Le bon état écologique des milieux marins et littoraux
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Le bon état écologique des milieux marins et littoraux
Soaz44 - 25 Mars 2018 - 23h19
Application stricte de la loi littoral, révision du modèle agricole extensif, pour une agriculture respectueuse des sols et des eaux, règles à élaborer et à faire respecter concernant l’arrêt de l‘artificialisation des sols
atepomaros - 25 Mars 2018 - 12h25
proposer un vaste plan de rebocagisation des campagnes , particulierement sur les grandes plaines , adapté au machinisme et exigences agricole actuelles , ceci par de larges bandes végétalisées et boisées afin retenir l'eau ,favoriser la biodiversitée , la production de bois et pour conduire a une eventuelle future convertion vers le bio ou l'agriculture raisonnée ; ce plan devrait etre national s'adapter aux exigences agricoles actuelles réinstalerait une richesse biologique et contribuerait a la santée des sols , la rétention de l'eau , sa purification mais aussi une meilleure stabilitée climatique !
pelodyte - 24 Mars 2018 - 21h44
Il est urgent de faire une mise à plat du modèle agricole français, donner l'exemple pour que les autres pays européens suivent. Tout le monde y gagnera en qualité de vie en écononomie
blackbee - 24 Mars 2018 - 18h07
On veut lutter contre la pollution et on ne cesse de voir fleurir les extensions d'élevages industriels. Ces derniers ont des productions qui sont de plus rarement destinées à la consommation nationale. De plus ils ne créés que très peu d'emploi. Ils contaminent en revanche durablement les sols, les nappes, les cours d'eau, le littoral. La production de maïs et céréales est généreusement arrosée d'herbicides et insecticides, d'hormones. Revenons a des exploitations plus modestes qui gèrent beaucoup mieux tout cela !
vigibaie - 24 Mars 2018 - 10h35
Des grands dauphins, parmi les 500 à 600 du golfe Normand-Breton, ont fait l’objet d’une étude de concentration des polluants dans leur organisme. Les intéressants résultats obtenus par le Groupement d’Etude des Cétacés du Cotentin (GECC), sont révélateurs de la pollution marine inquiétante pour la qualité de la ressource marine et de nos vies.
Cette étude doit être largement diffusée.
Les grands dauphins et les travaux du GECC doivent être officiellement reconnus dans le dispositif ministériel et les SDAGE comme dispositif de surveillance et d’indication de la qualité des eaux.
Jean-Yves - 23 Mars 2018 - 18h11
- qu’une bande des 500 mètres sur les bassins versants, près des zones conchylicoles soit interdite, sans dérogation, aux épandages d’effluents d’élevage;
- l’aménagement du territoire ait un objectif de forte réduction des transferts de phosphore et de bactéries vers le milieu aquatique ;
- les stations d’épuration soient prévues pour des pics de charges maximales (soit en périodes d’affluence touristique soit en épisode de crue), et qu’un dispositif de filtrage par membranes et/ou de filtres charbon soient installé dans toutes les stations ;
- les stations soient aménagées pour éviter les débordements, que les rejets polluants soient minimisés et/ou recyclés, que les postes de refoulement soient sécurisés ;
Jean-Yves - 23 Mars 2018 - 18h09
ERB souhaite que :
- toutes les études d’impact de projets sur le domaine terrestre tiennent compte de l’impact potentiel sur le milieu marin situé en aval, qu’ils soient proches ou lointains de la mer ;
- la pression azotée sur les bassins versants tende vers une concentration moyenne en nitrates de 5mg/l sur toute la Bretagne, par tous les moyens disponibles dont la réduction des cheptels animaux, la taxation des engrais chimiques, l’évolution vers des systèmes agricoles moins intensifs… ;
- soit menée une information du lien entre le changement climatique et de ses effets néfastes sur le milieu marin et les côtes ;
- l’objectif à terme de zéro-pesticide de synthèse soit affirmé officiellement et maintenu ;
- soient interdites les extensions d’élevages classés ICPE sur les bassins versants des zones de baignade, des zones conchylicoles et des sites propices aux marées vertes répertoriés dans le SDAGE Loire-Bretagne
Gaspard Hch - 23 Mars 2018 - 12h02
Mener une politique permettant de favoriser le développement d'une agriculture durable, passant par l'agriculture biologique, le respect et la bonne gestion des ressources naturelles comme l'eau et le respect des agriculteurs. Il faut mener une politique mettant en relation l'agriculture et les sciences afin de trouver des mesures concrètes pour limiter l'eutrophisation des sols, et cela passe par des incitations des autorités locales, régionales, nationales et européennes.
Louis - 21 Mars 2018 - 18h15
mettre en place des politiques de diminution des rejets toxiques en mer : liquide, solide.
Liquide : ex engrais et pesticides, industriels, stations épuration
solide : politique sur les déchets, en particulier sur les emballages plastiques.
Œuvrer à la mise en place d'une empreinte écologique égale à 1 au niveau individuel, mais aussi au niveau des entreprises.
Bilan écologique au niveau des entreprises.
Yves ETIENVRE-LE PRIOL - 20 Mars 2018 - 20h53
Le BIO ne demande qu'à se développer ( et à se vendre/s'acheter !) ( quand on pense que le sarrasin vient de Chine quelquefois !!!!????)
donc
( obliger et aider à ) convertir l'ensemble de la bande littorale sur 20 km en agriculture bio
Bretagne Vivante - 20 Mars 2018 - 14h48
Propositions de Bretagne Vivante :
- Veiller à une application exigeante de la loi Littoral sur l’ensemble de la façade NAMO, sans remise en cause.
- Séparer la question de l’adaptation des territoires côtiers au recul du trait de côte de la question immobilière sur les littoraux pour laquelle une réflexion permettra de proposer des alternatives à la consommation des espaces non encore construits.
- Mettre en place une méthodologie systématique qui vise à économiser l’espace pour garantir un littoral de qualité : si le besoin d’urbaniser un secteur ne peut être évité, il faut pouvoir trouver une contrepartie et restituer des terrains.
- Appliquer avec fermeté les directives européennes sur la qualité des eaux en respectant les délais fixés.
- Favoriser toute action qui améliore les pratiques agricoles les moins polluantes.
Bretagne Vivante - 20 Mars 2018 - 14h48
Un urbanisme excessif et une agriculture intensive ont dégradé certaines parties de la façade NAMO et porté atteinte à la qualité des eaux.
Certes, quelques évolutions ont été constatées mais elles sont insuffisantes pour permettre le maintien ou le retour au bon état écologique ainsi que des activités de production et de loisirs de qualité.
Depuis quelques années, plusieurs rapports parlementaires et propositions de loi cherchent à apporter une réponse à l’érosion du trait de côte conséquence du réchauffement climatique mais veulent aussi assouplir les conditions d’urbanisation du littoral. Bretagne Vivante affirme avec force que la solution ne passe pas par une remise en cause de la loi Littoral.
Renaud Gille-naves - 19 Mars 2018 - 14h20
Coté intrants d'agriculture, nous devrions aider de facon significative les methodes d'agriculture qui ne presentent pas de danger pour le vivant. Et taxer fortement, tout produits issue d'agriculture non bio, utilisant des methodes dangereuses pour l'environement, à la hauteur du prejudice subit, qu'il soit produit en france ou d'importation.
Coté plastiques et emballages en tout genre, n'est il pas possible de contraindre les industriels à n'utiliser que des plastiques simples à recycler quel que soit leur taille. Ainsi nous pourrions envisager des machines citoyennes à collecte et compactage qui remunerent le consommateur de son effort de recyclage.
jipebe29 - 19 Mars 2018 - 10h34
Différents projets prévoient d'implanter en mer des usines éoliennes. Or, chaque éolienne, pour se protéger de la corrosion, envoie en permanence dans les eaux de l'aluminium, ce qui va gravement polluer la biodiversité marine, animale et végétale. Par ailleurs, les infrasons se propagent très loin en mer, et toute la faune marine sera touchée.
Bref, l'éolien en mer, au fonctionnement aléatoirement intermittent, au faible facteur de charge (moins de 20%), dont les pales massacrent les oiseaux (migrateurs et oiseaux marins), au prix du kWh 5 à 6 fois au-dessus du prix marché et qui pollue gravement l'écosystème marin ne présente aucun intérêt, si ce n'est offrir des avantages déraisonnables aux promoteurs, aux frais des citoyens pris en otages.
Vince29 - 18 Mars 2018 - 18h14
Soutenir les fabricants (et le développement) de crème solaire et de produits cosmétiques biodégradables ou sans impact pour le milieux marin.
Martine Poulain - 16 Mars 2018 - 10h29
Oui, recycler tout ce que nous utilisons en emballages et autres, produire bio, et respecter les lieux, mettre des amendes aux personnes qui jettent des déchets dans la nature ou sur le bitume en ville. Développer les énergies propres. Enseigner comment préserver nos milieux naturels.
TM - 15 Mars 2018 - 17h13
De nombreuses recherches de qualité sont menées sur les pollutions anthropiques et leurs effets sur l'environnement aquatique. Devant la multitude des sujets (pesticides, micro/nanoplastiques, ...), il semble néanmoins nécessaires de soutenir l'émergence / la modernisation des infrastructures d'expérimentation dans le domaine scientifique, renforcer encore les transversalités, avoir une vision globale ("One health") et communiquer les résultats de manière vulgarisée et claire.
alainno - 15 Mars 2018 - 09h51
Il me semble que collecter les bouteilles plastique et verre contre "remboursement " monétaire significatif contribuerait largement à réduire l' abandon de ces déchets dans la nature.
jc.ménard - 14 Mars 2018 - 11h54
Des pollutions insidieuses.
