nous ne savons plus ou mettre les déchets du tourisme, puisque nous n'avons en Corse pas assez d'energie pour couvrir les besoins, sans polluer via la centrale du vazzio. Pourquoi remplir tant de piscines et crier aux agriculteurs (sources de productions locale) de ne plus arroser leurs jardins. Ce développement la est mortifère pour la ruralité, pour les traditions honnêtes et vertueuses, pour le travail de qualité. Ce tourisme de masse ne fait que dégrader les qualités meme de ces régions qui attiraient autant de monde jusqu'à lors. Une études extraordinaire a été menée et je conseille vivement à tous de la prendre en considération [lien supprimé]. Ici, en Corse, il en va de la survie de ce qui fait la richesse de cette destination, qui a déjà perdue en quelques decennies ses plus belles qualités.

    Alba
    Vous avez raison de le préciser mais quand il est question de développer le tourisme vert il est évident que c'est en remplacement du tourisme actuel de masse polluant et peu respectueux de l'environnement. Il ne s'agit pas de rajouter du tourisme au tourisme.
    • Pas d'accord
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    pierre 17
    Oui, mais aujourd'hui, si on voit effectivement se développer le tourisme vert, on voit bien peu régresser le tourisme de masse : peut-être que les fréquentations baissent légèrement, mais les installations surdimensionnées demeurent partout, ainsi que les nouveaux projets.
    • Pas d'accord
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  • Equation actuelle non durable

    pierre 17 - 03 Mars 2018 - 18h57

    Le modèle de tourisme nature anglo-saxon, avec participation financière (symbolique) pour accéder aux zones naturelles en cours de restauration est à mettre en place : il permet de financer les aménagements limitant l’impact de la fréquentation humaine (cheminements hors-sol, balisage, encadrement des visites). Le “développement durable” implique qu’on ne consomme que ce qui est renouvelable à l’échelle de temps utilisée pour la consommation : il faut arrêter d’espérer que ce soit compatible avec les densités de population (en particulier touristiques) observées sur le pourtour méditerranéen. Il suffit de calculer les besoins d’une personne, fut-elle un touriste hyper sobre et respectueux de l’environnement, de multiplier cette consommation par le nombre de touristes+locaux présents à un instant T, et de comparer avec les ressources naturelles disponibles pour constater que ça ne marche pas sans apports extérieurs, c’est à dire de façon artificielle et déséquilibrée...

    Jahan
    Votre démonstration est claire et de bon sens. La vérité.
    • Pas d'accord
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  • Stop au tourisme de masse

    pierre 17 - 03 Mars 2018 - 18h55

    Le tourisme de masse est contraire aux principes de votre titre : il faut donc d’abord diviser par 100 la population touristique (en particulier estivale). On n’est donc pas dans une logique de “développement” mais de réorganisation/révision à la baisse.
    Ensuite, ce tourisme estival est concentré sur 3-4 mois dans l’année, donc les installations touristiques destinées à l’accueillir doivent être non permanentes, légères, écologiques (toilettes sèches et restrictions de la consommation d’eaux grises).
    Si ce n’est pas agréable, tant mieux, les humains doivent prendre conscience que le confort de leurs vacances au soleil a un impact énorme sur les écosystèmes envahis, qui le payent au prix fort toute l’année.

  • Proposition de création d'une île artificielle au large de la côte d'Occitanie

    JMB - 03 Mars 2018 - 11h54

    Cette île serait une vitrine pour la découverte et la diffusion des connaissances et innovations liées à la mer et aux EMR. Ce projet présente un intérêt pour la collectivité publique : Scientifiques, plaisanciers, non plaisanciers, scolaires, … pour faire connaître la mer, la démocratiser et sensibiliser les jeunes générations aux bienfaits qu’elle apporte, à condition de la respecter et de la protéger. La conception devra tenir compte de l’hydrodynamique et de l’environnement et ne pas générer d’impacts négatifs sur le littoral et les fonds, la faune et la flore sous-marine. Son implantation devra faire l’objet d’une large concertation avec tous les acteurs concernés (services de l’Etat, collectivités locales, usagers de la mer, riverains, etc.). En étant mis en œuvre de manière exemplaire, ce projet développerait une nouvelle forme de tourisme éco-responsable et de loisirs de découvertes en mer. Il contribuerait au rayonnement de la région Occitanie et même de la France en Europe.

