Le bon état écologique des milieux marins et littoraux

Comment réduire les pollutions venues de la terre, qui influencent la bonne qualité de l’eau sur le littoral ?

 
  • Gestion de la qualité des eaux

    Soaz44 - 25 Mars 2018 - 23h19

    Application stricte de la loi littoral, révision du modèle agricole extensif, pour une agriculture respectueuse des sols et des eaux, règles à élaborer et à faire respecter concernant l’arrêt de l‘artificialisation des sols

  • gestion de l'eau

    atepomaros - 25 Mars 2018 - 12h25

    proposer un vaste plan de rebocagisation des campagnes , particulierement sur les grandes plaines , adapté au machinisme et exigences agricole actuelles , ceci par de larges bandes végétalisées et boisées afin retenir l'eau ,favoriser la biodiversitée , la production de bois et pour conduire a une eventuelle future convertion vers le bio ou l'agriculture raisonnée ; ce plan devrait etre national s'adapter aux exigences agricoles actuelles réinstalerait une richesse biologique et contribuerait a la santée des sols , la rétention de l'eau , sa purification mais aussi une meilleure stabilitée climatique !

    Tenneson Jean-Marc
    J'approuve.
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    Tenneson Jean-Marc
    Comme décrit ci-dessus.
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  • Revoir le modèle agricole français

    pelodyte - 24 Mars 2018 - 21h44

    Il est urgent de faire une mise à plat du modèle agricole français, donner l'exemple pour que les autres pays européens suivent. Tout le monde y gagnera en qualité de vie en écononomie

  • cessons d'autoriser les extentions d'élevages industriels du type porcheries de 30000 porcs

    blackbee - 24 Mars 2018 - 18h07

    On veut lutter contre la pollution et on ne cesse de voir fleurir les extensions d'élevages industriels. Ces derniers ont des productions qui sont de plus rarement destinées à la consommation nationale. De plus ils ne créés que très peu d'emploi. Ils contaminent en revanche durablement les sols, les nappes, les cours d'eau, le littoral. La production de maïs et céréales est généreusement arrosée d'herbicides et insecticides, d'hormones. Revenons a des exploitations plus modestes qui gèrent beaucoup mieux tout cela !

  • Les grands dauphins véritables témoins des pollutions des mers.

    vigibaie - 24 Mars 2018 - 10h35

    Des grands dauphins, parmi les 500 à 600 du golfe Normand-Breton, ont fait l’objet d’une étude de concentration des polluants dans leur organisme. Les intéressants résultats obtenus par le Groupement d’Etude des Cétacés du Cotentin (GECC), sont révélateurs de la pollution marine inquiétante pour la qualité de la ressource marine et de nos vies.
    Cette étude doit être largement diffusée.
    Les grands dauphins et les travaux du GECC doivent être officiellement reconnus dans le dispositif ministériel et les SDAGE comme dispositif de surveillance et d’indication de la qualité des eaux.

  • Des actions pour reconquérir la qualité des eaux, Eau et rivières souhaite que...

    Jean-Yves - 23 Mars 2018 - 18h11

    - qu’une bande des 500 mètres sur les bassins versants, près des zones conchylicoles soit interdite, sans dérogation, aux épandages d’effluents d’élevage;
    - l’aménagement du territoire ait un objectif de forte réduction des transferts de phosphore et de bactéries vers le milieu aquatique ;
    - les stations d’épuration soient prévues pour des pics de charges maximales (soit en périodes d’affluence touristique soit en épisode de crue), et qu’un dispositif de filtrage par membranes et/ou de filtres charbon soient installé dans toutes les stations ;
    - les stations soient aménagées pour éviter les débordements, que les rejets polluants soient minimisés et/ou recyclés, que les postes de refoulement soient sécurisés ;

  • Eau et Rivières: Des actions pour reconquérir la qualité des eaux

    Jean-Yves - 23 Mars 2018 - 18h09

    ERB souhaite que :
    - toutes les études d’impact de projets sur le domaine terrestre tiennent compte de l’impact potentiel sur le milieu marin situé en aval, qu’ils soient proches ou lointains de la mer ;
    - la pression azotée sur les bassins versants tende vers une concentration moyenne en nitrates de 5mg/l sur toute la Bretagne, par tous les moyens disponibles dont la réduction des cheptels animaux, la taxation des engrais chimiques, l’évolution vers des systèmes agricoles moins intensifs… ;
    - soit menée une information du lien entre le changement climatique et de ses effets néfastes sur le milieu marin et les côtes ;
    - l’objectif à terme de zéro-pesticide de synthèse soit affirmé officiellement et maintenu ;
    - soient interdites les extensions d’élevages classés ICPE sur les bassins versants des zones de baignade, des zones conchylicoles et des sites propices aux marées vertes répertoriés dans le SDAGE Loire-Bretagne

    blackbee
    arretons d'autoriser les extensions de porcheries industrielles !! on veut reconquérir l'eau et les préfets délivrent toujours des autorisations ! Il faut plus d'élevages de plus petite taille, des cochons sur la paille ! meme logique avec les poules ou dindes !
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  • Politique visant à réduire l'eutrophisation des sols

    Gaspard Hch - 23 Mars 2018 - 12h02

    Mener une politique permettant de favoriser le développement d'une agriculture durable, passant par l'agriculture biologique, le respect et la bonne gestion des ressources naturelles comme l'eau et le respect des agriculteurs. Il faut mener une politique mettant en relation l'agriculture et les sciences afin de trouver des mesures concrètes pour limiter l'eutrophisation des sols, et cela passe par des incitations des autorités locales, régionales, nationales et européennes.

    JLC76
    Le bio n'est pas une fin, c'est ce qui existait avant l'invention des pesticides. Au lieu de subventionner le bio, je propose de marquer "toxique" sur les aliments dangereux, ou un nutri-score OBLIGATOIRE.
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  • Mieux gérer les rejets de la terre vers la mer

    Louis - 21 Mars 2018 - 18h15

    mettre en place des politiques de diminution des rejets toxiques en mer : liquide, solide.
    Liquide : ex engrais et pesticides, industriels, stations épuration
    solide : politique sur les déchets, en particulier sur les emballages plastiques.
    Œuvrer à la mise en place d'une empreinte écologique égale à 1 au niveau individuel, mais aussi au niveau des entreprises.
    Bilan écologique au niveau des entreprises.

    blackbee
    cessons d'autoriser les extension d'élevages industriels !! Un agriculture plus humaine pour les éleveurs et moins polluante, produite avec des produits locaux sans intrant chimiques !
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    blackbee
    Limitons vraiment l'usage des plastiques, sans dérogations, il faut aussi cesser d'accorder des permis d'extension d'élevages industriels, grands pourvoyeurs, de bactéries antibiorésistantes, de nitrates....revenons à une agriculture plus raisonnée avec des exploitations plus modestes et moins polluantes !
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  • Facile

    Yves ETIENVRE-LE PRIOL - 20 Mars 2018 - 20h53

    Le BIO ne demande qu'à se développer ( et à se vendre/s'acheter !) ( quand on pense que le sarrasin vient de Chine quelquefois !!!!????)
    donc
    ( obliger et aider à ) convertir l'ensemble de la bande littorale sur 20 km en agriculture bio

    JLC76
    Je suis contre le bio tel qu'il existe aujourd'hui. Le label BIO signifie "non toxique" alors appelons un chat un chat. OUI pour une bande de 20 km sans pesticides le long des côtes.
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  • Mieux gérer la qualité des eaux

    Bretagne Vivante - 20 Mars 2018 - 14h48

    Propositions de Bretagne Vivante :
    - Veiller à une application exigeante de la loi Littoral sur l’ensemble de la façade NAMO, sans remise en cause.
    - Séparer la question de l’adaptation des territoires côtiers au recul du trait de côte de la question immobilière sur les littoraux pour laquelle une réflexion permettra de proposer des alternatives à la consommation des espaces non encore construits.
    - Mettre en place une méthodologie systématique qui vise à économiser l’espace pour garantir un littoral de qualité : si le besoin d’urbaniser un secteur ne peut être évité, il faut pouvoir trouver une contrepartie et restituer des terrains.
    - Appliquer avec fermeté les directives européennes sur la qualité des eaux en respectant les délais fixés.
    - Favoriser toute action qui améliore les pratiques agricoles les moins polluantes.

    blackbee
    Cessons d'autoriser les extensions d'élevages industriels ! et faisont respecter les zones limite d'épandage, sans dérogations !
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  • Mieux gérer la qualité des eaux

    Bretagne Vivante - 20 Mars 2018 - 14h48

    Un urbanisme excessif et une agriculture intensive ont dégradé certaines parties de la façade NAMO et porté atteinte à la qualité des eaux.
    Certes, quelques évolutions ont été constatées mais elles sont insuffisantes pour permettre le maintien ou le retour au bon état écologique ainsi que des activités de production et de loisirs de qualité.
    Depuis quelques années, plusieurs rapports parlementaires et propositions de loi cherchent à apporter une réponse à l’érosion du trait de côte conséquence du réchauffement climatique mais veulent aussi assouplir les conditions d’urbanisation du littoral. Bretagne Vivante affirme avec force que la solution ne passe pas par une remise en cause de la loi Littoral.

    blackbee
    Il faut surtout protéger les dunes et cesser d'autoriser l'extraction de sable !!
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  • Favoriser les agricultures non polluante, reglementer les emballages.

    Renaud Gille-naves - 19 Mars 2018 - 14h20


    Coté intrants d'agriculture, nous devrions aider de facon significative les methodes d'agriculture qui ne presentent pas de danger pour le vivant. Et taxer fortement, tout produits issue d'agriculture non bio, utilisant des methodes dangereuses pour l'environement, à la hauteur du prejudice subit, qu'il soit produit en france ou d'importation.
    Coté plastiques et emballages en tout genre, n'est il pas possible de contraindre les industriels à n'utiliser que des plastiques simples à recycler quel que soit leur taille. Ainsi nous pourrions envisager des machines citoyennes à collecte et compactage qui remunerent le consommateur de son effort de recyclage.

    Yves ETIENVRE-LE PRIOL
    il faut comme toujours taper sur le prote monnaie si on veut y arriver : taxer les emballages plastiques lors de l'achat pour pouvoir payer les nettoyeurs ..
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  • Pollution par les métaux

    jipebe29 - 19 Mars 2018 - 10h34

    Différents projets prévoient d'implanter en mer des usines éoliennes. Or, chaque éolienne, pour se protéger de la corrosion, envoie en permanence dans les eaux de l'aluminium, ce qui va gravement polluer la biodiversité marine, animale et végétale. Par ailleurs, les infrasons se propagent très loin en mer, et toute la faune marine sera touchée.
    Bref, l'éolien en mer, au fonctionnement aléatoirement intermittent, au faible facteur de charge (moins de 20%), dont les pales massacrent les oiseaux (migrateurs et oiseaux marins), au prix du kWh 5 à 6 fois au-dessus du prix marché et qui pollue gravement l'écosystème marin ne présente aucun intérêt, si ce n'est offrir des avantages déraisonnables aux promoteurs, aux frais des citoyens pris en otages.

    Yves ETIENVRE-LE PRIOL
    "prix marché " il faut sortir de cette logique !!! et compter tous les coûts au présent, mais aussi au futur
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    delion-b
    C'est faux ! Les fabricants d'éoliennes ont justement pallié ce défaut grâce à des électrodes délivrant un courant de très faible intensité ! Les électrodes alu "consommables" font partie du passé ! ...
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    doudou
    Méconnaissance totale du contenu technique des projets éoliens: il n'y a pas de pollution électrochimique!
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  • Crèmes solaires et cosmétiques

    Vince29 - 18 Mars 2018 - 18h14

    Soutenir les fabricants (et le développement) de crème solaire et de produits cosmétiques biodégradables ou sans impact pour le milieux marin.

    phil53
    Ou ne pas utiliser de crème en s'exposant moins , en mettant des vêtements
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  • Recyclage et respect des lieux

    Martine Poulain - 16 Mars 2018 - 10h29

    Oui, recycler tout ce que nous utilisons en emballages et autres, produire bio, et respecter les lieux, mettre des amendes aux personnes qui jettent des déchets dans la nature ou sur le bitume en ville. Développer les énergies propres. Enseigner comment préserver nos milieux naturels.

  • Compléter nos connaissances et les diffuser

    TM - 15 Mars 2018 - 17h13

    De nombreuses recherches de qualité sont menées sur les pollutions anthropiques et leurs effets sur l'environnement aquatique. Devant la multitude des sujets (pesticides, micro/nanoplastiques, ...), il semble néanmoins nécessaires de soutenir l'émergence / la modernisation des infrastructures d'expérimentation dans le domaine scientifique, renforcer encore les transversalités, avoir une vision globale ("One health") et communiquer les résultats de manière vulgarisée et claire.

  • le retour de la consigne du plastique et du verre

    alainno - 15 Mars 2018 - 09h51

    Il me semble que collecter les bouteilles plastique et verre contre "remboursement " monétaire significatif contribuerait largement à réduire l' abandon de ces déchets dans la nature.

    thihug
    C'est probable
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    ClaireR
    Malheureusement peut-être, mais il serait dommage d'utiliser une motivation pécuniaire
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    Bambou
    Dissuader les fabricants de produire des sur-emballages inutiles et nuisibles.
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    phil53
    Oui aux consignes et limiter les emballages par des taxes. Pour l'eau c'est complètement idiot de fabriquer de l'eau en bouteille. L'eau du robinet en France est souvent moins polluée que celle des bouteilles.
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  • Estuaires Loire Vilaine

    jc.ménard - 14 Mars 2018 - 11h54

    Des pollutions insidieuses.
    Les stations d'épuration n'arrêtent pas les fibres synthétiques ou les microplastiques très fins. Elles n'arrêtent pas les molécules médicamenteuses, hormones, antibiotique etc.. il y a des modifications (IFREMER) du sexe de certaines espèces de poissons, Flets, sardines..
    Solutions :
    -Supprimer les billes de micro plastiques des cosmétiques , mettre des filtres (c'est pour l'instant très cher mais il faudra y arriver) sur les stations d'épuration arrêtant les micro plastiques et les molécules médicamenteuses.
    - Favoriser la recherche pour trouver des organismes qui peuvent accélérer la dégradation des nutriments et polluants.
    - Passer d'un travail expérimental (existant actuellement en Bretagne) à une production de polymères produits à partir de bactéries et donc entièrement biodégradables..
    - Ramassage collectif et individuel des plastiques sur la côte (bac à marées), le long de fleuves et recyclage de ces plastiques..

