Le bon état écologique des milieux marins et littoraux

Pensez-vous nécessaire de renforcer la protection des milieux marins et littoraux en Sud-Atlantique ? Si oui, comment ?

 
  • Protéger le Littoral en conservant nos forêts littorales afin de protéger nos habitations de l'érosion marine inexorable

    Véronique ROBERT - 25 Mars 2018 - 23h37

    Il faut, au contraire de ce qui est mis en avant par des élus aux visées de spéculation immobilière, renforcer la loi Littoral si l'on veut protéger nos habitations de l'érosion marine. penser à l'avenir et s'y projeter en les rendant pérennes.
    Il s'agit d'empêcher les nouvelles constructions en bordure de littoral, en particulier en bordure de zone N, comme sur la dune sud de Soulac sur mer (33780) qui aurait pu être mieux protégée si seulement il y avait eu une volonté municipale en ce sens : en effet, en 2000, cette forêt basse dunaire d'origine avait pu être sauvée d'un projet immobilier qui l'aurait arasée (Pierre et Vacances) par la mobilisation des riverains en association ("Vivre à Soulac"), 3 espèces protégées y ayant été identifiées par cette association (astragale de Bayonne, oeillet des dunes, linaire à feuille de thym).
    Depuis, malheureusement, de nombreuses "villas" ont été autorisées en bordure de zone N, ce qui réduit l'habitat de ces espèces en voie de disparition.

  • logique

    oceanis - 25 Mars 2018 - 14h59

    s'en tenir au bon sens

  • Utiliser les sciences participatives pour impliquer les citoyens

    environat - 24 Mars 2018 - 09h50

    Le littoral est vaste et changeant, en complément des études par les scientifiques, forcément ponctuelles et localisées, les sciences participatives, par une pratique de nombreuses personnes sur de nombreuses zones, pourraient compléter et aider ces scientifiques.
    En développant des projets déjà existants (BioLit, Pelagis, CapOeRa, FishWatchForum, etc...) ou d'autres dans un principe de travail commun sur une plateforme comme VigieMer, les participants pourront contribuer massivement à une meilleure connaissance du littoral et de la mer tout en étant sensibiliser à cette biodiversité.

  • Éducation, sensibilisation....

    CHLJO - 23 Mars 2018 - 17h20

    Voilà une belle mission pour tout nos enseignants. Inculquer à toutes nos jolies petites têtes blondes ou pas, et dès son plus jeune âge, le respect de la nature, de toute la nature. Que ce soit à la mer ou à la montagne. Que ce soit papa ou maman, ou un tiers qui pollue, chaque enfant doit pouvoir défendre son avenir.
    Nous devons lui reconnaître ce DROIT. On peut l’inscrire dans la constitution.
    Chaque enfant a le droit de savoir que les rejets des boues rouges, ailleurs, ou bien les rejets des eaux noires des villes de la côte, comme le mégot sur la plage ou la protection solaire mal adaptée au milieu marin, sont des atteintes, parfois irréversibles, au milieu naturel.
    Chaque enfant doit comprendre que son action d’aujourd’hui et de demain participera au bien être de toutes les générations futures.

  • CDI6

    LRlycéeBTS - 23 Mars 2018 - 14h43

    Bien sur qu’il est évident de renforcer la protection des milieux marins et des littoraux en sud Atlantique.
    En effet plusieurs enjeux existent ;
    Des enjeux économiques ; c’est le cas de la conchyliculture ou la détérioration de l’eau impacte les productions ostréicoles et limite le rendement financier par exemple. Pour cela il serait nécessaire de veiller au maintien de la bonne qualité de l’eau. La solution serait de réduire la consommation d’énergie en diesel des navires dans cette zone.
    Des enjeux environnementaux ; c’est le cas des oiseaux marins ou la façade atlantique joue un rôle majeur pour le maintien des populations d’oiseaux marins. Il est donc nécessaire de réduire les activités humaines dans ces zones pour assurer la viabilité de ces territoires.

    CHLJO
    Commençons par tous les moteurs, de quelque nature que ce soit. Aucun rejet, dans l’eau ou dans l’air, ne doit être admis
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    CHLJO
    Je complète, les professionnels motoristes de tout bord, doivent améliorer leurs produits pour que les filtres nécessaires soient mis en place, pour arriver à des rejets ZÉRO.
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  • Sensibiliser la population

    benjiwave - 23 Mars 2018 - 14h08

    Non , je pense qu'il faut renforcer la protection des milieux marins et littoraux des réseaux, Natura 2000 sont très bien organisés au niveau de la protection des espace marins (ex: l'île de Ré) mais il faut sensibiliser d'avantage la population à ce niveau là afin qu'elle se rendre compte de la dégradation des littoraux en matière d'espèces marine.























