Le bon état écologique des milieux marins et littoraux

Le bon état écologique des milieux marins et littoraux
Alexandre Davoult - 23 Mars 2018 - 19h01
- Programmes de sensibilisation au recyclage à la pollution, et ceux le plus tôt possible (importance de sensibiliser dès le plus jeune âge).
- Installations de bennes sur les plages plus important.
- Action en amont : Privilégier les matières biodégradables et interdire si possible le plastique (comme pour le coton tige en substituant avec autre chose).
- Amendes plus fortes pour les pollueurs pris en flagrant délit de pollution (et répression plus grande en général) et augmenter les peines déjà existantes.
- Promouvoir les travaux intérêts généraux.
- Encourager les énergies propres par le biais de subvention en prenant exemple sur nos voisin du nord. En favorisant le GNL et faire un terminal portuaire dans les grands ports maritimes comme notamment celui du Havre
Baie de Somme 3 Vallées - 23 Mars 2018 - 16h25
Directement dépendante de la qualité des eaux marines ; - elle-même corrélée à la qualité de l’eau des fleuves - ; la qualité de l’environnement marin de la façade Manche Est – Mer du Nord est indissociable de la qualité de l’environnement terrestre de la frontière belge au golfe anglo-normand.
La mesure 1.3.1 du Projet de charte du Parc naturel régional Baie de Somme Picardie maritime souligne l’enjeu de la préservation de la ressource en eau pour le territoire de Picardie maritime. Afin de développer les actions de réduction des pollutions et valoriser les bonnes pratiques, on recense dans les objectifs qu’elle poursuit diverses initiatives telles :
Baie de Somme 3 Vallées - 23 Mars 2018 - 16h24
• Accompagnement des collectivités pour supprimer l’usage des produits phytosanitaires dans la gestion des espaces communaux, favoriser l’infiltration des eaux pluviales, développer leur technicité en matière d’assainissement, mettre en œuvre des pratiques innovantes de traitement des eaux (cf. phyto-filtration), identifier dans le cadre des SAGE les secteurs devant faire l’objet d’opérations de reconquête de la qualité de l’eau, assurer la surveillance régulière de la qualité des eaux rejetées dans l’environnement et prendre en compte la préservation de la ressource en eau dans les documents d’urbanisme (cf. PLUi, SCoT) ;
• Développement de pratiques agricoles certifiées (cf. AB, HVE, ISO, …) ou respectant un référentiel (Quali’Terre, agriculture raisonnée, …), de pratiques d’élevage extensif préservant les prairies pâturées, la diminution de l’utilisation d’engrais et de phytosanitaires, la réduction de leur lessivage et de leur transfert dans les cours d'eau (cf. bandes enherbéées)
Baie de Somme 3 Vallées - 23 Mars 2018 - 16h15
• La réduction des pollutions industrielles par la mise en place d’opérations de suivi, la promotion des bonnes pratiques industrielles (cf. les industries du Vimeu qui améliorent au quotidien leur performance environnementale), la recherche de solutions pour limiter le risque engendré par les friches industrielles ;
• L’accompagnement des équipements touristiques pour se doter d’installations de traitement des eaux résiduaires idoines et assurer leur bon fonctionnement, notamment en période de pic de fréquentation ;
• La sensibilisation de la population, comme des visiteurs, aux enjeux de préservation de la ressource en eau, pour engendrer un changement des pratiques.
Baie de Somme 3 Vallées - 23 Mars 2018 - 16h11
Il faut souligner la place qu’occupent les déchets solides parmi les pollutions marines de la façade Manche Est – Mer du Nord. D’où la nécessité d’encourager les établissements publics de coopération intercommunale, gestionnaires de déchets, à porter des programmes locaux de prévention des déchets et à mettre en place des actions en faveur de la diminution à la source de ces déchets ; - ce d’autant plus que de telles initiatives représentent un facteur positif pour la mise en place d’actions en faveur de l’économie circulaire.