    ClaireR
    Accélérer et soutenir le développement de nouveaux matériaux industriels aux cycles de vie ayant un impact réduit
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  • Estuaires Loire Vilaine

    jc.ménard - 14 Mars 2018 - 11h51

    Retraitement à terre des sédiments issus des dragages de ports.
    Clapées en mer elles étouffent et colmatent le milieu (macro algues, niches écologiques, elles diminuent la photosynthèse.
    Des solutions existent pour le recyclage des vases :
    amendements dans les champs, utilisation une fois séchées et désalées,
    L'argile peut être utilisé pour faire des briques, du torchis(mélange paille et argile un des meilleurs isolant connue),
    mélangée avec le calcaire des coquillages huîtres, coquilles St Jacques, moules concassées, elles peuvent faire (après avoir été chauffé) des granulats pour chemin côtier, pistes cyclables, remblais...

    doudou
    Totalemnt irréaliste: le recyclage à terre coute dix fois le prix du clapage (#70€/m3) et les ports français draguent 50 millions de m3 par an!
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  • Estuaires Loire Vilaine

    jc.ménard - 14 Mars 2018 - 11h49

    Un assainissement parfois défaillant .
    Des stations d'épuration sous dimensionnées en particulier l'été (population X 10) et par fortes pluies. La qualité bactériologique de l'eau est parfois mauvaise, plages interdites à la baignade et ramassages des coquillages idem... Désagréments, problèmes de santé et mauvaise image pour le tourisme.
    Solutions :
    Améliorer la capacité de retraitement des stations d'épuration côtières, privilégier quand c'est possible le lagunage. Vérifier la qualité des eaux pluviales et les raccordements des eaux usées et prévoir des bassins de rétention de ces eaux pour une élimination par les plantes par exemple, des hydrocarbures.
    Des bateaux de plaisance qui ne rejettent pas leurs déchets et eaux noires en mer.

  • Estuaires Loire Vilaine

    jc.ménard - 14 Mars 2018 - 11h47

    L'espace côtier est soumis à de fortes pressions touristiques, industrielles, alors que la qualité de l'eau est l'élément indispensable aux activités primaires et au tourisme. Les pollutions proviennent en grande partie de la terre, des apports des fleuves, Loire et Vilaine et des cours d'eau.
    Les engrais et l'agriculture intensive :
    Nitrates et phosphores en trop grande quantité = des blooms de phytoplancton et/ou des marées vertes. Des pesticides en quantité importante : plusieurs tonnes, La qualité écologique des masses d'eau côtières est parfois moyenne à mauvaise.

    Changer le mode d' agriculture . Favoriser les fermes le maraîchage et le maraîchage biologique sur le littoral et le rétro littoral.
    Protéger et renforcer les services rendus par les écosystèmes terrestres et marins. Rôle de captation et de transformation des nutriments . En mer protéger les zones de macro algues et zostères. Protéger à terre zones humides, les zones de marécages, zones tampons .

  • Réduire les pollutions en amont, dans le cadre d’orientations nationales

    COORLIT 85 - 13 Mars 2018 - 20h04

    La qualité de l’eau sur le littoral impacte habitats côtiers, pêche et conchyliculture. Or l’essentiel des polluants vient de l’amont. Le rôle des SAGE est capital pour améliorer les qualités chimique et bactériologique des eaux continentales, avec choix pertinent de mesures pour :
    -réduire nitrates/phosphore impliqués dans marées vertes/blooms (dommages aux habitats côtiers, risques toxiques)
    -traiter les eaux usées par STEP et assainissement non collectif performants
    -suivre la qualité des eaux
    Mais des orientations nationales s’imposent :
    -maintien de la loi Littoral (ratio capacité d’accueil/urbanisation)
    -abandon planifié de l’agriculture et de l’élevage intensifs, avec accompagnement financier
    -réduction des déchets à la source (plastique, polystyrène)
    -traitement à terre des boues de dragage
    -application rigoureuse du principe pollueur-payeur
    -sensibilisation du public par tous moyens de communication (composition/utilisation des phytosanitaires, produits ménagers, cosmétiques)

    Cyr
    Le suivi d'activités potentiellement polluante (méthanisation, rejet des boues de dragage..) ne devrait pas pouvoir être laissé au bénéficiaire de l'action qui se trouve de fait juge et partie. La création d'un comité de suivi devrait être imposé au Préfet avec une représentation obligatoire de représentants d' associations environnementales.
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    Vince29
    Pour ma part, j'ajouterai le soutien à l'innovation et aux pme exemplaires dans le domaine.
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    ragloo85
    plus que le simple maintien de la loi littoral, il faut la renforcer et non chercher à la "détricoter" (cf proposition d'un sénateur)
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    ragloo85
    plus que le simple maintien de la loi littoral, il faut la renforcer et non chercher à la "détricoter" (cf proposition d'un sénateur)
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  • Réduire les pollutions en amont, dans le cadre d'orientations nationales.

    chouan - 13 Mars 2018 - 16h20

    La qualité de l’eau sur le littoral impacte habitats côtiers, pêche et conchyliculture. Or l’essentiel des polluants vient de l’amont. Le rôle des SAGE est capital pour améliorer les qualités chimique et bactériologique des eaux continentales, avec choix pertinent de mesures pour :

    -réduire nitrates et phosphore impliqués dans marées vertes et blooms (dommages aux habitats côtiers, risques toxiques)

    -traiter les eaux usées par STEP et assainissement non collectif performants

    -suivre la qualité des eaux

    Mais des orientations nationales s’imposent :

    -maintien de la loi Littoral (ratio capacité d’accueil/urbanisation)

    -abandon planifié de l’agriculture, de l’élevage intensifs, avec accompagnement financier

    -réduction des déchets à la source (plastique, polystyrène…)

    -traitement à terre des boues de dragage

    -application rigoureuse du principe pollueur-payeur

    -sensibilisation du public par tous moyens de communication (composition/utilisation des phytosanitaires, produits ménagers

    FNPA
    Vision irréaliste
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  • Bocages et filtration

    Tiphaine Hotte - 12 Mars 2018 - 19h14

    L'une des possibilités de filtration naturel dans le milieu agricole se fait grâce aux haies et talus, intéressant pour une retenue d'eau et une filtration des "eaux usées" sur les terres agricoles.

    Il est intéressant de voire se développer des associations permettant la formation et l'accompagnement des agriculteurs à une reconstruction d'un bocage (réseaux de haies) au sein de leurs terres agricoles.

    Il serait d'autant plus intéressant que la législation suive le mouvement en imposant un cotat de métre linéaire de haie important sur terres agricoles, (voire même autour des zones commerciales, artisanales etc....)
    Tout en subventionnant une partie de ces travaux et en revalorisant les produits issues de l'agriculture.

  • Introduire largement la comptabilité environnementale

    Riot Elen - 12 Mars 2018 - 18h01

    Pour mieux prendre en compte l'impact des activités productives (et notamment l'élevage en Bretagne), pourquoi ne pas substituer aux outils de comptabilité classique la comptabilité environnementale qui permet de faire entrer dans les bilans et comptes de résultat l'impact sur l'environnement à long terme ? Cela permettrait de mieux valoriser les méthodes plus respectueuses de l'environnement et aussi d'avoir une meilleure visibilité sur les subventions et les responsabilités assumées par les parties prenantes en termes d'externalités positives et négatives.

  • Retenons nos enjoliveurs-bouteilles-canettes-mégots... la VUPO suivra !

    Association T EAU T O PHIL - 11 Mars 2018 - 20h29

    Il est indispensable que l’effort n’incombe pas uniquement aux communes littorales. Face à un enjeu majeur abstrait pour 2030, le mégot et le plastique peuvent symboliser le lien quotidien de notre cadre de vie à nos océans.
    Tout macro-déchet récupéré à tout endroit des terres émergées, ce sont des milliards… gagnés demain en macro, micro, nano… polluants. Une grille à la source dans un réseau pluvial est étonnamment simple et efficiente ! Sans négliger aucun polluant, il s'agit d'intercepter 100% des mégots et plastiques à la source des Rejets Urbains de Temps de Pluie. Cette action proche de l'avaloir (ou bouche d'égout) enclenchera également une politique globale vers une Valorisation Urbaine de la Pluie pour l’Océan (VUPO) : regardons la pluie urbaine comme une Ressource au lieu d’un Risque ou d’un Rejet.
    La valorisation de l'eau de pluie et de ses déchets doit devenir dans notre quotidien une industrie qui gère la pluie urbaine en une ressource stratégique vitale.

    davidgaloppe
    Ben oui, soyons solidaires avec le littoral et voyons grand !
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    phil53
    Pour les enjoliveur , je suis pour l'interdiction de cet accessoire si les fabricants ne sont pas capables de les faire solidaire de la jante. Sur les 2 km que je parcours en vélo pour aller au travail, j'en trouve un chaque jour sur le bord des la rue. Ils sont explosé par la circulation et les petits morceaux vont dans les égouts. Absolument scandaleux
    • Pas d'accord
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  • Pollution du littoral

    Marcel - 09 Mars 2018 - 18h14

    L'assainissement doit être plus performant en fonction du développement de la population.
    Il doit mieux prendre en compte la pollution par les médicaments qui ont une incidence sur les produits de la Mer.
    La vidange des campings Cars mieux contrôler pour limiter les vidanges sauvages au bord des plages
    Le contrôle de l'assainissement individuel doit être plus fréquent aux abords du rivage là oû il existe encore y compris des activités ostréicoles.

  • Hydrolique et pollution

    jaquotiere - 06 Mars 2018 - 22h03

    jaquotiere
    Signalez un abus
    05 Mars 2018 - 10h58
    Une chose très importante qui n'est pas exploiter dans les divers propos lié a la nature et sa biodiversité que l'on détruit a mesure du temps,
    1° ce sont les incidences de l'utilisation des produits venant de la chimie qui détruit notre santé (cancer etc...) ce sont les perturbateurs endocriniens. Il faut a moyen terme supprimer ses polluants de notre société et c'est une affaire mondiale. Dans le secteur de la Manche les plages sont en état catastrophique (pollution pêche interdite) . Notre planète est malade comment la soigner?
    2°Les façons d'agir sur les exploitations agricoles, un exemple le monde agricole qui détruit les haies et les haies sur talus qui ont pourtant un rôle hydraulique fondamental de retenue des eaux et de la biodiversité. Ces haies et talus qui disparaissent les chemins sont comblés pour un agrandissement des champs etc...
    Les deux phénomène sont liés, car les bassins versant emporte les pollutions en mer

    jaquotiere
    et provoque des fermetures de pêche professionnelle et amateurs. Il faut très rapidement aider le monde agricole a sortir de cette plaie qui leur cour après. L'image est salie l'état doit prendre les responsabilités qui s'impose afin que chacun chacune retrouve sérénité envers la nature que nous devons protégé.
    • Pas d'accord
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    Réliane
    Faire en sorte que les exploitants agricoles soient encouragés au respect de leur environnement en étant rémunérés correctement. Halte au Bla-bla des centrales d'achat, quitte à augmenter le panier de la ménagère.
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    Tiphaine Hotte
    Il est intéressant de voire se développer des associations permettant la formation et l'accompagnement des agriculteurs à une reconstruction d'un bocage (réseaux de haies) au sein de leurs terres agricoles.
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  • activités portuaires et agricoles

    VPBN - 06 Mars 2018 - 17h12

    - Aider les infrastructures portuaires à une activité plus neutre en matière environnementale. Considérer ainsi toutes les boues de dragage des ports comme étant des déchets à traiter à terre

    -Préserver les terres agricoles littorales par la mise en place systématique de Périmètres de protection des Espaces Agricoles et Naturels sur la zone littorale en privilégiant une agriculture respectueuse de son environnement

    youl
    Les boues de dragage doivent effectivement être retraitées le plus possible à terre. C'est le cas en Allemagne par exemple. Cela évite le rejet de nombreux métaux lourds que l'on retrouve dans toutes la chaine alimentaire ensuite... Pour le port de Nantes-St Nazaire, cela représente des volumes considérables qui sont rejetés en mer quotidiennement. Des directives européennes existent pourtant en la matière
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      2
    FNPA
    Le recyclage des boues de dragage est prévu dans le cas de sédiments ayant des contenus polluants au dessus de normes restrictives. L'allemagne est loin d'être un exemple: Hollande est France ont les seuils les plus contraignants
    • Pas d'accord
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    FNPA
    Recyclage des boues à terre 10 fois plus onéreux qu'en mer. Les ports ne survivraient pas à la contrainte!
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  • polutions venant de la terre

    Sylvain MOREL - 06 Mars 2018 - 11h54

    La mer reçoit une grande partie des pollutions terrestres. En plus de l'agriculture il y à les eaux pluviales qui se déversent sans aucun filtre.

  • Bon sens, respect et transparence

    AgisM - 06 Mars 2018 - 10h10

    Appliquer déjà avec rigueur, les dispositions actuelles des lois et règlements sur le littoral et la protection des eaux. Par exemple, garder les interruptions d'urbanisation.

    Publier TOUTES les infractions et enfin faire payer les vrais pollueurs, quelles que soient leur taille et leur puissance : signe de respect des citoyens de base, par ailleurs électeurs.

    Que la Puissance Publique donne le 1er exemple dans le respect de la nature et de la société civile : Guyane comme Bure ; vaccinations multipliées comme autorisation d'empoisonner par les produits chimiques, les nanoparticules ou autres OGM, etc...

    EXIGENCE générale et : PRIORITÉ au BIEN COMMUN

  • meilleur filtrage des eaux et des divers liquides et déchets dans l'agriculture

    Bernard FONQUERNIE - 04 Mars 2018 - 11h36

    inciter les agriculteurs à mieux épurer les eaux issues de leurs exploitations par des soutiens et de plus fortes contraintes. Lutter cotre les complaisances "politiques"
    Embaucher plus d'inspecteurs sanitaires indépendants des milieux professionnels, des lobbies et élus locaux.

    Paule Opériol
    je dirais plutôt revoir pour de bon le modèle agricole et agro-alimentaire breton. Ce sera double bénéfice, pour la transition écologique en général et pour la qualité des eaux douces et littorales en particulier
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    Paule Opériol
    je dirais plutôt revoir pour de bon le modèle agricole et agro-alimentaire breton. Ce sera double bénéfice, pour la transition écologique en général et pour la qualité des eaux douces et littorales en particulier
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  • interdire les micro billes de plastique dans les cosmétiques

    Camille Cresteil - 03 Mars 2018 - 19h56

    L'effet exfoliant d'un certain nombre de cosmétique est obtenu grâce à des micro billes de plastiques.
    Celles-ci sont trop petites pour être arrêtées par les filtres et finissent donc dans les cours d'eau, puis dans la mer.
    A bannir, donc...

