Le bon état écologique des milieux marins et littoraux
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Le bon état écologique des milieux marins et littoraux
oceanis - 25 Mars 2018 - 15h02
ne pas faire en cachette des actions nuisibles
environat - 24 Mars 2018 - 09h39
Une fois arrivés en mer, vouloir y extraire les déchets est illusoire. Les bateaux filtreurs, des barrages filtrants, etc... ne peuvent avoir un effet conséquent sur les masses d'eau, au pire brûler du carburants pour des résultats négligeables, ou se déchiqueter lors d'une grosse tempête pour les barrages filtrants...
Il faut donc dès la conception des objets de consommation exclure les plastiques qui deviendront déchets.
Pour faire adhérer le public à ces changements, il est également important de sensibiliser le public à cette pollution, par des actions de nettoyages de milieu naturel(rivières, plages....) avec un encadrement compétent pour expliquer le cycle des déchets de la terre vers la mer, et de réaliser les nettoyages sans danger pour les personnes (objets dangereux, éboulement de falaise...) ni pour l'environnement (différence entre laisse de mer naturelle et pollution, période de nidification (gravelot par exemple),etc...
LRlycéeBTS - 23 Mars 2018 - 14h40
Pour réduire, il faut mieux gérer certains aspects qui engendrent une pollution marine comme le rejet de molécules chimiques ou hydrocarbures. Il est nécessaire d’encadrer les écoulements qui transportent des substances nocives comme les pesticides avec l’agriculture qui peuvent provoquer à terme des algues vertes. Mais aussi la présence d’un trop grand taux d’hydrocarbures qui polluent la qualité de l’eau et porte un impact sur les cultures d’ostréicoles par exemple, qui provoquent des impacts économiques et sanitaires. Il faudrait approfondir la recherche qui cherche à cibler les zones polluées pour agir en conséquences.
LRlycéeBTS - 23 Mars 2018 - 14h40
Pour réduire, il faut mieux gérer certains aspects qui engendrent une pollution marine comme le rejet de molécules chimiques ou hydrocarbures. Il est nécessaire d’encadrer les écoulements qui transportent des substances nocives comme les pesticides avec l’agriculture qui peuvent provoquer à terme des algues vertes. Mais aussi la présence d’un trop grand taux d’hydrocarbures qui polluent la qualité de l’eau et porte un impact sur les cultures d’ostréicoles par exemple, qui provoquent des impacts économiques et sanitaires. Il faudrait approfondir la recherche qui cherche à cibler les zones polluées pour agir en conséquences.
La buche - 23 Mars 2018 - 14h01
Nous utilisons encore beaucoup trop de plastiques, certains objets du quotidien doivent être composés à partir d’autres matériaux ou bien remplacés. Prenons l’exemple des cotons-tiges qui sont très durs à filtrer et qui composent une grande partie de la pollution marine, dans les lèses de mer. Alors qu’il est déjà possible d’en utiliser en carton, qui lui est biodégradable. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres mais cela montre que l’Homme ne prend pas encore consciences des différents problèmes des pollutions dû à son mode de consommation ou mode de vie globalement.
le pecheur de 17 - 23 Mars 2018 - 13h54
Pour réduire le taux de pollution terrestre dans les océans, il faut limiter les rejets issue de l'industrie et contrôler les rejets urbain, mais la principale source de pollution de l'eau en France proviens de l'agriculture, pesticide et engrais viennent polluer les nappes souterraines et ainsi l'ensemble du réseau d'eau en France qui finissent par polluer nos littoraux. Pour réduire les pollutions des eaux, il faudrait pousser les contrôle de suivi, interdire les produits fortement polluant ou y ajouter plus de restriction voire mettre en place des solutions alternatives à l'emploi des pesticides.
benjiwave - 23 Mars 2018 - 13h53
Pour réduire les pollutions venant de la terre sur la mer, il faut augmenter les réglementations sur terre comme en mer sur quoi ? Les pesticides (leur donner un autre regard aux agriculteurs sur d'autres produits moins dangereux pour la faune et la flore), en mer sur le passage de moteur électriques à la place du moteur à gasoil polluant, en les changeants il bénéficieront des aides de la région ainsi que de l'état.
La buche - 23 Mars 2018 - 13h45
Il faut mettre en place des organismes surveillants les rejets de façon efficace. Cela pourrait permettre de réduire considérablement les pollutions marines, dont la pollution de l'eau par différents polluants (exemples: plastiques, carburants, engrais chimiques...). Les organismes auront à titre d'informer les populations, et en cas d'éventuelles récidives pourront faire une demande de sanction envers les autorités compétentes. Par ce fait la qualité de l'eau sera meilleure à l'avenir.
thé-vert-equitable - 23 Mars 2018 - 13h44
Il faudrait réduire drastiquement l'utilisation de pesticides (désherbant domestique, agricole). Adapter les produit ménager comme la lessive (qui finissent a la mer) et autres en produit écoresponsable. Renforcé les contrôles dans les usines chimiques bordant un fleuve/rivières afin d'en limiter les rejets nocif pour l'homme et la nature.
Appliquer le principe dis de "pollueur payeur" (verbaliser les personnes, entreprises qui polluent massivement).