    Olivier CROUZIER
    Idée très intéressante et pas très coûteuse à réaliser (fonds peu profonds)
    • Pas d'accord
      0
    Olivier CROUZIER
    Intéressant ...en Languedoc, la faible profondeur d'eau permet facilement ce genre d'expérimentation
    • Pas d'accord
      0
    pierre 17
    Je saisis mal l'intérêt d'un tel "grand projet" par rapport au même projet en remplacement d'un de ces innombrables complexes touristiques hérités des années 1970, à part la visibilité médiatique du type "Dubaï"... Chaque m2 de milieu naturel est devenu tellement rare qu'il faut le protéger : ce sont les zones déjà (mal) urbanisées qu'il faut réhabiliter en vitrines environnementales, me semble-t-il ?
    • Pas d'accord
      0
    JMB
    Merci pour les commentaires mis en ligne, qu’ils soient positifs ou négatifs, car dans tous les cas, le dialogue qui s’instaure permet d’avancer. Dans la contribution initiale, cette idée d’île artificielle était très brièvement présentée en raison de la limitation des textes à 1000 caractères. Suite aux premiers commentaires exprimés, les précisions ci-après sont apportées maintenant en 9 commentaires.
    • Pas d'accord
      0
    JMB
    1) Pour plusieurs raisons, il n’est pas proposé de copier les îles artificielles de Dubaï. Ces îles ont été réalisées par remblai hydraulique de produits de dragages contenus dans des digues d’enclôture en enrochements. Une telle conception n’est ni souhaitable, ni envisageable au large de nos côtes. Malgré la faible profondeur d’eau à 2 ou 3 NM des côtes d’Occitanie, si elle était appliquée ici, cette méthode de construction nécessiterait des quantités colossales de matériaux. Par ailleurs, une fois immergés, ces remblais généreraient un fort impact sur les fonds et même sur le trait de côte (impact hydrosédimentaire). A suivre…
    • Pas d'accord
      0
    JMB
    2) Au large des côtes françaises, en plus des problèmes environnementaux liés aux quantités de matériaux à mettre en œuvre et aux risques hydrosédimentaires, la solution d’une île artificielle en remblais parait difficile à mettre en œuvre pour des raisons réglementaires. En particulier il ne serait pas possible (ou du moins pas facile) de remettre le site dans son état initial à l’issue de la concession d’implantation sur le DPM en dehors des ports, sous réserve qu’une concession soit accordée. A suivre…
    • Pas d'accord
      0
    JMB
    3) D’autres solutions techniques existent et pourraient être comparées en termes d’avantages et d’inconvénients dans leur mise en œuvre : plateforme sur pieux calée au dessus des plus fortes houles, juxtaposition de plusieurs petites plateformes amenées par flottaison puis posée sur le fond, caisson monolithique flottant en béton, ballasté et ancré de manière similaire aux futures éoliennes en mer, etc. Les pieux et/ou ancrages pourraient également faire office de récifs artificiels. A suivre…
    • Pas d'accord
      0
    JMB
    4) A Dubaï, le projet est destiné à une certaine élite : résidents fortunés, touristes aisés, etc. Tel n’est pas le cas du projet proposé au large de la côte d’Occitanie qui serait mis en œuvre au contraire pour démocratiser la mer, permettre son accès au plus grand nombre et ne pas la limiter aux usagers actuels : ceux qui travaillent dessus comme les pêcheurs professionnels, le transport maritime, la marine nationale, les Affaires Maritimes, sauveteurs…ou encore ceux qui en font leurs loisirs, comme les plaisanciers par exemple. A suivre…
    • Pas d'accord
      0
    JMB
    5) Les non-plaisanciers et les scolaires pourraient s’y rendre en utilisant des navettes maritimes à passagers non polluantes : catamarans à voile équipés d’une propulsion électrique auxiliaire pour les manœuvres d’approche et d’accostage, bateaux solaires, etc. Les plaisanciers qui souhaiteraient la visiter eux aussi, pourraient laisser leurs bateaux au mouillage dans une ZMEL créée proche, où une navette électrique viendrait les chercher pour débarquer et visiter l’île. A suivre…
    • Pas d'accord
      0
    JMB
    6) Comme l’a souligné Jacques Attali dans un de ses derniers ouvrages, « La mer est un lieu d’innovation et de création de produits nouveaux très prometteurs pour l’humanité, notamment en matière de santé et d’alimentation… La mer est un immense réservoir de produits nouveaux en biotechnologie, en énergie marine et en agriculture sous-marine… ». Dans son livre il recommande aussi « d’actualiser les connaissances des océans, en particulier dans l’éducation des enfants ; développer les études scientifiques sur la mer et créer un partage des bonnes pratiques en matière de gestion des océans ». A suivre…
    • Pas d'accord
      0
    JMB
    7) Ce sera la vocation principale de cette île artificielle qu’il est proposé d’implanter au large des côtes d’Occitanie, pour découvrir et conquérir la mer, la comprendre, la respecter et la protéger, afin de l’exploiter intelligemment, raisonnablement et durablement. A suivre…
    • Pas d'accord
      0
    JMB
    8) Le meilleur endroit pour découvrir les ressources et bienfaits que la mer peut apporter, c’est bien en étant sur la mer elle-même. La traversée en navette maritime est souhaitable pour bien préparer la visite. Un site terrestre, même proche du littoral ne procurerait pas la même sensation. Il parait important de se détacher du littoral et d’aller sur l’île au large pour favoriser le rêve, en particulier pour les jeunes générations. La navigation vers l’île doit rester en mémoire pour le public scolaire, les congressistes et les éco-touristes car elle participe aussi à la découverte scientifique. A suivre…
    • Pas d'accord
      0
    JMB
    9) Il existe déjà de nombreux sites terrestres dédiés à la connaissance maritime (musées de la marine, aquariums, etc.), mais cette île apporterait une vision nouvelle et complémentaire, plus réelle, plus scientifique, bien qu’accessible à tous. C’est en ce sens qu’elle contribuerait au rayonnement maritime de la région Occitanie, et même de la France en Europe.
    • Pas d'accord
      0
    Charles
    Projet innovant et audacieux, excellente vitrine technologique dans de nombreux domaines
    • Pas d'accord
      0
    Pascal
    Amoureux de la mer depuis toujours et des activités nautiques sur le littoral méditerranéen; ce projet représente à mes yeux un point d'attrait pour la navigation de plaisance dans la baie que je pratique occasionnellement.La découverte d'un site dédié aux connaissances et recherches maritimes me passionnent par ailleurs et je ne suis pas le seul ,les jeunes générations se passionnent de plus en plus pour le monde du silence...
    • Pas d'accord
      0
    Denis Carlier
    a la condition qu'il soit mis en oeuvre de façon exemplaire - comme préconisé - ce projet recèle toutes les qualités et attraits d'un projet de développement réellement durable et responsable
    • Pas d'accord
      0
    JPB
    Les ressources naturelles "terrestres" ne sont pas inépuisables, celles du milieu marin sont largement méconnues, la Méditerranée est encore une richesse à découvrir pour la protéger et la valoriser, pour cela nous avons besoin d'initiatives et d'audace pour montrer aux nouvelles générations les voies d'un vrai développement durable.
    • Pas d'accord
      0
    JEAN-PIERRE BERTHET
    JiPé La possibilité d'une île pour tous, autonome par le soleil et le vent et respectueuse de la mer, notre avenir, fait rêver. Mieux, cette île, qui pourrait être installée sur pilotis, abriterait le monde du silence que tous les terriens, avec masques et tuba, pourraient enfin admirer.
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    pch
    L’idée me semble très intéressante et quelque part un juste retour des choses. Historiquement la surface des eaux a souvent été utilisé à des fins de protection et de sécurisation de l’habitat. Ensuite l’homme n’a eu de cesse de vouloir la conquérir à des fins d’extension terrestre ou de gisement pétrolier. La création d’une île artificielle en tant que laboratoire d’observation de l’environnement marin contribuera certainement à rééduquer l’homme dans la connaissance, le respect et la protection de la mer.
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    RSTEVE
    Je trouve l'idée extrêmement intéressante: la région méditerranéenne (sensu lato) est l'un des 34 hotspots de biodiversité identifiés au niveau mondial, incluant un grand nombre d'espèces endémiques continentales et marines. Cette île artificielle permettrait de faciliter la diffusion des connaissances vers les décideurs, mais également vers le monde scolaire et associatif, comme le grand public, contribuant ainsi à la construction d'une bonne gouvernance de l'environnement. Elle constituerait en effet une station marine qui favoriserait la pratique de la multidisciplinarité nécessaire à l’approche intégrée de l'écologie et de la biodiversité . RSTEVE
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    NFR
    J'aime l'idée, parce qu'elle est en avance, mais pas trop, accessible et faisable. Un tel objet formerait un signal fort, un point de visibilité depuis l'étranger, un élément de différentiation, nécessaire sur notre côte languedocienne dont l'attrait est modeste une fois le soleil pris... Longue vie à l'aventure, nécessaire à court terme face à des côtes plus ensoleillées encore, et moins chères d'Espagne et d'Italie...
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    BenOceanide
    Le potentiel d'attraction d'un ensemble de ce type sera en toute probabilité important étant donné le déficit au large immédiat de ce littoral de zones naturellement attractive (iles, tombant, ...). Techniquement, la réalisation d'ouvrage de ce type ne pose pas de difficultés. C'est justement sur ces 2 points qu'il serait intéressant de réfléchir afin que cette idée ne soit pas une autre forme d'urbanisation de la mer. Répondre aux besoins de fonctionnement et d'accueil du public sans impacts suppose de travailler sur l'autonomie. Pas uniquement l'autonomie énergétique (ce qui semble le plus facile) mais également l'autonomie en eau potable et en traitement des eaux grises et noires.... suite
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    BenOceanide
    Cet ensemble de ce point de vue pourrait donc s'inscrire comme un laboratoire d'avenir pour une autonomie totale et sans pollution et sans création de déchets. Les objectifs des infrastructures pourraient, en plus de l'accueil du public pour diverses sensibilisations, être conçues avec un objectif de développement (et d'observation de celui-ci) de l'habitat. Ceci suppose de ne pas recouvrir les fonds et de laisser passer la lumière ce qui n'est pas compatible avec des structures de technicité simple. ... suite
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    BenOceanide
    Cet ensemble pourrait donc être composé d'une multitudes d'unités dont la conception servirait un objectif identifié pour chaque unité. Cet objectif pourrait être le résultat de l'imagination de nos "enfants" par exemple ainsi il s'agirait d'un projet de conception à caractère éducatif et de réalisation à caractère innovant pour nos sociétés d'ingénierie de l'environnement. ..... Laissons nous rever à une innovation sociale, environnementale et technique, en cela ce sera une vitrine.
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    Yannick Foll
    Projet très intéressant. J'apprécie son aspect innovant tout en apportant une vraie réflexion sur le développement durable maritime. Très bon mix entre projection vers l'avenir et intégration des solutions existantes. Je partage aussi l'idée d'une conception unité par unité, chacune ayant une vocation spécifique tout en ayant des interfaces optimisées.
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    MC
    Pression foncière, inondabilité des zones côtières, montée des eaux... Le littoral d'Occitanie est confronté à un véritable problème de manque de surfaces aménageables et accessibles à la mer. D'autres pays confrontés se tournent vers des structures sur l'eau ou flottante. La France possède un savoir-faire exceptionnel dans ce domaine. Ne soyons pas en retard comme dans d'autres domaines (éolien offshore notamment). Ce projet présente un véritable intérêt en terme de R & D, de formation, de développement touristique. Tout pourrait commencer par la création d'un démonstrateur qui associe laboratoires de recherche et partenaires privés. L'objectif serait à la fois de tester et de rentabiliser cet investissement.
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    SFI
    Première destination touristique mondiale, seconde surface maritime et dotée d'un linéaire de côtés remarquable, la France doit relever le défi de maintien de son positionnement. Avec des projets innovants et éco responsables comme celui de cette île artificielle, elle pourrait y parvenir. Idéalement positionnée sur le littoral d'Occitanie, elle serait susceptible d'apporter un attrait tout particulier à cette côte souffrant souvent d'un manque d'attractivité nautique par rapport à ses voisines d'autres régions littorales.
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  • limiter la navigation de plaissance à moteur