Céline Lahaye - 21 Mars 2018 - 06h50
Apprendre aux enfants dés le plus jeune âge le rôle des écosystèmes marins au travers de sorties de classe, de la venue d’ intervenants en école (scientifiques, marins pêcheurs, associations )
afddouvres - 12 Mars 2018 - 21h51
Inciter les agriculteurs à évoluer vers une agriculture Biologique, en mettant en place les formations et informations sur l'utilisation de produits et techniques naturels,
Interdire immédiatement les produits phytosanitaires
Tendre vers des pratiques respectueuses de l'environnement
afddouvres - 12 Mars 2018 - 21h40
Mettre en place un contrôle rigoureux, permanent, sans dérogation aucune, sur tous les rejets en mer.
Appliquer des amendes dissuasives, avec comme principe : pollueur deux fois payeur
afddouvres - 12 Mars 2018 - 21h25
Retraitement à terre de toutes les boues des dragages
Interdire les dépôts en mer
la prise en charge du traitement de ces déchets par les usagers (professionnels de la mer, plaisanciers, etc.) : principe du pollueur payeur
Association T EAU T O PHIL - 11 Mars 2018 - 20h26
Il est indispensable que l’effort n’incombe pas uniquement aux communes littorales. Face à un enjeu majeur abstrait pour 2030, le mégot et le plastique peuvent symboliser le lien quotidien de notre cadre de vie à nos océans.
Tout macro-déchet récupéré à tout endroit des terres émergées, ce sont des milliards… gagnés demain en macro, micro, nano… polluants. Une grille à la source dans un réseau pluvial est étonnamment simple et efficiente ! Sans négliger aucun polluant, il s'agit d'intercepter 100% des mégots et plastiques à la source des Rejets Urbains de Temps de Pluie. Cette action proche de l'avaloir (ou bouche d'égout) enclenchera également une politique globale vers une Valorisation Urbaine de la Pluie pour l’Océan (VUPO) : regardons la pluie urbaine comme une Ressource au lieu d’un Risque ou d’un Rejet.
La valorisation de l'eau de pluie et de ses déchets doit devenir dans notre quotidien une industrie qui gère la pluie urbaine en une ressource stratégique vitale.
pipil - 10 Mars 2018 - 13h41
Les rejets de dragage effectués en mer semblent contribuer à la dégradation chimique et physique du milieu. Vérifier par une analyse exhaustive de la littérature scientifique l'absence d'impact sur la faune benthique et sur les services écosystémiques. Effectuer des études complémentaires un situ et en mésocosme. Diminuer les seuils de polluants fixés avant rejet en mer et mettre en place des filières de traitement adaptées.
Rougier François - 09 Mars 2018 - 13h29
La Seine est le principal vecteur de pollution terrestre présente et passe en mer de la zone. Au vu du déroulement des dernières enquêtes publiques, des conclusions rendues vis à vis des avis recueillis il semble que plus de transparence soit requise y compris dans la composition des scientifiques présents au sein des agences de gestion.
Ceci est la clé d'une bonne gouvernance
MD - 06 Mars 2018 - 10h59
Il faudrait mettre en avant la fabrication maison de produits ménagers usuels (lessive, liquide vaisselle, nettoyant sol, produit lave vaisselle...) Et même cosmétiques (dentifrice etc...) qui sont tout aussi efficace , moins polluants et plus sains. Pour cela il faudrait rendre plus accessible (en supermarché et autre) les ingrédients nécessaires qui peuvent être considérés comme basiques mais qui aujourd'hui ne sont trouvable qu'en magasin bio. C'est déjà très bien d'y avoir accès par ce biais mais ce n'est pas suffisant pour qu'une majorité de la population soit prête à passer le cap et s'y mettre . Et pour aller plus loin l'idéal serait évidemment de bannir les produits chimiques et polluants de notre consommation .