Yveline le Moal - 21 Mars 2018 - 16h11
Elles sont diverses, marées vertes, marées noires, marées rouges, surchages, produits non naturels. d'origines diverses, agriculture, domestiques, industries. La concentration urbaine sur le littoral envoye tous ces déchets, des substances produites par l'homme, vers les mileux marins. qu'absorbent les usines de traitement des eaux? et quels sont les états des réseaux d'égout? . A divers niveaux du vivant , des perturbations des peuplements marins, des individus, des eaux, ont été observées au cours de ces 30 dernières années. Mais existe t il vraiment une recherche globale des pollutions. avec applications. des instituts seraient nécessaires, munis d'observatoires ,des eaux, du benthos... et de conclusions applicables, type " Crirade". Ce qui m'a toujours le plus manqué, ce sont des données sur la chimie des sédiments. qui fixent tout , toutes ces subtances que nous avons crées. engrais, pesticides, produits d'entretien, médicaments......
jcqfrn - 19 Mars 2018 - 16h50
Il faut cesser d'utiliser la mer comme poubelle et ne pas y installer d'éoliennes qui pollue l'eau (Huile, métaux issus des anodes sacrificielles Déversement de produits et poussières à l'occasion de l'entretien)
jcqfrn - 19 Mars 2018 - 16h47
Il faut cesser d'utiliser la mer comme poubelle et ne pas y installer d'éoliennes qui pollue l'eau (Huile, métaux issus des anodes sacrificielles Déversement de produits et poussières à l'occasion de l'entretien)
Neness - 19 Mars 2018 - 11h55
Certains problèmes de pollutions demandent des concertations entre départements différents comme pour le cas du Warf qui se déverse sur la plage de Biscarrosse (40)et qui a pour origine le bassin d'Arcachon (33). Suffit il d'envoyer un gros tuyau se déverser loin de chez soi pour régler ses problèmes ? C'est ce qui apparaît dans ce cas ! Des nappes marronnasses se déversent sur nos belles plages de sable blonds sans qu'aucune décision ne soit prise. Ce sont visiblement des rejets toxiques venant du carénages de bateaux qui ne sont pas traités. En 2018, je ne comprends pas pourquoi de telles pratiques perdurent. Nous avons récemment vu des cadavres de dauphins (2) et de fous de Bassan en même temps que la présence de ces nappes marrons à la surface de l'océan. Nous sommes inquiets pour les espèces animales présentes près de notre côte, pour les baigneurs et pour le tourisme à Biscarrosse. Nous espérons avoir sensibilisé à ce problème qui dure depuis trop longtemps.
MimieCap33970 - 18 Mars 2018 - 21h29
Le bassin d'Arcachon est saturé de bateaux environ 5/6 mois dans l'année ! Mobiliser les propriétaires de bateaux à naviguez avec un moteur propre permettra de moins polluer notre bassin !
danieldel - 16 Mars 2018 - 20h27
En effet les épandages et l'utilisation massive des herbicides finissent dans la mer, et provoquent le développement exponentiel d'algues vertes. Après le littoral breton, c'est depuis quelques années les côtes charentaises
Jean-christophe Calderon - 16 Mars 2018 - 17h48
Tous les déchets qui jonche les villes viennent des citoyens si l’on veut la propreté de l’espace il faut agir à la source.
Gorka O. - 16 Mars 2018 - 17h04
La meilleure façon de diminuer les pollutions venues de la Terre c’est de sensibiliser les jeunes générations à une consommation plus responsable.
Pour cela, il faut leur faire comprendre l’importance de l’eau (l’eau dans notre corps, l’eau dans les écosystèmes) puis identifier les sources de pollutions du quotidien (pesticides, engrais chimiques, perturbateurs endocriniens…) et enfin leur apprendre les bons gestes :
Choisir une alimentation bio, locale et de saison
Privilégier les produits naturels pour l’entretien de la maison et les cosmétiques
Se tourner vers des modes de vie « Zéro Déchet »
En expliquant aux enfants que c’est meilleur pour leur santé (et celle de leur parents) et en valorisant les bons gestes ; on peut changer beaucoup d’habitudes dans les foyers. Ce qui permettra d’améliorer la qualité de l’eau de nos rivières et de notre littoral !
Nicola Nicolas - 15 Mars 2018 - 21h12
Veganbottle est une solution d'avenir pour lutter contre la pollution plastique des bouteilles fabriquées avec du pétrole.
6.5 milliards de déchets plastiques polluant circulent dans les océans. Il est urgent de remplacer ces déchets par des emballages plus respectueux de l'environnement.
Veganbottle est réalisée à partir de la bagasse de canne à sucre et est 100% biosourcée biodégradable et compostable.
Cette innovation unique au monde fait à partir du végétal peut être valorisée en fin de vie par compostage ou méthanisation car Veganbottle est considérée comme un biodéchet.
La valorisation organique s'organise suite aux directives sur la loi de transition énergétique pour recycler les biodéchets et permet de faire retourner au sol ou de transformer des matières organiques brutes en une matière valorisable adapté aux besoins agronomiques des sols.
Si veganbottle n'est pas recyclée elle va disparaitre plus rapidement dans la nature sans pollution.
péric - 14 Mars 2018 - 08h41
à inscrire de toute urgence dans les programmes scolaires...!!
Péric
bernards - 13 Mars 2018 - 11h16
il est facile d'observer dans tous les sites ostréicoles (bassin d’Arcachon, marennes, cotes de Charente maritime) la quantité de déchets de l'industrie ostréicole qui jonche les plages à chaque coup de vent.
il conviendrait d’exiger une participation de cette industrie au nettoyage des cotes, voir, à modifier les conditions matérielles de récolte des jeunes huîtres, exiger un peu plus de propreté sur les abords des zones ostréicoles qui deviennent de véritables dépotoirs de sacs,et coquilles de coquillages morts.