Les stations d'épuration n'arrêtent pas les fibres synthétiques ou les microplastiques très fins. Elles n'arrêtent pas les molécules médicamenteuses, hormones, antibiotique etc.. il y a des modifications (IFREMER) du sexe de certaines espèces de poissons, Flets, sardines..
Solutions :
-Supprimer les billes de micro plastiques des cosmétiques , mettre des filtres (c'est pour l'instant très cher mais il faudra y arriver) sur les stations d'épuration arrêtant les micro plastiques et les molécules médicamenteuses.
- Favoriser la recherche pour trouver des organismes qui peuvent accélérer la dégradation des nutriments et polluants.
- Passer d'un travail expérimental (existant actuellement en Bretagne) à une production de polymères produits à partir de bactéries et donc entièrement biodégradables..
- Ramassage collectif et individuel des plastiques sur la côte (bac à marées), le long de fleuves et recyclage de ces plastiques..
jc.ménard - 14 Mars 2018 - 11h51
Retraitement à terre des sédiments issus des dragages de ports.
Clapées en mer elles étouffent et colmatent le milieu (macro algues, niches écologiques, elles diminuent la photosynthèse.
Des solutions existent pour le recyclage des vases :
amendements dans les champs, utilisation une fois séchées et désalées,
L'argile peut être utilisé pour faire des briques, du torchis(mélange paille et argile un des meilleurs isolant connue),
mélangée avec le calcaire des coquillages huîtres, coquilles St Jacques, moules concassées, elles peuvent faire (après avoir été chauffé) des granulats pour chemin côtier, pistes cyclables, remblais...
jc.ménard - 14 Mars 2018 - 11h49
Un assainissement parfois défaillant .
Des stations d'épuration sous dimensionnées en particulier l'été (population X 10) et par fortes pluies. La qualité bactériologique de l'eau est parfois mauvaise, plages interdites à la baignade et ramassages des coquillages idem... Désagréments, problèmes de santé et mauvaise image pour le tourisme.
Solutions :
Améliorer la capacité de retraitement des stations d'épuration côtières, privilégier quand c'est possible le lagunage. Vérifier la qualité des eaux pluviales et les raccordements des eaux usées et prévoir des bassins de rétention de ces eaux pour une élimination par les plantes par exemple, des hydrocarbures.
Des bateaux de plaisance qui ne rejettent pas leurs déchets et eaux noires en mer.
jc.ménard - 14 Mars 2018 - 11h47
L'espace côtier est soumis à de fortes pressions touristiques, industrielles, alors que la qualité de l'eau est l'élément indispensable aux activités primaires et au tourisme. Les pollutions proviennent en grande partie de la terre, des apports des fleuves, Loire et Vilaine et des cours d'eau.
Les engrais et l'agriculture intensive :
Nitrates et phosphores en trop grande quantité = des blooms de phytoplancton et/ou des marées vertes. Des pesticides en quantité importante : plusieurs tonnes, La qualité écologique des masses d'eau côtières est parfois moyenne à mauvaise.
Changer le mode d' agriculture . Favoriser les fermes le maraîchage et le maraîchage biologique sur le littoral et le rétro littoral.
Protéger et renforcer les services rendus par les écosystèmes terrestres et marins. Rôle de captation et de transformation des nutriments . En mer protéger les zones de macro algues et zostères. Protéger à terre zones humides, les zones de marécages, zones tampons .
COORLIT 85 - 13 Mars 2018 - 20h04
La qualité de l’eau sur le littoral impacte habitats côtiers, pêche et conchyliculture. Or l’essentiel des polluants vient de l’amont. Le rôle des SAGE est capital pour améliorer les qualités chimique et bactériologique des eaux continentales, avec choix pertinent de mesures pour :
-réduire nitrates/phosphore impliqués dans marées vertes/blooms (dommages aux habitats côtiers, risques toxiques)
-traiter les eaux usées par STEP et assainissement non collectif performants
-suivre la qualité des eaux
Mais des orientations nationales s’imposent :
-maintien de la loi Littoral (ratio capacité d’accueil/urbanisation)
-abandon planifié de l’agriculture et de l’élevage intensifs, avec accompagnement financier
-réduction des déchets à la source (plastique, polystyrène)
-traitement à terre des boues de dragage
-application rigoureuse du principe pollueur-payeur
-sensibilisation du public par tous moyens de communication (composition/utilisation des phytosanitaires, produits ménagers, cosmétiques)
chouan - 13 Mars 2018 - 16h20
La qualité de l’eau sur le littoral impacte habitats côtiers, pêche et conchyliculture. Or l’essentiel des polluants vient de l’amont. Le rôle des SAGE est capital pour améliorer les qualités chimique et bactériologique des eaux continentales, avec choix pertinent de mesures pour :
-réduire nitrates et phosphore impliqués dans marées vertes et blooms (dommages aux habitats côtiers, risques toxiques)
-traiter les eaux usées par STEP et assainissement non collectif performants
-suivre la qualité des eaux
Mais des orientations nationales s’imposent :
-maintien de la loi Littoral (ratio capacité d’accueil/urbanisation)
-abandon planifié de l’agriculture, de l’élevage intensifs, avec accompagnement financier
-réduction des déchets à la source (plastique, polystyrène…)
-traitement à terre des boues de dragage
-application rigoureuse du principe pollueur-payeur
-sensibilisation du public par tous moyens de communication (composition/utilisation des phytosanitaires, produits ménagers
Tiphaine Hotte - 12 Mars 2018 - 19h14
L'une des possibilités de filtration naturel dans le milieu agricole se fait grâce aux haies et talus, intéressant pour une retenue d'eau et une filtration des "eaux usées" sur les terres agricoles.
Il est intéressant de voire se développer des associations permettant la formation et l'accompagnement des agriculteurs à une reconstruction d'un bocage (réseaux de haies) au sein de leurs terres agricoles.
Il serait d'autant plus intéressant que la législation suive le mouvement en imposant un cotat de métre linéaire de haie important sur terres agricoles, (voire même autour des zones commerciales, artisanales etc....)
Tout en subventionnant une partie de ces travaux et en revalorisant les produits issues de l'agriculture.
Riot Elen - 12 Mars 2018 - 18h01
Pour mieux prendre en compte l'impact des activités productives (et notamment l'élevage en Bretagne), pourquoi ne pas substituer aux outils de comptabilité classique la comptabilité environnementale qui permet de faire entrer dans les bilans et comptes de résultat l'impact sur l'environnement à long terme ? Cela permettrait de mieux valoriser les méthodes plus respectueuses de l'environnement et aussi d'avoir une meilleure visibilité sur les subventions et les responsabilités assumées par les parties prenantes en termes d'externalités positives et négatives.
Association T EAU T O PHIL - 11 Mars 2018 - 20h29
Il est indispensable que l’effort n’incombe pas uniquement aux communes littorales. Face à un enjeu majeur abstrait pour 2030, le mégot et le plastique peuvent symboliser le lien quotidien de notre cadre de vie à nos océans.
Tout macro-déchet récupéré à tout endroit des terres émergées, ce sont des milliards… gagnés demain en macro, micro, nano… polluants. Une grille à la source dans un réseau pluvial est étonnamment simple et efficiente ! Sans négliger aucun polluant, il s'agit d'intercepter 100% des mégots et plastiques à la source des Rejets Urbains de Temps de Pluie. Cette action proche de l'avaloir (ou bouche d'égout) enclenchera également une politique globale vers une Valorisation Urbaine de la Pluie pour l’Océan (VUPO) : regardons la pluie urbaine comme une Ressource au lieu d’un Risque ou d’un Rejet.
La valorisation de l'eau de pluie et de ses déchets doit devenir dans notre quotidien une industrie qui gère la pluie urbaine en une ressource stratégique vitale.
Marcel - 09 Mars 2018 - 18h14
L'assainissement doit être plus performant en fonction du développement de la population.
Il doit mieux prendre en compte la pollution par les médicaments qui ont une incidence sur les produits de la Mer.
La vidange des campings Cars mieux contrôler pour limiter les vidanges sauvages au bord des plages
Le contrôle de l'assainissement individuel doit être plus fréquent aux abords du rivage là oû il existe encore y compris des activités ostréicoles.
jaquotiere - 06 Mars 2018 - 22h03
jaquotiere
Signalez un abus
05 Mars 2018 - 10h58
Une chose très importante qui n'est pas exploiter dans les divers propos lié a la nature et sa biodiversité que l'on détruit a mesure du temps,
1° ce sont les incidences de l'utilisation des produits venant de la chimie qui détruit notre santé (cancer etc...) ce sont les perturbateurs endocriniens. Il faut a moyen terme supprimer ses polluants de notre société et c'est une affaire mondiale. Dans le secteur de la Manche les plages sont en état catastrophique (pollution pêche interdite) . Notre planète est malade comment la soigner?
2°Les façons d'agir sur les exploitations agricoles, un exemple le monde agricole qui détruit les haies et les haies sur talus qui ont pourtant un rôle hydraulique fondamental de retenue des eaux et de la biodiversité. Ces haies et talus qui disparaissent les chemins sont comblés pour un agrandissement des champs etc...