    CHLJO
    Tout à fait d’accord. Sensibilisation, Éducation dès le plus jeune âge, rappel, ou sinon punition, verbalisation etc etc.
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  • Trop de restriction.. tue la restriction !!!!

    le pecheur de 17 - 23 Mars 2018 - 14h06

    Les littoraux sont aujourd'hui suffisamment protégé ( loi littoral, directive oiseau, Ifremer...), beaucoup de scientifiques et de professionnels du milieu travaillent dans un objectif de développement durable et savent imposer des limites là où il doit y en avoir. L'objectif est maintenant de bien faire appliquer les lois en vigueur plutôt que d'en créer de nouvelles.

    Véronique ROBERT
    La spéculation et la pression immobilière sont telles que la Loi Littoral devrait être renforcée en passant au moins à 500 mètres de protection pour tenir compte de l'avancée de l'érosion marine inexorable, pour préserver la biodiversité des plantes et des animaux dans les forêts dunaires encore existantes du littoral comme à Soulac sur mer (dune sud). En effet, avec leurs racines tournantes, les pins de la forêt dunaire d'origine sont plus aptes à résister aux grands vents qui balaient le bord de l'océan et ainsi, à ralentir l'érosion marine.
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  • OUI/NON

    thé-vert-equitable - 23 Mars 2018 - 13h56

    Les restrictions actuelles sont suffisamment assez importante , les interdictions de mouillages comme de pêche sont très présentes en sud atlantique. Mais ils faudrait aussi crée plus d'AMP (aire marine protéger), et réduire les contraintes soumise par les AMP comme autorisé la pêche sportive par les plaisancier mais non la pêche professionnel qui elle a un impact beaucoup plus dévastateur.

    le pecheur de 17
    suffisament assez .....
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  • Mise en place d'organismes anti-pollutions

    La buche - 23 Mars 2018 - 13h48

    Il faut mettre en place des organismes surveillants les rejets de façon efficace. Cela pourrait permettre de réduire considérablement les pollutions marines, dont la pollution de l'eau par différents polluants (exemples: plastiques, carburants, engrais chimiques...). Les organismes auront à titre d'informer les populations, et en cas d'éventuelles récidives pourront faire une demande de sanction envers les autorités compétentes. Par ce fait la qualité de l'eau sera meilleure à l'avenir.

    thé-vert-equitable
    Les buches impact également les plages, elles nous envahissent !
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  • Le bon état écologique nécessite une protection qui passe par la connaissance de l'environnement

    Locquirec Environnement - 21 Mars 2018 - 19h43

    Même si des efforts sont faits, nous pouvons faire beaucoup plus pour que chacun comprenne mieux son environnement. Cela passe bien entendu par les enfants, mais pas uniquement.
    Pour éviter certaines croyances, il faut acquérir de la connaissance et la partager.

    Il faut donc :
    - compléter les informations pour disposer d'un niveau de connaissance homogène sur le littoral
    - mettre à disposition les données environnementales par " l'open data " et par un SIG (système d'information géographique) à la fois ludique et complet
    - mettre à disposition des acteurs du territoire (écoles, associations, offices de tourismes, élus, citoyens, professionnels ...) des outils (et moyens si possible) pour faciliter le partage des connaissances sur le terrain
    - travailler sur le long terme

  • Non aux Eoliennes

    Liliane Lamalle - 20 Mars 2018 - 16h35

    Sur l île de noirmoutier les écosystèmes ont été privilégiés jusqu'à présent. L océan a été
    Toujours respecté. : pêche maritime, pêche à pied, plages....
    Certes il y a l erosion du littoral depuis quelques temps. Nos élus ont veiller a protéger l ile.
    Mais aujourd'hui nous avons peur pour l écologie de l île et la protection de la mer.
    Un projet de centrale de 62 eoliennes gigantesques va ravagé l océan :
    Produits toxiques répandus dans la mer (huiles, néodyme, alumine. .. électromagnétisme. ...
    Ce projet est situé sur une zone sismique!
    Pollution lumineuse va gâcher le ciel étoilé de noirmoutier
    Plus de tourisme
    L etat a t il décidé de sacrifier l île et l océan
    NON AUX EOLIENNES

    Véronique ROBERT
    A mettre en balance avec l'urgence de fermer la centrale du Blayais, bâtie sur une faille (d'Arrete depuis les Pyrénées jusqu'à l'île d'Oléron) : je suis pour les éoliennes et toutes les énergies renouvelables à condition d'éviter les parcours des oiseaux migrateurs bien sûr.
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  • Le massacre des champs éoliens en mer

    francis martin - 19 Mars 2018 - 21h23

    Monsieur le Ministre,
    Je vous remercie de préserver notre beau pays.Nos enfants doivent pouvoir profiter des zones natura 2000 dont les paysages marins sont partie prenante.Les activités autour de cette beauté sont plus productives d'emplois que les promesses des destructeurs des fonds de l'océan.
    Bien sincèrement
    Francis Martin

    Véronique ROBERT
    A confronter avec le risque nucléaire et l'urgence de fermer les centrales bâties sur une faille comme celle de Braud Saint Louis (Blaye)!
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  • volume des déchets