  • FAIRE PIPI ET CACA BIO... qui peut s'en vanter: personne

    GM50 - 03 Mars 2018 - 19h50

    Et si les politiques en faisaient beaucoup plus pour diminuer voire éradiquer tous ces pesticides et autres cochonneries du genre, et aussi tous ses produits nocifs par exemple les conservateurs et antibiotiques que nous retrouvons dans la grande majorité de ce que nous mangeons et buvons. Primo, cela nous affecte une première fois et deuxio cela nous revient par la suite certes dans des moindres mesures entres autres dans l'EAU et les poissons et crustacés. Les totems type diesel, nucléaire, et notre bouffe dépêchons nous même si c'est pas facile.

  • Pollution des eaux

    Eco-réfèrent - 02 Mars 2018 - 14h20

    L'agriculture intensive responsable d'une utilisation abondante de produits phytosanitaires comme l'engrais NPK,pollue par lessivage des sols les nappes phréatiques.
    Une utilisation trop forte d'engrais entraîne des algues vertes.
    Pour cela je propose une réglementation de taux de nitrates par exploitation en fonction du nombre de bêtes.
    Il est évident que cette réglementation à pour objectif de supprimer progressivement l'utilisation d'engrais au profit d'une agriculture respectueuse de l'environnement et des écosystème

  • Réduire l'utilisation des engrais pour supprimer les algues vertes

    Eco-réfèrent - 02 Mars 2018 - 14h15

    Il est urgent de réduire l'utilisation des produits phytosanitaires comme l'engrais NPK responsable d'une pollution accrue d'axote dans les nappes phréatique.Ce qui entraîne une concentration d'algues vertes de plus en plus important
    Pour cela il est nécessaire et je propose une réglementation de l'utilisation d'engrais en fonction du

    Paule Opériol
    Deux fois la même contribution, Eco-référent ?
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  • Pollution terre-mer

    Colombium - 02 Mars 2018 - 12h11

    La mer est de plus en plus la poubelle de nos terres. Tous les engrais et autres polluants que l'on verse copieusement sur nos champs et espaces "verts" se retrouvent dans les nappes phréatiques et dans les fleuves et dans les océans. La gestion raisonnée de ces molécules vantées par les grands groupes de l'industrie chimique va devenir un impératif majeur et non une lubie de certains...

    Eco-réfèrent
    Il est que nous rejetons de l'axote dans les nappes phréatique s qui par ruissellement polluent les cours d'eau avec la prolifération des algues vertes
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  • - Améliorer la qualité des eaux littorales de la façade Nord Atlantique – Manche Ouest

    Guillevic Yvon - 27 Février 2018 - 23h44

    Propositions :
    • Imposer des installations d’assainissement performantes aux communes littorales et que toutes les habitations soient raccordées ;
    • Mener avec une fréquence régulière des suivis biologiques des milieux révélateurs de la qualité des eaux ;
    • Interdire les opérations opérations de démoustication systématiques des zones maritimes (schorre) ;
    • Mettre en place une politique de réduction des polluants qui arrivent à la mer en promouvant une agriculture réellement respectueuse de la qualité de l’eau et suivant le principe pollueur/payeur.

  • 1 - Consolider la loi Littoral et anticiper les risques littoraux

    Guillevic Yvon - 27 Février 2018 - 23h40

    Propositions :
    • Conserver intégralement les dispositions actuelles de la loi littoral ;
    • Mettre en place un contrôle de légalité rigoureux des préfets sur la bonne application de la loi Littoral ;
    • Faire confirmer par les scientifiques, géomorphologues, les limites réalistes des zones de submersion ;
    • Au niveau des PLU, exiger une prise en compte stricte des limites des zones de submersion établies par l’Etat avec le concours des scientifiques, géomorphologues ;
    • Mener une campagne à l’échelle de la façade maritime Nord Atlantique - Manche Ouest pour sensibiliser élus et citoyens aux risques littoraux ;
    • Evaluer à l’échelle de l’ensemble du littoral, l’érosion potentielle et étudier avec les scientifiques les conséquences de ce changement à échéance de 10 ans. Anticiper les solutions ;
    • Etablir un catalogue des solutions techniques de protection des différents types de littoraux qui ont été utilisées par le passé. Proscrire les solutions qui en marchent pas (exemple : enrochemen

  • Changement de paradigme et pragmatisme 3

    J-PP - 24 Février 2018 - 23h45

    - Application stricte des lois de protection existantes et contrôles effectifs (avant de rajouter d'autres mesures, comme on aime le faire en France dès qu'un scandale éclate, qui ne sont pas plus appliquées puisque la visibilité médiatique, par la suite, diminue rapidement)
    - Répression très active à l'encontre des petits délinquants (verbalisation des gens jetant leurs mégots, emballages, etc.. sur le domaine public et espaces naturels) et des grands délinquants (entreprises privées ou publiques, municipalités, agglomérations, exploitants agricoles)
    - Ceci nécessite une formation et une sensibilisation des policiers et gendarmes à ce type de délits et éventuellement la constitution d'une véritable police de l'environnement
    - Mise en place d'une plateforme informatique où tout citoyen pourrait signaler les pollutions et atteintes aux droits de l'environnement et connaitre les suites données à son signalement

    Eco-réfèrent
    Excellente idée il faut sévir ceux qui prennent nos plage pour des poubelles
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    Paule Opériol
    Le pollueur, c'est toujours l'autre n'est-ce pas ? une contribution qui fait froid dans le dos
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  • changement de paradigme et pragmatisme 2

    J-PP - 24 Février 2018 - 23h44

    Pragmatisme: privilégier les solutions dont le coût pour l'état est le plus faible voir nul:
    - sensibilisation à tous les âges au problème des polluants terrestres (finissant tous un jour en mer) par le ramassage des déchets (trottoirs, bords de routes, rivières, littoral): TP en cours de SVT, d'éducation civique mais également lors du futur service national. Journée nationale (minimum 1/an) de travail effectif et obligatoire de ramassage/traitement de déchets toxiques et/ou à vie longue par toute personne briguant un mandat électoral, ainsi que par tous les élus, hauts fonctionnaires, les cadres et dirigeants d'entreprises.
    - Prise en compte des polluants chimiques (et non plus uniquement bactériologiques) dans les critères de qualité des eaux de baignade (avec affichage obligatoire sur la plage)
    - En finir à la source avec le plastique (interdiction d'emballage non réutilisable, du jetable et substitution par le verre), remise en place des consignes

    Carole CARPENTIER
    Supprimer les plastiques définitivement est utopique, il faut rendre socialement inacceptable le fait de jeter ses déchets dans la nature, dans la rue : en dehors des dispositifs de collecte... Donc éduquer, sensibiliser davantage !
    • Pas d'accord
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    ANNE-CLAIRE ROUSSEAU
    pourquoi une journée nationale devrait se limiter à toute personne briguant un mandat électoral, ainsi que par tous les élus, hauts fonctionnaires, les cadres et dirigeants d'entreprises?
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    ANNE-CLAIRE ROUSSEAU
    Remise en place des consignes ++++
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    ClaireR
    Proposition intéressante même si elle rassemble plusieurs sujets différents. Tout à fait d'accord avec à sensibilisation dès le plus jeune âge et pourquoi pas des TIG de nettoyage pour les contrevenants pour compléter l'idée des TP. Cest pourtant si facile de garder auprès de soi ses déchets avant de les jeter plus tard! Revenir à une conscience de la responsabilité et donc d'actes respectueux du bien commun plutôt qu'à l'égoïsme du type ce qui est à tout le monde est à personne...
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  • Changement de paradigme et pragmatisme 1

    J-PP - 24 Février 2018 - 23h10

    Changer de paradigme dans la gestion du pays: faire passer les intérêts communs nécessaires à la vie et au bonheur de tous (environnement sain, santé, préservation des écosystèmes et des ressources pour les générations futures) avant les intérêts économiques qui ne bénéficient qu'à un petit nombre.

  • Réduire la taille de élevages porcins

    Mar Yann - 22 Février 2018 - 22h24

    Sur la commune de landunvez, la plage de mon enfance est régulièrement interdite à la baignade. Il semblerait que la cause soit l'élevage porcin situé à proximité qui a obtenu l'accord d'extension malgré l'avis contraire des experts. Je connais un agriculteur qui vit bien près de Pornic avec un élevage de 50 cochons de qualité élevés en liberté. Pourquoi cet apat du gain qui pousse à avoir 1000 cochons quelles qu'en soient les conséquences écologiques ?! On ne devrait plus fermer les yeux et autoriser ce type d'agriculture intensive.

    Eco-réfèrent
    Il faut stopper l'agriculture intensive qui favorise les agrosystèmes et développer une agriculture raisonnée qui prend en compte l'homme Une agriculture biologique humaine qui respecte l'environnement et les écosystème
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    ClaireR
    Au delà des tailles de cheptel ce sont les pratiques d'elevage et les contrôles, réellement indépendants, des pratiques et des effluents qui permettront de maîtriser les conséquences sur l'environnement.
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  • Améliorer la qualité des eaux littorales de la façade Nord Atlantique – Manche Ouest

    FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 21 Février 2018 - 10h33

    La problématique de la qualité de l’eau est un enjeu fort sur la façade Nord Atlantique – Manche Ouest. Outre le risque sanitaire, une mauvaise qualité de ces eaux porte préjudice au milieu marin et à l’économie bleue, en particulier l’aquaculture et la pêche. Les milieux aquatiques littoraux disposent d’une biodiversité particulièrement riche, sensible aux apports des milieux terrestres et aux influences anthropiques. Les atteintes à la qualité de l’eau sont surtout d’origines terrestres. Ainsi, l’utilisation excessive d’intrants et de produits phytosanitaires pour l’agriculture ou encore les rejets d’usines et le dysfonctionnement de stations d’épuration mettent à mal la qualité du milieu.
    Propositions :
    - Mener avec une fréquence régulière des suivis biologiques des milieux révélateurs de la qualité des eaux ;
    - Mettre en place une politique de réduction des polluants qui arrivent à la mer en suivant le principe pollueur/payeur.

    Bêtalaine
    Il existe de nombreuses règles pour l'assainissement des eaux usées mais elles ne sont pas toujours respectées, que ce soit en assainissement collectif ou individuel (particuliers ou traitements des eaux issues de certaines IPCE qui ont normalement une obligation de traitement avant de rejoindre le réseau collectif). Des contrôles oui, mais aussi des obligations d'effectuer rapidement les travaux pour se mettre aux normes.
    • Pas d'accord
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    Bêtalaine
    Je voulais dire ICPE (installations classées pour la protection de l'environnement) ; désolée mais je n'ai pas trouvé le moyen de corriger mon erreur après validation.
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    papyrus
    lisez tous le dossier sur l'eau du magazine "que choisir" de mars 2018 n°567-vous trouverez toutes les infos sur le système pollueur/non payeur....! excellent travail de FNE.
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  • Meilleure gestion des poubelles

    Bénédicte - 21 Février 2018 - 05h18

    Dans certains endroits : les poubelles recyclables sont encore collectées dans des sacs plastiques jaunes ! (allons-y, rajoutons des déchets aux déchets), il n y a pas de collecte du verre et du papier (chacun doit se déplacer pour déposer le tri), il n' y a pas de collecte des déchets verts... si l on veut réduire les déchets en mer, il faudrait que les communes mettent l accent sur la sensibilisation a la diminution des déchets et sur la meilleure gestion de ceux-ci (collecte mieux organisée et meilleur recyclage des déchets...).

    Annie Tibook
    C’est. Valable sur l’ensemble du territoire français et en particulier dans les grandes villes. On doit être beaucoup plus stricts sur les tris des déchets mais mettre en place de vrais solutions proches des habitants.
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    Annie Tibook
    C’est. Valable sur l’ensemble du territoire français et en particulier dans les grandes villes. On doit être beaucoup plus stricts sur les tris des déchets mais mettre en place de vrais solutions proches des habitants.
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    Nicolle Perier Micheaux
    je crois que la vendée est un exemple pour la collecte des dechets
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    ClaireR
    Je ne suis pas certaine que la collecte de tout soit une solution. Selon la frequence et l'encombrement ce est pas forcément nécessaire. parfois certains jettent leurs papiers à moins de 5m d'une poubelle publique !
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  • ferme aquacole bretonne

    Franck Séveno - 20 Février 2018 - 17h42

    je suis allé en Irlande et en Ecosse. il y a des fermes aquacoles partout dans les fjords, aber etc...en Bretagne, c'est insignifiant, pourquoi? n'est ce pas une économie réelle (job, et produit?)
    j'ai étudié le sujet. La france est reconnue sur sa formation aquaculture et après tout le monde part à l'étranger exercer. la production aquacole francaise est principalement des protéines animales et très peu d'algues?
    encore une fois, le japon et la chine, tiennent le haut de ce marché! on a une facade littorale enorme !

    Elois
    Bonjour, le développement des fermes aquacoles posent un véritable problème de pollution (production de déchets, traitement par antibiotiques et pesticides contre le pou de mer...). De plus, les projets de fermes tendent à prendre des dimensions de plus en plus importantes, et donc sont sources croissantes de pollution. Il suffit de constater l'opposition de riverains, de pêcheurs aux projets d'installation (cf. île de Groix par exemple). Une source de (peu) d'emplois à court terme certes mais à quel coût environnemental ? Ces fermes ne sont pas sans conséquence sur le milieu marin.
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    Cory
    Il faut 5 kilos de poisson "fourrage" pour faire 1 kilo de poisson d'élevage, sans parler des problèmes de pollution, de maladies et parasitisme induits par les élevage.
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    Nathalie Marty
    Je suis contre l'exploitation animale. Une vie=une vie. Nous n'avons pas le droit de réduire certaines espèces au rang de simple nourriture ou produit de matière. Nous devons pousser lesmethödes qui nous permettrons de vivre en harmonie avec les autres espèces. Commençons par régler le problème de la consommation de produits animales en éduquant des le plus jeune âge. Intégrons les notions de vie respectueuse de ce qui nous entoure, apprenons aussi les nouvelles façons de se nourrir sans avoir recours à l'animal. Les fermes usines commencent à voir le jour un peu partout sur le territoire, c'est catastrophique... ne faisons pas la même chose avec le mîlieu marin.
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    Eric NOËL
    Question délicate. Les fermes aquacoles ne sont pas forcément une bonne chose si j'en crois ce qui se passe un peu partout où elles existent. Beaucoup de rejets non maîtrisés semble-t-il dans le milieu naturel donc sur-pollution et danger pour la biodiversité.Pas opposé à l'étude mais très prudent sur leurs conséquences.
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  • ballade utile

    Franck Séveno - 20 Février 2018 - 17h35

    les communes, de littoraux, peuvent-elles mettre en place des sacs plastiques poubelles officiels, au point poubelle officiel, afin que les promeneurs fassent de la ballade-ramassage d'ordures, là, où ils se trouvent.
    je le fais sur des plages de la rade de Brest. et il faut signaler à la mairie de venir ramasser 4 semaines, de collectes de déchets, après 4 tempetes bretonnes.