Les deux phénomène sont liés, car les bassins versant emporte les pollutions en mer
VPBN - 06 Mars 2018 - 17h12
- Aider les infrastructures portuaires à une activité plus neutre en matière environnementale. Considérer ainsi toutes les boues de dragage des ports comme étant des déchets à traiter à terre
-Préserver les terres agricoles littorales par la mise en place systématique de Périmètres de protection des Espaces Agricoles et Naturels sur la zone littorale en privilégiant une agriculture respectueuse de son environnement
Sylvain MOREL - 06 Mars 2018 - 11h54
La mer reçoit une grande partie des pollutions terrestres. En plus de l'agriculture il y à les eaux pluviales qui se déversent sans aucun filtre.
AgisM - 06 Mars 2018 - 10h10
Appliquer déjà avec rigueur, les dispositions actuelles des lois et règlements sur le littoral et la protection des eaux. Par exemple, garder les interruptions d'urbanisation.
Publier TOUTES les infractions et enfin faire payer les vrais pollueurs, quelles que soient leur taille et leur puissance : signe de respect des citoyens de base, par ailleurs électeurs.
Que la Puissance Publique donne le 1er exemple dans le respect de la nature et de la société civile : Guyane comme Bure ; vaccinations multipliées comme autorisation d'empoisonner par les produits chimiques, les nanoparticules ou autres OGM, etc...
EXIGENCE générale et : PRIORITÉ au BIEN COMMUN
Bernard FONQUERNIE - 04 Mars 2018 - 11h36
inciter les agriculteurs à mieux épurer les eaux issues de leurs exploitations par des soutiens et de plus fortes contraintes. Lutter cotre les complaisances "politiques"
Embaucher plus d'inspecteurs sanitaires indépendants des milieux professionnels, des lobbies et élus locaux.
Camille Cresteil - 03 Mars 2018 - 19h56
L'effet exfoliant d'un certain nombre de cosmétique est obtenu grâce à des micro billes de plastiques.
Celles-ci sont trop petites pour être arrêtées par les filtres et finissent donc dans les cours d'eau, puis dans la mer.
A bannir, donc...
GM50 - 03 Mars 2018 - 19h50
Et si les politiques en faisaient beaucoup plus pour diminuer voire éradiquer tous ces pesticides et autres cochonneries du genre, et aussi tous ses produits nocifs par exemple les conservateurs et antibiotiques que nous retrouvons dans la grande majorité de ce que nous mangeons et buvons. Primo, cela nous affecte une première fois et deuxio cela nous revient par la suite certes dans des moindres mesures entres autres dans l'EAU et les poissons et crustacés. Les totems type diesel, nucléaire, et notre bouffe dépêchons nous même si c'est pas facile.
Eco-réfèrent - 02 Mars 2018 - 14h20
L'agriculture intensive responsable d'une utilisation abondante de produits phytosanitaires comme l'engrais NPK,pollue par lessivage des sols les nappes phréatiques.
Une utilisation trop forte d'engrais entraîne des algues vertes.
Pour cela je propose une réglementation de taux de nitrates par exploitation en fonction du nombre de bêtes.
Il est évident que cette réglementation à pour objectif de supprimer progressivement l'utilisation d'engrais au profit d'une agriculture respectueuse de l'environnement et des écosystème
Eco-réfèrent - 02 Mars 2018 - 14h15
Il est urgent de réduire l'utilisation des produits phytosanitaires comme l'engrais NPK responsable d'une pollution accrue d'axote dans les nappes phréatique.Ce qui entraîne une concentration d'algues vertes de plus en plus important
Pour cela il est nécessaire et je propose une réglementation de l'utilisation d'engrais en fonction du
Colombium - 02 Mars 2018 - 12h11
La mer est de plus en plus la poubelle de nos terres. Tous les engrais et autres polluants que l'on verse copieusement sur nos champs et espaces "verts" se retrouvent dans les nappes phréatiques et dans les fleuves et dans les océans. La gestion raisonnée de ces molécules vantées par les grands groupes de l'industrie chimique va devenir un impératif majeur et non une lubie de certains...
Guillevic Yvon - 27 Février 2018 - 23h44
Propositions :
• Imposer des installations d’assainissement performantes aux communes littorales et que toutes les habitations soient raccordées ;
• Mener avec une fréquence régulière des suivis biologiques des milieux révélateurs de la qualité des eaux ;
• Interdire les opérations opérations de démoustication systématiques des zones maritimes (schorre) ;
• Mettre en place une politique de réduction des polluants qui arrivent à la mer en promouvant une agriculture réellement respectueuse de la qualité de l’eau et suivant le principe pollueur/payeur.
Guillevic Yvon - 27 Février 2018 - 23h40
Propositions :
• Conserver intégralement les dispositions actuelles de la loi littoral ;
• Mettre en place un contrôle de légalité rigoureux des préfets sur la bonne application de la loi Littoral ;
• Faire confirmer par les scientifiques, géomorphologues, les limites réalistes des zones de submersion ;
• Au niveau des PLU, exiger une prise en compte stricte des limites des zones de submersion établies par l’Etat avec le concours des scientifiques, géomorphologues ;
• Mener une campagne à l’échelle de la façade maritime Nord Atlantique - Manche Ouest pour sensibiliser élus et citoyens aux risques littoraux ;
• Evaluer à l’échelle de l’ensemble du littoral, l’érosion potentielle et étudier avec les scientifiques les conséquences de ce changement à échéance de 10 ans. Anticiper les solutions ;
• Etablir un catalogue des solutions techniques de protection des différents types de littoraux qui ont été utilisées par le passé. Proscrire les solutions qui en marchent pas (exemple : enrochemen
J-PP - 24 Février 2018 - 23h45
- Application stricte des lois de protection existantes et contrôles effectifs (avant de rajouter d'autres mesures, comme on aime le faire en France dès qu'un scandale éclate, qui ne sont pas plus appliquées puisque la visibilité médiatique, par la suite, diminue rapidement)
- Répression très active à l'encontre des petits délinquants (verbalisation des gens jetant leurs mégots, emballages, etc.. sur le domaine public et espaces naturels) et des grands délinquants (entreprises privées ou publiques, municipalités, agglomérations, exploitants agricoles)
- Ceci nécessite une formation et une sensibilisation des policiers et gendarmes à ce type de délits et éventuellement la constitution d'une véritable police de l'environnement
- Mise en place d'une plateforme informatique où tout citoyen pourrait signaler les pollutions et atteintes aux droits de l'environnement et connaitre les suites données à son signalement
J-PP - 24 Février 2018 - 23h44
Pragmatisme: privilégier les solutions dont le coût pour l'état est le plus faible voir nul:
- sensibilisation à tous les âges au problème des polluants terrestres (finissant tous un jour en mer) par le ramassage des déchets (trottoirs, bords de routes, rivières, littoral): TP en cours de SVT, d'éducation civique mais également lors du futur service national. Journée nationale (minimum 1/an) de travail effectif et obligatoire de ramassage/traitement de déchets toxiques et/ou à vie longue par toute personne briguant un mandat électoral, ainsi que par tous les élus, hauts fonctionnaires, les cadres et dirigeants d'entreprises.
- Prise en compte des polluants chimiques (et non plus uniquement bactériologiques) dans les critères de qualité des eaux de baignade (avec affichage obligatoire sur la plage)
- En finir à la source avec le plastique (interdiction d'emballage non réutilisable, du jetable et substitution par le verre), remise en place des consignes
J-PP - 24 Février 2018 - 23h10
Changer de paradigme dans la gestion du pays: faire passer les intérêts communs nécessaires à la vie et au bonheur de tous (environnement sain, santé, préservation des écosystèmes et des ressources pour les générations futures) avant les intérêts économiques qui ne bénéficient qu'à un petit nombre.
Mar Yann - 22 Février 2018 - 22h24
Sur la commune de landunvez, la plage de mon enfance est régulièrement interdite à la baignade. Il semblerait que la cause soit l'élevage porcin situé à proximité qui a obtenu l'accord d'extension malgré l'avis contraire des experts. Je connais un agriculteur qui vit bien près de Pornic avec un élevage de 50 cochons de qualité élevés en liberté. Pourquoi cet apat du gain qui pousse à avoir 1000 cochons quelles qu'en soient les conséquences écologiques ?! On ne devrait plus fermer les yeux et autoriser ce type d'agriculture intensive.
FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 21 Février 2018 - 10h33
La problématique de la qualité de l’eau est un enjeu fort sur la façade Nord Atlantique – Manche Ouest. Outre le risque sanitaire, une mauvaise qualité de ces eaux porte préjudice au milieu marin et à l’économie bleue, en particulier l’aquaculture et la pêche. Les milieux aquatiques littoraux disposent d’une biodiversité particulièrement riche, sensible aux apports des milieux terrestres et aux influences anthropiques. Les atteintes à la qualité de l’eau sont surtout d’origines terrestres. Ainsi, l’utilisation excessive d’intrants et de produits phytosanitaires pour l’agriculture ou encore les rejets d’usines et le dysfonctionnement de stations d’épuration mettent à mal la qualité du milieu.
Propositions :
- Mener avec une fréquence régulière des suivis biologiques des milieux révélateurs de la qualité des eaux ;
- Mettre en place une politique de réduction des polluants qui arrivent à la mer en suivant le principe pollueur/payeur.