    Morgane le Bars - 27 Février 2018 - 17h25

    Les hors bord, les jet skis, sont bruyants , polluants ( néfastes pour les poissons, dangereux pour les baigneurs, plongeurs...). Il me semble que leur usage devrait être restreint a certaines zone déjà urbanisées, dégradées etc..; et favoriser les bonnes pratiques, la plaisance "douce", la voile , les moteurs électriques, solaires etc... A terme, interdire les moteurs thermiques pour les usages ludiques sur l'eau.

    Sab
    Effectivement trop polluants
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  • UHLM.fr

    CapDD21 UHLM - 23 Février 2018 - 20h51

    Quand la Sentinelle Labo explorateur du littorale participe au développement durable d'un concept d'observatoire 3.0

    SFI
    Première destination touristique mondiale, seconde surface maritime et dotée d'un linéaire de côtés remarquable, la France doit relever le défi de maintien de son positionnement. Avec des projets innovants et éco responsables comme celui de cette île artificielle, elle pourrait y parvenir. Idéalement positionnée sur le littoral d'Occitanie, elle serait susceptible d'apporter un attrait tout particulier à cette côte souffrant souvent d'un manque d'attractivité nautique par rapport à ses voisines d'autres régions littorales.
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  • Développer le tourisme vert ou écotourisme

    Alba - 23 Février 2018 - 13h54

    Sur la Côte d’Azur, on a trop longtemps favorisé l’économie au détriment de l’environnement, et la quantité au détriment de la qualité, du coup tout a été détruit, la région est inesthétique et invivable et seuls quelques privilégiés en ont profité, la population dans sa globalité s’est appauvrie. Il faut maintenant développer le tourisme vert et durable et accueillir les touristes qui ont envie de venir sur les côtes méditerranéennes pour profiter de l’environnement et pour le respecter. Pour cela il faut stopper la bétonnisation massive, réduire la pollution de l’air, développer les pistes cyclables, les éco-hébergement, les modes de transport doux, bannir les voitures du bord de mer, permettre des promenades sur des sentiers écologiques, des randonnées, des activités respectueuses de l’environnement telles que snorkelling, observation de la faune marine (encore faut-il ne pas l’avoir détruite), du kayak, du stand up paddle, Windsurf, voile, du vélo et freiner les loisirs polluants.