Claude VISSIERE-LAPORTERIE - 13 Mars 2018 - 08h50
J'ai écouté ce message dont le but est de préserver l'océan atlantique ,la côte de La Rochelle à
Hendaye ,objectif 2030 . J'approuve avec une réserve quant "à la voie ferrée pour améliorer les connexions des ports à leur arrière-pays" . L'actualité gouvernementale en ce début 2018 ,12 années donc avant 2030 ..., est de supprimer un nombre conséquent de lignes secondaires .
Cela me fait douter ...
S'engager pour protéger l'océan ,OUI 2 fois OUI mais vraiment sérieusement . C'est l'affaire de tous ,citoyens pour toutes les petites actions journalières et répétitives , dirigeants pour encourager les citoyens et agir puisqu'ils en ont la responsabilité et les moyens ,votés par les citoyens .
Laura Anty - 12 Mars 2018 - 15h40
Tout simplement en sensibilisant les enfants aux enjeux de l'eau virtuelle et à la consommation responsable. Car les enfants sont les citoyens de demain et aussi en sensibilisant 1 enfant c'est 7 personnes (une famille) que l'on touche - notre impact est encore plus grand. Investissons dans nos enfants pour préserver notre santé et celle de la planète ! #WaterFamily
Laura Anty - 12 Mars 2018 - 15h40
Tout simplement en sensibilisant les enfants aux enjeux de l'eau virtuelle et à la consommation responsable. Car les enfants sont les citoyens de demain et aussi en sensibilisant 1 enfant c'est 7 personnes (une famille) que l'on touche - notre impact est encore plus grand. Investissons dans nos enfants pour préserver notre santé et celle de la planète ! #WaterFamily
Association T EAU T O PHIL - 11 Mars 2018 - 12h43
Il est indispensable que l’effort n’incombe pas uniquement aux communes littorales. Face à un enjeu majeur abstrait pour 2030, le mégot et le plastique peuvent symboliser le lien quotidien de notre cadre de vie à nos océans.
Tout macro-déchet récupéré à tout endroit des terres émergées, ce sont des milliards… gagnés demain en macro, micro, nano… polluants. Une grille à la source dans un réseau pluvial est étonnamment simple et efficiente ! Sans négliger aucun polluant, il s'agit d'intercepter 100% des mégots et plastiques à la source des Rejets Urbains de Temps de Pluie. Cette action proche de l'avaloir (ou bouche d'égout) enclenchera également une politique globale vers une Valorisation Urbaine de la Pluie pour l’Océan (VUPO) : regardons la pluie urbaine comme une Ressource au lieu d’un Risque ou d’un Rejet. La valorisation de l'eau de pluie et de ses déchets doit devenir dans notre quotidien une industrie qui gère la pluie urbaine en une ressource stratégique vitale.
Estuaire pour Tous - 10 Mars 2018 - 16h29
L'océan possède d'énormes capacités de résilience et peut « absorber » les pollutions occasionnées par les seules activités humaines sur mer . Le problème se situe évidemment au niveau des rejets terrestres. L'océan est le réceptacle de contaminants en provenance du continent ( lessivages de sols bitumés, stations d'épuration défectueuses, déchets divers et variés , rejets agricoles et industriels, produits pharmaceutiques et perturbateurs endocriniens). Le maintien d'une bonne qualité du milieu marin est essentiellement tributaire des activités continentales , il convient donc de traiter en priorité la pollution par les bassins versants en intervenant auprès des acteurs terrestres. La pédagogie est primordiale mais demeure dans la plupart des cas insuffisante, l'économie et la sauvegarde de l'emploi primant majoritairement sur l'environnement. Il est indispensable d'impliquer les acteurs terrestres dont les activités génèrent des rejets en milieu aquatique, même loin des côtes.
Sophie Mauriac - 07 Mars 2018 - 22h49
Du Flocon à la Vague: 80% des pollutions des océans proviennent de la terre. Réduire les consommations et les pollutions à la source par de la pédagogie et l'éducation des enfants, voilà le coeur de la solution: former les citoyens d'aujourd'hui et de demain à devenir des acteurs responsables consommant moins et mieux. Nous pouvons tous individus, entreprises, collectivités réaliser des petits éco-gestes dans nos quotidiens: la part du colibri!
Arnaud Boschung - Du Flocon à la Vague - 05 Mars 2018 - 18h45
80 % des pollutions des Océans provient des terres ! La solidarité Amont Aval est primordiale et tous les citoyens (petits et grands) doivent prendre leur part pour revoir les habitudes de consommation. La consommation responsable est une des entrées, mais aussi la mobilisation citoyenne pour preserver l'eau par une approche pédagogique des bonnes pratiques. Nous devons laisser à nos enfants une Nature comme nous l'avons trouvé et pas dégradée, ce qui est malheureusement trop souvent le cas (ex : Gave de Pau !!!) L'ensemble des élus du linéaire de rivière doivent en avoir conscience et agir en connaissance de cause ! Oui, les efforts faits seront au bénéfice du voisin, et alors, c'est pour les enfants de la planète dont il est question, alors soyons plus solidaires et engagés par de meilleures pratiques au quotidien.
Miloix - 04 Mars 2018 - 12h03
Il est bien de vouloir se protéger des microbes et des bactéries mais pas au détriment de la faune et de la flore du littoral.
Beaucoup trop de produits « sanitaires » se déversent dans la mer depuis la découverte de l’eau de javel.
Sur l’estran les conséquences sont très dommageables, tout les microorganismes, les coquillages et les pontes animales sont détruites. Détruisant ainsi le début de la chaîne alimentaire du milieu maritime.
Il est grand temps que chacun prenne conscience que chaque produit dit « sanitaire » qu’il utilise se retrouve dans la mer.