Bénédicte - 21 Février 2018 - 05h18
Dans certains endroits : les poubelles recyclables sont encore collectées dans des sacs plastiques jaunes ! (allons-y, rajoutons des déchets aux déchets), il n y a pas de collecte du verre et du papier (chacun doit se déplacer pour déposer le tri), il n' y a pas de collecte des déchets verts... si l on veut réduire les déchets en mer, il faudrait que les communes mettent l accent sur la sensibilisation a la diminution des déchets et sur la meilleure gestion de ceux-ci (collecte mieux organisée et meilleur recyclage des déchets...).
Franck Séveno - 20 Février 2018 - 17h42
je suis allé en Irlande et en Ecosse. il y a des fermes aquacoles partout dans les fjords, aber etc...en Bretagne, c'est insignifiant, pourquoi? n'est ce pas une économie réelle (job, et produit?)
j'ai étudié le sujet. La france est reconnue sur sa formation aquaculture et après tout le monde part à l'étranger exercer. la production aquacole francaise est principalement des protéines animales et très peu d'algues?
encore une fois, le japon et la chine, tiennent le haut de ce marché! on a une facade littorale enorme !
Franck Séveno - 20 Février 2018 - 17h35
les communes, de littoraux, peuvent-elles mettre en place des sacs plastiques poubelles officiels, au point poubelle officiel, afin que les promeneurs fassent de la ballade-ramassage d'ordures, là, où ils se trouvent.
je le fais sur des plages de la rade de Brest. et il faut signaler à la mairie de venir ramasser 4 semaines, de collectes de déchets, après 4 tempetes bretonnes.
Franck Séveno - 20 Février 2018 - 17h30
Bonjour,
je ne savais rien, des écosystèmes marins, avant d'aller aux conférences d'oceanopolis de Brest le mardi soir, c'est gratuit et personnes, n'y va sauf des étudiants, et quelques tetes grises. cela m'a permis d'etre sensibilisé à différents sujets marins présentés par ifremer recherche. aucun brestois, ne sait que cela existe! communication !!!
Franck Séveno - 20 Février 2018 - 17h26
Bjr,
il est dit que 1 cargo porduit autant de particules fines que 1 Million de voiture au gazole. il y a 60 000 cargos sur les mers chaque jour. il serait temps de contraindre les armateurs à changer de "source d'énergie" ?
Franck Séveno - 20 Février 2018 - 17h21
Bonjour,
je pense que dans un monde de globalisation des échanges et du toujours plus vite, la Bretagne, offre grâce à ses canaux, une possibilité de communiquer entre villes et villages. à une autre échelle, une autre vitesse, pour des échanges de marchandises, de voyageurs ou autre. ce chantier titanesque, dans le respect des écosystèmes fluviaux, serait une source de travail (chomage), avec une répercution economique réelle(economique, transports, touristiques, désenclavement de villages, etc...)
cdt
chafab - 19 Février 2018 - 19h22
Favoriser les exploitations agricoles certifiées Agriculture Biologiques à proximité du littoral, en octroyant des aides spécifiques à ces zones. C'est une façon de favoriser les conversions des exploitants conventionnelles ou dites "raisonnés". Favoriser les systèmes d’assainissements écologiques tel que la phyto-épuration pour les assainissements non collectifs en bordure des côtes.
Pat22 - 18 Février 2018 - 10h39
Les concessions minières en mer sont attribuées avec trop de légèreté quant à la biodiversité et protection des milieux, dont concernant le sable et les granulats (même coquillier). Proximité de zones Natura 2000, parcs marins, Réserves naturelles, fragilité du littoral trop proche ... L'impact de la turbidité, des nuisances sonores (dragues suceuses), des projecteurs nocturnes ajoutés à des ressources non renouvelable à l'échelle humaine doivent inciter à les interdire si proche des côtes (les limites technologiques d'extraction en profondeur ne doivent pas être un paramètre favorable !). Les conflits d'usage (dont vis-à-vis de la pêche) doivent être analyser et ces activités plus respectueuses (la pêche) doivent primer sur ces industries de l'irréversible.
Florence Sand - 18 Février 2018 - 10h23
Le véritable problème de fond, qui revient sur l'ensemble du littoral, est l'utilisation massive de polluants agricoles et de désherbants que les agriculteurs sont aujourd'hui incapables de remplacer faute d'éducation.
Demandez à un agriculteur d'arrêter les produits chimiques et il répondra "on n'a pas le choix sinon l'herbe pousse". À ce niveau là, c'est toute une population d'agriculteurs à former, informer, sensibiliser, c'est une action de masse pour leur montrer que non, l'herbe n'est pas mauvaise, alors que les polluants agricoles, si.
Aujourd'hui, ce sont les terres, les mers, et l'alimentation de tous qui sont en jeu à cause d'un formatage industriel qui a fait des agriculteurs des exploitants chimiques.
Une action miracle ?
Titi Wattou - 16 Février 2018 - 23h13
Les industriels ont fait beaucoup de progrès sur leurs rejets et des contrôles existent. Il existe en revanche deux sources beaucoup plus diffuses de polluants : l'agriculture, et le citoyen lambda.
Dans les deux cas, une bonne part de mauvaises pratiques proviennent d'un manque de compréhension des impacts des gestes réalisés.
Ainsi, par exemple, beaucoup de gens ne font pas la différence entre le réseau d'eau pluviale et le réseau d'eaux usées et ne se rendent pas compte que les eaux pluviales vont directement à la mer, sans passer par une station d'épuration.
Pour un éleveur, prendre conscience que déplacer l'abreuvoir ou d'autres aménagements permet de diminuer les effluents de son troupeau qui vont se retrouver dans le cours d'eau peut l'amener à changer ses pratiques, sans que cela ne lui coûte rien.
De la pédagogie ciblée, de proximité, sur les bons gestes, serait utile, à mon sens.
Lolotte1329 - 16 Février 2018 - 14h44
Beaucoup de situations se jouent en amont, dans le bassin versant, avec un lessivage des fertilisants et autres produits , sans protection (talus/bocage) ils se retrouvent dans les cours d'eau puis à la mer. De nombreuses industries sont en "auto-contrôle" et ne déclarent alors aucun pb des gestion de l'eau en sortie. Des communes ont encore des pb de stations d'épurations, notamment les communes accueillant de nombreux touristes, leurs populations augmentent fortement l'été et la station ne s'avèrent pas toujours adaptée. Il faut bien sûr sensibiliser le grand publics à cette problématique, les usagers des plages et du milieu maritime se plaignent, mais ils ne réalisent pas forcément qu'ils contribuent en partie au mauvais état de l'eau dans ces milieux (gestions des déchets, utilisations des phosphates et phosphanates, pêche non réglementaire). La sensibilisation et l'éducation sont primordiales mais la police de l'eau nettement absente sur nos territoires a un rôle à jouer!
argonefer - 16 Février 2018 - 13h04
limiter les traitements agricoles qui se retrouve mécaniquement dans la mer par ruissellement.
rendre obligatoire les caisse à eau noire sur les navires de plaisance.
favoriser la création de port à sec et de zone de mouillage sur coffre plutot que de construire des kilomètre de pontons.
GUERROT anne - 16 Février 2018 - 09h22
Bien faire respecter la réglementation existante concernant la pollution des sites. Protéger au maximum les ruisseaux rivières Et faire connaître la réglementation au grand public sur l'entretien des berges sur les dépôts sauvages dans les rivières et autres .....(qui arrivent et polluent la mer et encombrent les estuaires). Les petits rejets qui ne se voient pas vraiment mais qui au final polluent.
philippe - 15 Février 2018 - 23h39
Par contrat il est convenu entre l'état et les concessionnaires que ce sera le contribuable qui le financera via un prix de rachat élevé de l'électricité garanti. L'énergie non dépensée étant bien plus vertueuse que la durable, il aurait mieux valut une légère taxation des ménages (plutôt que déguisée via le prix de l'électricité) pour lancer un programme très ambitieux de rénovation énergétique des bâtis publiques. Au moins, le caractère vertueux aurait profité bien plus aux français et entreprise locales du bâtiment, plutôt que dans le cas présent en partie à des consortiums étrangers. Le résultat en aurait été durable et non prévu pour être démantelé dans trente ans, avec des écoles, hôpitaux et administration rénovées alors que ce sont actuellement des passoires énergétiques qui vont de plus payer fort cher cette nouvelle électricité au lieu de budgéter une modernisation.
philippe - 15 Février 2018 - 23h13
Afin de garantir une meilleure accessibilité de ports et estuaires nombres de dragages sont réalisés à grand renfort d'argent public. La réalisation de ces dragages est plus souvent liée à la peur de "perdre" le caractère bucolique maritime de quelques centres villes. "Surtout ne pas voir ces mêmes bateaux comme autrefois poser à marée basse sur l'estran ou plutôt sur cette "affreuse et horrible vase". Ces dragages ne sont utiles que pour une part infime des bateaux amarrés dans ces ports, d'autant plus aberrant que la très grande majorité des bateaux ne naviguent que quelques jours par an. Enfin, ces ports à sec autrefois, devenu ports à écluse, sont l'explicatif principal du problème. Y draguer la vase c'est remplir un panier percé, inévitablement elle se réinstalle en quelques années; et de plus en plus vite (montée du niveau de la mer). L'état peut il continuer à autoriser/participer à ces dépenses gigantesques bien souvent inutiles et aux conséquences écologiques désastreuses?.
philippe - 15 Février 2018 - 22h44
La pollutions des eaux à de multiples conséquences fort coûteuses aux contribuables et catastrophiques pour l'environnement. Le milieu agricole, l'industrie comme nous tous portons notre part de responsabilité. Des efforts ont été accomplis, sans nul doute, mais il serait bon de porter des analyses globales. Quels sont les coûts globaux de ces pollutions, solutions engagées pour y remédier etc, il me paraît évident que certains pans entier de l'économie française seraient clairement largement déficitaires sur une analyse économique élargie de la sorte. Ce sont pourtant certains secteurs largement soutenus par des dispositifs financiers. Continuer à les soutenirs sans réorientation des exigences au nom de la compétitivité, c'est clairement se tirer dans le pied en dopant du même coup les conséquences néfastes générées qui plombent notre économie et le budget des ménages.
verseau37 - 15 Février 2018 - 17h34
BIBLE et GUIDE à suivre à la lettre concernant la mer et l'océan.