    Bêtalaine
    Certaines communes mettent en place des "bacs à marée" aux abords des accès à la plage où l'on peut collecter les déchets échoués sur la plage que l'on ramasse au cours de promenades et cela marche très bien en effet. Idée à généraliser donc !
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    Vince29
    C'est claire, une idée simple et efficace
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  • conferences scientifiques

    Franck Séveno - 20 Février 2018 - 17h30

    Bonjour,
    je ne savais rien, des écosystèmes marins, avant d'aller aux conférences d'oceanopolis de Brest le mardi soir, c'est gratuit et personnes, n'y va sauf des étudiants, et quelques tetes grises. cela m'a permis d'etre sensibilisé à différents sujets marins présentés par ifremer recherche. aucun brestois, ne sait que cela existe! communication !!!

    Franck Séveno
    les sièges sont confortables et il fait tres chauds
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  • particules fines et transport maritime

    Franck Séveno - 20 Février 2018 - 17h26

    Bjr,
    il est dit que 1 cargo porduit autant de particules fines que 1 Million de voiture au gazole. il y a 60 000 cargos sur les mers chaque jour. il serait temps de contraindre les armateurs à changer de "source d'énergie" ?

    Etienne
    Pour le transport de marchandises, les portes conteneurs et cargos, bien que polluant, sont bien plus écologiques que leur équivalent en camion. Des améliorations ont déja été faites, CMA CGM par exemple ainsi que les motoristes pour réduire ces problèmes. Les prochaines années verront d'ailleurs l'apparition des premiers bâtiments commerciaux au GNL dans la flotte sous pavillon français. En revanche, espérer une marine marchande à zéro émission ou fonctionnement éolien n'est qu'un mirage d'écologiste.
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  • renovation des canaux bretons

    Franck Séveno - 20 Février 2018 - 17h21

    Bonjour,
    je pense que dans un monde de globalisation des échanges et du toujours plus vite, la Bretagne, offre grâce à ses canaux, une possibilité de communiquer entre villes et villages. à une autre échelle, une autre vitesse, pour des échanges de marchandises, de voyageurs ou autre. ce chantier titanesque, dans le respect des écosystèmes fluviaux, serait une source de travail (chomage), avec une répercution economique réelle(economique, transports, touristiques, désenclavement de villages, etc...)
    cdt

  • Favoriser l'agriculture biologique

    chafab - 19 Février 2018 - 19h22

    Favoriser les exploitations agricoles certifiées Agriculture Biologiques à proximité du littoral, en octroyant des aides spécifiques à ces zones. C'est une façon de favoriser les conversions des exploitants conventionnelles ou dites "raisonnés". Favoriser les systèmes d’assainissements écologiques tel que la phyto-épuration pour les assainissements non collectifs en bordure des côtes.

    MYLÈNE TESSON
    Aider les agriculteurs conventionnels à effectuer la transition vers l'agriculture biologique!
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  • Extractions minières en Mer

    Pat22 - 18 Février 2018 - 10h39

    Les concessions minières en mer sont attribuées avec trop de légèreté quant à la biodiversité et protection des milieux, dont concernant le sable et les granulats (même coquillier). Proximité de zones Natura 2000, parcs marins, Réserves naturelles, fragilité du littoral trop proche ... L'impact de la turbidité, des nuisances sonores (dragues suceuses), des projecteurs nocturnes ajoutés à des ressources non renouvelable à l'échelle humaine doivent inciter à les interdire si proche des côtes (les limites technologiques d'extraction en profondeur ne doivent pas être un paramètre favorable !). Les conflits d'usage (dont vis-à-vis de la pêche) doivent être analyser et ces activités plus respectueuses (la pêche) doivent primer sur ces industries de l'irréversible.

    Franck Séveno
    Monsieur le Ministre, vous etes de Lancieux. vous connaissez bien votre voisin, M.Roullier.et la timac et la CUN. le sable coquillier peut etre résolu en 1/2 seconde. les coquilles calcaires vides, sans vie, il y en a plein de sources. pedoncules dans les baies de brest et douarnenez. il suffit de les pomper, et de les concasser. cela evite de pomper cette source calcaire, en baie de trebeurden, et detruire les fonds marins protégés. dit Maerl.dixit les scientifiques de l'ifremer brest
    • Pas d'accord
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    Eric NOËL
    Tout a fait d'accord, on n'a pas le droit de détruire ce que l'on ne connait pas sous prétexte que ce n'est pas visible. On voit bien en revanche les dégats faits sur terre par toutes les extractions de quelque sorte que ce soit.
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  • Les polluants agricoles

    Florence Sand - 18 Février 2018 - 10h23

    Le véritable problème de fond, qui revient sur l'ensemble du littoral, est l'utilisation massive de polluants agricoles et de désherbants que les agriculteurs sont aujourd'hui incapables de remplacer faute d'éducation.
    Demandez à un agriculteur d'arrêter les produits chimiques et il répondra "on n'a pas le choix sinon l'herbe pousse". À ce niveau là, c'est toute une population d'agriculteurs à former, informer, sensibiliser, c'est une action de masse pour leur montrer que non, l'herbe n'est pas mauvaise, alors que les polluants agricoles, si.
    Aujourd'hui, ce sont les terres, les mers, et l'alimentation de tous qui sont en jeu à cause d'un formatage industriel qui a fait des agriculteurs des exploitants chimiques.
    Une action miracle ?

    Franck Séveno
    rencontre avec une jeune formatrice de triskallia. qui me dit avec "une piqure maison" les exploitants agricoles ne veulent plus toucher les 20 cm de leur terre, evident, ils les ont rendus steriles (sans complement de nitrates, engrais, phyto...)je lui reponds qu'elle devrait aller aux conferences scientifiques d'oceanopolis, pour voir les dégats que ces produits chimiques font sur le littoral(tout éco-systeme confondus). elles n'en connaissaient aucune répercution. je trouve triste que 2 mondes, qui sont sur le même territoire ne communiquent pas de leur enjeux et problemes respectifs. il est temps qu'agriculteur et monde maritime se parlent
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  • Informer, sensibiliser, et valoriser les pratiques vertueuses

    Titi Wattou - 16 Février 2018 - 23h13

    Les industriels ont fait beaucoup de progrès sur leurs rejets et des contrôles existent. Il existe en revanche deux sources beaucoup plus diffuses de polluants : l'agriculture, et le citoyen lambda.
    Dans les deux cas, une bonne part de mauvaises pratiques proviennent d'un manque de compréhension des impacts des gestes réalisés.
    Ainsi, par exemple, beaucoup de gens ne font pas la différence entre le réseau d'eau pluviale et le réseau d'eaux usées et ne se rendent pas compte que les eaux pluviales vont directement à la mer, sans passer par une station d'épuration.
    Pour un éleveur, prendre conscience que déplacer l'abreuvoir ou d'autres aménagements permet de diminuer les effluents de son troupeau qui vont se retrouver dans le cours d'eau peut l'amener à changer ses pratiques, sans que cela ne lui coûte rien.

    De la pédagogie ciblée, de proximité, sur les bons gestes, serait utile, à mon sens.

  • Travailler sur l'amont et le respect des Lois

    Lolotte1329 - 16 Février 2018 - 14h44

    Beaucoup de situations se jouent en amont, dans le bassin versant, avec un lessivage des fertilisants et autres produits , sans protection (talus/bocage) ils se retrouvent dans les cours d'eau puis à la mer. De nombreuses industries sont en "auto-contrôle" et ne déclarent alors aucun pb des gestion de l'eau en sortie. Des communes ont encore des pb de stations d'épurations, notamment les communes accueillant de nombreux touristes, leurs populations augmentent fortement l'été et la station ne s'avèrent pas toujours adaptée. Il faut bien sûr sensibiliser le grand publics à cette problématique, les usagers des plages et du milieu maritime se plaignent, mais ils ne réalisent pas forcément qu'ils contribuent en partie au mauvais état de l'eau dans ces milieux (gestions des déchets, utilisations des phosphates et phosphanates, pêche non réglementaire). La sensibilisation et l'éducation sont primordiales mais la police de l'eau nettement absente sur nos territoires a un rôle à jouer!

    YG
    pour protéger efficacement et durablement le littoral, il ne faut pas se contenter d'agir sur quelques km sur le retro littoral, il faut une politique globale et cohérente qui porte loin à l'intérieur des terres!
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  • polution venant de la terre

    argonefer - 16 Février 2018 - 13h04

    limiter les traitements agricoles qui se retrouve mécaniquement dans la mer par ruissellement.
    rendre obligatoire les caisse à eau noire sur les navires de plaisance.
    favoriser la création de port à sec et de zone de mouillage sur coffre plutot que de construire des kilomètre de pontons.

    Alain Redon
    Les cuves à eaux noires sont déjà obligatoires sur les bateaux de plaisance depuis plus de 15 ans
    • Pas d'accord
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    Bruno Charpentier
    Qu'en est-il de la mise en conformité des bateaux de plus de 15 ans?
    • Pas d'accord
      1
    Alain Redon
    Avant de demander à modifier les bateaux de plus de 15 ans il faudrait à minima évaluer la réelle nuisance...
    • Pas d'accord
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  • Pollution venant de la terre

    GUERROT anne - 16 Février 2018 - 09h22

    Bien faire respecter la réglementation existante concernant la pollution des sites. Protéger au maximum les ruisseaux rivières Et faire connaître la réglementation au grand public sur l'entretien des berges sur les dépôts sauvages dans les rivières et autres .....(qui arrivent et polluent la mer et encombrent les estuaires). Les petits rejets qui ne se voient pas vraiment mais qui au final polluent.

  • Eolien en mer

    philippe - 15 Février 2018 - 23h39

    Par contrat il est convenu entre l'état et les concessionnaires que ce sera le contribuable qui le financera via un prix de rachat élevé de l'électricité garanti. L'énergie non dépensée étant bien plus vertueuse que la durable, il aurait mieux valut une légère taxation des ménages (plutôt que déguisée via le prix de l'électricité) pour lancer un programme très ambitieux de rénovation énergétique des bâtis publiques. Au moins, le caractère vertueux aurait profité bien plus aux français et entreprise locales du bâtiment, plutôt que dans le cas présent en partie à des consortiums étrangers. Le résultat en aurait été durable et non prévu pour être démantelé dans trente ans, avec des écoles, hôpitaux et administration rénovées alors que ce sont actuellement des passoires énergétiques qui vont de plus payer fort cher cette nouvelle électricité au lieu de budgéter une modernisation.

    GUERROT anne
    Entièrement d'accord. Éolien en mer mais a t on pensé au futur. Les vieilles éoliennes comme les câbles et autres qui ne seront plus rentables....prévoir un plan de recyclable dans le cahier des charges. Et les dégâts sur le fond marin. Il est important de penser protection et de l'intégrer dans le cahier des charges. Les grosses sociétés pensent rentabilité et bénéfices .D'accord pour mieux entretenir et isoler les bâtis publics
    • Pas d'accord
      0
    Rosebud
    Il me semble qu'il faut les deux .énergies renouvelables et économies sur les bâtiments
    • Pas d'accord
      0
    Lise Gros
    Pourquoi vouloir opposer deux idées qui se complètent? Depuis toujours nous avons financé notre électricité (nucléaire aussi, et combien va coûter le démantèlement et le stockage)? Il faut apprendre à consommer moins, mieux, et propre!
    • Pas d'accord
      0
  • Dragage des ports et estuaires

    philippe - 15 Février 2018 - 23h13

    Afin de garantir une meilleure accessibilité de ports et estuaires nombres de dragages sont réalisés à grand renfort d'argent public. La réalisation de ces dragages est plus souvent liée à la peur de "perdre" le caractère bucolique maritime de quelques centres villes. "Surtout ne pas voir ces mêmes bateaux comme autrefois poser à marée basse sur l'estran ou plutôt sur cette "affreuse et horrible vase". Ces dragages ne sont utiles que pour une part infime des bateaux amarrés dans ces ports, d'autant plus aberrant que la très grande majorité des bateaux ne naviguent que quelques jours par an. Enfin, ces ports à sec autrefois, devenu ports à écluse, sont l'explicatif principal du problème. Y draguer la vase c'est remplir un panier percé, inévitablement elle se réinstalle en quelques années; et de plus en plus vite (montée du niveau de la mer). L'état peut il continuer à autoriser/participer à ces dépenses gigantesques bien souvent inutiles et aux conséquences écologiques désastreuses?.