Les dégraissants sont aussi dangereux quand ils sont trop utilisés.
Pour la vie il y a besoin d’un minimum de gras.
Les antibiotiques, utilisés partout, n’ont aucune barrière pour arriver dans nos océans.
Le lobbying des produits sanitaires est devenu trop puissant. Il développe la peur du Pas propre au détriment du Bien pour la vie.
Un petit geste de non achat du superflu sanitaire est salutaire pour le biotope marin
Sandra-duFloconAlaVague - 03 Mars 2018 - 11h00
Il faut améliorer la communication entre les acteurs sur le grand cycle de l'eau. Il faut penser à l'héritage de l'amont vers l'aval et ne pas se sectoriser sur son périmètre de prérogative. L'eau coule et amène avec elle toutes les pollutions. Or la pollution arrive quasiment depuis la source des rivières et augmente tout au long de son parcours. Il n'y a pas de petite responsabilité, à chaque niveau la multiplication des petites pollutions se transforme en grande pollution. Chaque petit geste, chaque petite décision pour ne pas polluer a un impact considérable au final.Tout le monde doit se sentir globalement responsable.
Gérard GOMEZ - 01 Mars 2018 - 13h36
Les grands bateaux industriels de pêche en particulier les chaluts ,les senneurs et les fileyeurs sont considérés comme des menaces pouvant entraîner des catastrophes écologiques voire la disparition de certains espèces.La disparition de la ressource est liée à la surpêche par des bateaux industriels employant des méthodes destructrices .La collusion de ces lobbies avec les instances administratives et certains politiques doit cesser.Il faut revenir à une pêche éco-responsable encadrée par des pouvoirs publics engagés dans des démarches visant l'intérêt général.Des moyens et des hommes doivent être mis en oeuvre pour des contrôles.
Enfantdesrois - 28 Février 2018 - 10h26
Les pollutions marines d'origines terrestres sont de plusieurs types :
- Intrants chimiques et organiques
- Pollution solide comme le plastique ou tout autre déchet
Les intrants chimiques ou organiques principalement utilisés dans l'agriculture sont un problème majeur. Il faut en limiter l'utilisation (bannir les plus dangereux #glyphosate) par la transformation profonde des modes de production. Agroécologie, agroforesterie, culture biologique, technologie de ciblage par drone des zones à traiter. Dans le sud ouest, la culture de la vigne est un énorme pollueur. Il faut en finir avec l'épandage intempestif de pesticides qui dégradent sols, eau, et qualité de l'air (notamment air intérieur de bâtiments entourés par les vignes). Les ménages sont également de gros pollueurs (perturbateurs endocrinien, nano particules...) Les standard de rejet d'eau dans l'environnement sont faibles et peut être nous devrions envisager d'équiper les centrales d'épurations de traitement à l'ozone
Kuttler Francois - 27 Février 2018 - 22h08
La nature est notre bien le plus précieux car elle nous permet de vivre en bonne santé. Les pollueurs représentent donc une atteinte à la vie et doivent être tout d abord stoppé et sanctionné à la hauteur du degré de pollution subie par la faune et la flore. Aux vues des graves problèmes environnementaux et climatiques nous devons réagir vite ou les générations futures en subiront les graves effets.
Philippe GARCIA - 25 Février 2018 - 18h37
Objectif n°1: diminuer les intrants à tous les niveaux (ménages, industries, agriculture) en suivant une politique d'incitation positive favorisant les comportements vertueux à tous les échelons.
Moyen n°1: FORMER les futurs élus pour qu'ils intègrent (ENFIN) le nouveau paradigme: tout nouveau projet doit faire la preuve qu'il n'impactera pas l'environnement avant son lancement. Le futur élu doit justifier d'une formation de plusieurs mois pour qu'il apprenne les bases de l'économie circulaire, le respect de l'argent public et l'impérieuse nécessité de considérer la protection de l'environnement comme un sujet central pour notre futur. Balancer des tracts dans les boîtes à lettre ne devrait plus suffire pour se faire élire.
En corollaire, FORMER les futurs citoyens à l'école. Baudelaire, Stendhal et Aragon, c'est bien, mais il y a désormais beaucoup plus URGENT: notre planète et ce qu'il en reste.
Détecter Escherichia coli, c'est bien, mais mesurer HAP, PCB, métaux lourds et autres dio
J-PP - 24 Février 2018 - 23h19
- Application stricte des lois de protection existantes et contrôles effectifs (avant de rajouter d'autres mesures, comme on aime le faire en France dès qu'un scandale éclate, qui ne sont pas plus appliquées puisque la visibilité médiatique, par la suite, diminue rapidement)
- Répression très active à l'encontre des petits délinquants (verbalisation des gens jetant leurs mégots, emballages, etc.. sur le domaine public et espaces naturels) et des grands délinquants (entreprises privées ou publiques, municipalités, agglomérations, exploitants agricoles)
- Ceci nécessite une formation et une sensibilisation des policiers et gendarmes à ce type de délits et éventuellement la constitution d'une véritable police de l'environnement
- Mise en place d'une plateforme informatique où tout citoyen pourrait signaler les pollutions et atteintes aux droits de l'environnement et connaitre les suites données à son signalement
J-PP - 24 Février 2018 - 23h19
Pragmatisme: privilégier les solutions dont le coût pour l'état est le plus faible voir nul:
- sensibilisation à tous les âges au problème des polluants terrestres (finissant tous un jour en mer) par le ramassage des déchets (trottoirs, bords de routes, rivières, littoral): TP en cours de SVT, d'éducation civique mais également lors du futur service national. Journée nationale (minimum 1/an) de travail effectif et obligatoire de ramassage/traitement de déchets toxiques et/ou à vie longue par toute personne briguant un mandat électoral, ainsi que par tous les élus, hauts fonctionnaires, les cadres et dirigeants d'entreprises.