    JL - 17 Mars 2018 - 09h17


    augmentation des déchets par an 5% 4% 3% 2% 1% -1% -2% -3% -4% -5%
    BILAN dans 10 ans 62,89% 48,02% 34,39% 21,90% 10,46% -9,56% -18,29% -26,26% -33,52% -40,13%
    15 ans 107,89% 80,09% 55,80% 34,59% 16,10% -13,99% -26,14% -36,67% -45,79% -53,67%
    20 ans 165,33% 119,11% 80,61% 48,59% 22,02% -18,21% -33,24% -45,62% -55,80% -64,15%


    ex : si on augmente chaque année le volume de nos déchets de 3%, alors dans 15 ans le volume des déchets aura augmenté de 55,80%
    ex : si on diminue chaque année le volume de nos déchets de 2%, alors dans 15 ans le volume des déchets aura diminué de 26,14%



  • notre planete bleue

    lolo31 - 17 Mars 2018 - 09h15

    oui evidemment! ca passera par une meilleure education de tous et par de vraies punitions pour ceux qui violent les regles notamment de degazage en mer
    La diversité de notre environnement c est notre patrimoine commun

  • expérimentons des récifs artificiels

    Landey - 14 Mars 2018 - 20h18

    Le Japon a une longue expérience des récifs artificiels, qui servent à abriter et à préserver une ressource alimentaire indispensable aux habitants de ce pays. Ces habitats artificiels servent d'abris et de nurserie pour toute la faune bentique et halieutique, et également pour des espèces pêchées. Certains récifs pourraient constituer des réserves marines. D'autres des aires potentielles pour une pêche encadrée. Bien sûr, des recherches sont indispensables : formes, tailles et matériaux des récifs, et études des effets sur les populations marines (vérifier qu'on ne construit pas de piège écologique !). Encore une fois, au Japon, la technique est utilisée depuis des siècles, et ces dernières décennies les connaissances scientifiques se sont accumulées. Ce serait dommage de ne pas au moins tester et étudier quelques types de récifs artificiels le long de nos côtes atlantiques et méditerranéenne, ou en outre-mer dans des récifs coralliens abîmés.

  • Filets oubliés

    fred40 - 13 Mars 2018 - 09h39

    Depuis trop longtemps le synthétique a remplacé le coton et le chanvre portant vecteur d'activité locale et durable. Des milliers de km de filets de pêche, filets imputrescibles sont perdus chaque année en mer. Ceux ci se chargent de poissons puis coulent et s'accrochent sur les fonds marins. Ils continuent de capturer pendant des siècles tout crustacés et poissons de fond attirés par les appâts maillés. Ces filets perdus, jamais déclarés ne sont pas comptabilisés et pourtant il est facile de le faire, à l'échelle mondiale ou plus locale, il suffit de compter leur renouvellement. Chez nous, vu les courants de pente, on peut facilement imaginer l'état du gouffre dit "de Capbreton" qui s'étend très loin et très large entre les caps Finistère espagnol et breton. Je suis pour le retour du filet biodégradable à l'échelle mondiale.

    CHLJO
    Je viens de visiter, en touriste, quelques ports de la côte espagnole. J’ai été sidéré de voir, à terre, des centaines de petits bouts de fils et câbles nylon, dues aux réparations des filets, semble t il. Tous ces petits morceaux, poussés par le vent, vont rejoindre la mer. Et alors......
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  • Filets oubliés

    fred40 - 13 Mars 2018 - 09h38

    Depuis trop longtemps le synthétique a remplacé le coton et le chanvre portant vecteur d'activité locale et durable. Des milliers de km de filets de pêche, filets imputrescibles sont perdus chaque année en mer. Ceux ci se chargent de poissons puis coulent et s'accrochent sur les fonds marins. Ils continuent de capturer pendant des siècles tout crustacés et poissons de fond attirés par les appâts maillés. Ces filets perdus, jamais déclarés ne sont pas comptabilisés et pourtant il est facile de le faire, à l'échelle mondiale ou plus locale, il suffit de compter leur renouvellement. Chez nous, vu les courants de pente, on peut facilement imaginer l'état du gouffre dit "de Capbreton" qui s'étend très loin et très large entre les caps Finistère espagnol et breton. Je suis pour le retour du filet biodégradable à l'échelle mondiale.

  •  La raréfaction de la ressource halieutique

    FNPA - 12 Mars 2018 - 17h44

    Toutes les études montrent que la ressource en poissons « à haute valeur ajoutée », tels que le bar, le lieu, le maigre ou la dorade, se détériore rapidement: il est surprenant que dans la définition des enjeux 2030, l’administration n’aborde pas ce sujet
    En effet, la carte des « Enjeux forts à majeurs spatialisables etc...» ne mentionne pas ces espèces. Ceci est d’autant plus inquiétant que le document associé produit par l’Etat Français: « Enjeux et objectifs de développement durable » chapitre 1, pêche maritime professionnelle, se fixe comme objectif de « Maintenir la capacité des organisations professionnelles à gérer la ressource en fonction de l’évolution des stocks ».
    La FNPA s’oppose au maintien d’un tel conflit d’intérêt et demande qu’une vraie gouvernance de la ressource halieutique (comprenant aussi les organisations de loisir concernées et des personnes qualifiées dans la gestion de la ressource) soit mise en place et dotée des moyens législatifs et de contrôle adéquats.