    Alba
    Il faut également développer des lieux alternatifs aux plages (qui sont saturées) où les touristes et les locaux pourraient profiter du soleil (esplanade, jardins publics, piscines publiques naturelles ou biologiques). Il faut faire le pari d’un tourisme vert et qualitatif.
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  • Mer et terres d'échanges et d'innovation

    Grain à moudre - 22 Février 2018 - 14h57

    Premièrement, il faut changer le logiciel ... de compréhension et de fonctionnement. Si faire du vert est à la portée de tout le monde, surtout en ajustant sa com, régénérer son mental et construire de nouveaux modèles de développement nécessite humilité, matière grise , travail et transparence. La Région Sud, nouvellement, renommée, est bien loin du compte. Gesticulations, subventions grossièrement habillées de locutions à la mode, ne suffisent pas à masquer ses incohérences
    Alors, les entreprises s'installant en PACA, leurs homologues de l'ESS et les start-ups feraient bien de s'emparer des vrais sujets : la fertilisation croisée chère à l'inventeur de Sophia Antipolis, les échanges du bassin méditerranéen et l'innovation pour un développement maîtrisé, solidaire , faisant de toutes les expertises traditionnelles et contemporaines un levier de changement.
    L'avenir de la région est à ce prix ! Ne nous y trompons pas !

  • Encadrement des activités nautiques

    Nico Servel - 20 Février 2018 - 18h56

    En saison, il faut instaurer des quotas plaisanciers mouillage le mouillage, installer des corps morts et interdire le mouillage à l’ancre sur toute la côte. Une application peut donner en temps réel les anneaux disponibles et permet de les réserver à partir de 24h à l’avance.

    Contrôle systématique de présence des caisses à eaux noires, condition sinequnone pour mouiller hors ports.

    Entre Martigues et Menton, création de lignes de ferries sur le modèle de l’express côtier norvégien pour désengorger les routes, au moins de juin à septembre.

    Bruno Robelus
    On peut mettre des quotas pour tout, mais alors pour tous les types d'usagers et pas seulement pour une seule catégorie. Dans certaines zones cotières et compte tenu des nombreuses interdictions, il n'y a quasiment plus de mouillage où l'on puisse se mettre en sécurité en cas de vent fort (et oui, la méditérannée peut se lever brutalement alors que l'on est loin d'un port). Par contre entièrement d'accord pour qu'il y ait plus de contrôle pour les caisses à eaux noires.
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  • les constructions

    pierre andré holstein - 18 Février 2018 - 15h03

    on a trop construit au bord des plages en particulier palavas, carnon, ...
    en plus il n'y a pas 2 constructions pareilles, ce n'est pas beau et avec le réchauffement climatique tout cela sera dans l'eau dans 20ans , 40ans ? on ne sait pas quand mais c'est inéluctable. Il y aura de plus en plus de submersion lors de tempêtes donc il ne faut pas renouveler les permis de construire dans ces zones après les gens viendront pleurer "j'ai tout perdu" c'est maintenant qu'il faut agir. Faisons des parkings pour venir à la plage sans y habiter.

    Alba
    Même constat sur la Côte d’Azur, on a trop construit, trop près du littoral et on continue à autoriser des constructions. Il faut que le bord de mer soit réservé à des activités de loisirs écologiques.
    • Pas d'accord
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  • Défendre le patrimoine culturel immatériel navigant

    margagnoun - 15 Février 2018 - 13h13

    Le développement de l'usage de voiliers aux gréements traditionnels protège à la fois les patrimoines culturel et naturel. Par ailleurs l'attractivité touristique de ces voiler est croissante. Mais l'entretien de ces voiliers est une charge considérable, alors que leur usage n'est pas économiquement compétitifs : plus personne n'envisage un pêche professionnelle à la voile.

    Or l'utilisation de bateaux de tradition pour les tâches nécessaires pourrait être systématisé par les municipalités ou les départements dans les ports ou sur les aires marines protégées.

    L'initiation des enfants à une diversité de gréements serait un acquis culturel considérable, et une solide familiarisation avec l'environnement maritime. Par ailleurs, faute de vent, l'aviron est une discipline excellente pour une bonne santé.

    Il faudrait relancer une filière fabrication bois et entretien des bateaux de loisir. Chaque communauté urbaine pourrait se doter d'un beau voilier pour une régate interrégionale annuelle

    196phil
    Je suis d accord , les ports devraient avoir un quai pour les bateaux classiques , avec un affichage sur l ´historique du bateau etc ..
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    citoyenlittoral
    Mon association a en charge 3 bateaux ayant le label national et officiel Bateau d'intérêt patrimonial (BIP). Nous nous battons depuis 25 ans pour que le patrimoine maritime soit mieux pris en compte sur le littoral méditerranéen. Les bateaux BIP ont une dimension identitaire très forte pour les communautés littorales puisqu'ils sont en grande partie des bateaux de travail. Ils doivent être le plus largement visible et utilisés comme vous le dites dans l'initiation des enfants à la voile. Il faut également proposer des lieux pour expliquer ce que sont ces bateaux et les gens qui travaillaient dessus. des lieux pour qu'habitants et visiteurs puissent s'approprier la culture maritime méditeranéenne.
    • Pas d'accord
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  • Redonner à tous l’accès au littoral

    Alba - 12 Février 2018 - 17h42

    Il faut définitivement bannir la privatisation des plages sur le littoral méditerranéen.
    La loi littoral a enfin été appliquée et a permis de faire détruire des plages privées, malheureusement d’autres concessions vont être accordées par les mairies dans la foulée et on ne récupérera jamais ces kilomètres de plage. Tout ça pour préserver les intérêts financiers de quelques plagistes. Pourquoi ne pas laisser l’accès à la plage au public sur la Côte d’Azur comme c’est le cas sur la côte atlantique?
    Autoriser la privatisation des plages est contraire à l’idée même de développement durable.
    Il faut privilégier les locaux et le tourisme durable et non le tourisme de masse et les gros complexes hôteliers, il faut mettre en avant les activités respectueuses de l’environnement plutôt que les activités à forte puissance financière.
    Le développement durable a également une dimension sociale. La nature doit être accessible à tous, et le bord de mer et les plages ne font pas exception.