¤ La Mer comme l'Océan n'appartiennent à personne.
¤ Toutes personnes morales et individuelles intervenant de manières obstructives à la bonne vie aquatique, à la conservation du littoral devra en payer les dégâts. (sans passe-droit).
¤ Tout individus ayant pour commerce les prélèvements dans la Mer ou les Océans doit assumer la bonne vie de ceux-ci en payant une contribution.
¤ Une participation doit être demandée pour toutes personnes ayant des activités sur et sous la Mer ou Océan.
¤ Tous pollueurs doit faire l'objet de poursuites judiciaires, sans aucun passe-droit, ce qui est loin d'être le cas actuellement.
¤ Les lois en vigueur ne doivent pas être occultées. L'honnêteté doit être le cheval de bataille de tous les hommes politiques, pour l'instant nous en sommes encore loin pour ce qui concerne l'application des lois maritimes en vigueur.
Appliqué rigoureusement, l'avenir sera assuré pour les générations futures.
vigibaie - 15 Février 2018 - 10h38
Après plus de 30 ans d'action associative dans la Baie du Mt St Michel-Patrimoine Mondial : des améliorations, une prise de conscience mais beaucoup reste à faire.
Tout d'abord, combattre la lenteur dans la mise en oeuvre des politiques publiques. Plus une question de volonté politique, de compétences que de moyens. Exemple, les SAGE doivent être des priorités. Les plans d'actions doivent être "boostés". Plus concrètement, après des remembrements abusifs, des linéaires de haies doivent être exigés sur les bassins versants et la plantation d'arbres (CO2 + revenus complémentaires) doit être rendue obligatoire sur les bandes enherbées (directive nitrates) dans les marais et les zones humides.
Sylvain ANDRÉ - 15 Février 2018 - 07h45
Sans parler de la réduction des rejets de l'activité humaine en amont qui est la première mesure à prendre, il faudrait aider la nature à piéger ou à digérer ces pollutions.
Je pense notamment à laisser libre le lit des rivières et des fleuves (piège à sédiment, régulation du débit, etc...), à planter des végétaux favorisant l'élimination des composés phosphorés et azotés à proximité des lieux à forte concentration humaine ou agricole sous forme de micro station de "lagunage" par exemple.
Charlie - 12 Février 2018 - 22h18
Les espaces côtiers sont une zone de transition au potentiel écologique extraordinaire si on se donne la peine de le préserver ou de le reconquérir. Le changement climatique et l'élévation du niveau marin qui en découlera nous donne l'opportunité de repenser notre lien terre/terre, de manière plus équilibrée et non au seul bénéfice des espaces terrestres. Voyez aujourd'hui l'artificialisation importante du trait de côte, des digues à la mer de plus en plus haute au seul bénéfice d'intérêt particulier,.... Restaurons des espaces de transition plus naturels. Il est urgent de maîtriser l'urbanisation sur les espaces côtiers. Il est important de se doter d'outils financiers à la hauteur des enjeux de ces espaces et une gouvernance donnant à ses représentants une voie plus forte dans les instances de bassin.
Mike - 12 Février 2018 - 19h14
Commencer par revaloriser le secteur rural de l'intérieur des terres.
- aide à lutter contre la densification des côtes.
- permet de réalimenter en économie les circuits courts qui sont liés au secteur agricole par une meilleure distribution des richesses grâce à une nouvelle infrastructure des réseaux.
- avec de nouveaux débouchés économiques, effort plus important effectué pour la prévention: car qui se soucie des endroits où personne (ou peu) n'habite?
- génère une meilleure image de la région.
FAREA - 12 Février 2018 - 16h46
Autoriser l’implantation de “FaréVillages” ([lien supprimé]) POUR :
Réduire la pollution liée au transport de la nourriture : Circuits courts (nouriture clients)
Valoriser les productions locales = Sécurisation des acteurs et création d’emplois L’entreprise FAREA ne travaille qu’en circuits cours et avec les producteurs locaux.
Faréa assure (avec le concour des circuits en place des communes) l’entretient des sites dédiés à son exploitation.
Faréa ne met aucun matériels plastique à disposition de la clientèle.
Les FaréVillages sont destinés initialement aux lacs, lagons, lagunes, fleuves et mers protégées. Ce sont des bateaux à 4 coques ou 2 coques, autonomes en EAU et en ELECTRICITE. Les Faréas n’ayant aucune liaison électrique ou circuit d’eau, ils sont autorisés (avec l’accord de l’autorité gouvernante, selon la dangerosité du PPRI ) à être installé sur ces terrains devenus inutiles.
Gilles Roger - 12 Février 2018 - 12h55
Nous devons développer les circuits courts, notamment les réseaux de distribution alimentaire de produits permettant aux agriculteurs/éleveurs de mieux valoriser leur travail en mettant l'accent sur la qualité et la diversité des productions issues de leurs terroirs vendues directement aux consommateurs situés sur ces mêmes terroirs. Il s'ensuivra un cercle vertueux vers toujours plus de qualité, plus de respect de l'environnement et des revenus accrus en raison d'un meilleurs prix de vente, d'un moindre recours aux intrants chimiques et aux achats extérieurs ( soja pour l'élevage auquel on préférera l'herbe ...) et de revenus annexes (écotourisme ...).
Pascalou Loulou - 12 Février 2018 - 11h18
Bonjour,
Ha si il pouvait y avoir une dictature écologique le temps que toute les bonnes résolutions/habitudes se mettent en place se serait 1000 plus efficace. Bio bio et bio point barre.
Et même si je ne suis pas un exemple mais je progresse, ce qui m'a fait justement prendre conscience de tous ses problèmes est lier à l'informations, plus précisément à la multiplication et à la diversifications de celles-ci ( médias télé/pc/presse/librairie/affichage).
Mais c'est aussi A NOUS et pas qu'aux autres/gouvernement de passer le message, le rabacher sans cesse autour de nous (cela trop peut en sont conscient ou le font). Nous somme au contraire la sources d'informations la moins chère, la plus omniprésente, la plus diversifié... Pour nous faire prendre conscience le messages doit être vue, entendu, répéter.
Michel Leroux - 12 Février 2018 - 11h02
La mer et plus particulièrement l'estran est une zone de non droit, que les pêcheurs pros , les communes ont toujours considérés comme une poubelle sans fin. Rejets non traités dès qu'il pleut, dépôts de rebus de matériel de pêche professionnelle (avec souvent l'immatriculation du bateau comme quoi il n'y a pas de police en maritime). Si les communes fluviales se comportaient de la même façon , je n'ose imaginer dans quel état seraient les rivières. Il est temps que l'impunité des utilisateurs des bords de mer s'arrête
Paypsy - 12 Février 2018 - 01h13
Il aura fallu plusieurs décennies pour que les bretons comprennent, grâce à la prolifération des algues vertes, l'un des dangers que représentent les élevages concentrationnaires de porcs. Il est permis d'espérer qu'en dépit des facilités que le précédent gouvernement a mises en place (plus besoin de demande d'autorisation en-deçà de 2000 bêtes), les vendéens pourront faire mieux. Mais l'idéal serait qu'ils n'aient pas à s'en rendre compte. Saurons-nous fermer l'usine de Poiroux et tous les ateliers d'engraissement qu'elle a déjà générés ?
PAT-GX - 10 Février 2018 - 20h12
Avec un gouvernement qui veut se montrer "écologique" quand pense-t-il arrêter l'immersion des boues de dragage dans les ports ? boues qui étouffent la flore marine avec une conséquence catastrophique sur la faune. Le manque de transparence des pouvoirs publics qui ont promis une gestion des boues à terre (voir l'étude de synthèse octobre 2012 faite Mélanie HAQUIN Chargée de mission à l’ODEM). Actuellement ce sont les boues du Scorff, draguées au niveau du chantier DCNS, qui sont déversées entre Groix et Guidel. Il faudrait une loi obligeant une étude sur l'impact environnemental avec une traçabilité des boues .