    François Bertout
    Une telle gouvernance, dans la mesure où elle permettrait de mieux préserver la ressource, serait bénéfique pour tous, pêcheurs plaisanciers et professionnels.
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    CHLJO
    Il est anormal et antidémocratique qu’une partie de la population soit traitée différemment d’une autre, face au même sujet. La désertification annoncée de nos côtes pour ce qui concerne les ressources halieutiques ne peut, sans études précises et réelles, être imputée aux seuls pêcheurs amateurs. Les professionnels doivent se voir imposer le respect stricte de périodes de non pêche, pour cause de fraie, de zones de non pêche, pour cause de frayères. Les pouvoirs publiques ne peuvent réitérer la gestion catastrophique de la morue, avec ses conséquences économiques et humaines (voir StPierre et Miquelon).
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  • Conscience citoyenne, responsabilité publique et statut légal du DUMP

    Association T EAU T O PHIL - 11 Mars 2018 - 12h51

    Oui : en protégeant les milieux marins des flux de déchets véhiculés par les émissaires d’eau de pluie par un statut légal au Déchet-Urbain-Migrant-Polluant (DUPM).
    Partons des années 2000 avec « SOS-mer propre » et une définition du CEDRE du macro-déchet : « Par l'effet d'un geste de négligence, d'un coup de vent, d'une crue ou d'un accident malencontreux, les déchets sortent de leur cycle de traitement normal (...) Ce sont des produits hors la loi, échappant aux contrôles et aux systèmes en place ». 20 ans après... une prise de responsabilité politique par une action législative s'impose !
    Et en attendant, toute aire urbaine peut déjà s’engager dans la propreté de son espace public et de ses réseaux pluviaux avec un impact immédiat positif : un DUMP récupéré à tout endroit des terres émergées, ce sont des milliards… gagnés demain pour le littoral et les océans.
    Un DUPM « légalisé » agira 365 jours par an pour leur futur et des étés avec moins de rejets de l'océan sur nos plages !

    Gilles Bultez
    Tout ce qui traîne par terre est a priori un DUMP. Nous sommes à la Source alors agissons . Maintenant que nous voyons les effets de notre échelle à celle nationale, mondiale. Agissons là où nous sommes, c’est tout. Merci Totophil !!!!
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    aujards
    vive le DUPM
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    davidgaloppe
    Très bonne idée ce statut légal du Déchet Urbain Migrant Polluant !!!! Bravo T EAU T O PHIL !!!!! yes, we win !
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    Julien Tournebize
    Tu passes à l action, après la belle démonstration trop réaliste devant mamane (ça rappèlera des souvenirs à certains). Bravo et éradiquons les DUMP
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    jfToulouse
    Limitons les DUMPs à la sources, les caniveaux ne sont pas des poubelles, ramassons nos déchets avant qu'ils flottent. Bravo belle proposition
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    Association T EAU T O PHIL
    Petite précision. A la base, il y a un macro Déchet Urbain sans statut légal. Ensuite, il est Polluant-Migrant (un DUPM) ou Migrant-Polluant (un DUMP)... nous hésitons! Nous hésitons, tout en préférant le DUMP phonétiquement, même si le statut du macro Déchet Urbain est de Polluer, puis de Migrer. DUPM ou DUMP, c'est une recherche de sigle pour un statut légal, qui permettra de manière très pragmatique d'imposer une politique globale cohérente de réductions de tous les flux polluants... en commençant par intercepter/traiter ce qui est le plus gros.
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    Association T EAU T O PHIL
    Dernière précision. Donner un statut légal au macro-déchet urbain ne veut nullement dire que les macro-micro-nano polluants, objets de toutes les attentions actuelles sont à négliger. Bien au contraire. Mais reconnaître légalement le macro déchet urbain, impliquera de mieux traiter les autres.
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    JMi31
    Oui, halte au DUMPing ! En visant gros, on agit aussi petit...
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  • Etudes, études, études

    Enfantdesrois - 28 Février 2018 - 10h49

    Bien entendu il le faut. Mais pour pouvoir protéger ces milieux, il faut d'abord identifier ce qu'il y a à protéger. Il faut mener des études mêlant plusieurs domaines (biodiv, paysage, hydrologie que sais-je encore) afin d'identifier les zone d'intérêts que ce soit en terme de paysage, d'érosion, ou de reproduction de la biodiversité. Vouloir protéger nos côtes de l'érosion, mais continuer à prélever des quantité astronomiques de sables en aval et couper l'approvisionnement en sédiments venant de l'amont revient à se tirer une balle dans le pied. Arrêtons alors d'essayer de renflouer les plages avec du sable importé, ou d'artificialiser les plages avec de gros rocs ne fait qu'empirer les choses et est extrêmement couteux. Il faut limiter notre besoin en sable en expérimentant de nouvelles techniques (verre broyé par exemple) Trop de choses à dire pour si peu de place. Vous avez mes coordonnées vous pouvez me contacter.