  • Comment conserver une biodiversité locale sur le littoral dans des espaces-temps sans cesses reduit ?

    Mike TDi - 12 Février 2018 - 17h01

    "Plus on est de fous, moins il y a de riz" Coluche.

    Comment demander à la population de faire attention s'il n'existe pas un réel outil d'information pour ce faire ?
    Et si la "Météo des Oiseaux" permettait de vivre en harmonie en apprenants les règle de l'environnement et en informant en temps réel l'état des zones sensibles du littoral ?

    Voilà 3ans que nous développons concrètement un outil de gestion des espace-temps pour conserver la biodiversité et l'harmoniser avec la présence humaine. Par manque de moyen seul l'enjeu "Oiseaux" est pris en compte (les Laro-limicoles grâce au programme Life+ ENVOLL). Ce programme était à l'échelle de la commune de LA PALME (11) en 2015 pour passer à celui de la Méditerranée Française en 2017 !
    Son potentiel est énorme. Il mérite d'être une information reléguée au même titre que celui de la météo des plages en saison.

    Aidez nous à développer cet outil, en 2019 il n'aura plus de financement, fin du programme LIFE...

  • Pour une autre orientation

    CdZ - 12 Février 2018 - 16h40

    Malgré la saturation actuelle, la bétonisation du littoral perdure au détriment de l’environnement comme de la qualité de vie des locaux et des touristes : embouteillages, logements et restaurants médiocres, plages bondées, eau polluée, etc. De nombreuses villes ont fait le pari qualitatif d’un tourisme vert qui attire tout autant, crée de l’emploi, offre une meilleure image, et améliore la qualité de vie de tous.
    Quelques idées
    - Mettre un terme au tout voiture (parkings/navettes), créer plus de voies vertes
    - Favoriser les activités propres, les sentiers découverte, les espaces culturels liés au patrimoine naturel
    - Créer des zones marines protégées, organiser des randonnées aquatiques
    - Sensibiliser au respect de l'environnement, lutter contre l’incivisme
    - Encourager les écoquartiers, le recyclage, les énergies propres
    - Réglementer les activités nautiques en éloignant celles qui sont polluantes, bruyantes ou dangereuses
    - Valoriser les productions locales et les filières courtes

    Gabrielle Raynal
    L'idée d'éloigner les activités nautiques polluantes, bruyantes ou dangereuses devraient être doublées d'une notion d'autorisation d'activités nautiques de qualité et faciles d'accès. Pour simplifier : le jet ski devra faire des dizaines de km dans des spots "moches" ou peu conviviaux et le paddle lui aura un accès moins cher et rapide dans des spots agréables :)
    • Pas d'accord
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    Tom Onghena
    Mon dieu quel bonne idée et qu'est ce que cela manque à Marseille ! Je suis breton habitant à Marseille et il y a beaucoup de retard à rattraper concernant l'écologie dans le sud !
    • Pas d'accord
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    Alba
    @GabrielleRaynal entièrement d’accord. Il faut encourager les activités écologiques et propres et limiter les activités bruyantes et polluantes. Parfois j’ai presque l’impression que c’est le contraire qui se passe pour faire primer des intérêts économiques. Seul le tourisme vert sauvera la Côte d’Azur d’un déclin inéluctable. Car une fois une région polluée, construite et enlaidie par le tourisme de masse ces mêmes touristes de masse en quête d’authenticité vont dépenser leur argent ailleurs. Et là les stations balnéaires se meurent et les commerçants et autres plagistes et hôteliers qui se sont enrichis pendant des années se plaignent.
    • Pas d'accord
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  • Navigation solaire en libre service

    Guillaume JACQUET-LAGREZE - 11 Février 2018 - 22h27

    S'inspirer de la plateforme SEAZEN de Beaulieu sur mer pour généraliser le développement de la plaisance solaire en France et à l'international.
    La navigation solaire en mer permet de nouveaux usages de la plaisance, plus sur, zen et respectueux de l'environnement.
    [lien supprimé]

  • développement durable?

    Aurelle - 11 Février 2018 - 11h36

    Le littoral est déjà soumis à de fortes pressions de la part des activités humaines. Peut on raisonnablement envisager de développer encore ces activités? c'est difficilement conciliable avec une vision à long terme de protection de la biodiversité et aussi de lutte contre le changement climatique.

    Alba
    Justement lorsque l’on parle de développement durable il ne s’agit pas de développer les activités actuelles (voitures, béton, tourisme de masse, bateaux polluants, plages privées) qui polluent l’environnement et enlaidissent le paysage mais de les abandonner pour les remplacer par des activités respectueuses de l’environnement (pistes cyclables, vélo, activités nautiques non polluantes (stand up paddle, kayak etc.), espaces verts, plages publiques, réserves marines etc.). Pour préserver la biodiversité des fonds marins, il me semble évident qu’ilnfaut interdire aux bateaux de plaisance de s’approcher des côtes comme c’est le cas aujourd’hui.
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  • S'inspirer d'initiatives en cours?

    Véronique - 07 Février 2018 - 11h55

    Comme par exemple celles qui concernent la gestion des Iles du Levant: Port-Cros, Porquerolles surtout, toutes deux très sollicitées, et où les différents acteurs (Parc National, associations, économie locale) aménagent des solutions en concertation.