    Sylvain ANDRÉ
    Le dragage est un compromis entre l'activité humaine et l'écosystème. En effet la vase est une sorte de pansement qui piège la pollution et évite qu'elle ne se retrouve dans la chaîne alimentaire ou dans le cycle de l'eau. Cependant le commerce maritime reste le mode de transport le moins polluant si on considère le poids de la marchandise au rejet en CO2. On pollue d'un côté (suspension des polluants) et on diminue les rejets en CO2 de l'autre. Pour les navires de plaisance, je suis d'accord qu'il n'y a pas de compensation dans l'intérêt de la nature.
    • Pas d'accord
      0
    philippe
    Bonjour, tout à fait d'accord avec vous sauf que la très grande majorité des dragages n'ont rien a voir avec des transports de marchandise (ports inadaptés) Cordialement
    • Pas d'accord
      0
    Alain Redon
    La part des dragages des entrées ou à l'intérieur des ports de plaisance est minime l'essentiel se faisant sur les ports de commerce. La plaisance est créditée d'une part de 0.8 % dans la pollution marine ! Il est donc inutile voire contre-productif de se focaliser dessus, par contre elle contribue pour une énorme part à la vie des habitants actifs du littoral par son poids économique.
    • Pas d'accord
      1
    philippe
    La plaisance 0.8%, vous oubliez à mon ressenti toutes les structures associées, les infrastructures portuaires sont loin d'être neutres, sans compter les conséquences des mouillages sur les herbiers de zoostères par exemple ou encore l'impact des ancres. Et, comme vous êtes semble t'il du métier ou propriétaire d'un bateau, reconnaissez que l'envasement n'est problématique que pour une partie des bateaux de plaisance (les quillards). On a tous notre fardeau... Et considérant ce qui est régulièrement dit (manque de places), si un port devenait inadapté aux quillards, ceux-ci se reporterait sur un port plus adapté et les places ne resteraient pas vide pour autant donc j'ai du mal à croire à un incidence économique.
    • Pas d'accord
      1
    Alain Redon
    0.8 % c'est tout compris. Votre remarque sur les quillards n'a aucun sens. De plus où voyez vous des créations de ports ?
    • Pas d'accord
      1
  • Développer des analyses globales de branche

    philippe - 15 Février 2018 - 22h44

    La pollutions des eaux à de multiples conséquences fort coûteuses aux contribuables et catastrophiques pour l'environnement. Le milieu agricole, l'industrie comme nous tous portons notre part de responsabilité. Des efforts ont été accomplis, sans nul doute, mais il serait bon de porter des analyses globales. Quels sont les coûts globaux de ces pollutions, solutions engagées pour y remédier etc, il me paraît évident que certains pans entier de l'économie française seraient clairement largement déficitaires sur une analyse économique élargie de la sorte. Ce sont pourtant certains secteurs largement soutenus par des dispositifs financiers. Continuer à les soutenirs sans réorientation des exigences au nom de la compétitivité, c'est clairement se tirer dans le pied en dopant du même coup les conséquences néfastes générées qui plombent notre économie et le budget des ménages.

    Riot Elen
    Il existe des outils tels que la comptabilité environnementale qui permettent de penser autrement le rendement et la productivité, à longue échéance et en fonction de l'empreinte environnementale.
    • Pas d'accord
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  • Réponse condensée sur les 4 sondages... Lire jusqu'au bout... Merci

    verseau37 - 15 Février 2018 - 17h34

    BIBLE et GUIDE à suivre à la lettre concernant la mer et l'océan.
    ¤ La Mer comme l'Océan n'appartiennent à personne.
    ¤ Toutes personnes morales et individuelles intervenant de manières obstructives à la bonne vie aquatique, à la conservation du littoral devra en payer les dégâts. (sans passe-droit).
    ¤ Tout individus ayant pour commerce les prélèvements dans la Mer ou les Océans doit assumer la bonne vie de ceux-ci en payant une contribution.
    ¤ Une participation doit être demandée pour toutes personnes ayant des activités sur et sous la Mer ou Océan.
    ¤ Tous pollueurs doit faire l'objet de poursuites judiciaires, sans aucun passe-droit, ce qui est loin d'être le cas actuellement.
    ¤ Les lois en vigueur ne doivent pas être occultées. L'honnêteté doit être le cheval de bataille de tous les hommes politiques, pour l'instant nous en sommes encore loin pour ce qui concerne l'application des lois maritimes en vigueur.
    Appliqué rigoureusement, l'avenir sera assuré pour les générations futures.

  • Plus de pragmatisme, moins de technocratie

    vigibaie - 15 Février 2018 - 10h38

    Après plus de 30 ans d'action associative dans la Baie du Mt St Michel-Patrimoine Mondial : des améliorations, une prise de conscience mais beaucoup reste à faire.
    Tout d'abord, combattre la lenteur dans la mise en oeuvre des politiques publiques. Plus une question de volonté politique, de compétences que de moyens. Exemple, les SAGE doivent être des priorités. Les plans d'actions doivent être "boostés". Plus concrètement, après des remembrements abusifs, des linéaires de haies doivent être exigés sur les bassins versants et la plantation d'arbres (CO2 + revenus complémentaires) doit être rendue obligatoire sur les bandes enherbées (directive nitrates) dans les marais et les zones humides.

  • Réduire les pollutions vennant de la terre

    Sylvain ANDRÉ - 15 Février 2018 - 07h45

    Sans parler de la réduction des rejets de l'activité humaine en amont qui est la première mesure à prendre, il faudrait aider la nature à piéger ou à digérer ces pollutions.
    Je pense notamment à laisser libre le lit des rivières et des fleuves (piège à sédiment, régulation du débit, etc...), à planter des végétaux favorisant l'élimination des composés phosphorés et azotés à proximité des lieux à forte concentration humaine ou agricole sous forme de micro station de "lagunage" par exemple.

    Annie Tibook
    Cela ne coûte pas très cher et peut être très efficace
    • Pas d'accord
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  • Repenser la gouvernance et les priorités d'aménagement sur le littoral

    Charlie - 12 Février 2018 - 22h18

    Les espaces côtiers sont une zone de transition au potentiel écologique extraordinaire si on se donne la peine de le préserver ou de le reconquérir. Le changement climatique et l'élévation du niveau marin qui en découlera nous donne l'opportunité de repenser notre lien terre/terre, de manière plus équilibrée et non au seul bénéfice des espaces terrestres. Voyez aujourd'hui l'artificialisation importante du trait de côte, des digues à la mer de plus en plus haute au seul bénéfice d'intérêt particulier,.... Restaurons des espaces de transition plus naturels. Il est urgent de maîtriser l'urbanisation sur les espaces côtiers. Il est important de se doter d'outils financiers à la hauteur des enjeux de ces espaces et une gouvernance donnant à ses représentants une voie plus forte dans les instances de bassin.

  • Réinvestir l'intérieur de la Bretagne en populations (lutter contre désertification)

    Mike - 12 Février 2018 - 19h14

    Commencer par revaloriser le secteur rural de l'intérieur des terres.
    - aide à lutter contre la densification des côtes.
    - permet de réalimenter en économie les circuits courts qui sont liés au secteur agricole par une meilleure distribution des richesses grâce à une nouvelle infrastructure des réseaux.
    - avec de nouveaux débouchés économiques, effort plus important effectué pour la prévention: car qui se soucie des endroits où personne (ou peu) n'habite?
    - génère une meilleure image de la région.

    Plijadur
    Je suis tout à fait d'accord, bonne idée. Lors des rénovations de route, sentiers de randonnées, de vélos, et les dessertes par transports en commun , penser aux communes rurales. On peut imaginer des collaborations entre offices de tourisme, hôteliers, campings quand au mois d'août c'est complet sur nos côtes.
    • Pas d'accord
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  • Autoriser les FaréVillages sur les PPRI !

    FAREA - 12 Février 2018 - 16h46

    Autoriser l’implantation de “FaréVillages” ([lien supprimé]) POUR :
    Réduire la pollution liée au transport de la nourriture : Circuits courts (nouriture clients)
    Valoriser les productions locales = Sécurisation des acteurs et création d’emplois L’entreprise FAREA ne travaille qu’en circuits cours et avec les producteurs locaux.
    Faréa assure (avec le concour des circuits en place des communes) l’entretient des sites dédiés à son exploitation.
    Faréa ne met aucun matériels plastique à disposition de la clientèle.
    Les FaréVillages sont destinés initialement aux lacs, lagons, lagunes, fleuves et mers protégées. Ce sont des bateaux à 4 coques ou 2 coques, autonomes en EAU et en ELECTRICITE. Les Faréas n’ayant aucune liaison électrique ou circuit d’eau, ils sont autorisés (avec l’accord de l’autorité gouvernante, selon la dangerosité du PPRI ) à être installé sur ces terrains devenus inutiles.

    avocette
    Détournement de la consultation au profit d'une vulgaire publicité, FAREA cherche des affaires et n'a rien à faire ici !
    • Pas d'accord
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  • Faire évoluer l'agriculture et l'élevage vers des pratiques plus soucieuses de l'environnement

    Gilles Roger - 12 Février 2018 - 12h55

    Nous devons développer les circuits courts, notamment les réseaux de distribution alimentaire de produits permettant aux agriculteurs/éleveurs de mieux valoriser leur travail en mettant l'accent sur la qualité et la diversité des productions issues de leurs terroirs vendues directement aux consommateurs situés sur ces mêmes terroirs. Il s'ensuivra un cercle vertueux vers toujours plus de qualité, plus de respect de l'environnement et des revenus accrus en raison d'un meilleurs prix de vente, d'un moindre recours aux intrants chimiques et aux achats extérieurs ( soja pour l'élevage auquel on préférera l'herbe ...) et de revenus annexes (écotourisme ...).

  • Passer le message...

    Pascalou Loulou - 12 Février 2018 - 11h18

    Bonjour,
    Ha si il pouvait y avoir une dictature écologique le temps que toute les bonnes résolutions/habitudes se mettent en place se serait 1000 plus efficace. Bio bio et bio point barre.
    Et même si je ne suis pas un exemple mais je progresse, ce qui m'a fait justement prendre conscience de tous ses problèmes est lier à l'informations, plus précisément à la multiplication et à la diversifications de celles-ci ( médias télé/pc/presse/librairie/affichage).
    Mais c'est aussi A NOUS et pas qu'aux autres/gouvernement de passer le message, le rabacher sans cesse autour de nous (cela trop peut en sont conscient ou le font). Nous somme au contraire la sources d'informations la moins chère, la plus omniprésente, la plus diversifié... Pour nous faire prendre conscience le messages doit être vue, entendu, répéter.

  • zone de non droit

    Michel Leroux - 12 Février 2018 - 11h02

    La mer et plus particulièrement l'estran est une zone de non droit, que les pêcheurs pros , les communes ont toujours considérés comme une poubelle sans fin. Rejets non traités dès qu'il pleut, dépôts de rebus de matériel de pêche professionnelle (avec souvent l'immatriculation du bateau comme quoi il n'y a pas de police en maritime). Si les communes fluviales se comportaient de la même façon , je n'ose imaginer dans quel état seraient les rivières. Il est temps que l'impunité des utilisateurs des bords de mer s'arrête

  • algues vertes et élevages industriels

    Paypsy - 12 Février 2018 - 01h13

    Il aura fallu plusieurs décennies pour que les bretons comprennent, grâce à la prolifération des algues vertes, l'un des dangers que représentent les élevages concentrationnaires de porcs. Il est permis d'espérer qu'en dépit des facilités que le précédent gouvernement a mises en place (plus besoin de demande d'autorisation en-deçà de 2000 bêtes), les vendéens pourront faire mieux. Mais l'idéal serait qu'ils n'aient pas à s'en rendre compte. Saurons-nous fermer l'usine de Poiroux et tous les ateliers d'engraissement qu'elle a déjà générés ?

  • DRAGAGE DES BOUES DANS LES PORTS

    PAT-GX - 10 Février 2018 - 20h12

    Avec un gouvernement qui veut se montrer "écologique" quand pense-t-il arrêter l'immersion des boues de dragage dans les ports ? boues qui étouffent la flore marine avec une conséquence catastrophique sur la faune. Le manque de transparence des pouvoirs publics qui ont promis une gestion des boues à terre (voir l'étude de synthèse octobre 2012 faite Mélanie HAQUIN Chargée de mission à l’ODEM). Actuellement ce sont les boues du Scorff, draguées au niveau du chantier DCNS, qui sont déversées entre Groix et Guidel. Il faudrait une loi obligeant une étude sur l'impact environnemental avec une traçabilité des boues .

    Michel Leroux
    excat , mais le problème c'et que ce sont des rejets salés que l'on ne peut pas épandre sur les terres agricoles
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    FNPA
    Heureusement la loi existe: elle est européenne et les seuils de pollution fixés en France sont avec ceux des hollandais les plus contraignants d'Europe!
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  • Vive la phytoépuration !

    Erwan - 09 Février 2018 - 22h59

    Les résultats obtenus par la phytoépuration sont excellents. Le lagunage remplace le rôle autrefois joué par les zones humides qui aujourd'hui sont si peu nombreuses. Il faut donc promouvoir, notamment dans les collectivités locales, l'installation de ces zones de phytoépuration, notamment pour les cours d'eau qui se jettent à la mer et transportent toutes les pollutions terrestres issues -on le sait depuis des décennies et rien ne change ou si peu- du modèle productiviste intensif breton, dans l'élevage, l'agriculture, et toute la filière. La phytoépuration ne va pas forcément dans le sens des grands industriels du traitement de l'eau. Là encore, il va falloir résister aux lobbies. Pour plus d'info sur ce mode de traitement des eaux : [lien supprimé]

    Beatrice Drouaud
    Il faut aider les agriculteurs pour qu'ils puissent mettre en place ces solutions.
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  • Veiller à ce que les déchets issus de l'exploitation des parcs soient ramassés par les professionnels qui les génèrent

    Alice - 09 Février 2018 - 11h48

    Il ne s'agit surtout pas de faire la guerre aux ostréiculteurs. Cependant, parfois la quête de réduction des coûts peut les amener à faire des économies de bouts de chandelles qui s'avèrent désastreuses pour l'environnement.

    Dans la baie de Paimpol, depuis deux ans maintenant, deux très nombreuses saches plastiques vides et cassées, des caoutchoucs utilisés pour maintenir les saches sur les tables et cassés. Si pour l'instant, ça ne gêne que les personnes qui se promènent et se baignent, un ou deux ostréiculteurs conscients du problème, il faudrait faire comprendre à tous que ces plastiques vont se briser petit à petit et générer une pollution plus pérenne qui à un moment donné ou à un autre sera préjudiciable à l'activité des ostréiculteurs.

    Michel Leroux
    Voir les centaines de protège pieds de poteaux à moules "perdu" et non ramassés sur le Vivier sur mer et Cherrueix. Maintenant il y en a des milliers sur les herbus. Il a bon dos le label des moules de la baie
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    philippe
    bonjour Avis tout à fait partagé, certains professionnels n'en ont que faire et d'autres désabusés par l'image de marque que cela leur donne. Il y a là clairement un manque de surveillance/police car c'est un constat quasi généralisé dans tous les secteurs ostréicoles/mytilicoles Cordialement
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    YG
    tous les acteurs doivent se mobiliser pour récupérer leurs détritus, que ce soient les touristes, mais aussi les "travailleurs de la mer", ostréiculteurs, pêcheurs... qui s'estiment au dessus de ces actions car pensant que le milieu leur appartient!!
    • Pas d'accord
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    Vince29
    Idem en Baie de Seine
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  • Veiller à ce que les déchets issus de l'exploitation des parcs soient ramassés par les professionnels qui les génèrent

    Alice - 09 Février 2018 - 11h47

    Il ne s'agit surtout pas de faire la guerre aux ostréiculteurs. Cependant, parfois la quête de réduction des coûts peut les amener à faire des économies de bouts de chandelles qui s'avèrent désastreuses pour l'environnement.