    UNAN CM
    Lire le travail du CMF vous éclairera peut-être sur ces sujets: les analyses sont faites et les solutions connues. reste la volonté des chacun de comprendre que l'intérêt général doit prévaloir sur les petits conforts des particuliers
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    SKITINE
    Assez des études! De l'action!
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    youl
    En effet le sable n'est pas une ressource inépuisable, son usage doit être bien plus contrôlé
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  • Analyse et réactions

    Kuttler Francois - 27 Février 2018 - 22h12

    Les collectivités locales sont les plus à même de recueillir et rechercher l état écologique des milieux marins. En connaissance de tout les facteurs il faut appliquer des de nouvelles norme de pollution et surtout de dépollution des déchets nocif aux milieux marins.

  • Une Aire Marine Protégée tout le long du littoral et une administration dédiée

    Philippe GARCIA - 25 Février 2018 - 19h28

    Une bande littorale de 0,5 mille devrait être définitivement fermée aux engins de pêche et aux navires de pêche professionnels au nom de la proximité de plus en plus dangereuse entre ces engins posés au plus près possible du bord et les usagers en tout genre, notamment les surfeurs. Pour les pêcheurs pros, les volume de captures ne changeront pas sur l'année mais la sécurité de leurs pratiques sera améliorée. Pour les poissons, ce sera un soulagement, pour les nourriceries de poissons plats et la migration des saumons. C'est une véritable Aire Marine Protégée littorale originale.
    En mer, nous avons besoin d'un pouvoir de contrôle et de sanction à la hauteur de l'enjeu. Les moyens actuels et le peu de conviction de certaines des administrations concernées ne le sont pas. C'est un vrai service uniquement dédié à cet objectif qu'il faut créer de toute pièce, comme à l'amércaine (Fish and wildlife service) financé par "l'excise tax" et les permis de pêche (à créer pour les amateurs).

    doudou
    Trop compliqué et inefficace
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    FNPA
    Eviter la sanctuarisation du littoral: protéger oui mais pour partager pas pour exclure!
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    doudou
    Seul un CMF avec une réelle fonction d'arbitradge des conflits d'usage pourra aider à progresser dans le respect partagé de l'espace littoral
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  • La mer n'est pas un grand réfrigérateur.

    Nathalie Marty - 25 Février 2018 - 08h11

    Une vie = une vie
    Ne considérons pas là mer simplement comme une source de nourriture. Elle n'est pas faite pour cela. Notre société entame un grand virage technologique, mais aussi d'équilibre. Nos choix que nous devons faire doivent préserver la vie et l'environnement. Considèrer les espèces marine comme simple aliment ou ressources, c'est nier leur place et leur intelligence. Ne transformons pas la mer en ferme usine, mais modifions nos façon de vivre et de ńos alimenter. C'est plus simple et plus efficace.

  • Préserver les aires marines protégées de la façade Sud Atlantique

    FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 21 Février 2018 - 10h09

    Au sein des aires marines protégées, la pression touristique augmente, avec un boom de l’activité de plaisance, des sports de plein air et des loisirs motorisés. Ces activités affectent les habitats littoraux et la faune et la flore associées comme les oiseaux qui voient se réduire leurs zones de halte migratoire et de reproduction sur l’estran.
    Pour que le développement des activités humaines dans les aires marines protégées ne se fasse pas au détriment de la nature, il est indispensable de mettre en place une évaluation des impacts de ces activités et donner la possibilité de les réduire voir de les interdire en fonction de l’importance de leurs impacts négatifs sur le milieu marin. En parallèle, il est essentiel d’informer et de sensibiliser le public sur ces enjeux
    Propositions :
    - La mise en place d’outils et la surveillance accrue des espèces, habitats et écosystèmes marins;
    - Le déploiement d’aires marines éducatives sur la façade Sud Atlantique.

    doudou
    Très dangereux: la mer n'est pas la chasse gardée des écologistes! Tous les pratiquants doivent pouvoir y accéder et l'enjeu est la limitation des pratiques industrielles pas celles des loisirs
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    grandas
    Le tourisme, c'est du loisir industrialisé.
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    Jean Prou
    Position manichéenne et simpliste de la relation homme nature. ...si la mer n’était que la somme d’espèces, d’habitats et d’écosystèmes !!!! Découper et figer des états et plus encore de conservation n’est pas adapté à ce littoral si dynamique et , encore maintenant, si peu disponible à la connaissance. Devant un environnement pas nature), en mouvement, ce qu’il faut préserver c’est ce mouvement et non pas des états. Les hommes de la mer, par obligation, savent bouger avec leur environnement, par obligation vitale. Leur excès et sa réduction est indispensable mais pas par comparaison à des états de référence statiques et morts d’avance.
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    SKITINE
    Pas de sanctuaires pour écologistes! La Mers est a tout le monde et sa gestion équilibrée peut être partagées sans ZADISTE
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    FNPA
    Protéger pour partager et non exclure
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  • Éducation et sensibilisation