Erwan - 09 Février 2018 - 22h59
Les résultats obtenus par la phytoépuration sont excellents. Le lagunage remplace le rôle autrefois joué par les zones humides qui aujourd'hui sont si peu nombreuses. Il faut donc promouvoir, notamment dans les collectivités locales, l'installation de ces zones de phytoépuration, notamment pour les cours d'eau qui se jettent à la mer et transportent toutes les pollutions terrestres issues -on le sait depuis des décennies et rien ne change ou si peu- du modèle productiviste intensif breton, dans l'élevage, l'agriculture, et toute la filière. La phytoépuration ne va pas forcément dans le sens des grands industriels du traitement de l'eau. Là encore, il va falloir résister aux lobbies. Pour plus d'info sur ce mode de traitement des eaux : [lien supprimé]
Alice - 09 Février 2018 - 11h48
Il ne s'agit surtout pas de faire la guerre aux ostréiculteurs. Cependant, parfois la quête de réduction des coûts peut les amener à faire des économies de bouts de chandelles qui s'avèrent désastreuses pour l'environnement.
Dans la baie de Paimpol, depuis deux ans maintenant, deux très nombreuses saches plastiques vides et cassées, des caoutchoucs utilisés pour maintenir les saches sur les tables et cassés. Si pour l'instant, ça ne gêne que les personnes qui se promènent et se baignent, un ou deux ostréiculteurs conscients du problème, il faudrait faire comprendre à tous que ces plastiques vont se briser petit à petit et générer une pollution plus pérenne qui à un moment donné ou à un autre sera préjudiciable à l'activité des ostréiculteurs.
Alice - 09 Février 2018 - 11h47
Il ne s'agit surtout pas de faire la guerre aux ostréiculteurs. Cependant, parfois la quête de réduction des coûts peut les amener à faire des économies de bouts de chandelles qui s'avèrent désastreuses pour l'environnement.
Dans la baie de Paimpol, depuis deux ans maintenant, deux très nombreuses saches plastiques vides et cassées, des caoutchoucs utilisés pour maintenir les saches sur les tables et cassés. Si pour l'instant, ça ne gêne que les personnes qui se promènent et se baignent, un ou deux ostréiculteurs conscients du problème, il faudrait faire comprendre à tous que ces plastiques vont se briser petit à petit et générer une pollution plus pérenne qui à un moment donné ou à un autre sera préjudiciable à l'activité des ostréiculteurs.
Lucas Nouguier - 08 Février 2018 - 22h57
On pourrait favoriser les emballages en carton pour la nourriture vendu près des littoraux, plutôt que le plastique, au moins, le carton se désagrège assez rapidement, peut être fabriqué à partir de papier recyclé et n'est pas mortel pour les tortues.
Tout comme on peut choisir de créer un système de point en fonction de la quantité de déchets récolté. Chaque personne possède sa propre carte et lorsqu'un certain quota a été atteint, obtenir une réduction sur un magasin partenaire, ou bien une petite déductions sur les impôts etc...
Sinon, on peut aussi essayer de réveiller l'instinct protecteur du foyer qu'on les animaux, sans qu'il y ait forcément une récompense à la clé. Le faire pour protéger une importante biodiversité par le biais de campagnes, affiches et médias comme cela a déjà été annoncé.
Tom - 08 Février 2018 - 17h17
Réduire les pollutions venues de la terre, qui influencent la bonne qualité de l’eau sur le littoral passe par :
- l'application drastique des lois actuelles (préservation des zones humides, principe pollueur-payeur, ...)
- stopper l'érosion des zones naturelles tampons servant de filtre naturelle entre la terre et la mer : empêcher l'artificialisation des zones côtières et des cours d'eau, tout en préservant les activités humaines durables et intégrées à ces écosystèmes.
- interdire tout composé chimique persistants ayant des effets délétères à long terme (POP, perturbateurs endocriniens, ...)
- aider les terriens dans leur vie privée et professionnelle à modifier leurs activités (agriculture, urbanisation, consommation,...)
- réduire en amont la quantité de polluants potentielle en rationalisant leur utilisation et en restreignant les activités polluantes terrestres non essentielles pour la vie humaine, en respect avec l'intérêt général et la santé des populations
papyrus - 07 Février 2018 - 22h12
les lobbys de la construction,del'indusrie chimique,du tourisme de masse pervertissent et manipulent l'opinion,les élus,afin d'étendre leur pouvoir et engranger encore plus de profits
l'état,les pouvoirs publics ,les organismes territorriaux semblent impuissants face à ce système.
nous connaissons les sources de la pollution de l'eau mais les acteurs pollueurs restent trop souvent impunis ou payent des droits à polluer.
renforcer les peines et ammendes afin de dissuader les pollueurs
multiplier les controles et sanctionner très lourdement afin d'en faire des exemples pourfaire pression sur les autres.
Thierry de Fougerolles - 07 Février 2018 - 19h53
Réduire la pollution de notre littoral et de nos océans passent par une réduction des déchets à la source, à savoir sur terre et dans les cours d'eau qui drainent ceux-ci vers la mer. Pour se faire, l'expérience de Taiwan, surnommée Garbage Island dans les années 1980, est instructive. Conscient de l'impact désastreux sur l'environnement, l'Etat Taiwanais a mis en oeuvre une stratégie de prise de conscience et d'alignement des intérêts reposant sur trois leviers principaux :
- Education : Dès le plus jeune âge, sensibilisation des enfants à travers de multiples média, en leur faisant faire le ménage dans les classes, en les emmenant en classe de mer...
- Incitations : Facturation des déchets proportionnelle au poids, incitation fiscale à la création d'un écosystème autour du recyclage (même des filets marins)...
- Sanctions : Amende effective en cas d'acte pollueur, dénonciation citoyenne possible vidéo à l'appui, taxe des industriels produisant des emballages jetables...
Tuberidor - 07 Février 2018 - 13h21
Si déjà on faisait respecter les réglementations en vigueur ?! Je visite de nombreuses industries, plastique par exemple, et le respect des règles laisse vraiment à désirer : sacs de billes plastique ouverts laissant déverser le contenu par terre, à l’exterieur. Rejet dans les courts d’eau plus ou moins contrôlé (quand on comprend le fonctionnement, c’est facile de contourner), manque de contrôle des services d’état (manque de personnel ?). En France, 70 a 80% des coûts d’eau sont pollués et se retrouve dans la mer.
On peut parler aussi des pesticides et engrais en Bretagne ? Résultat : algues verte.
Et les rejets des usines d’alu en Méditerranée ? Sans parler des rejets d’eau tritiée dans la manche...
L’industrie est toute puissante et met la pression au gouvernement. Facile, les délocalisation pèsent fort dans la balance. Et puis les seuils de rejet sont-ils établit suivant le besoin des industriels ou suivant la santé de la population et de l’absence nature ?
Tristan Hatin - 07 Février 2018 - 11h18
Le meilleur déchet est celui que l'on ne produit (consomme) pas. N'oublions pas que 80% des déchets que l'on retrouve en mer proviennent de la Terre. Pour cela il est important de :
- Réduire les déchets à la source. Par exemple : grâce à la consigne des bouteilles plastique, l'interdiction totale des sacs plastique à usage unique ....
- Continuer à éduquer les générations futures (dès la maternelle) sur la réduction des déchets (participation à des collectes de déchets sur les plages, réalisation d’œuvres artistiques avec les déchets trouvés, expliquer le temps de décomposition de chaque type de déchet, l'impact direct qu'ont les (micros) plastiques sur la faune et la flore terrestre et marine).
- Sensibiliser le public sur la pollution générée par les mégots de cigarette. En effet un mégot étant composé de nombreux produits chimiques, ils peut polluer à lui seul jusqu'à 500 litres d'eau. Obliger les fabricants à participer au financement de cette campagne.
Adeline P. - 07 Février 2018 - 10h59
Une meilleure connaissance de la biodiversité, des enjeux qui y sont liés et des effets sur le milieu marin seraient à mettre au programme des apprentis matelots. Nombre d'entre-eux jettent leurs poubelles à la mer au lieu de les ramener à terre. Poubelle ayant un impact sur la biodiversité mais aussi sur la ressource halieutique, leur propre terrain d'emploi.
En outre, créer des plate-forme poubelle avec une contrepartie financière pour que les pêcheurs puissent ramener quand ils le peuvent, les déchets qu'ils trouvent en mer (réfrigérateurs, pneus...)
Enfin, une concertation pêcheurs (à pied, côtiers et hauturiers)/conchyliculteurs/agriculteurs pour une gestion intégrée de la zone côtière.
dg22 - 06 Février 2018 - 18h31
Le changement climatique en cours provoque une élévation inexorable du niveau de la mer qui pourrait être de plusieurs mètres à la fin de ce siècle.
Il est donc indispensable de caractériser de manière détaillée le futur niveau de la mer à l’orée de 50 et 100 ans (durées de vie d’installations et d’infrastructures habituellement retenues dans les projets).
Tout nouveau projet d’implantation d’installations littorales devrait prendre en compte les zones de submersion futures ainsi définies.
Les installations existantes dans les zones définies devront faire l’objet d’une réévaluation complémentaire de leur sécurité pour s’assurer que les conséquences d’une submersion future sont maitrisées.
Pour rappel, les quais des différents ports littoraux lors des pleines mers en vives eaux sont souvent à peine au-dessus du niveau de la mer. Une élévation supplémentaire d’1 m voire plus entraînerait l’inondation périodique de ces ports à moins d’effectuer des travaux a priori extrêmement couteux.
François - 06 Février 2018 - 18h31
La plus importante pollution par rejet en mer vient de l'agriculture intensive avec les engrais et les pesticides qui finissent en mer.
