Les activités et usages
Stratégies de façade maritime #MerLittoral2030
Les activités et usages
hybridauth_user 1 - 25 Mars 2018 - 13h30
L'accroissement continu du tourisme de masse devient problématique. L'éducation au respect de l'environnement maritime devrait être une priorité, et les comportements dommageables sanctionnés, peut-être pourrait-on charger les polices municipales d'une surveillance environnementale, les dunes, rempart ultime contre l'avancée de la mer, continuant à être piétinées en dépit des panneaux informatifs, souvent arrachés. Les estivants et résidents permanents devraient être mis à contribution pour le nettoyage manuel des laisses de mer. Les municipalités qui tirent profit du tourisme devraient avoir obligation d'aménager des toilettes sèches sur tous les parkings littoraux, étant donné l'état de saleté des forêts et dunes aux abords des plages.
Robert LAINÉ - 25 Mars 2018 - 09h47
Les voiliers sont peu dommageable pour l'environnement car ils restent en mer (leur quille leur interdit de trop s'approcher des côtes). Pour réduire la concentration près des côtes il serait utile d'élargir la limite réglementaire des 6 nm (mile nautique) à 10 ou 12 nm.
Par contre les bateaux à moteurs et vitesse élevée posent problème en zone côtière. Au delà des 300m la vitesse devrait être limité à 10 noeuds dans la bande côtière jusqu'à au moins 3 nm et surtout dans les zones de sonde inférieure à 5m par exemple, car le brassage des fonds est visible derrière les bateaux rapides!
benjiwave - 23 Mars 2018 - 14h56
Pour développer le tourisme et les loisirs en étant dans le développement durable, plusieurs possibilités peuvent êtres adoptées. Comme par exemple une mise en place de ramassage de déchets (mégots de cigarettes, déchets plastiques...)en contrepartie de l'argent peut être versé aux participants.
Inciter les vacanciers à pratiquer des sports nautiques sans consommation de carburant.
benjiwave - 23 Mars 2018 - 14h56
Pour développer le tourisme et les loisirs en étant dans le développement durable, plusieurs possibilités peuvent êtres adoptées. Comme par exemple une mise en place de ramassage de déchets (mégots de cigarettes, déchets plastiques...)en contrepartie de l'argent peut être versé aux participants.
Inciter les vacanciers à pratiquer des sports nautiques sans consommation de carburant.
thé-vert-equitable - 23 Mars 2018 - 14h29
Favoriser le tourisme écoresponsable pour inciter le touriste au développement durable. Répartir les activités touristiques le long du littoral pour ne pas concentrer les touristes en un même point. Mettre les places de parkings payantes l'été.
Jean-christophe Calderon - 16 Mars 2018 - 17h54
Le moteur à hydrogène est le moteur propre qu’attendons nous pour le généraliser à toutes les embarcations
Philou Fifi - 15 Mars 2018 - 13h00
Toute personne qui se balade en montagne, verra, croisera, un panneau lui rappelant que la montagne n'est pas une poubelle. On demande simplement aux baladeurs de repartir avec leurs déchets. En bord de mer, aucun de ces panneaux, aucun rappel à ce simple geste logique et pourtant si peu respecté. Cela ne rendra pas les inconvenants des gens responsables, mais peut être leurs enfants...
Habitué des balades fréquentes au bord de l'océan en toute saison, il est effarant de constater l'augmentation des déchets les jours de beau temps, ou simplement le week end.
Christine Maillet - 14 Mars 2018 - 18h56
Pollution visuelle et illégalité totale, les mobile homes implantés sur des terrains privés sont totalement illégaux. La réglementation devrait être respectée.
jcvdh51 - 13 Mars 2018 - 11h22
bien évidemment qu'il faut protéger , mais sans sectarisme et de prendre l'avis des usagers et pas des directives de personnes dans des bureaux qui ne pratiquent pas et qui ne sont pas sur le terrain : une écologie punitive sans concertation ne fonctionne pas .