Grégoire Rcs - 05 Mars 2018 - 17h55
Une grande partie du plastique présent dans la mer l'est sous forme particulaire à peine discernable à l’œil.Une grande partie des cosmétiques vendus en France contiennent des microbilles de plastiques (que ce soit les dentifrices ou encore des soins de visage) alors que des alternatives simples existent (les produits "eco-friendly" utilisent de l'écorce par exemple). Ces microbilles passent à travers les stations d'épuration qui ne sont pas capables de les retenir et se retrouvent dans les cours d'eau et donc invariablement à la mer.
Le changement de comportement ne se fera pas tout seul (on retrouve toujours une quantité invraisemblable de lingettes dans les stations alors qu'il est de notoriété publique qu'il ne faut pas les jeter aux toilettes), il est donc indispensable soit de taxer fortement ces produits pour dissuader les utilisateurs ou bien plus simplement d'interdire leur fabrication.
GPMD - 02 Mars 2018 - 18h20
Des mesures déjà mises en oeuvre sont efficaces et sont à préserver:
- sur le domaine maritime, comme dans les bassins du Port de Dunkerque et le long du littoral de ce Port, des prélèvements sont faits de manière périodique pour mesurer les taux de certaines substances, sous le contrôle des autorités préfectorales.
- Les émissions de substances dans l'eau depuis certaines industries présentes sur les places portuaires font l'objet d'un contrôle périodique, encadré par des arrêtés préfectoraux.
- Des travaux de rénovation de l'assainissement sur les quais du Port de Dunkerque, en favorisant l'infiltration ou en mettant en oeuvre des bassins de traitement si le rejet au bassin est conservé
- Des conventions de rejet sont signées avec certaines entreprises du domaine portuaire du Port de Dunkerque
- En amont du littoral, afin de garantir la qualité des eaux venant des terres, la police de l'eau assurée par l'Etat doit être maintenue, afin de pénaliser et verbaliser les pollueurs.
GM50 - 01 Mars 2018 - 19h31
En ce qui me concerne je voudrais attirer l'attention sur les citoyens pour leur usage de produits ménagers et d'hygiène voire aussi des médicaments. En effet par exemple tous ces produits pour déboucher les tuyaux de la maison, les wc, les désinfectants, etc et les lessives et assouplissants, etc et les shampoings et savons et dentifrice, etc sur lequel la nocivité pour l'homme pose question et par ricochet pour l'environnement notamment la qualité des eaux, la chaîne alimentaire. Quasiment pas d'information et de sensibilisation. Pas de dosage, chacun y va comme il veut et qu'il peut tous les jours où presque multiplié par les 65 millions de français plus les 85 millions de touristes. Alors il y les stations d'épuration et les systèmes de drainage, mais quelles sont leurs efficacités réelles contre tous ces produits, et s'ils sont captés qu'est que l'on en fait après. Il n'y pas que les paysans qui polluent. PS: je suis un simple citatin
GM50 - 01 Mars 2018 - 19h31
En ce qui me concerne je voudrais attirer l'attention sur les citoyens pour leur usage de produits ménagers et d'hygiène voire aussi des médicaments. En effet par exemple tous ces produits pour déboucher les tuyaux de la maison, les wc, les désinfectants, etc et les lessives et assouplissants, etc et les shampoings et savons et dentifrice, etc sur lequel la nocivité pour l'homme pose question et par ricochet pour l'environnement notamment la qualité des eaux, la chaîne alimentaire. Quasiment pas d'information et de sensibilisation. Pas de dosage, chacun y va comme il veut et qu'il peut tous les jours où presque multiplié par les 65 millions de français plus les 85 millions de touristes. Alors il y les stations d'épuration et les systèmes de drainage, mais quelles sont leurs efficacités réelles contre tous ces produits, et s'ils sont captés qu'est que l'on en fait après. Il n'y pas que les paysans qui polluent. PS: je suis un simple citatin
GÉRARD - 26 Février 2018 - 15h23
Déchets, la fabrique d'emballages plastique est préjudiciable à l'environnement. Ceux-ci doivent être tous recyclés, ou bien ils ne doivent pas être fabriqués. Tous les déchets chimiques se retrouvent un jour dans la mer, soit par le vent, ou par les rivières.