- Prise en compte des polluants chimiques (et non plus uniquement bactériologiques) dans les critères de qualité des eaux de baignade (avec affichage obligatoire sur la plage)
- En finir à la source avec le plastique (interdiction d'emballage non réutilisable, du jetable et substitution par le verre), remise en place des consignes
J-PP - 24 Février 2018 - 23h18
Changer de paradigme dans la gestion du pays: faire passer les intérêts communs nécessaires à la vie et au bonheur de tous (environnement sain, santé, préservation des écosystèmes et des ressources pour les générations futures) avant les intérêts économiques qui ne bénéficient qu'à un petit nombre.
l'angoulinois - 23 Février 2018 - 17h14
Cela ne règlerait pas le problème dans son ensemble, mais ce sont, je crois, des "petites" choses relativement simples à mettre en œuvre :
- Que les poubelles bordant les plages soient systématiquement munies au minimum d'un couvercle. Au moindre coup de vent (et il y en a du vent, sur nos plages), tout ce qui est dans les poubelles de ma plage (pas de couvercles) s'envole !
- Une des dernières tempêtes sur la côte a eu lieu le "jour des poubelles". Le lendemain matin, il y avait des bacs jaunes de particuliers renversés un peu partout, et des déchets jonchant les rues, les fossés, etc... Je n'ai pas pris le temps de réfléchir au problème, mais n'y aurait-il pas un moyen simple à mettre en place (qui va d'un système de fermeture ou d'attache des bacs à un décalage du "jour des poubelles" en cas de forts vents, avec une annonce à la population : "ne sortez pas vos poubelles en cas d'alerte orange ou rouge") ?
- Appliquer les lois (pas de déchets jetés, de barbecue sur la plage...
Sandrine Paringaux - 22 Février 2018 - 15h27
Sur notre ile pourtant fragile, chaque grande marée est synonyme d'un pillage de milliers de pêcheurs amateurs (ou revendeurs frauduleux) qui ratissent le littoral sans respecter les consignes de restriction de pêche (taille et masse) ni de préservation de l'environnement.
Pourquoi ne pas créer des périodes de pêche (et d'interdiction) comme il y a des périodes de chasse ? Cela paraitrait plus efficace.
FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 21 Février 2018 - 10h07
La problématique de la qualité de l’eau est un enjeu fort sur la façade Sud Atlantique. Outre le risque sanitaire, une mauvaise qualité de ces eaux porte préjudice au milieu marin et à l’économie bleue, en particulier l’aquaculture et la pêche. Les milieux aquatiques littoraux disposent d’une biodiversité particulièrement riche, sensible aux apports des milieux terrestres et aux influences anthropiques. Les atteintes à la qualité de l’eau sont surtout d’origines terrestres. Ainsi, l’utilisation excessive d’intrants et de produits phytosanitaires pour l’agriculture ou encore les rejets d’usines et le dysfonctionnement de stations d’épuration mettent à mal la qualité du milieu.
Propositions :
- Mener avec une fréquence régulière des suivis biologiques des milieux révélateurs de la qualité des eaux ;
- Mettre en place une politique de réduction des polluants qui arrivent à la mer en suivant le principe pollueur/payeur.
Jean-Marie Stoerkler - 20 Février 2018 - 22h23
Le tourisme de masse et ses pratiques consuméristes est à dénoncer. Chaque personne yc en vacances doit privilégier des pratiques de découverte respectueuses. L'usage du Jet ski et bateaux de loisirs à moteur thermique est à proscrire pour le bien de tous yc de la faune et flore.
vdr - 20 Février 2018 - 11h34
La profusion des matériaux issus de l'activité humaine que l'on retrouve sur les plages est une catastrophe avérée pour le milieu aquatique mais peu de moyens sont mis en place pour la récupération et le recyclage de ces matières pétrochimiques. Les promeneurs qui tentent fréquemment de collecter ces déchets sont contraints de les abandonner en haut des plages où ils sont à nouveau dispersés par les vents, faute de ramassage. Pourquoi ne pas installer des bornes de tri en bordure de littoral notamment pour les polystyrènes, les plastiques souples, les déchets de la pêche, filets arrachés, collecteurs, bouées, etc. Rien n'est prévu à ce jour dans ce sens hormis les petits conteneurs pour déchets personnels. Cela manque cruellement en attendant la réduction drastique de leur fabrication.
Leborde - 20 Février 2018 - 10h04
Les eaux de pluie se déversent dans l'océan aprés avoir lessivé la terre. Il faut des bassins de décantation avant le rejet en mer.
Les eaux des rivières sont polluées en particulier par les produits toxiques (pesticides, nitrates...) venant du monde agricole.
Il faut davantage d'analyses chimiques tout au long des cours d'eau.
Marco33 - 19 Février 2018 - 11h55
Bonjour à tous,
beaucoup de thèmes et de pistes ont été abordé ici, je tacherais d'être bref.
En complément de toutes les autres contributions, j'ajouterais que beaucoup d'actions de tailles régionales (ramassage de déchets sur les plages et dans les ports, création de nurserie,...) sont organisées au travers des territoires pour améliorer l'état des littoraux et ne reçoivent peut être pas l'écho qu'elle pourrait mériter.