Il y a lieu également de s'interroger
REVEST - 05 Février 2018 - 23h40
Les nitrates d'origine agricole partent dans les champs, puis dans les rivières, et finissent en mer où elles provoques des explosions de croissance des algues, particulièrement des ulves.
Il faudrait organiser un ramassage destiné à l'engraissement des champs, comme on le faisait autrefois avec le goémon. Dans la foulée, inciter aussi les particuliers à ramasser ces algues pour leur jardin potager.
Cela aiderait à dénitrater la mer et à baisser notre consommation d'engrais chimiques, nocifs pour nos sols (voir les conférences de Claude Bourguignon).
SLOVOU - 05 Février 2018 - 22h09
Sanctionner les déchetteries sauvages; organiser des sorties collectives et citoyennes pour nettoyer les espaces; apprendre à aimer la Terre et prendre conscience que nous pouvons adopter des gestes simples pour limiter les dégâts; éduquer tous les âges. Lancer un message fort pour les futures générations: ce que nous pouvons améliorer sera un plus pour nos enfants et petits enfants.
Etienne - 05 Février 2018 - 18h53
D'une part concernant les algues vertes, il est prouvé que cela vient en partie d'une utilisation intensive d'engrais qui, utilisés de manière raisonnable nuisent peu à l'environnement.
Concernant les dégazages en mer par les navires au niveau du DST, la préfecture maritime devrait avoir la possibilité de poursuivre les contrevenants si ce n'est pas déjà le cas, auquel cas les sanctions devraient être extrêmement lourdes.
Jean-Yves Bourcereau - 05 Février 2018 - 15h30
Ne plus permettre aux collectivités de rejeter les produits de dragage des lits de rivière et des bassins portuaires en bord de mer.
exemple : Siant-Gilles-Croix-de-Vie
[lien supprimé]
Traiter les produits les plus nocifs à terre
Lilip56 - 05 Février 2018 - 13h48
Et si la loi de protection du littoral nous protégeait aussi? Alors les autorisations des bâtiments de France seraient accordées en toute objectivité pour protéger la nature et donc les Hommes.
Dans la continuité, les éoliennes en mer, pas si écologiques que cela, dénaturent le paysage...il faut rester objectif pour garantir l’harmonie...
Et en priorité, mettre en place des choses simples:
Et si, en se promenant sur nos côtes, on prenait le temps de ramasser les détritus trouvés en chemin? (et encore mieux de trouver des poubelles sur le chemin...)
Et si on éteignait les lumières plus souvent..
Les efforts collectifs sont l’une des clés pour demain...
Yannick Cherel - 05 Février 2018 - 11h59
Aujourd hui, le doute n est plus permis, nous savons que le modèle agricole en place est un me menace pour notre environnement naturel en général et notre environnement littoral en particulier. Il est évident qu il est temps de revenir à des pratiques plus vertueuses en matière de production. Revenir à de petites unités multiples, rotations des terres, peu ou pas d intrants... mais il est aussi essentiel de reforger un maillage bocager sur les bassins versants!! Depuis des années on voit des subventions gâchées qui permettent aux agriculteurs de financer la plantation de haies ornementales autour de leurs exploitations à grand renfort de bâches plastiques... ces subventions avaient été mises en place (a juste titre) pour réformer un bocage maillé de talus et de haies qui permettent de limiter le lessivage des sols , et donc leur appauvrissement ainsi que les apports connus sur le littoral(marées vertes).
jcjestin - 04 Février 2018 - 20h22
En 10 ans EVA-FAPEL22 a enquêté sur l'extension de l'assainissement collectif Ce système déverse DIRECTEMENT des déchets toxiques et pathogènes vers la mer. Il contribue notablement à la diffusion et l'aggravation des antibiorésistances ! Le terrassement du bocage qu'il nécessite impacte les nappes phréatiques et draine les bassins versants Les fuites récurrentes polluent ces nappes. Les pompes de relevage sont implantées en zones sourcières sans précaution ni étude d'impact et détruisent les sources. Les pannes pollutions et sur-verses résultent en arrêtés préfectoraux réguliers d'interdictions de pêches Cela contribue à l'appauvrissement de la mer en oxygène et à une dépopulation de la faune marine. L'assainissement individuel est infiniment préférable et moins cher, mais cette implantation qui prétexte l'assainissement sans études sérieuses résulte d'une entente politicoéconomique mafieuse notoire. Il faut stopper ce système et encourager l'ANC, bien moins cher et plus durable.
Matthias Heilweck - 04 Février 2018 - 20h18
Pour réduire les marées vertes, je suggère d'adapter une technique que j'utilise dans mon bassin à poissons rouges en Alsace pour conserver une eau claire. Dès les beaux jours, j'y place une laitue d'eau qui, le soleil aidant, se multiplie très rapidement. Elles tendent à couvrir toute la surface disponible si je n'en sors pas régulièrement. Les longs réseaux de fines racines pompent tous les engrais disponibles et l'eau est claire comme de l'eau de roche jusqu'au début de l'hiver. Puis, en-dessous de 10°C, les laitues d'eau meurent. L'adaptation de cette technique à la région bretonne serait de placer au printemps des laitues d'eau, retenues dans des filets (une laitue d'eau par filet de volume de 500 litres) dans les cours d'eaux pour les laisser se reproduire et extraire un maximum d'engrais avant qu'ils n'atteignent la mer. Il sera plus facile de récolter ces filets lorsqu'ils sont pleins que les algues sur les côtes. Essayer cette technique ne coûtera pas une fortune.
Jean-Luc GUILLIER - 04 Février 2018 - 11h01
Une agriculture raisonné et bio, des élevages à taille humaine.
Un recyclage des eaux usées plus encadré, ainsi que le respect de la nappe phréatique en faisant la chasse au décharges sauvage.
Jean Louis M. POUGET - 04 Février 2018 - 08h54
Pour conserver le littoral en bon état il est nécessaire de ne pas favoriser à tout prix la construction de défenses contre la mer qui ont un coût élevé (tant à la construction qu'à l'entretien).
De même l'urbanisation de nos côtes devrait être plus encadré aussi bien sur les zone qu'en quantité.
Egalement la construction de parkings et de voirie en bordure de mer favorisent l'écoulement rapide de l'eau et de facto entraîne une érosion rapide du littoral
MakeOurFrenchResearchGreatAgain - 03 Février 2018 - 20h55
Pour commencer il faut argumenter toutes propositions pour réduire les pollutions venues de la terre, qui influencent la bonne qualité de l’eau sur le littoral. Il convient en premier d'établir un diagnostic indépendant des agences de l'eau (pourquoi pas les universitaires) permettant d'établir l'état écologique et de quantifier via des indicateurs l'état de santé des fleuves et rivières. Quels sont les zones concernées? Quels sont les polluants? Quels sont les sources de polluants? Quels sont leurs variations spatiales et temporelles? Quelle est la résilience des systèmes face à de tels perturbateurs? Quelles solutions? Quels impacts pour l'économie de la mer, les homme et les sociétés ? Et on pourrait multiplier comme cela les questions mais il faut se baser sur des études scientifiques indépendantes afin de proposer de réelles solutions! Toutefois, je trouve que ce type de participation citoyenne est intéressante car, peut être, des idées intéressantes pourémerger.
Christelle Walou - 02 Février 2018 - 23h28
Ce n'est pas juste de voir ceux qui polluent, industriels ou agriculteurs ou particuliers, recommencer sans cesse. Il faur assurément éduquer, informer, dialoguer mais je pense aussi qu'il faut sanctionner et pas que financièrement, les travaux de nettoyage des bords de rivières et des forêts demandent aussi de la main d'oeuvre. J'en ai assez des dépôts sauvages dans la nature que l'on retrouve sur nos belles plages (ou dans le ventre des poissons que nous mangeons).
Raez44 - 02 Février 2018 - 22h11
Pour que l'eau douce qui arrive en mer soit plus propre, des haies doivent border les champs et les cours d'eau. Ce sont les plantes qui filtrent l'eau et les haies en ralentissent l'écoulement.
fanfan50 - 02 Février 2018 - 22h09
Réduire la production de déchets, aller vers une économie circulaire où les objets produits auront une plus longue durée de vie et dont les matériaux pourront être recyclés facilement . Eliminer au maximum les matières plastiques et utiliser des matériaux bio-sourcés. Sinon tout cela finira inévitablement dans l'eau (fibres plastiques et nanomolécules diverses) un jour ou l'autre .
Sophie Détis - 02 Février 2018 - 11h58
La transition énergétique ne doit pas se faire au détriment de l'environnement. L'implantation de centrales éoliennes en mer comme celles du Tréport ou de Noirmoutier/ Yeu prévoit 62 machines de plus e 200M de haut (la tour Montparnasse !) Pour résister à la corrosion, ces machines sont équipées d'anodes sacrificielles; Ce sont des pièces métalliques qui par réaction chimique protègent les structures et les mâts. Au cours de ces réactions, de l'aluminium est libéré dans l'eau à hauteur de 76 tonnes par an ! (chiffres du promoteur pour Noirmoutier), en tout 2048 t pour la durée du projet et cela à quelques km des côtes. Poissons & coquillages vont être contaminés. Cette pollution n'existe pas encore. Ne la produisons pas.
amot22 - 02 Février 2018 - 10h01
Je ne suis pas scientifique mais ce qui tue la faune a terre a les meme effets en mer
les communes ne traite plus les sols chimiquement , les jardiniers n auront plus le droit d'utiliser des produits phytosanitaires , et l'agriculture continue de produire de la meme facon , et en plus en bord de mer .