    Olivier CROUZIER
    Les îles du Levant constituent un laboratoire d'expérimentation notamment en ce qui concerne les différentes manières/méthodes pour réduire les impacts du tourisme (recyclage des déchets ou évacuation par bateau)
    • Pas d'accord
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    Olivier CROUZIER
    Gérer l'approvisionnement en eau ... pourquoi pas une unité de dessalement car les besoins des touristes dépassent de beaucoup les besoins locaux
    • Pas d'accord
      0
    citoyenlittoral
    De gros problèmes perdurent depuis des années comme la difficulté pour les habitants du Levant à aller sur le continent et à en revenir. Pour Porquerolles l'accès illimité crée beaucoup d'insatisfaction chez les visiteurs et de très gros problèmes de circulation et de stationnement sur la presqu'île de Giens qui travaille ces sujets dans le cadre d'une Opération Grand Site commencée en 2008.Le tarif du passage est dissuasif pour nombre de familles alors qu'il s'agit d'un Parc national
    • Pas d'accord
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  • Reef / récif artificiel

    Clem Vladi - 06 Février 2018 - 20h38

    Il est facile de deposer des rochers ou autre obstacle sur les fonds marins afin de créer un recif artificiel sur lequel les vagues pourront dérouler pour le plus grand plaisir des surfeurs lorsque la houle est présente, et pour le bonheur des plongeurs dans le cas contraire.
    Ce type de procédé a deja ete concrétisé avec succès en Australie notamment.
    La population de surfeur ayant considérablement augmentée ces dernières décennies (15000 licenciés mais la plupart des surfeurs ne le sont pas), rend la pratique de ce sport parfois périlleuse... la création de recif artificiel permettrait d'endiguer ce risque.

    Steve Laubaney
    Par expérience, ce genre de projet tourne au fiasco comme c'est le cas à Cap d'ail, spot de surf détruit par ce type d'enrochements. Surf devenu impossible, danger pour les autres sports nautiques... à étudier très prudemment...
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  • Controle de la qualité des eaux de baignade

    Laurentgeo - 06 Février 2018 - 15h20

    Identifier facilement sur un site dédié les rivages où la qualité de l'eau permet la baignade en toute sécurité.

    Amelie Thor
    Effectivement le faire avec une grande envergure et au niveau institutionnelle. En effet ce travail est deja bien entame grace a 9000 benevoles dans toutes l'Europe: [lien supprimé]
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  • Retour au Système de consigne

    JDM - 06 Février 2018 - 11h11

    Un système de consigne des emballages, comme il se faisait auparavant pour les bouteilles en verre, permettrait d'éviter la majeure partie de la pollution par les usagers, sans sur-coûts pour les usagers. de plus ce système a 2 avantages:
    1/ Il responsabilise les vacanciers et les particuliers en général
    2/ Il permet à certaine catégories défavorisée d'avoir une activité (certes faiblement rémunéré). Aux US par exemple, des "homeless" récupèrent et revendent les cannetes en alu.

    196phil
    Pas assez de conreneurs de poubelles dans les port.. et pas de tri selectif ds les poubelles des ports déplaisance
    • Pas d'accord
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    citoyenlittoral
    La généralisation de la consigne est en accord total avec le discours qui nous est délivré sur les déchets qui sont dans beaucoup de cas des matières premières à valoriser. Cela permettrait au recyclage d'atteindre une efficacité permettant le développement de toute une filière de la collecte à la création de biens issus de ces matières recyclées. Tout ce qui est consigné ne sera plus jeté dans la nature ou sera ramassé par quelqu'un qui récupèrera la consigne. L'exemple des "Homeless" aux USA est exact et révélateur. Enfants, nous faisions la même chose pour avoir un peu plus d'argent de poche. J'adhère totalement à cette proposition qui me semble de bon sens lorsqu'on voit tout se qui pollue le littoral.
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  • Favoriser le développement des activités sportives sur les plages et les sports de glisse

    Vinoceant - 05 Février 2018 - 07h30

    Améliorer les accès et les zones permettant de pratiquer les sports de glisse : kite surf, Windsurf, surf, stand up paddle, etc... et mettre en place des activités connexes : pour la gym, les jeux de plages, etc. Et ne pas oublier des kiosques avec des douches et des vestiaires comme dans beaucoup de pays très divers : Grèce, Australie, Canada,...

    Alba
    Les sports de glisse? Ok pour les sports non polluants et respectueux de l’environnement que vous citez (stand up paddle, surf, windsurf) mais il faut impérativement interdire ou au moins sérieusement règlementer et les limiter tous les sports de glisse de vitesse dangereux et polluants c’est à dire tout ce qui est à moteur (ex. Jetski, ski nautique, bouée tractée, surf à moteur, si si ça existe) c’est souvent polluant, bruyant et très dangereux pour les plongeurs, nageurs, paddlers, kayakistes etc. étant donné la vitesse atteinte par ces engins.
    • Pas d'accord
      0
    Mike TDi
    Demander aux de multiplier les zones a surveiller c'es penser qu'ils ont les moyens financiers d'assumer leur pouvoir de police et la sécurité partout ! Pour concentrer les zones de pratiques et une nécessité pour répondre a leur limite de budget et une aubaine pour exploiter financièrement la concentration des passages... Sans changement des textes responsabilisant les maires il faut développer des outils permettant de les deresponsabiliser pour pouvoir élargir les zones de pratiques des sports de glisse... On y travaille dans le groupe FB RIDENSEMBLE...
    • Pas d'accord
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  • AQUACULTURE non grata ?

    Gilles Lemarchand - 05 Février 2018 - 05h14

    J'atteris sur cette page de travail suite à la lecture d'un article, où «selon le ministère...les énergies renouvelables ou l'aquaculture ont un potentiel de développement «considérable» » et pas un point de vue sur le sujet ?
    Il y a pourtant le SRDAM acté, avec une échéance de bilan pour 2020, des directives européennes, ... Hallucinant !
    Un rappel: la France, 2ème ZEE au monde, importe 86% des produits de la mer qu'elle consomme...avec des standards de qualité bien différents des nôtres.
    Il est temps d'éduquer nos concitoyens sur ce que peut être une aquaculture raisonnée et surtout mettre en lumière l'efficience écologique de cette production vis à vis de n'importe quelle autre production d'animaux terrestres (boeuf, porc, poulet,...)

  • AQUACULTURE non grata ?