    Dans la baie de Paimpol, depuis deux ans maintenant, deux très nombreuses saches plastiques vides et cassées, des caoutchoucs utilisés pour maintenir les saches sur les tables et cassés. Si pour l'instant, ça ne gêne que les personnes qui se promènent et se baignent, un ou deux ostréiculteurs conscients du problème, il faudrait faire comprendre à tous que ces plastiques vont se briser petit à petit et générer une pollution plus pérenne qui à un moment donné ou à un autre sera préjudiciable à l'activité des ostréiculteurs.

  • Réduire les plastiques près de chaque littoraux

    Lucas Nouguier - 08 Février 2018 - 22h57

    On pourrait favoriser les emballages en carton pour la nourriture vendu près des littoraux, plutôt que le plastique, au moins, le carton se désagrège assez rapidement, peut être fabriqué à partir de papier recyclé et n'est pas mortel pour les tortues.
    Tout comme on peut choisir de créer un système de point en fonction de la quantité de déchets récolté. Chaque personne possède sa propre carte et lorsqu'un certain quota a été atteint, obtenir une réduction sur un magasin partenaire, ou bien une petite déductions sur les impôts etc...
    Sinon, on peut aussi essayer de réveiller l'instinct protecteur du foyer qu'on les animaux, sans qu'il y ait forcément une récompense à la clé. Le faire pour protéger une importante biodiversité par le biais de campagnes, affiches et médias comme cela a déjà été annoncé.

    Clara
    Déjà il y aurait une campagne d'affichage sur toutes les plages montrant les méfaits des plastiques dans la mer : tortue de mer, microplastique dans les poissons, etc ...Avec photos à l'appui, cela sensibiliserait davantage de personnes, et particulièrement les enfants. Cela inciterait les gens à ne pas jeter et d'autres à ramasser ce qu'ils trouvent. Si on ramasse c'est pour la mer pas pour soutenir les irresponsables qui abandonnent leurs plastiques sur les plages ou rivières.
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    Beatrice Drouaud
    Faire comme à saint nazaire,mettre des bac de récupérer sur les plages!
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    Michel Leroux
    Faux , la plupart transite par les cours d'eau...
    • Pas d'accord
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  • Respect des lois et logique enfantine

    Tom - 08 Février 2018 - 17h17

    Réduire les pollutions venues de la terre, qui influencent la bonne qualité de l’eau sur le littoral passe par :
    - l'application drastique des lois actuelles (préservation des zones humides, principe pollueur-payeur, ...)
    - stopper l'érosion des zones naturelles tampons servant de filtre naturelle entre la terre et la mer : empêcher l'artificialisation des zones côtières et des cours d'eau, tout en préservant les activités humaines durables et intégrées à ces écosystèmes.
    - interdire tout composé chimique persistants ayant des effets délétères à long terme (POP, perturbateurs endocriniens, ...)
    - aider les terriens dans leur vie privée et professionnelle à modifier leurs activités (agriculture, urbanisation, consommation,...)
    - réduire en amont la quantité de polluants potentielle en rationalisant leur utilisation et en restreignant les activités polluantes terrestres non essentielles pour la vie humaine, en respect avec l'intérêt général et la santé des populations

    choucas
    inciter à prendre à bras le corps le problème de santé publique que représente le rejet, via nos urines, dans l'environnement des oestrogène et progestérone liés à la volonté de maîtrise du cycle de fertilité féminin...
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    Plijadur
    Les fabricants de produits chimiques devraient être obligés de déclarer tout produit mis sur le marché et qui risque de finir dans l'environnement. Avec leur composition chimique exacte. Dans un rapport un scientifique faisait un bilan des produits chimiques atteignant la mer et se plaignait que un tiers des produits était seulement donné avec leur appellation commerciale et pas leur composition... donc impossible d'évaluer la toxicité. Il faut vraiment que l'on puisse mieux identifier en quantité et qualité les produits qui finissent à la mer. Sinon les scientifiques courent après des pollutions difficiles à cerner. La mer est fragile, la moitié de notre oxygène vient de la mer. (phytoplancton)
    • Pas d'accord
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    Michel Leroux
    Créer une réelle police de l'Environnement qui cible les rejets marins, car mles ville du bord de mer se permettent encore des rejets très polluants en jouant sur la dilution parine
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  • RESPECT SANS FAILLE DE LA LOI LITTORAL DES NORMES ENVIRONEMENTALES

    papyrus - 07 Février 2018 - 22h12

    les lobbys de la construction,del'indusrie chimique,du tourisme de masse pervertissent et manipulent l'opinion,les élus,afin d'étendre leur pouvoir et engranger encore plus de profits
    l'état,les pouvoirs publics ,les organismes territorriaux semblent impuissants face à ce système.
    nous connaissons les sources de la pollution de l'eau mais les acteurs pollueurs restent trop souvent impunis ou payent des droits à polluer.
    renforcer les peines et ammendes afin de dissuader les pollueurs
    multiplier les controles et sanctionner très lourdement afin d'en faire des exemples pourfaire pression sur les autres.












    choucas
    et s'éduquer soi même...
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    Michel Leroux
    Personne pour faire appliquer les lois sur le territoire maritime
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  • Education, Incitations et Sanctions - Déchets Solides Ménagers

    Thierry de Fougerolles - 07 Février 2018 - 19h53

    Réduire la pollution de notre littoral et de nos océans passent par une réduction des déchets à la source, à savoir sur terre et dans les cours d'eau qui drainent ceux-ci vers la mer. Pour se faire, l'expérience de Taiwan, surnommée Garbage Island dans les années 1980, est instructive. Conscient de l'impact désastreux sur l'environnement, l'Etat Taiwanais a mis en oeuvre une stratégie de prise de conscience et d'alignement des intérêts reposant sur trois leviers principaux :
    - Education : Dès le plus jeune âge, sensibilisation des enfants à travers de multiples média, en leur faisant faire le ménage dans les classes, en les emmenant en classe de mer...
    - Incitations : Facturation des déchets proportionnelle au poids, incitation fiscale à la création d'un écosystème autour du recyclage (même des filets marins)...
    - Sanctions : Amende effective en cas d'acte pollueur, dénonciation citoyenne possible vidéo à l'appui, taxe des industriels produisant des emballages jetables...

    TristanB
    Une logique élémentaire à enseigner dès le plus jeune age: Ce que tu jette par terre finira dans l'océan, intégrera la chaine alimentaire et finira dans ton assiette. Alors ton mégot, tu le manges tout de suite ou tu le mets à la poubelle?
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    Michel Leroux
    Mais quelle police va s'en occuper
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  • Respect des reglementations

    Tuberidor - 07 Février 2018 - 13h21

    Si déjà on faisait respecter les réglementations en vigueur ?! Je visite de nombreuses industries, plastique par exemple, et le respect des règles laisse vraiment à désirer : sacs de billes plastique ouverts laissant déverser le contenu par terre, à l’exterieur. Rejet dans les courts d’eau plus ou moins contrôlé (quand on comprend le fonctionnement, c’est facile de contourner), manque de contrôle des services d’état (manque de personnel ?). En France, 70 a 80% des coûts d’eau sont pollués et se retrouve dans la mer.
    On peut parler aussi des pesticides et engrais en Bretagne ? Résultat : algues verte.
    Et les rejets des usines d’alu en Méditerranée ? Sans parler des rejets d’eau tritiée dans la manche...
    L’industrie est toute puissante et met la pression au gouvernement. Facile, les délocalisation pèsent fort dans la balance. Et puis les seuils de rejet sont-ils établit suivant le besoin des industriels ou suivant la santé de la population et de l’absence nature ?

    Beatrice Drouaud
    Il est vrai que malgré les efforts,les alertes les algues vertes sont toujours là. Moins de produits déversés dans les champs =moins de polution ,mais il y a aussi les produits sur les coque des bateaux etc. ..une montagne à gravir. ...
    • Pas d'accord
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    Beatrice Drouaud
    Il est vrai que malgré les efforts,les alertes les algues vertes sont toujours là. Moins de produits déversés dans les champs =moins de polution ,mais il y a aussi les produits sur les coque des bateaux etc. ..une montagne à gravir. ...
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  • Réduction des déchets à la source et éducation

    Tristan Hatin - 07 Février 2018 - 11h18

    Le meilleur déchet est celui que l'on ne produit (consomme) pas. N'oublions pas que 80% des déchets que l'on retrouve en mer proviennent de la Terre. Pour cela il est important de :

    - Réduire les déchets à la source. Par exemple : grâce à la consigne des bouteilles plastique, l'interdiction totale des sacs plastique à usage unique ....

    - Continuer à éduquer les générations futures (dès la maternelle) sur la réduction des déchets (participation à des collectes de déchets sur les plages, réalisation d’œuvres artistiques avec les déchets trouvés, expliquer le temps de décomposition de chaque type de déchet, l'impact direct qu'ont les (micros) plastiques sur la faune et la flore terrestre et marine).

    - Sensibiliser le public sur la pollution générée par les mégots de cigarette. En effet un mégot étant composé de nombreux produits chimiques, ils peut polluer à lui seul jusqu'à 500 litres d'eau. Obliger les fabricants à participer au financement de cette campagne.


  • Pollution marine

    Adeline P. - 07 Février 2018 - 10h59

    Une meilleure connaissance de la biodiversité, des enjeux qui y sont liés et des effets sur le milieu marin seraient à mettre au programme des apprentis matelots. Nombre d'entre-eux jettent leurs poubelles à la mer au lieu de les ramener à terre. Poubelle ayant un impact sur la biodiversité mais aussi sur la ressource halieutique, leur propre terrain d'emploi.
    En outre, créer des plate-forme poubelle avec une contrepartie financière pour que les pêcheurs puissent ramener quand ils le peuvent, les déchets qu'ils trouvent en mer (réfrigérateurs, pneus...)
    Enfin, une concertation pêcheurs (à pied, côtiers et hauturiers)/conchyliculteurs/agriculteurs pour une gestion intégrée de la zone côtière.

    Tizef
    En prévoyant bien sur une indemnisation adaptée au bateau qui rapporte ces déchets.
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  • Détermination des zones concernées par les futures submersions marines suite au changement climatique

    dg22 - 06 Février 2018 - 18h31

    Le changement climatique en cours provoque une élévation inexorable du niveau de la mer qui pourrait être de plusieurs mètres à la fin de ce siècle.
    Il est donc indispensable de caractériser de manière détaillée le futur niveau de la mer à l’orée de 50 et 100 ans (durées de vie d’installations et d’infrastructures habituellement retenues dans les projets).
    Tout nouveau projet d’implantation d’installations littorales devrait prendre en compte les zones de submersion futures ainsi définies.
    Les installations existantes dans les zones définies devront faire l’objet d’une réévaluation complémentaire de leur sécurité pour s’assurer que les conséquences d’une submersion future sont maitrisées.
    Pour rappel, les quais des différents ports littoraux lors des pleines mers en vives eaux sont souvent à peine au-dessus du niveau de la mer. Une élévation supplémentaire d’1 m voire plus entraînerait l’inondation périodique de ces ports à moins d’effectuer des travaux a priori extrêmement couteux.

    Tuberidor
    Sans parler des effets des infrastructures humaines sur l’ebvironnement...
    • Pas d'accord
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    Pragmatique
    c'est pourquoi il est important que les nouveaux projets de construction de port en tiennent compte. Ils seront plus adaptés et moins coûteux que de vieux ports qui ne sont pas réaménageables.
    • Pas d'accord
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  • Pollutions chimiques

    François - 06 Février 2018 - 18h31

    La plus importante pollution par rejet en mer vient de l'agriculture intensive avec les engrais et les pesticides qui finissent en mer.
    Il y a lieu également de s'interroger

    la marie
    Et l'élevage intensif aussi (volaille, porcs)
    • Pas d'accord
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    Noedesbois
    Proposer des formations OBLIGATOIRES les agriculteurs à la connaissance de la terre par la pédologie. En complément, leur faire faire des études de sols afin qu'ils connaissent les capacités de leurs sols en nutriments et en eau. Ces formations pourraient leur permettre de limiter leur consommations d'engrais. Faire des contrôles sur les exploitations par la suite pour vérifier.
    • Pas d'accord
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  • Remonter les nitrates pour maîtriser plus le cycle de l'azote

    REVEST - 05 Février 2018 - 23h40

    Les nitrates d'origine agricole partent dans les champs, puis dans les rivières, et finissent en mer où elles provoques des explosions de croissance des algues, particulièrement des ulves.

    Il faudrait organiser un ramassage destiné à l'engraissement des champs, comme on le faisait autrefois avec le goémon. Dans la foulée, inciter aussi les particuliers à ramasser ces algues pour leur jardin potager.