Sable, arrêtons de draguer le sable y compris au large. Si l'on prélève du sable au large, le sable des côtes glisse pour compenser. De ce fait le sable des plages disparaît.
Si nous voulons un avenir meilleur il faut remplacer le dieu argent par le dieu nature.
Instituons dans l'éducation le respect, la méditation, l'apprentissage de la nature.
pipil - 26 Février 2018 - 14h40
constat : Des déchets issus essentiellement de la pétrochimie pullulent sur les côtes de cette façade (granulés plastique, bouteilles, paraffine ...). Je souligne ici le travail de l'association "SEAMER" qui quantifie, identifie et retrace les sources de ces pollutions (décharge à ciel ouvert en bord de mer, apports fluviatiles, pollution accidentelles, rejets volontaires ...). Il est requis de supprimer toute source de pollution continue ( nettoyage des zones d'accumulations ). Il est requis d'installer des systèmes de rétention sur les fleuves afin de retenir en amont la majorité des déchets flottants qui s'écoulent vers la mer. Il est requis de revoir la politique globale de gestion des emballages via une taxation ciblée sur les emballages polluants visant à diminuer leur quantité, ce qui d'ailleurs aurait dû être fait bien avant d'imposer le tri au consommateur. Il est requis de punir sévèrement toute pollution volontaire et de revoir la législation sur le rinçage des cuves en mer
tendao - 25 Février 2018 - 16h04
La dernière loi sur l 'eau dans le Pas de Calais concernant la protection des rivières a été prise avec l unique concertation des federation de pêche.
Le milieu sportif n 'a pas été concerté alors que le monde du sport utilise aussi les rivières .
A travers de telles décisions , les services de l 'état font des choix qui ne permettent pas la discussion le dialogue vecteurs de consensus dans les decisions et les approbations de chacun; Il est donc important de ne pas attribuer la nature aux, pécheurs, aux chasseurs ou aux agriculteurs ;; Le monde du sport mais aussi du tourisme doit être intégré reflexions ;
Merci
NATH - 24 Février 2018 - 20h59
Chaque citoyen doit prendre ses responsabilités , lors d'une promenade au bord de mer , penser à prendre un sac et tout en profitant du grand air et de mer nature , contribuer en ramassant les déchets sur notre passage ! en montrant l'exemple , cela pourra peut être en influencer d'autres !
Manu Delcroix - 24 Février 2018 - 12h05
Qu'il s'agisse de taxe carbone, de bassins de rétention, de zone de décontamination, chaque acteur -industriels, agriculteurs, particulier- nous devons tous prendre notre part de responsabilité dans nos actions et nos choix, et ce à la hauteur des impacts engendrés.
Il faut
-> INFORMER : certains croient encore que le changement climatique est une blague, d'autres que les intrants chimique sont sains, d'autres que la surpêche n'existe pas, et d'autres enfin que prendre sa voiture ou acheter des fraises en hiver n'a pas d'impact ! ! !
-> RESPONSABILISER : l'étiquetage nutritionnel, la vignette crit'Air c'est un bon début, mais il faut que cela soit plus visible, et à tous les niveaux (pro comme privé), avec des bonus incitatifs pour ceux qui font les bons gestes.
-> PUNIR : (il n'y a que ça qui marche) que ce soit via le portefeuille, la réputation, ou des actions d'intérêt général (nettoyage des plages etc)
Ivar - 23 Février 2018 - 18h28
Si les vases de dragage sont dans les normes pour être clapées en mer (mat.org. < 2% et métaux lourds < ref. N1) pourquoi ne pas les utiliser pour l'amendement des sols sablonneux , comme le pratique le port de Groningue NL ?