    Gilles Lemarchand - 05 Février 2018 - 05h12

    J'atteris sur cette page de travail suite à la lecture d'un article, où «selon le ministère...les énergies renouvelables ou l'aquaculture ont un potentiel de développement «considérable» » et pas un point de vue sur le sujet ?
    Il y a pourtant le SRDAM acté, avec une échéance de bilan pour 2020, des directives européennes, ... Hallucinant !
    Un rappel: la France, 2ème ZEE au monde, importe 86% des produits de la mer qu'elle consomme...avec des standards de qualité bien différents des nôtres.
    Il est temps d'éduquer nos concitoyens sur ce que peut être une aquaculture raisonnée et surtout mettre en lumière l'efficience écologique de cette production vis à vis de n'importe quelle autre production d'animaux terrestre (boeuf, porc, poulet,...)

  • Faites de l'ombre

    Ph - 05 Février 2018 - 00h19

    Aménagez des zones d'ombres sur les plages et sur les espaces verts. Trop de soleil détruit la végétation et la peau.

  • Inspirez, expirer !

    Djé d'Agay - 04 Février 2018 - 15h06

    1/ Un littoral propre est un littoral sans automobiles, source de pollution de l'air, source de pollution sonore donc de stress
    2/ Grandes zones de parking à 2 km du rivage, larges accés ludiques pour piétons, trottinettes, pistes cyclables, voies 2 roues électriques, navettes autobus électriques, etc...
    3/ débétonnage complet du littoral qui appartient aux Français et non aux nantis !
    4/ réglementation et limitation trés strict (1 maxi par plage)des plages privées et cabanes à frites
    5/ toillettes publiques gratuites et nombreuses.
    6/ encore et toujours des poubelles selectives nombreuses.
    5 et 6 / mieux vaut ramasser à endroits précis et choisis nos déchets à nos frais que de voir des tas d'imondices qui de toute façon nous couterons encore plus chères à ramasser !

    Alba
    Même constat pour la côte d’azur. Il ne faut plus que les voitures roulent à côté des plages et du littoral, il faut faire des grands parkings extérieurs. Il faut une fois pour toute faire construire des pistes cyclables sécurisées au bord des côtes et un peu partout entre les plages (à ce jour c’est impossible d’aller en vélo à la plage quand on habite sur la côte d’azur). Il faut agrandir les plages publiques et bannir définitivement les plages privées qui enlaidissent le paysage, coupent la vue sur la mer et réservent l’accès à la plage aux plus nantis pour qu’une minorité de plagistes puissent se faire de l’argent sur le dos des touristes fortunés.
    • Pas d'accord
      0
    Alba
    Sans même parler des snacks de plages et autres kiosques sources de saletés et d’ordures. Oui vous avez raison, il faut plus de poubelles de tri sur les plages. Mais surtout il faut recadrer les restaurateurs et propriétaires de plages privées qui règnent en maître sur le littoral azuréen avec la complicité des mairies et pouvoirs publics locaux et ce au détriment de la population locale et des usagers.
    • Pas d'accord
      0
    Jacko
    Parkings à 2 km du rivage c'est interdire l'accès a beaucoup de monde !!!
    • Pas d'accord
      0
  • Une coopération méditerranéene

    Lilijuste - 03 Février 2018 - 23h34

    Une stratégie globale commune à l'ensemble des pays du pourtour méditerranéen, déclinée par secteur (hôtellerie, activités sportives, commerce, etc.). Identifier des règles issues de l'ESS, respectant les trois piliers du développement durable que sont l'économie, l'écologie et le social ; et les faire respecter dans chaque pays. Favoriser l'échange d'initiatives et les partenariats internationaux. Un label ?

    Morgane le Bars
    Aider les pays du sud et de l'est à avoir une politique propre de rejet des eaux en méditerranée
    • Pas d'accord
      0
  • Entretenir le littoral avec des méthodes non destructrices

    Maurice Negri - 03 Février 2018 - 21h00

    Ex: Plages Prado Nord à Marseille: La méthode d'entretien de la frange littorale est de repousser au tractopelle le gravier de protection (gravier roulés de Durance) dans la mer en même temps que les déjections canines et autres détritus enfouis, non seulement ça salit l'eau de baignade pour 3 jours mais cela crée un à pic dangereux au bord de l'eau, les enfants des centres aérés pataugeant ainsi dans l'eau boueuse des cratères laissés. De plus cette méthode fait reculer la plage par rapport à la mer puisque ce gravier sert à protéger de l'érosion les particules de sol fines constituant la sous couche émergée de la plage (remblais par fines issues du forage du Métro) . Il faudrait , quand un monticule de gravier se crée au bord, le répartir sur l'arrière en utilisant le rétro godet du tractopelle pour qu'il retrouve ainsi sa vocation de protection de la sous couche et que la sable naturel s'installe au bord (plage en accrétion). Photos disponibles page FB des " Nageurs du Prado".

  • Pontons et Jeux gonflables dans les 200 m au large des plages

    Fanchon Jaricot-Benozillo - 03 Février 2018 - 18h20

    Ne pourrait-on pas installer des pontons et jeux divers et gonflables au large des plages (dans les 200 m) ? Nous bronzerions en rigolant, en échangeant avec les copains ou d'autres estivants. L'espace aquatique serait plus investi et mieux partagé. Cordialement

    Alba
    Ça n’est pas très développement durable comme proposition... visuellement cela contribuerait à enlaidir le paysage.
    • Pas d'accord
      0
    Olivier CROUZIER
    A San Sebastian, il y a des pontons dans la Concha qui existent depuis plus de 100 ans et apportent un plus sans impact visuel
    • Pas d'accord
      0
  • Respect de la loi littorale

    Rémi Hergé - 03 Février 2018 - 14h29

    Augmenter les interdictions de bétonner le littoral pas de privatisation de plage prévention des usagers privilégier les réserves naturelles avec des parcours de randonnées palmés et favoriser les activités nautiques et littoral non motorisés

  • Des zones marines protégées dans chaque commune du littorall méditerranéen

    octopus - 03 Février 2018 - 14h22

    En créant des zones marines protégées dans chaque commune du littoral méditerranéen, il sera possible de proposer des activités de snorkeling attrayantes avec de nombreux poissons et une environnement remarquables.