    vdr - 20 Février 2018 - 11h42

    Renforcer la protection du milieu marin, oui ! Mais attention à ce que les côtes ne deviennent pas des "musées". La nature avant tout, l'homme, qui en fait intrinsèquement partie doit y trouver sa place. L'éducation et la sensibilisation reste un enjeu fort à ne pas négliger pour une sauvegarde durable.

    stbx
    bn
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    Locquirec Environnement
    Oui, il faudrait pour cela : - compléter les informations pour disposer d'un niveau de connaissance homogène sur le littoral - mettre à disposition les données environnementales par " l'open data " et par un SIG (système d'information géographique) à la fois ludique et complet - mettre à disposition des acteurs du territoire (écoles, associations, offices de tourismes, élus, citoyens, professionnels ...) des outils (et moyens si possible) pour faciliter le partage des connaissances sur le terrain - travailler sur le long terme
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  • Extension de la zone Natura 2000 vers la Guipuscoa

    Iturri - 19 Février 2018 - 14h07

    Le respect du classement Natura 2000 ne peut pas s'arrêter avec une frontière telle que la Bidassoa coté mer. Il me semble nécessaire de traiter les problèmes de protection de la mer de manière européenne

    SKITINE
    Un sujet très important: disparité d ela mise en application des zonages Natura 2000 entre les différents pays européens
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  • Amendes ou rémunération

    Ji-soo Kim - 19 Février 2018 - 01h36

    - maintenir l'interdiction de fumer sur les plages et des amendes pour les mégots jetés dans le sable
    - De même que pour tout déchet plastique
    Difficile en pratique mais ça reste un bon moyen de dissuasion !

    - Rémunérer en poids de déchet ramassé
    - installer des poubelles / tri

    sonia etcheto
    Rémunérer en poids de déchet ramassé me semble être une excellente idée à creuser.
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  • Réduire la vente du plastique de masse

    AG - 18 Février 2018 - 18h44

    On retrouve es déchets plastique absolument partout... nettoyer les plages c'est bien mais c'est sans fin... il faut solutionner le problème à son origine.
    Il faut envisager des solutions contraignant les industriels à trouver des alternatives au plastique de masse. Remplacer les bouteilles d'eau par les bouteilles en verre consignée, emballage plastique par des emballages biodégradables, interdire les plastiques non recyclable en France... les pollueurs (industriels) doivent trouver les solutions et on doit les y contraindre.

    Jean-Marie Stoerkler
    Nous consommateurs devons également changer nos modes d'achat et refuser l'achat de produits sur emballés
    • Pas d'accord
      0
    sonia etcheto
    Je suis également pour le retour des consignes des bouteilles en verre. J'ai d'ailleurs cru comprendre qu'il y avait eu des zones de tests concernant des conteneurs de verre visant à favoriser « L’écogeste récompensé« en bons d'achat par exemple.. Il me semble que cela pourrait fonctionner.
    • Pas d'accord
      0
    Carole Eirelle
    D'accord avec les consignes également. Il faut également dialoguer au niveau de l'Europe. Les déchets plastiques que nous retrouvons sur nos plages (et qui ne sont que la partie immergée de tout ce qui se retrouve dans l'océan) viennent pour la côte landaise surtout d'Espagne.
    • Pas d'accord
      0
  • Restauration des milieux naturels littoraux

    Klima - 16 Février 2018 - 09h13

    Favoriser la restauration des milieux littoraux pour valoriser et augmenter leurs services écosystémiques face aux risques naturels. Restauration ces milieux, tels les marais salants, les massifs dunaires ou les mangroves, afin de réduire l’impact des aléas sur les côtes en brisant la houle ou en stockant l’eau lors de submersion marine. Créer des zones spécifiques d’adaptation au changement climatique dédiées à l’amplification des services écosystémiques.

    Nathalie Marty
    Je suis suffisamment âgée pour avoir connu la côte bien plus vivante qu'elle ne l'est aujourd'hui... étoiles de mer sur les plages, trous d'eau dans les rochers a mare basse grouillant de petits poissons et crevettes transparentes, anémones, coquillages... si une réglementation, une information, une éducation permet de retrouver, ne serait qu'un partie de cela, cela vaut la peine d'y mettre toute notre énergie
    • Pas d'accord
      0
  • Protéger la nature ET l'homme

    FAREA - 12 Février 2018 - 19h27

    Créer de l'emploi, tout en protégeant la nature, c'est le pari que nous avons fait chez FAREA. On ne doit plus mettre la nature sous cloche. On doit créer des sites touristiques harmonieusement avec les besoins et respectant les contraintes notamment celle de garder la nature intact pour les générations suivantes. Contrairement aux parcs actuels, il est bien plus utile de former les personnes à des comportement respectueux, chacun pouvant jouer un rôle direct sur la protection et la correction parfois dont la nature à besoin.
    Toute la charte de comportement de Faréa porte sur ce principe. Et ça crée de l'emploi...