'Merci
FNPA - 12 Mars 2018 - 17h46
Depuis la promulgation de la loi NOTRe, la gestion des Ports de Plaisance revient le plus souvent au Département, qui se regroupe parfois avec la Communauté des Communes (CDC) ou d’agglomération (CDA) en un syndicat mixte.
La loi n’a rien prévu pour associer les usagers (plaisanciers amateurs pour leur plus grande majorité) à cette gestion : Aussi nous demandons que le législateur corrige son oubli en modifiant le Code des transports, de façon à ce que les représentants élus des usagers aux Comités de Liaisons avec les Usagers des Parts de Plaisance (CLUPP, organismes purement consultatifs et souvent ignorés des gestionnaires des ports de Plaisance) deviennent des membres effectifs des Conseils Portuaires et puissent participer avec voix délibérative à la gouvernance de leur port de plaisance.
Bastien Trouvé - 07 Mars 2018 - 10h02
Beaucoup l'ignorent, mais les acteurs du tourisme peuvent, si l'Etat et/ou les collectivités territoriales leur en donnent les moyens, devenir de vrais Ambassadeurs de la Protection de l'environnement. Combien de clients Français et étrangers séjournent dans les Campings, les hôtels, les villages vacances de notre littoral? Énormément! C'est donc l'occasion de sensibiliser cette population à la nécessité de respecter et donc de protéger les différents sites qui les accueillent. Les moyens de communication existent. C'est un travail long et difficile mais pas utopique.
launem - 26 Février 2018 - 18h46
Le tourisme fluvial connaît un essor important sur la garonne. Bordeaux Métropole investi lourdement dans des infrastructures (principalement des pontons), et a entrepris de faire en sorte que le développement de cette filière n'impacte pas le milieu naturel qu'est la garonne : électrification des postes à paquebots fluviaux, collecte des déchets des bateaux par la voie fluviale (réalisée depuis 2017 par le groupe Suez), et réalisation de postes de rejets des effluents des bateaux. Ce secteur est cependant fragile, les coûts de navigation sont élevés, notamment les frais de pilotage pour les bateaux de plus de 110 m. Une évolution de la réglementation en matière de pilotage de ces bateaux sur la garonne semble possible, et souhaitable. Royan et Bordeaux étaient jadis reliés par des "vapeurs", mais le statut maritime de Royan coupe pour le moment cette destination du reste du bassin de navigation. Une dérogation est à l'étude, elle permettrait de relier les deux villes par le fleuve!
Philippe GARCIA - 26 Février 2018 - 11h48
« Californie de l'Europe » pour le surf, nos plages et la bande littorale en cours de désertification biologique pourraient devenir la (petite) « Floride de l'Europe » pour la pêche récréative et attirer des amateurs de toute l'Europe. 72% des Floridiens ont dit « OUI » à l'exclusion des filets de leurs eaux côtières en 1994: aujourd'hui, la pêche récréative y représente 4 milliards de US$ et la pêche professionnelle est parfaitement stable. RECULER les engins de pêche, PROTÉGER les espèces récréatives qui doivent avoir un statut privilégié (interdire la pêche sur frayère des bars, daurades royales et des maigres) et FORMER les gestionnaires du tourisme en Aquitaine en leur expliquant que le tourisme ce n'est pas que la crème de soleil et le surf. La pêche récréative devrait pouvoir compter en terme d'image mais aussi de gros sous : 2% des 3,4 millions d'aquitain pratiquent et dépensent 1142€ par an==>75 millions d'euros, qui pourraient se multiplier si on cessait de l'ignorer.
Jpltc43 - 24 Février 2018 - 19h04
Pour désengorger la circulation pendant les mois d'ete faciliter l'utilisation du 2roues par exemple en installant des consignes sécurisées dans les aires de stationnement d'accès aux plages du littoral Landais. Cela permettrait de garer casques, gants, vêtements de sécurité, etc... et éviterait de voir certains scooteristes ou même des motards inconscients circuler en short, t'shirt et tong...
Sandrine Paringaux - 22 Février 2018 - 15h34
Les déchets de l'ostréiculture (piquets, coupelles, poches, liens plastique) sont hyper nombreux, emmenés sans doute par les flots. Et que dire des parcs laissés à l'abandon après la cessation d'activité.