Cessons ce jeu de subventions pour la qualite de l eau, donnons les aux changements de pratiques agricoles .
Sur toutes nos cotes et sur tous les bassins versants en amont des baies il faut mettre en place une sorte de cordons de quelques kilometres ou il ne sera plus possible de produire autrement que BIO plus d epandage plus de pesticide , round up ou autres. coté mer une reglementations plus severe pour le chalutage et certaines pratiques de peches et d elevage , augmentation des cantonnements ect.....
Pour l agriculture ce passage au bio doit bien sur etre aidé et encouragé
Il faut replanter les haies rapidement dans cette zone
Thierry Kinderstuth - 02 Février 2018 - 08h25
Les agressions viennent autant de la mer que de la terre.
L'oxygène de la mer tend à se réduire voire à disparaître par endroits du fait de la raréfaction des (micros)plantes marines ou de la pollution (ruissellements, embouchures de rivieres). Cette raréfaction a un impact direct sur les réserves halieutiques déjà fortement touchées par la pêche tant à pied que par des professionnels.
Pour freiner l'inéluctable :
- intensifier la lutte contre la pollution à terre, algues vertes etc.
- augmenter les zones protéges pour maintenir les frayères des espèces
- ensemencer le littoral par les espèces d'algues endémiques au littoral
- développer une filière bio-industrielle en appui à la protection de l'écosystème breton.
- soutenir par un financement approprié les innovations issues de la filière
- promouvoir ces actions auprès des touristes pour informer, éduquer, diffuser sur les bonnes pratiques. Dupliquer à l'international et notamment sur les territoires français extérieurs.
Chantal56240 - 02 Février 2018 - 07h07
- valoriser et inciter les bonnes pratiques et pratiques eco responsables: bio, réductions de déchets, boisement de haies en talus etc...
- changer de modèle agricole dès les écoles d’agriculture: abandon du tout productivisme qui tue les sols
- eduquer dès la petite enfance à consommer moins et mieux
- contrôler et sanctionner fortement les pratiques négatives pour l.environnement: épandages sauvages (j habite à la campagne et j’en peux vous dire que ca se fait et que les amendes ne dissuadent pas)
Frisette - 01 Février 2018 - 22h08
Peut-être faudra-t-il bannir les engrais chimiques, désherbants. Mettre en oeuvre des moyens pour les compenser. Créer des centres de déchets organiques afin de créer des compostes avec un système de redistribution pour particuliers et professionnels.
Miser sur les recherches de désherbage 'bio' , étendre l'interdiction du glyphosate et autres désherbants aux particuliers , mettre en avant les alternatives.
Favoriser la fabrication d'emballages biodégradables, faire un maximum de prévention et pourquoi pas de répression sur les plages. Une police de la propreté ? Pourquoi pas...
Il faut créer une verticalité des efforts. De ceux qui polluent (nous les citoyens)à ceux qui produisent des polluants (les industriels) à ceux qui autorisent la fabrication (le gouvernement). Chacun de nous est responsable...
Nicolas Schlick - 01 Février 2018 - 18h21
Rétablir des retenues collinaires et des étangs dans les champs, drainer ces champs dans ces réservoirs (plutôt que dans les rivières), cela créera des refuges de biodiversité, attenuera les phénomènes de crues et les etiages, et évitera aux pesticides de contaminer le milieu
JP - 01 Février 2018 - 11h19
Alors que plusieurs contributeurs ont déjà évoqué la pollution liée aux déchets, je tiens à préciser qu'il existe une grande diversité de pollutions d'origine terrestre, certaines étant plus subtiles/moins visibles que d'autres (ex. bruit des constructions en bord de mer, lumière des villes, pollutions chimiques dues aux rejets urbains et industriels).
Les marées vertes sont des phénomènes principalement liés aux pratiques agricoles intensives (culture et élevage) qu'il faut réguler. Pourtant, les agriculteurs (conditions de travail et rémunération) font fasse à une concurrence forte et à bas prix, venue de l'étranger. Ainsi, il semble difficile de continuer de "sanctionner" les agriculteurs sans favoriser le marché de l'agriculture biologique contre les produits issus de l'agriculture intensive et particulièrement ceux importés. Que faire ?
Audierne29 - 01 Février 2018 - 10h48
La France va être bientôt ponctionnée par Bruxelles pour n'avoir pas respecter les règles Européennes de protection de l'environnement. Ce sondage à l'air d'avoir un aspect de couverture médiatique.
Par contre, toutes les initiatives positives sont bonnes à prendre et surtout à ETRE APPLIQUEES
Ga-L - 01 Février 2018 - 10h47
• Remettre des poubelles sur les plages, bon sang ! Les gens ne sont déjà pas civilisés, si en plus il leur faut marcher pour jeter leurs déchets, ils vont les laisser sur place… Mieux, en période estivale, faire passer des gens (bénévoles ? Salariés de Mairie ?) équipés de bennes sur le dos ou roulantes, afin d'à la fois récupérer les détritus et sensibiliser les gens.
• Organiser des concours (avec un lot attractif) ou des échanges "tant de centaines de grammes de déchets rapportés = une boisson offerte, ou tant de minutes sur un château gonflable, ou un tour en optimiste, ou que sais-je encore", un truc qui motive les enfants en tout cas.
• Supprimer des horribles sacs à crottes aux alentours des plages ! Les gens, disciplinés mais idiots, emballent le petit caca de leur labrador… et laissent le tout dans la dune, faisant ainsi d'un truc juste dégoûtant un truc dégoûtant et pas biodégradable !
Alde - 31 Janvier 2018 - 23h04
Contrôler les particuliers qui utilisent des produits de désherbage, ce sont eux qui font le plus de dégâts chez nous (la commune n'en n'utilise plus et les 3 agriculteurs non plus).
Ainsi que les campeurs tolérés en zone naturelle alors que c'est interdit et pour cause, produits vaisselle, savon, poubelles, cuve de toilette vidée en bord de mer, naissances et pollution des groupes électrogènes. ..
Favoriser les moteurs de bateaux moins polluants.
Contrôler les plaisanciers qui ne se gênent pas pour balancer leurs ordures par dessus bord et qui en plus ne respectent pas les règles de pêche ni les regles du code concernant les limitations de vitesse et les zones d'ancrages (abîme les fonds).
Faire de la sensibilisation avec des images chocs directement sur les plages.
Utiliser des crèmes solaires biodégradables.
Contrôler les effluents d'élevages.
Installer des bassins de filtration naturelle (plantes spécifiques ) proche des rivages.
Drenek - 31 Janvier 2018 - 16h21
L'amélioration de la qualité des eaux côtières est un enjeu majeur, avec des répercussions écologiques, sanitaires et économiques. De nombreux dispositifs réglementaires, des stratégies, des programmes d'action et de planification sont déjà en oeuvre : DCSMM, DCE, SAGE, PAMM...
L'heure aujourd'hui est, à mon sens, plus à l'allocation de moyens aux collectivités et EPTB concernés qu'à l'élaboration d'un énième plan d'action ! L'application concrète sur le terrain des mesures environnementales passe par l'allocation de moyens techniques et financiers pour atteindre le bon état des eaux : perfectionner les STEP, encourager les agriculture peu émettrices de polluants, mieux gérer les eaux pluviales, etc...
Odile - 31 Janvier 2018 - 15h12
Il est important que tous les usagers de l'amont vers l'aval puissent se concerter et agir pour un bon état de l'eau : agriculteurs, collectivités locales, ostréiculteurs, plaisanciers et pêcheurs professionnels. Il me semble que l'exemple de la ria d'Etel est bon
Nounours - 30 Janvier 2018 - 10h04
Il faut élargir les recherches pour le recyclage des déchets. Mais il faut aussi que le public arrête de déposer ses déchets et d'utiliser le moins possible les produits polluants. Les stations d'épuration devraient être aussi écologiques (celle de Corcoué sur Logne peut-elle être un modèle compte tenu de l'antériorité de son exploitation ?).
Koala - 29 Janvier 2018 - 13h07
Bien sûr il faut encore et toujours sensibiliser le public usager des plages et des infrastructures nautiques et sanctionner les incivilités. Mais à l'échelle des territoires il faut également des incitations et des sanctions pour limiter la pollution par les eaux pluviales (qui peuvent être recyclées au lieu de finir à la mer), par les effluents agricoles (récupération) et bien sûr industriels.
Serge Pucelle - 27 Janvier 2018 - 11h06
Il existe encore des communes qui rejettent leurs eaux pluviales sur le littoral. Elles ont pour effet:
- d engendrer des pollutions
- de détruire les plages car les exutoires se terminent sur le bord des plages
- d engendrer des risques d inondation en cas de submersion marine
Il convient dans un premier temps d établir des normes strictes
- pour contrôler efficacement ( avec une périodicité courte) le niveau de pollution de ces rejets
- pour obliger les communes 'à établir un projet a moyen terme visant a supprimer les exutoires se jetant sur le littoral maritime
Il est nécessaire que les régions dotent les communes de moyens financiers pour établir et mettre en œuvre leur plan de suppression des exutoires du littoral