  • parc marin

    DMac - 11 Février 2018 - 15h49

    A l'échelle de l'europe la publication de 2015 "Marine protected areas in Europe's seas" par l'Agence européenne pour l'environnement indique que la Baie de Biscaye / cote Ibérique n'ont que 3.2% de leur superficie en parcs marins. Hors, la mer du nord en a 17.9%, la Meditéranée occidentale en a 15.6%.
    Les recherches à l'échelle de la planête démontre que les parcs marins sont les meilleurs moyens d'assurer une pêche pérenne, un tourisme aquatique, et un écosystème résiliant.
    Je propose qu'une augmentation de la superficie de parcs marins, à l'abri d'une exploitation commerciale et du bracconage, soit mis en place avec une superficie qui s'aligne avec les autres milieux cités.

    Jean-Marie Stoerkler
    Et l'interdiction de pratiques de Jet ski au moins dans ces zones
    • Pas d'accord
      0
    Nathalie Marty
    Je ne suis pas d'accord pour utiliser la me comme réserve de nourriture. Une vie=une vie. Les fermes usines poussent partout sur le territoire et c'est une vraie catastrophe tant du pont de vue humain qu'animal. Tournons nous vers d'autre façon de s'alimenter pour redonner. Un équilibre à nos vie humaine. Préservons tout ce que nous pouvons et enseignons à nos enfants la valeur de la vie.
    • Pas d'accord
      2
    SKITINE
    PAs d'accord: les PNM sont une couche administrative supplémentaire largement redondante avec les Comités de façades.
    • Pas d'accord
      0
    FNPA
    La gestion des PNM sur l'atlantique sud montre que ces entités sans pouvoir réel et déséquilibrées en terme de représentativité n'ont aucune efficacité réelle. Mieux vaudrait ne garder qu'une entité (le CMF) et la doter d'un réel pouvoir d'arbitrage entre les activités sur la base d'une stratégie concertée. littorales
    • Pas d'accord
      0
  • Conservatoire du littoral

    LUDJOE - 11 Février 2018 - 14h43

    Renforcer les moyens du Conservatoire du Littoral. Lorsque je compare avec les pays où il n'existe pas, je constate que nous avons tout de même préservé des paysages côtiers magnifiques. Il faut continuer et renforcer cette action.

    Il faut également accompagner les petits pêcheurs dans une reconversion vers la pêche durable. Ils n'ont généralement pas les moyens d'abandonner des pratiques de pêche délétères pour l'environnement. Il faut qu'ils GAGNENT à passer au durable.

    Ji-soo Kim
    Quelle est la pratique de pêche délétère pratiquée par les petits pêcheurs?
    • Pas d'accord
      0
  • C'est nécessaire partout !

    Sylvie Honoré - 06 Février 2018 - 21h26

    Il est possible de renforcer la protection des milieux marins par des mesures en amont : pratiques agricoles respectueuses, traitements des eaux, limitation des dépôts de déchets,...
    Ce sont des mesures qui deviennent urgentes mais pas seulement dans notre région. Il serait bon de les encourager partout, sur tout le territoire. Car les rivières sont longues et l'eau rapporte tout à la mer, c'est donc des actions à l'échelle nationale qu'il serait bon d'envisager.

  • Le Marais Poitevin, un marais côtier

    Marie-Odile Brault - 04 Février 2018 - 08h45

    En tant que Marais côtier d'une grande importance tant par sa superficie, par sa biodiversité, que sur le plan du tourisme, le Marais Poitevin mérite d'être intégré à la réflexion sur les littoraux.
    Classé Grand site de France il se trouve précisément à l'interface de la Terre et de la mer, dans un espace anthropisé. Les activité humaines doivent y être surveillées de près car le Parc Naturel Régional y note un net recul de la biodiversité aquatique notamment. Par exemple l'anguille, espèce protégée, est à la fois poisson de rivière et de mer puisqu'elle se reproduit dans la mer des Sargasses.. .
    C'est pourquoi il faut intégrer le Marais Poitevin dans la réflexion sur les littoraux.

  • Nettoyage des plages

    Toon - 03 Février 2018 - 00h15

    Arrivés depuis quelques mois sur les communes de Boucau-Tarnos, limitrophes Landes/ Pyrénées Atlantiques, nous avons été extrêmement attristés de constater l état des plages, habituellement splendides, au moment des grandes marées. Le plastique est omniprésent, il y en a partout, sous toutes ses formes, la prise de conscience est cauchemardesque.
    Nous nous sommes rapprochés des municipalités pour pouvoir participer à un nettoyage collectif, mais on nous dit qu il faudra attendre début mai, au moment des fêtes du printemps et de la nature, pour une opération de groupe.
    Pourquoi rien n est envisagé, aucune communication ou action collective n est elle pas lancée ? Pourquoi laisse-t-on ces déchets détruirent la magnifique faune, cette nature somptueuse, ces dunes pendant des mois avant de réagir, et ceci de façon récurrente ?