    Cela aiderait à dénitrater la mer et à baisser notre consommation d'engrais chimiques, nocifs pour nos sols (voir les conférences de Claude Bourguignon).

    aveta
    oui pour l'arrêt de l'épandage de produits chimiques dans les champs et aux antibiotiques systématiques dans les élevages qui contribuent à la prolifération des algues vertes. Par contre, attention aux prélèvements des algues qui sont aussi le refuge de nombreux animaux. Prélever à tort et à travers risquerait de nuire à la biodiversité
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    la marie
    Bonne idée, et je le pratique déjà !
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    la marie
    Il n'est pas question de prélever les algues attachées à leur support rocheux, mais les laisses de mer échouées sur les plages
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    Noedesbois
    Limiter les nitrates à la source en formant les agriculteurs. Beaucoup ne connaissent pas les capacités de leurs sols. En comparaison ,les forêts poussent sans engrais pour permettre à des arbres de 30 mètres de haut de vivre. Et limiter les ventes d'engrais aux particuliers par un quotas annuel (En délivrant une carte par exemple).
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  • Respecter tous les espaces naturels

    SLOVOU - 05 Février 2018 - 22h09

    Sanctionner les déchetteries sauvages; organiser des sorties collectives et citoyennes pour nettoyer les espaces; apprendre à aimer la Terre et prendre conscience que nous pouvons adopter des gestes simples pour limiter les dégâts; éduquer tous les âges. Lancer un message fort pour les futures générations: ce que nous pouvons améliorer sera un plus pour nos enfants et petits enfants.

    mirjossbom
    Je suis en total accord avec cette proposition de bon sens, que ce soit l'éducation familiale scolaire, sociale - l'ensemble de la collectivité - et réapprendre le sens de la vie ensemble, lutter contre cet égocentrisme ambiant qui nous sépare de plus en plus du bien vivre, contrairement à ce que l'on croît ; l'apprentissage du littorale et son respect pour un meilleur futur devrait être inclus dans les programme scolaires pour toutes les populations vivant en bord de mer. Les sorties "littoral" organisées par les communes du bord de mer devraient avoir lieu pendant les vacances pour ceux qui ne l'ont pas dans l'année.
    • Pas d'accord
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    Le grillon
    Déchèteries sauvages (de Slovou): oui mais comme dans la plupart des domaines, les amendes ne sont pas assez dissuasives et ni proportionnelles aux revenus des contrevenants (comme dans certains pays du nord de l'Europe)!
    • Pas d'accord
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    la marie
    Oui, l'éducation, c'est essentiel, à l'école comme à la maison
    • Pas d'accord
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    Noedesbois
    Éducation à l'école. Et amende dissuasive pour les déchetteries sauvages.
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    Alain Redon
    Comment sanctionner les déchetteries sauvages ? Les auteurs ne les alimentent pas au grand jour ! Par contre faire payer les dépôts en déchetteries est contre productif et provoque justement les rejets n'importe où !
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  • Algues vertes et dégazages

    Etienne - 05 Février 2018 - 18h53

    D'une part concernant les algues vertes, il est prouvé que cela vient en partie d'une utilisation intensive d'engrais qui, utilisés de manière raisonnable nuisent peu à l'environnement.
    Concernant les dégazages en mer par les navires au niveau du DST, la préfecture maritime devrait avoir la possibilité de poursuivre les contrevenants si ce n'est pas déjà le cas, auquel cas les sanctions devraient être extrêmement lourdes.

    la marie
    Oui, les sanctions doivent être véritablement dissuasives et appliquées !
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  • Produits de dragage des lits de rivière, des bassins portuaires

    Jean-Yves Bourcereau - 05 Février 2018 - 15h30

    Ne plus permettre aux collectivités de rejeter les produits de dragage des lits de rivière et des bassins portuaires en bord de mer.
    exemple : Siant-Gilles-Croix-de-Vie
    [lien supprimé]

    Traiter les produits les plus nocifs à terre

  • Les efforts collectifs

    Lilip56 - 05 Février 2018 - 13h48

    Et si la loi de protection du littoral nous protégeait aussi? Alors les autorisations des bâtiments de France seraient accordées en toute objectivité pour protéger la nature et donc les Hommes.

    Dans la continuité, les éoliennes en mer, pas si écologiques que cela, dénaturent le paysage...il faut rester objectif pour garantir l’harmonie...

    Et en priorité, mettre en place des choses simples:
    Et si, en se promenant sur nos côtes, on prenait le temps de ramasser les détritus trouvés en chemin? (et encore mieux de trouver des poubelles sur le chemin...)
    Et si on éteignait les lumières plus souvent..
    Les efforts collectifs sont l’une des clés pour demain...

  • Revenir à des pratiques vertueuses

    Yannick Cherel - 05 Février 2018 - 11h59

    Aujourd hui, le doute n est plus permis, nous savons que le modèle agricole en place est un me menace pour notre environnement naturel en général et notre environnement littoral en particulier. Il est évident qu il est temps de revenir à des pratiques plus vertueuses en matière de production. Revenir à de petites unités multiples, rotations des terres, peu ou pas d intrants... mais il est aussi essentiel de reforger un maillage bocager sur les bassins versants!! Depuis des années on voit des subventions gâchées qui permettent aux agriculteurs de financer la plantation de haies ornementales autour de leurs exploitations à grand renfort de bâches plastiques... ces subventions avaient été mises en place (a juste titre) pour réformer un bocage maillé de talus et de haies qui permettent de limiter le lessivage des sols , et donc leur appauvrissement ainsi que les apports connus sur le littoral(marées vertes).

    Le grillon
    Pratiques agricoles vertueuses (de Cherel) : OK + trop de haies disparues (qui fournissaient aussi du bois de chauffe), + de fossés qui favorisent la rapidité d'écoulement des eaux et les inondations (donc la baisse de réapprovisionnement des nappes phréatiques) la plus grande précocité de la sécheresse des sols en été...même si cela permet à l'exploitant d'aller plus tôt travailler ses terres au printemps). De plus trop de labours dans le sens de la pente... alors que les anciens suivaient les courbes de niveau pour éviter l'érosion ... Sans parler de la baisse de l'humus et de la (micro et macro) faune du sol à cause de l'abus d'intrants chimiques!
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  • Le Scandale du Tout à l'égout en Zone Rurale

    jcjestin - 04 Février 2018 - 20h22

    En 10 ans EVA-FAPEL22 a enquêté sur l'extension de l'assainissement collectif Ce système déverse DIRECTEMENT des déchets toxiques et pathogènes vers la mer. Il contribue notablement à la diffusion et l'aggravation des antibiorésistances ! Le terrassement du bocage qu'il nécessite impacte les nappes phréatiques et draine les bassins versants Les fuites récurrentes polluent ces nappes. Les pompes de relevage sont implantées en zones sourcières sans précaution ni étude d'impact et détruisent les sources. Les pannes pollutions et sur-verses résultent en arrêtés préfectoraux réguliers d'interdictions de pêches Cela contribue à l'appauvrissement de la mer en oxygène et à une dépopulation de la faune marine. L'assainissement individuel est infiniment préférable et moins cher, mais cette implantation qui prétexte l'assainissement sans études sérieuses résulte d'une entente politicoéconomique mafieuse notoire. Il faut stopper ce système et encourager l'ANC, bien moins cher et plus durable.

    Le grillon
    Tout à l'égout rural (de Jestin) : je découvre cette information : à prendre impérativement en compte! + "Hors-sujet?(géographique)": quid de l'assainissement en bord de mer surtout au bord de la Méditerranée (villa au ras de l'eau! Presque pas de marée! Sans parler de l'espace de circulation du public qui a disparu dans de nombreux endroits...
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  • Réduire les marées vertes en agissant en amont

    Matthias Heilweck - 04 Février 2018 - 20h18

    Pour réduire les marées vertes, je suggère d'adapter une technique que j'utilise dans mon bassin à poissons rouges en Alsace pour conserver une eau claire. Dès les beaux jours, j'y place une laitue d'eau qui, le soleil aidant, se multiplie très rapidement. Elles tendent à couvrir toute la surface disponible si je n'en sors pas régulièrement. Les longs réseaux de fines racines pompent tous les engrais disponibles et l'eau est claire comme de l'eau de roche jusqu'au début de l'hiver. Puis, en-dessous de 10°C, les laitues d'eau meurent. L'adaptation de cette technique à la région bretonne serait de placer au printemps des laitues d'eau, retenues dans des filets (une laitue d'eau par filet de volume de 500 litres) dans les cours d'eaux pour les laisser se reproduire et extraire un maximum d'engrais avant qu'ils n'atteignent la mer. Il sera plus facile de récolter ces filets lorsqu'ils sont pleins que les algues sur les côtes. Essayer cette technique ne coûtera pas une fortune.

    morbrazz
    peut être en recréant le bocages et les haies ?
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    Matthias Heilweck
    Oui, la technique des laitues d'eau deviendra inutile lorsqu'on aura recréé les bocages et les haies, réhabilité les zones humides, abandonné l'agriculture intensive et l'élevage hors-sol. En attendant...
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  • Changer les habitudes

    Jean-Luc GUILLIER - 04 Février 2018 - 11h01

    Une agriculture raisonné et bio, des élevages à taille humaine.
    Un recyclage des eaux usées plus encadré, ainsi que le respect de la nappe phréatique en faisant la chasse au décharges sauvage.

    Martine Leclerc
    Développer la plantation d'arbres, notamment des arbres fruitiers, dans les villes et villages.
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  • PROTEGER LES ESPACES NATUREL

    Jean Louis M. POUGET - 04 Février 2018 - 08h54

    Pour conserver le littoral en bon état il est nécessaire de ne pas favoriser à tout prix la construction de défenses contre la mer qui ont un coût élevé (tant à la construction qu'à l'entretien).
    De même l'urbanisation de nos côtes devrait être plus encadré aussi bien sur les zone qu'en quantité.
    Egalement la construction de parkings et de voirie en bordure de mer favorisent l'écoulement rapide de l'eau et de facto entraîne une érosion rapide du littoral

    blueschist
    Après les tempêtes de 2013-2014, un enrochement maritime a été construit a été construit à Guidel pour lutter contre l'érosion dunaire et l’affaissement de la falaise. Il est fort probable que la construction de cette défense côtière a perturbé les courants autour du promontoire, en créant un effet d’affouillement qui a augmenté la perte du sable dans cette zone. A l’avenir, il sera souhaitable de repenser la stratégie de protection contre l'érosion, en déplaçant la voirie vers l’intérieur des terres, afin d’atténuer les risques d’affaissement
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    Martine Leclerc
    Ne pas détruire les espaces naturels existants. Ne plus construire et bétonner sans garder des zones vertes naturelles ou s'il n'y en a plus replanter. En bord de mer, garder la loi littoral qui met à distance toute construction.
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  • Comment réduire les pollutions venues de la terre, qui influencent la bonne qualité de l’eau sur le littoral ?

    MakeOurFrenchResearchGreatAgain - 03 Février 2018 - 20h55

    Pour commencer il faut argumenter toutes propositions pour réduire les pollutions venues de la terre, qui influencent la bonne qualité de l’eau sur le littoral. Il convient en premier d'établir un diagnostic indépendant des agences de l'eau (pourquoi pas les universitaires) permettant d'établir l'état écologique et de quantifier via des indicateurs l'état de santé des fleuves et rivières. Quels sont les zones concernées? Quels sont les polluants? Quels sont les sources de polluants? Quels sont leurs variations spatiales et temporelles? Quelle est la résilience des systèmes face à de tels perturbateurs? Quelles solutions? Quels impacts pour l'économie de la mer, les homme et les sociétés ? Et on pourrait multiplier comme cela les questions mais il faut se baser sur des études scientifiques indépendantes afin de proposer de réelles solutions! Toutefois, je trouve que ce type de participation citoyenne est intéressante car, peut être, des idées intéressantes pourémerger.

    Martine Leclerc
    Ne plus employer de pesticides dans les champs environnants. Mieux surveiller les industriels susceptibles de déverser des polluants dans des rivières.Ne plus déverser dans la mer des plastiques, cela rejoints l'éducation des humains en commençants par les plus petits.
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    Briochin
    D'accord avec les études scientifiques : il convient de rationaliser au maximum les débats en nous appuyant sur des faits et non sur des opinions.
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  • Education et sanction

    Christelle Walou - 02 Février 2018 - 23h28

    Ce n'est pas juste de voir ceux qui polluent, industriels ou agriculteurs ou particuliers, recommencer sans cesse. Il faur assurément éduquer, informer, dialoguer mais je pense aussi qu'il faut sanctionner et pas que financièrement, les travaux de nettoyage des bords de rivières et des forêts demandent aussi de la main d'oeuvre. J'en ai assez des dépôts sauvages dans la nature que l'on retrouve sur nos belles plages (ou dans le ventre des poissons que nous mangeons).

    Martine Leclerc
    Eduquer les enfants dès la maternelle sur la vie de la terre et l'impact sur la nature de nos gestes au quotidien, de façon pragmatique. Obliger les pollueurs à dépolluer réellement et pour les industriels pollueurs, pas de procès qui n'en finit pas, des sanctions très fortes avec leur participation physique à la dépollution.
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    Alain Redon
    Pour les dépôts sauvages en campagne forêts et bords de cours d'eau il faut arrêter de diminuer les possibilités d'accès aux déchetteries en les limitant aux seuls locaux et en les ouvrant 7/7 j.
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  • Propreté de l'eau

    Raez44 - 02 Février 2018 - 22h11

    Pour que l'eau douce qui arrive en mer soit plus propre, des haies doivent border les champs et les cours d'eau. Ce sont les plantes qui filtrent l'eau et les haies en ralentissent l'écoulement.

    Christelle Walou
    Vive les haies et leurs baies pour les oiseaux. Double impact positif
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  • Produire moins déchets

    fanfan50 - 02 Février 2018 - 22h09

    Réduire la production de déchets, aller vers une économie circulaire où les objets produits auront une plus longue durée de vie et dont les matériaux pourront être recyclés facilement . Eliminer au maximum les matières plastiques et utiliser des matériaux bio-sourcés. Sinon tout cela finira inévitablement dans l'eau (fibres plastiques et nanomolécules diverses) un jour ou l'autre .

    Christelle Walou
    Eduquer la population à éviter le gaspillage et pas que alimentaire : les rues sont parfois et par endroit couvertes de déchets réparables ou recyclables :-(
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    Thérèse
    Les matériaux bio-sourcés sont une autre forme de pollution si ils obligent à utiliser des terres agricoles pour leur production.
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    Le grillon
    Produire moins de déchets (de Fanfan) : logique + produire le plus possible près de chez nous pour éviter les pollutions inutiles dues aux transports (bateau porte-conteneurs, camions...) qui utilisent des énergies fossiles.... sans parler de toutes les infrastructures (ports...) payées (c'est un comble) avec nos impôts, cela plombe la balance commerciale extérieure de la France (= dette augmente!)... Cercles vicieux et profitables pour certains(?) au nom de la mondialisation à outrance... mais aussi plus on consomme plus on paie de la TVA, chercher l'erreur...
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  • ÉOLIENNES EN MER : POLLUTION GRAVE AUX MÉTAUX DE L'EAU

    Sophie Détis - 02 Février 2018 - 11h58

    La transition énergétique ne doit pas se faire au détriment de l'environnement. L'implantation de centrales éoliennes en mer comme celles du Tréport ou de Noirmoutier/ Yeu prévoit 62 machines de plus e 200M de haut (la tour Montparnasse !) Pour résister à la corrosion, ces machines sont équipées d'anodes sacrificielles; Ce sont des pièces métalliques qui par réaction chimique protègent les structures et les mâts. Au cours de ces réactions, de l'aluminium est libéré dans l'eau à hauteur de 76 tonnes par an ! (chiffres du promoteur pour Noirmoutier), en tout 2048 t pour la durée du projet et cela à quelques km des côtes. Poissons & coquillages vont être contaminés. Cette pollution n'existe pas encore. Ne la produisons pas.

    blueschist
    Avant de conclure que l'aluminium est toxique pour les poissons dans ce contexte, il faut faire des expériences en mer et en laboratoire. Bon travail pour l'IFREMER ou une société d'expertise indépendant.
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    phil53
    Tout est toxique ou presque, c'est une question de volume et là on ne parle pas de quelques grammes. Par contre je me suis toujours demandé s'il ne serait pas possible de faire des anodes de compensation qui annuleraient ce phénomène de façon électrique. Ce serait sans doute judicieux d'utiliser quelques kW sur les éoliennes plutôt que de les utiliser à fabriquer de l'aluminium.
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  • La qualite de l eau de l air et des sols est primordiale pour toute activite future .

    amot22 - 02 Février 2018 - 10h01

    Je ne suis pas scientifique mais ce qui tue la faune a terre a les meme effets en mer
    les communes ne traite plus les sols chimiquement , les jardiniers n auront plus le droit d'utiliser des produits phytosanitaires , et l'agriculture continue de produire de la meme facon , et en plus en bord de mer .
    Cessons ce jeu de subventions pour la qualite de l eau, donnons les aux changements de pratiques agricoles .
    Sur toutes nos cotes et sur tous les bassins versants en amont des baies il faut mettre en place une sorte de cordons de quelques kilometres ou il ne sera plus possible de produire autrement que BIO plus d epandage plus de pesticide , round up ou autres. coté mer une reglementations plus severe pour le chalutage et certaines pratiques de peches et d elevage , augmentation des cantonnements ect.....
    Pour l agriculture ce passage au bio doit bien sur etre aidé et encouragé
    Il faut replanter les haies rapidement dans cette zone

  • Un écosystème unique à défendre

    Thierry Kinderstuth - 02 Février 2018 - 08h25

    Les agressions viennent autant de la mer que de la terre.
    L'oxygène de la mer tend à se réduire voire à disparaître par endroits du fait de la raréfaction des (micros)plantes marines ou de la pollution (ruissellements, embouchures de rivieres). Cette raréfaction a un impact direct sur les réserves halieutiques déjà fortement touchées par la pêche tant à pied que par des professionnels.
    Pour freiner l'inéluctable :
    - intensifier la lutte contre la pollution à terre, algues vertes etc.
    - augmenter les zones protéges pour maintenir les frayères des espèces
    - ensemencer le littoral par les espèces d'algues endémiques au littoral
    - développer une filière bio-industrielle en appui à la protection de l'écosystème breton.
    - soutenir par un financement approprié les innovations issues de la filière
    - promouvoir ces actions auprès des touristes pour informer, éduquer, diffuser sur les bonnes pratiques. Dupliquer à l'international et notamment sur les territoires français extérieurs.