    Alba
    Oui sur certaines côtes méditerranéennes on ne voit plus aucun poisson, ça n’inquiète personne ça? Quand nous étions enfants on enfilait un masque et un tuba et c’était le musée océanographique. Il faut d’urgence rétablir la flore et la faune marine sur nos côtes mais c’est incompatible avec le béton, les moteurs de bateaux, les jets skis et le développement touristique sauvage et lucratif (pour quelques-uns seulement).
    • Pas d'accord
      0
  • Le tourisme naturaliste

    LaNatureduSud - 03 Février 2018 - 13h27

    Le tourisme naturaliste permet de valoriser les nombreux atouts du patrimoine naturel du pourtour méditerranéen, sans aucune addition d'infrastructure, pendant les ailes de saison et auprès d'un public demandeur de nouvelles destinations et qui dépense le double sinon plus que le touriste non-spécifique. Une niche certes, mais une niche en croissance et d'un potentiel important ! Quelques exemples : le tourisme ornithologique; la flore; les papillons - toute notre richesse en biodiversité. En plus le tourisme naturaliste a aussi un effet secondaire intéressante en changeant la perception de la population locale. Au lieu de nous coûter, tout d'un coup la nature "rapporte" - et ainsi devient plus intéressant à préserver !
    L'Espagne l'a compris il y a 15 ans, et actuellement des pays comme Hongrie, Pologne, Colombie et Ouganda développent à leur tour le tourisme naturaliste. A quand la France ?

    Djé d'Agay
    100% d'accord
    • Pas d'accord
      0
  • Que le bétonnage ne fasse pas obstacle aux loisirs dont la pêche amateur.

    lamouettelaurentine - 03 Février 2018 - 09h23

    Le remblai des plages ne semble pas surveillé. Par exemple la construction d'un lycée sur le Paillon retient les agrégats. Au printemps des bulldozers déplacent ces galets vers la plage"à chaque pelletée il y a des anguilles dans la benne" dit un chauffeur.L'espèce est pourtant protégée.
    Ces remblais permettent non pas de conserver l'espace la plage mais de faire avancer la zone urbaine, voie de circulation digues (Menton) etc Il faut réguler cette dérive.

    Concernant les digues artificielles et les ports: les villes, à coup d'arrêtés interdisent l'accès aux pêcheurs amateurs. Si cela semble à peine justifié en période touristique, aucun accident n'est signalé, les pêcheurs gardant leur distance avec les baigneurs par bon sens!
    Cela revient à privatiser l'accès à la mer pour ce qui concerne la privatisation des ports.
    La pêche amateur présente un volet touristique surtout en période creuse et commercial pour ce qui est de la vente de matériel


  • Développer des espaces culturels et sociaux sur des sites touristiques

    Yoann Rozycki - 01 Février 2018 - 22h04

    Résidence d'artiste, bar associatifs, et café concert pourraient se développer le littoral et profitez des paysages splendides qu'offre le littoral et la région Montpellieraine.
    Nous disposons de paysages fabuleux (petite camargue, plages...) qui gagneraient à être aussi exploiter comme lieu de vie et de créativité.
    Bien sûr en accord avec la nature.

  • Culiver de beaux arbres

    courbou - 01 Février 2018 - 19h47

    Figuiers, oliviers et surtout, agrumes sont à la fois des arbres parfaitement adaptés au littoral ont attiré comme des aimants les premiers touristes du XVIIe siècle.

    Favorisons leur plantation, leur entretien, leur récolte, leur greffage pour, à nouveau, enchanter nos paysages !

  • Mettre fin au tout-automobile

    Alain Rozenbaum - 01 Février 2018 - 09h52

    Beaucoup de vacanciers apprécient, sur la Côte d'Azur, de pouvoir se garer juste à côté de la plage. Si on les laissait faire, ils se gareraient tous SUR la plage !
    Si on veut du tourisme durable, il faut accepter de mécontenter les automobilistes fanatiques.
    Il faut mettre fin au tout-automobile. Il faut arrêter la prolifération des parcs et des emplacements de stationnement le long du littoral, voire supprimer une bonne partie de l'existant. Il faut aménager les routes du bord de mer pour les rendre agréables aux piétons et aux cyclistes. Et pourquoi ne pas les interdire à la circulation motorisée (sauf transports en commun, urgences...) et les réserver aux modes doux ?

    larascasse
    Tout à fait d'accord. Plus de pistes cyclables, mais aussi des endroits sûrs où garer son vélo (cet été en voulant aller à la plage en "mode doux" je suis repartie à pieds passablement irritée. La seule chose que le policier avait à me dire : c'est normal c'est le début de l'été")
    • Pas d'accord
      0
    Alba
    Exactement! Je suis entièrement d’accord avec vous et nous sommes nombreux, mais pas écoutés par les mairies locales qui vivent dans le passé. Il faut définitivement mettre fin à la politique du tout voiture, ça n’est que comme ça que la côte d’azur redeviendra attrayante et agréable pour ses habitants. Il faut désencombrer le littoral des routes et des voitures pour pouvoir enfin respirer (et écouter le silence) et il faut définitivement créer des pistes cyclables sécurisées au bord du littoral (des vraies, qu’on pourrait prendre même avec des enfants, pas un filet minuscule avec les voitures qui rasent les vélos). Oui il faut interdire les voitures en bord de mer et privilégier les modes de transport doux.
    • Pas d'accord
      0
  • Développement touristique durable sur l'eau et sur PPRI

    FAREA - 26 Janvier 2018 - 13h07

    Bonjour,
    L'entreprise FAREA ([lien supprimé]) à mis au point "le Faréa" : Premier Ecolodge flottant, démontable autonome en EAU et ELECTRICITE , transportable en container, premier et unique bateau conçu pour l'activité de type hôtelière.
    Les Faréas sont loués par les clients, l'entreprise apporte un service de type hôtelier, l'activité de Faréa est non impactante sur la nature du site, Faréa valorise la commune, les producteurs locaux, et les acteurs locaux du tourisme déjà en place.
    Les Faréas peuvent être installés sur les PPRI (avec étude et accord de l'autorité). Ils sont aussi autorisés sur les Lacs, lagons, lagunes , fleuves et mers protégées.
    Rien que sur les PPRI, les Faréas pourraient rendre de grands services aux communes, et créer beaucoup d'emplois... Nous sommes à votre disposition pour toute étude ou discussion.

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