Pourquoi ne pas exiger des professionnels qu'ils nettoient leurs pollutions ?
Martine Anne - 20 Février 2018 - 20h00
Demander au bailleurs de locations saisonnières la mise à disposition systématique de vélos (sans oublier les antivols) comprise dans la prestation.
Sensibilisation aux circulations douces dans la location par affiche, plan des sentiers pédestres à emprunter pour se rendre aux commerces de proximité, plan des pistes cyclables pour profiter pleinement de la nature, ...
Martine Anne - 20 Février 2018 - 19h53
Les "loisirs" pourraient comporter un volet civique : par exemple lorsqu'une personne ou famille séjourne dans un lieu, il pourrait y avoir systématiquement une visite pédagogique de l'environnement local et ses "sensibilités", ou/et une initiation à la participation à une action locale : d'entretien du littoral, de l'écluse, de la plage, du jardin partagé, ...
vdr - 20 Février 2018 - 12h01
Voilà un défi qui parait impossible sans une complète révolution des moyens de transports et des comportements de consommation. Train et vélo d'un côté, emballages papier et sensibilisation de l'autre.
Klima - 16 Février 2018 - 09h09
Développer la réconciliation des liens socioécologiques qui relient l’homme à la nature avec de nouveaux usages productifs, récréatifs et sportifs respectueux de la sensibilité des milieux littoraux. Faire du littoral - dans la bande des 100 m de la loi éponyme - un domaine public non appropriable, porteur d’usages temporaires permettant une expérience renouvelée du rivage.
FAREA - 12 Février 2018 - 19h29
Les FaréVillages s’intègrent dans une stratégie de développement touristique locale, c’est à dire en phase avec les impératifs d’atractivité touristique, et ceux de la protection des sites. Pour assurer cette mission les FaréVillages respectent une charte dans laquelle les “clients” peuvent devenir acteurs sur des actions correctrices adaptées. Ceci permet d’avoir à la fois des séjours ponctués d’action ludiques, correctrice, et formateur pour les jeunes générations.
Par ailleurs, les Evennementiels organisés sur dans les FaréVillages seront décidés avec les Elus.
Les FaréVillages seront (a terre) installés sur les PPRI
Lucho64 - 08 Février 2018 - 22h21
Aujourd’hui, la technologie autorise tous les défis. L'implantation d'une île artificielle entre Brest et La Corogne produirait une nouvelle distribution économique, touristique et créative sur notre côte atlantique.
Une île laboratoire et autonome en énergie à environ 400 km de nos côtes. Terminal portuaire sur la route des portes-containers pour valoriser du cabotage (et donc supprimer des milliers de camions entre les ports du Nord de l’Europe et le Maghreb)
La possibilité d’une ile créant du lien entre le Nord et le Sud, halte salvatrice pour la plaisance avec une marina en lagon, but touristique pour les navigateurs de la côte atlantique.
Ile innovante, ferme marine et en même temps, ferme biodynamique avec des cultures modernes et respectueuses de l’environnement.
Enfin, une île évolutive avec des modules ajoutés en fonctions des moyens et des années, un peu à l’image de la station spaciale internationale, qui elle aussi se situe à environ 400 km de la Terre.
Jean Prou - 01 Février 2018 - 17h23
Étendre la notion de bien-être (et ses mesures) à l’ensemble des acteurs y compris les non-humains. Augmenter le bien-être des hommes, des entreprises, des animaux, des végétaux, des habitats, des estuaires, du trait de côte, du sédiment, des paysages, des aménagements, etc. Cette mesure paraît plus légitime que la monétarisation des biens environnementaux.
Freddy Franchi - 01 Février 2018 - 01h30
Chaque aéroport doit être connecté par le rail. Le nouvel aéroport de Saint Agnant ne peu se faire que s' il y a une 4 voies détournant Rochefort. Comment aller à Royan, Cognac et La Rochelle à partir de Saint Agnant?
Une ligne TER Saintes Saint Agant aiderait au développement touristique.
A partir de Saintes, il y a Bordeaux, Niort, La Rochelle, Rochefort, Royan.