    Utopie
    On peut aussi ramasser les déchets à titre personnel.
    • Pas d'accord
      0
    Vieuxdom
    Plutôt que de soigner les conséquences (même si c'est urgent et inévitable) ne faudrait il pas soigner la cause? prenons en main et limitons drastiquement nos consommation de plastique. Allons vers le zéro dechet.
    • Pas d'accord
      0
    somon11
    Je suis surprise que vous n'ayez pas travaillé sur les forêts qui couvrent les dunes du littoral en Région Nouvelle-Aquitaine. En effet, les forêts plantées ainsi que la végétation couvrante (ex.oya) permettent de fixer les dunes et de limiter l'érosion par l'eau. Les forêts du littoral, gérées par l'Office National des Forêts protègent non seulement le littoral strictio-sensu mais aussi l'arrière pays
    • Pas d'accord
      0
  • Nettoyage des plages

    Toon - 03 Février 2018 - 00h14

    Arrivés depuis quelques mois sur les communes de Boucau-Tarnos, limitrophes Landes/ Pyrénées Atlantiques, nous avons été extrêmement attristés de constater l état des plages, habituellement splendides, au moment des grandes marées. Le plastique est omniprésent, il y en a partout, sous toutes ses formes, la prise de conscience est cauchemardesque.
    Nous nous sommes rapprochés des municipalités pour pouvoir participer à un nettoyage collectif, mais on nous dit qu il faudra attendre début mai, au moment des fêtes du printemps et de la nature, pour une opération de groupe.
    Pourquoi rien n est envisagé, aucune communication ou action collective n est elle pas lancée ? Pourquoi laisse-t-on ces déchets détruirent la magnifique faune, cette nature somptueuse, ces dunes pendant des mois avant de réagir, et ceci de façon récurrente ?

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    sly - 02 Février 2018 - 10h26

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  • Interface terre-mer

    Jean Prou - 01 Février 2018 - 17h15

    La qualité des eaux littorales, ce n’est pas que l’absence de pollution. Augmenter la protection c’est donc mieux connaître la spécificité des eaux côtières et océaniques. Et retrouver le lien continu qu’il y a entre l’eau douce et l’eau salée sans en faire dépendre systématiquement l’un de l’autre.

  • suivi des engins aquatiques motorisés

    manu - 01 Février 2018 - 10h10

    Serait-il envisageable de contraindre tous les propriétaires d'engins aquatiques motorisés à une visite régulière leur imposant vidange, vérification des circuits de carburant et d'huile ?
    Une sorte de contrôle technique adapté aux différents usages et puissances de moteurs, ce qui diminuerait les dégazages sauvages ainsi que les écoulement permanent d'effluents, dus aux mauvais entretiens.

    fxl
    il faut aller plus loin sur certaines zones sensibles : bassin d'Arcachon, golfe de Morbihan ... en interdisant les moteurs thermiques de loisirs, en favorisant les moteurs électriques; en réservant les moteurs thermiques aux secours, gendarmerie, professionnels de la pêche...
    • Pas d'accord
      0
    Vieuxdom
    Plutôt que entretenir on peut se poser la question de l'utilité de ces plaisirs dangereux? au risque de passer pour un vieux jeu je pense qu'il faudrait que certain pense aux conséquence de leurs actes. Mais dans un premier temps pourquoi pas.
    • Pas d'accord
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  • Tripler les moyens affectés aux aires protégées

    Geangean - 29 Janvier 2018 - 13h37

    Les moyens alloués à la protection de la biodiversité marine ne permettent pas de surmonter la crise écologique à laquelle nous faisons face :
    - En France, 90% des espèces et habitats marins évalués sont en état défavorable (MNHN 2013) ;
    - Au niveau mondial 30% des populations de poissons sont surexploitées, et 60% exploitées au maximum (FAO 2009). En Europe 50% des populations évaluées sont exploitées au-delà du taux soutenable (CIEM).
    - Les rejets de substances chimiques vers la mer restent problématiques pour les 2/3 des substances évaluées (OSPAR) ;
    - Les eaux marines se réchauffent et s’acidifient ce qui perturbe l’écosystème marin dans son intégralité.
    Le protection des milieux marins est donc une priorité.

    Les estimations du Grenelle de la mer, indiquaient un besoin de 170 M€ pour gérer 20% des eaux en aires marines protégées contre 60 M€ aujourd'hui.
    Le protection des milieux marins passe donc par une augmentation du budget qui lui est alloué.

    FNPA
    Ce n'est pas de budget que l'on a besoin mais de concertation et de gouvernance.
    • Pas d'accord
      0
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