Au travers des différentes chaines publique et réseaux sociaux, vous pourriez peut être attirer l'attention du public sur des évènements public collaboratifs futurs plutôt qu'un reportage synthétique sur une action locale d'une ONG quelconque. Trop souvent j'ai entendu "Ah oui je ne savais pas" "si seulement j'avais su". Promouvoir et appuyer les actions locales plutôt qu'un énième reportage, voila ce qu'on devrait obtenir comme contribution de la part de l'audiovisuel public
Ji-soo Kim - 19 Février 2018 - 01h40
Juste pour rappeler que toutes ces crèmes de nécessité primordiale en terme de santé publique dégradent fortement la qualité de l'eau (de même que la max sur les planches de surf etc..)
- réglementer la composition, interdire les nanoparticules?
Apolline07 - 16 Février 2018 - 00h06
Je ne suis pas une experte dans ce domaine mais je souhaite participer à cette échange et donner mon avis du point de vue d'une citoyenne habitant sur le littoral.
Je pense que nous pourrions limiter les pollutions liées à l'Homme en sensibilisant la population, notamment les plus jeunes, avec des ateliers organisés sur le temps scolaire par exemple ou en créant des événements organisés par les municipalités.
De plus nous pourrions limiter les déchets (plastiques ...) sur les plages en ajoutant des poubelles, des panneaux de préventions et augmenter la surveillance avec possibilité peut être de verbaliser en cas de non respect de l'environnement.
J'ai conscience que ces installations ne vont pas éradiquer les déchets mais si elles peuvent au moins les limiter ne serait-ce pas déjà un progrès ?
verseau37 - 15 Février 2018 - 17h35
BIBLE et GUIDE à suivre à la lettre concernant la mer et l'océan.
¤ La Mer comme l'Océan n'appartiennent à personne.
¤ Toutes personnes morales et individuelles intervenant de manières obstructives à la bonne vie aquatique, à la conservation du littoral devra en payer les dégâts. (sans passe-droit).
¤ Tout individus ayant pour commerce les prélèvements dans la Mer ou les Océans doit assumer la bonne vie de ceux-ci en payant une contribution.
¤ Une participation doit être demandée pour toutes personnes ayant des activités sur et sous la Mer ou Océan.
¤ Tous pollueurs doit faire l'objet de poursuites judiciaires, sans aucun passe-droit, ce qui est loin d'être le cas actuellement.
¤ Les lois en vigueur ne doivent pas être occultées. L'honnêteté doit être le cheval de bataille de tous les hommes politiques, pour l'instant nous en sommes encore loin pour ce qui concerne l'application des lois maritimes en vigueur.
Appliqué rigoureusement, l'avenir sera assuré pour les générations futures.
FAREA - 12 Février 2018 - 19h22
Afin de réduire totalement les polluants venant de la terre vers la mer, l'entreprise FAREA prévois de créer les premiers hôtels flottants.
Ces hôtels flottants ont la particularité de ne produire aucun rejet dans l'eau ou dans l'air.
Les Faréas sont les premiers ECOLODGES FLOTTANTS.
Ils peuvent être aussi installés à terre et notamment sur les PPRI
MG - 12 Février 2018 - 13h42
Interdire à la restauration rapide implantée à moins de 200m des côtes, rivières et plans d'eau de vendre leurs aliments avec des contenants et couverts en plastique jetable.
Quoi qu'il arrive, il y a toujours une partie de la clientèle les jette n'importe comment et cela se retrouve dans la mer.
Il existe aujourd'hui des alternatives : ustensiles en carton, bois ou tout autre matériau biodégradable, ou des ustensiles consignés.
Il faut aussi les obliger à avoir une poubelle à disposition sur place, qu'ils gèrent eux-mêmes, afin que les clients ne se retrouvent pas sans solution pour jeter (ex : la poubelle municipale pleine à craquer, quand elle est là).
Afin de ne pas trop les pénaliser, cette mesure devrait être appliquée sur plusieurs années. Ces entreprises profitent d'emplacements privilégiés, et en même temps causent leur perte, il faut qu'elles prennent leur responsabilités !
DMac - 11 Février 2018 - 18h29
L'érosion et par conséquence le transport fluvial de sédiments est une cause importante de la dégradation de la qualité physico/chimique de l'eau qui entraine des pertes/couts liés à la navigation, la pêche, le tourisme, l'alimentation et le traitement des eaux des réseaux collectifs, etc.
Les travaux d'installations, ouvrages, travaux et activités (IOTA) doivent systématiquement être accompagnés par des pratiques que réduisent l'érosion et maitrisent l'exportation de sédiments hors site de travaux et vers les milieux récepteurs. Un cahier de charges de bonnes pratiques devrait accompagner tout travaux de terrassement proche des milieux aquatiques.
DMac - 11 Février 2018 - 15h19
L'état écologique d'un milieu aquatique dépend de son fonctionnement sur plusieurs paramètres; typiquement son profile physico/chimique, le cortège d'espèces qu'on y trouve, et aussi, en contexte fluviale, son état hydromorphologique.
Afin de proposer des actions pour l'amélioration des milieux et de suivre ces tendances sur le long terme, un reporting est indispensable. Il est aussi indispensable que ce reporting, une sorte de carnet de notes saisonnier, soit disponible au publique, soit transparent, scientifiquement fiable, et fait l'objet d'une transmission auprès du publique et des responsables.
Comme exemple, le reporting en Australie sur les milieux d'eau douces aussi bien que les estuaires et les plages, est un excellent projet qui est consultable depuis l'année 2000 ici: [lien supprimé]
Je vous propose qu'une approche semblable soit mis en oeuvre. Ceci en coordination avec les SDAGE existants.
Sylvie Honoré - 06 Février 2018 - 21h21
En réalité, il est important de distinguer les macrodéchets et les pollutions de l'eau.