  • Agir Éduquer Sanctionner Soutenir

    Chantal56240 - 02 Février 2018 - 07h07

    - valoriser et inciter les bonnes pratiques et pratiques eco responsables: bio, réductions de déchets, boisement de haies en talus etc...
    - changer de modèle agricole dès les écoles d’agriculture: abandon du tout productivisme qui tue les sols
    - eduquer dès la petite enfance à consommer moins et mieux
    - contrôler et sanctionner fortement les pratiques négatives pour l.environnement: épandages sauvages (j habite à la campagne et j’en peux vous dire que ca se fait et que les amendes ne dissuadent pas)

    Tizef
    Tous les choix qui ne vont pas dans le sens du respect de l'environnement dont mauvais et reviennent à vivre à crédit, c'est à dire à faire payer aux autres l'inconséquence de ses actes.
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  • Prévention, moyens,

    Frisette - 01 Février 2018 - 22h08

    Peut-être faudra-t-il bannir les engrais chimiques, désherbants. Mettre en oeuvre des moyens pour les compenser. Créer des centres de déchets organiques afin de créer des compostes avec un système de redistribution pour particuliers et professionnels.
    Miser sur les recherches de désherbage 'bio' , étendre l'interdiction du glyphosate et autres désherbants aux particuliers , mettre en avant les alternatives.
    Favoriser la fabrication d'emballages biodégradables, faire un maximum de prévention et pourquoi pas de répression sur les plages. Une police de la propreté ? Pourquoi pas...
    Il faut créer une verticalité des efforts. De ceux qui polluent (nous les citoyens)à ceux qui produisent des polluants (les industriels) à ceux qui autorisent la fabrication (le gouvernement). Chacun de nous est responsable...

    fanfan50
    Je suis ok et pense qu'on ne fait pas assez de prévention : qui parle de la pollution de l'eau par les mégots par exemple ?Il faudraitune grande campagne médiatique aux heures de grande écoute radio et TV et réseaux sociaux .
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    phil53
    Pour le mégots, je suis pour instaurer une consigne , les taxes sur les cigarettes devraient en partie servir à payer ce surcroit de travail. Concernant la culture, au moins pour les particuliers on peut jardiner plus que bio grâce à la pénoculture allez sur [lien supprimé] il y a plein de vidéo, même un livre.
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  • Créations de retenues d'eau

    Nicolas Schlick - 01 Février 2018 - 18h21

    Rétablir des retenues collinaires et des étangs dans les champs, drainer ces champs dans ces réservoirs (plutôt que dans les rivières), cela créera des refuges de biodiversité, attenuera les phénomènes de crues et les etiages, et évitera aux pesticides de contaminer le milieu

    fanfan50
    Planter des haies , creuser des mares ...mais où vont-ils les pesticides , ils ne disparaissent pas ? Impossible de les garder dans un bac étanche ...
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    Le grillon
    création de retenues d'eau (de Schlick): il est vrai qu'il est possible de créer des milliers de petites retenues d'eau, un peu plus grandes que les mares d'autrefois (plusieurs par ferme) tout en cultivant des plantes moins gourmandes en eau...
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  • Gestion de l'environnement et besoins sociaux-économiques: exemple des marées vertes

    JP - 01 Février 2018 - 11h19

    Alors que plusieurs contributeurs ont déjà évoqué la pollution liée aux déchets, je tiens à préciser qu'il existe une grande diversité de pollutions d'origine terrestre, certaines étant plus subtiles/moins visibles que d'autres (ex. bruit des constructions en bord de mer, lumière des villes, pollutions chimiques dues aux rejets urbains et industriels).

    Les marées vertes sont des phénomènes principalement liés aux pratiques agricoles intensives (culture et élevage) qu'il faut réguler. Pourtant, les agriculteurs (conditions de travail et rémunération) font fasse à une concurrence forte et à bas prix, venue de l'étranger. Ainsi, il semble difficile de continuer de "sanctionner" les agriculteurs sans favoriser le marché de l'agriculture biologique contre les produits issus de l'agriculture intensive et particulièrement ceux importés. Que faire ?

  • C'est un sondage de couverture

    Audierne29 - 01 Février 2018 - 10h48

    La France va être bientôt ponctionnée par Bruxelles pour n'avoir pas respecter les règles Européennes de protection de l'environnement. Ce sondage à l'air d'avoir un aspect de couverture médiatique.
    Par contre, toutes les initiatives positives sont bonnes à prendre et surtout à ETRE APPLIQUEES

  • Ci-vi-li-ser !

    Ga-L - 01 Février 2018 - 10h47

    • Remettre des poubelles sur les plages, bon sang ! Les gens ne sont déjà pas civilisés, si en plus il leur faut marcher pour jeter leurs déchets, ils vont les laisser sur place… Mieux, en période estivale, faire passer des gens (bénévoles ? Salariés de Mairie ?) équipés de bennes sur le dos ou roulantes, afin d'à la fois récupérer les détritus et sensibiliser les gens.
    • Organiser des concours (avec un lot attractif) ou des échanges "tant de centaines de grammes de déchets rapportés = une boisson offerte, ou tant de minutes sur un château gonflable, ou un tour en optimiste, ou que sais-je encore", un truc qui motive les enfants en tout cas.
    • Supprimer des horribles sacs à crottes aux alentours des plages ! Les gens, disciplinés mais idiots, emballent le petit caca de leur labrador… et laissent le tout dans la dune, faisant ainsi d'un truc juste dégoûtant un truc dégoûtant et pas biodégradable !

    phil53
    Pour les sacs à crottes je suis entièrement d'accord,c'est incroyable, on en retrouve partout et pas que dans les dunes Par contre des poubelles sur les plages nos, de mon point de vue les gens apportent leurs déchets ils repartent avec et celui qui se fait choper écope de journées civiques pour ramasser des déchets
    • Pas d'accord
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  • Déchets toxiques

    Alde - 31 Janvier 2018 - 23h04

    Contrôler les particuliers qui utilisent des produits de désherbage, ce sont eux qui font le plus de dégâts chez nous (la commune n'en n'utilise plus et les 3 agriculteurs non plus).
    Ainsi que les campeurs tolérés en zone naturelle alors que c'est interdit et pour cause, produits vaisselle, savon, poubelles, cuve de toilette vidée en bord de mer, naissances et pollution des groupes électrogènes. ..
    Favoriser les moteurs de bateaux moins polluants.
    Contrôler les plaisanciers qui ne se gênent pas pour balancer leurs ordures par dessus bord et qui en plus ne respectent pas les règles de pêche ni les regles du code concernant les limitations de vitesse et les zones d'ancrages (abîme les fonds).
    Faire de la sensibilisation avec des images chocs directement sur les plages.
    Utiliser des crèmes solaires biodégradables.
    Contrôler les effluents d'élevages.
    Installer des bassins de filtration naturelle (plantes spécifiques ) proche des rivages.

    bannheol
    Il faut installer des pièges à plastiques sur le littoral pour recueillir les déchets flottants.
    • Pas d'accord
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    Audierne29
    Il faut d'avantage d'ingérence du gouvernement dans la protection mais comme les différents gouvernements se font tirer l'oreille depuis des années par Bruxelles, c'est sans doute un sondage pour se couvrir plutôt que pour espérer quoi que ce soit pour l'avenir de la mer
    • Pas d'accord
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  • Des moyens pour du concret !

    Drenek - 31 Janvier 2018 - 16h21

    L'amélioration de la qualité des eaux côtières est un enjeu majeur, avec des répercussions écologiques, sanitaires et économiques. De nombreux dispositifs réglementaires, des stratégies, des programmes d'action et de planification sont déjà en oeuvre : DCSMM, DCE, SAGE, PAMM...
    L'heure aujourd'hui est, à mon sens, plus à l'allocation de moyens aux collectivités et EPTB concernés qu'à l'élaboration d'un énième plan d'action ! L'application concrète sur le terrain des mesures environnementales passe par l'allocation de moyens techniques et financiers pour atteindre le bon état des eaux : perfectionner les STEP, encourager les agriculture peu émettrices de polluants, mieux gérer les eaux pluviales, etc...

    Audierne29
    Que l'état mette d'abord de l'eau dans son vin
    • Pas d'accord
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  • Concertation

    Odile - 31 Janvier 2018 - 15h12

    Il est important que tous les usagers de l'amont vers l'aval puissent se concerter et agir pour un bon état de l'eau : agriculteurs, collectivités locales, ostréiculteurs, plaisanciers et pêcheurs professionnels. Il me semble que l'exemple de la ria d'Etel est bon

  • Conscience collective

    Nounours - 30 Janvier 2018 - 10h04

    Il faut élargir les recherches pour le recyclage des déchets. Mais il faut aussi que le public arrête de déposer ses déchets et d'utiliser le moins possible les produits polluants. Les stations d'épuration devraient être aussi écologiques (celle de Corcoué sur Logne peut-elle être un modèle compte tenu de l'antériorité de son exploitation ?).

    Audierne29
    a l'heure ou les déchets vont nous rester sur les bras, Brest serait tout indiqué pour receuillir les gros navires et faire un centre de recyclage au moins pour la France, il y a beaucoup d'avenir dans ces métiers
    • Pas d'accord
      0
    Chantal56240
    Plus globalement inciter les usagers à consommer moins de produits à emballage et sûr-emballage, et inciter plus fortement l’industrie agri à limiter c’est suremballage justifiés l’an plus art du temps par le seul marketing
    • Pas d'accord
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    phil53
    Les emballages et produits à usage unique doivent être proscrits ou du moins très fortement taxé, la publicité dans les boites aux lettre ainsi que certains vêtements tellement bas de gamme qu'ils sont porté un fois ou deux avant d'être jeté. En plus ces vêtements sont produits dans des conditions très polluante. C'est scandaleux de produire du produit jetable des jouets ou des gadgets comme dans kinder surprise ou au fastfood.
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  • incitation et sanctions

    Koala - 29 Janvier 2018 - 13h07

    Bien sûr il faut encore et toujours sensibiliser le public usager des plages et des infrastructures nautiques et sanctionner les incivilités. Mais à l'échelle des territoires il faut également des incitations et des sanctions pour limiter la pollution par les eaux pluviales (qui peuvent être recyclées au lieu de finir à la mer), par les effluents agricoles (récupération) et bien sûr industriels.

    Audierne29
    il est grand temps d'appliquer des sanctions , surtout aux gouvernements rebelles qui ne respectent pas les regles europeennes. Combien Macron et notre ministre de l'écologie vont ils sortir de leur poche??
    • Pas d'accord
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    Bêtalaine
    Une réelle application du principe "pollueur-payeur" permettrait de traiter à la source bon nombre de pollutions des eaux rejetées dans les cours d'eau qui au final rejoignent la mer.
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  • Rejet des eaux pluviales sur le littoral

    Serge Pucelle - 27 Janvier 2018 - 11h06

    Il existe encore des communes qui rejettent leurs eaux pluviales sur le littoral. Elles ont pour effet:
    - d engendrer des pollutions
    - de détruire les plages car les exutoires se terminent sur le bord des plages
    - d engendrer des risques d inondation en cas de submersion marine
    Il convient dans un premier temps d établir des normes strictes
    - pour contrôler efficacement ( avec une périodicité courte) le niveau de pollution de ces rejets
    - pour obliger les communes 'à établir un projet a moyen terme visant a supprimer les exutoires se jetant sur le littoral maritime
    Il est nécessaire que les régions dotent les communes de moyens financiers pour établir et mettre en œuvre leur plan de suppression des exutoires du littoral

    Yvon Morvan
    Il y a aussi trop de particuliers qui rejettent leurs eaux pluviales malgré l'obligation de les récupérer sur leur terrain et personne ne s'en soucie
    • Pas d'accord
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    Drenek
    Pour réduire les rejets d'eaux pluviales, la solution passe par l'urbanisme. L'imperméabilisation entraîne en effet une augmentation du ruissellement. Limiter l'urbanisation est donc une solution. Cela passe par des politiques publiques (SCOT, PLU), mais aussi par la volonté des citoyens à vérifier l'état de leurs branchements et surtout à ne pas vouloir construire de maisons neuves quand des logements vacants sont disponibles dans leurs communes !
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    BIcou
    Les eaux pluviales pourraient servir de réserve pour les agriculteurs,voir de station de lavage voiture pour les particuliers.
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    jpcgaia
    ne pas oublier les phosphates qui polluent au moins autant que les nitrates
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