Les macrodéchets : pour les limiter, il semble important de sensibiliser les gens mais si nous pouvions avoir une action en amont avec les bouteilles consignées, des fabricants qui limitent les emballages et plus d'ateliers de réparation d'objets, de recycleries etc... forcément, il y aurait moins de déchets. Le premier problème est quand même que nous fabriquons des choses qui sont destinées à être jetées...
Les pollutions de l'eau : Plus nous aurons des sols étanches, et le ruissellement sera important. Or quand l'eau s'infiltre, elle est filtrée par les sols (ça ne les arrange pas non plus mais ça épargne un peu la mer). Les pratiques agricoles sont à revoir et à orienter de manière plus systématique vers des pratiques utilisant peu de produits chimiques et laissant vivre les sols.
laura méhault - 06 Février 2018 - 13h34
80% des déchets plastiques trouvés en mer proviennent des continents.
Certes certains déchets se trouvent accidentellement dans la nature mais ce n'est pas le cas de tous !
Je pense qu'une meilleure sensibilisation des citoyens serait appréciable, surtout quand on voit le nombre de personnes qui jettent volontairement leurs déchets (mégots surtout) dans les égouts !! A croire qu'ils pensent que ces eaux pluviales sont traitées...
Il faut voir aussi le nombre d'espace à grande fréquentation sans poubelle. Ou bien certaines villes touristiques qui ne savent pas gérer les pics de fréquentation laissant dégueuler leurs poubelles sur le port, et hop direct pour les poissons (comme par exemple La Rochelle pour ne pas la citer) !
Faut-il passer à la contravention pour les communes et les citoyens ?
Aupy Kevin - 06 Février 2018 - 13h19
Les mesures à prendre sont multiples et relativement étendu :
Effort de pêche doit être raisonné et bien organisé, éventuellement appuyé par des libérations de juvéniles issus d’écloseries (mollusques, crevettes, poissons pour le repeuplement), l’utilisation d’engins de pêche moins agressifs (excluant les dragues, les chaluts) et plus sélectifs, l’arrêt du gaspillage et des méthodes de capture destructrices, mais aussi des zones de cantonnement et des arrêts biologiques, la mise en œuvre de récifs artificiels bien conçus et bien positionnés, une forte diminution de la production de farines de poisson, une aquaculture soucieuse des lendemains (Boeuf, 2014) sans destruction massive d’écosystèmes côtiers, le remplacement des protéines et des lipides d’origine animale par des protéines et des lipides d’origine végétale dans l’alimentation des carnivores, un contrôle strict des échanges et introductions... Voir la suite.
Mamapasta Eve - 05 Février 2018 - 16h41
maintenir la perméabilité des sols en ne bétonnant pas les terres agricoles afin que l'eau douce puisse arriver dans les nappes phréatiques au lieu de raviner directement en mer , ce qui éviterait les a-sec estivaux ( en supposant que le pompage agricole soit nettement revu à la baisse) et permettrait de maintenir la salinité des zones ostréicoles qui ont besoin de ce mélange terre/mer.
En particulier en interdisant toute nouvelle implantation de commerces à la périphérie des ville tant que des zones de friche industrielles y demeurent: renaturation obligatoire de ces zones en perdition ou reconstruction au même endroit.
jasmin - 05 Février 2018 - 01h13
Je suggère l'interdiction de tous les produits phytosanitaires. Puisque maintenant nous savons que c'est dangereux pour nous autres humains, puisque l'on sait que les algues toxiques en Bretagne sont la réponse de la nature face aux pesticides agricoles, puisque nous ne savons pas éliminer les résidus des produits phytos dans les nappes phréatiques, puisque nous savons faire sans, puisque nous savons que si tous ces produits étaient efficaces il n'y aurait plus ni maladies sur les cultures ni herbes indésirables depuis 1960, alors soyons raisonnables interdisons les pesticides et les herbicides.
Utopie - 04 Février 2018 - 15h21
Soyons brefs ! Cela ne peut plus durer. C’est ce que tout le monde dit depuis des dizaines d’années. Alors, AGISSONS TOUT DE SUITE. Arretons de produire et d’utiliser du plastique ( le Rwanda l’a fait). Cela évitera à la mer de tout recueillir. La commune de MERICOURT, victime des crues apporte aujourd’hui le témoignage des amoncellements de déchets portés par les cours d’eau....qui vont tous vers la mer. L’écologie ne manque pas de scientifiques, elle manque de politiques capables de prendre des décisions radicales .
Virginie M - 04 Février 2018 - 11h40
Pourquoi ne pas offrir une réduction d impôts ou des bons d achats ou un avantage aux gens qui s investissent dans l entretien et le nettoyage des plages et autres. En récompensant les citoyens pour service rendu à l état, ils agiront plus. Tout le monde sera gagnant. Plus de propreté, des économies en récompensant intelligemment, de l exercice physique, de la prévention grâce à plus d entretien...
Virginie M - 04 Février 2018 - 11h40
Pourquoi ne pas offrir une réduction d impôts ou des bons d achats ou un avantage aux gens qui s investissent dans l entretien et le nettoyage des plages et autres. En récompensant les citoyens pour service rendu à l état, ils agiront plus. Tout le monde sera gagnant. Plus de propreté, des économies en récompensant intelligemment, de l exercice physique, de la prévention grâce à plus d entretien...
sceptique - 03 Février 2018 - 17h48
Pardonner mon scepticisme pour votre consultation, je vous mets un simple constat de la vie de ma commune dans le bassin de Marennes, presqu’ile d’Arvert.
De la déchetterie, lorsqu’elle est fermée,les habitants jettent sans vergogne leurs déchets dans le bois attenant.
Un stand de tir à coté, le terrain est pollué par le plomb.Nuisances sonores provoquées par les forces de l’ordre,police,gendarmerie,sécurité privée avec la bénédiction du premier magistrat l’ancien maire et la nouvelle mairesse.Nous sommes dans un bassin ostréicole !
Prévention des incendies:aucun entretien des terrains par les propriétaires à cause d’un décret préfectoral: obligeant les voisins d’un terrain, de nettoyer sur 50m les terrains avoisinants autant laissé le voisin le faire!
Ouverture d’un incinérateur à Echillais.
Construction d’un port dans le centre-ville,un siphon l’eau remontera et accélèrera les inondations.
Course de moto cross en été,détruisant la faune et la fleur.
Alain Bosso - 02 Février 2018 - 06h42
Du fait de l'affluence touristique de nombreuses communes du littoral ont des installions de traitement des eaux très usées sous dimensionnées.
Je pense au scandale en presqu'ile de Crozon dont la presse a largement parlé en 2016-2017. Pourquoi les rivières , je pense par exemple à la rivière d'Auray sont devenue insalubres alors qu'on pratiquait l'ostréiculture jusqu'au Bono dans les années 60 ? Disparition récente des huitres sauvages en rade de Brest, etc ..
La situation du littoral est globalement mauvaise et en dégradation permanente malgré les apparences. Eutrophisation, prolifération de planctons toxiques, des algues vertes, disparition de la vie sur l'estran.
Il faut interdire les nouvelles constructions sur les communes du littoral tant que les stations d'épurations n'ont pas la capacité nécessaire à traiter les effluents.
Il faut aider les agriculteurs (Bretagne, Pays Natais etc..) à mettre ne place des pratiques respectueuses de l’environnement = agriculture biologique
Mademoiselle Didi - 01 Février 2018 - 21h21
Demander, voire exiger des entreprises qu'elles utilisent des contenants non polluants, qu'elle bannissent le plastique de leurs emballages.
Jean Prou - 01 Février 2018 - 17h05
En plus des pollutions qui viennent des bassins versants, il faut aussi compter sur la diminution des quantités d’eau douce et de ses effets comme un élément de la qualité des eaux littorales. Moins d’eau douce, c’est moins de vitesse du courant, c’est plus d’envasement et des concentrations plus fortes de polluants.
Brigadel - 01 Février 2018 - 16h25
Nous avons les moyens matériels de le faire , des automates de reprise sont en place sur 150 Parkings de Supers marchés , ils sont constamment saturés,se qui montre bien que le consommateur est prêt pour accepter la consigne
Faire prendre en charge par les grandes Marques de la distribution ce procédé de tri soulagerai les collectivités et valoriserai nos déjets
Prenons exemple sur le modèle Allemand ou le taux de retour des contenants liquides est de 90%,en France il est de: ......40% la différence est dans la nature,enfouie ou incinérée
Trions Bien et changeons nos habitudes !..........
manu - 01 Février 2018 - 10h02
Le pays basque est régulièrement arrosé par de fortes pluies qui viennent saturer les réseaux d’égouts. Le trop plein de ces eaux polluées afflue de façon massive dans l'océan et il est courant d'assister à la mise en place du pavillon violet interdisant toute forme de baignade.
Cette région à forte concentration touristique nécessite qu'on adapte le réseau de retraitement des eaux à la densité de population et à l'activité industrielle afin que les rejets toxiques et polluants soient au maximum maitrisés, sans rejets dans les différents cours d'eau ni saturation du réseau.
Concernant les déchets solides, commençons par stopper la production d'emballages inutiles polluants à la fabrication, au rejet et/ou au recyclage.
Freddy Franchi - 01 Février 2018 - 00h56
La dépolution des boues et vases des éstuaires et riviéres de l'UE est une obligation en trois phases. Aujourd'hui, il nous reste 9 ans pour le faire. En 2027, comment les IGP et AOC seront acceptables dans les zones poluées?
50% de l'oxygène est produite par les éstuaires, plus ils sont profonds et plus la mortalité des coquillages s' affaiblie et plus il y a de plancton qui produit l'oxygène.
Marine Etard - 31 Janvier 2018 - 18h48
je pense que seuls , les campagnes de " sensibilisation " ne sont pas suffisantes... Le résultat est très souvent en dessous des attentes espérées ...
Dans un monde de consumérisme à outrance , il serait bon de RE-mettre à sa juste place , notre comportement de chaque jour face à notre environnement et aux dégâts que nous y faisons subir .. Cela passe par une éducation , une mobilisation de la plus jeune génération de notre civilisation actuelle , des enjeux pour le futur qui passent par la prise de conscience que chacun de nos actes se répercutent indéniablement sur la nature ....
Agir à travers les associations , sur le terrain , des tables-rondes , etc .. et face à tous les grands groupes aussi de l'agro-alimentaire ...Changer nos habitudes et ça depuis chez soi car tout ce que vous faites depuis chez vous interagit avec la nature et se retrouve où .. Dans l'océan et le long de nos côtes ... plastiques , emballages , tri des déchets non détruits à 100% . Une éducation est vitale
Maja Olow-Lafon - 26 Janvier 2018 - 10h25
Pour réduire les déchets plastiques en mer (sac plastique, bouteille, emballages...), la première solution est d'arrêter de jeter nos déchets n'importe où... Pourquoi ne pas renforcer les campagnes de sensibilisation sur ce sujet ? Comme pour la sécurité routière par exemple ?