Bauduin - 22 Février 2018 - 17h31
Comme pour la reconquête de la biodiversité, il faut absolument sortir du modèle agricole « chimique », orienter les aides vers l'agro-écologie et l'agriculture biologique ; sachant que les rejets domestiques sont de plus en plus traités, ce changement des pratiques agricoles améliorera l'état des eaux littorales.
FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 21 Février 2018 - 11h00
La problématique de la qualité de l’eau est un enjeu fort sur la façade Manche Est – Mer du Nord. Outre le risque sanitaire, une mauvaise qualité de ces eaux porte préjudice au milieu marin et à l’économie bleue, en particulier l’aquaculture et la pêche. Les milieux aquatiques littoraux disposent d’une biodiversité particulièrement riche, sensible aux apports des milieux terrestres et aux influences anthropiques. Les atteintes à la qualité de l’eau sont surtout d’origines terrestres. Ainsi, l’utilisation excessive d’intrants et de produits phytosanitaires pour l’agriculture ou encore les rejets d’usines et le dysfonctionnement de stations d’épuration mettent à mal la qualité du milieu.
Propositions :
- Mener avec une fréquence régulière des suivis biologiques des milieux révélateurs de la qualité des eaux ;
- Mettre en place une politique de réduction des polluants qui arrivent à la mer en suivant le principe pollueur/payeur.
Lee - 20 Février 2018 - 19h05
Emballage des légumes conventionnels (le bio doit devenir une norme:, incitation à la conversion pour les agriculteurs + baisse de la TVA pour l'achat de produits bio non transformés, 100% de bio dans la restauration collective. Réduire l'obligation en restauration collective de consommer de la viande tous les jours.
Margot Storez - 20 Février 2018 - 14h03
*Organiser des nettoyages citoyens de la plage, très populaires à l’étranger mais inexistants en France. Car certains déchets viennent directement de la mer car émis par d’autres pays mais il est de notre responsabilité de les enlever une fois présents sur nos plages afin d’éviter qu’ils retournent polluer nos mers.
*Inciter les entreprises à produire moins d’emballages plastiques non recyclables, et inutiles dans la plupart des cas.
*Installer plus de poubelles en bord de mer.
Jacques Boinne - 19 Février 2018 - 15h03
Axes d'intervention importants, mais non exclusifs:
1 - Plan de passage à l'agriculture biologique afin de réduire très fortement les nitrates, les pesticides et les produits phytosanitaires
2 - Plan de suppression progressif des emballages non recyclables
3 - Plan de relocalisation de l'économie afin de réduire le trafic maritime et de mieux gérer les déchets
Caroline Delaporcelaine - 18 Février 2018 - 13h07
remettre en place les consignes, inventer des collecteurs de bouteilles, cannettes , pailles, etc qui soient ludiques afin que tous le monde est envie de les utiliser. Apprendre aux enfants le respect de la nature et de l'environnement . Punir sévèrement les entreprises et les particuliers qui polluent ...Amende dégazage en mer conséquente , accès déchèteries plus facile et gratuit, responsabiliser les gens et valoriser les actes citoyens.
Laurent Colasse - 16 Février 2018 - 15h54
Faire un inventaire public des décharges en activité ou anciennes, autorisées ou non. Éliminer les décharges côtières et à proximité des cours d'eau, en cours d'effondrement ou en péril de l'être, le plus rapidement possible !
Pour éviter les décharges sauvages aux abords des cours d'eau : permettre gratuitement à tous d'apporter ses déchets dans une benne (zones commerciales, zones industriels, ...) plus particulièrement devant les déchetteries en dehors des horaires d'ouverture ! Arrêtez de faire payer les professionnels ! Installer des caméras autonomes sur les zones connues de décharges sauvages au bord des rivières. Sensibiliser fortement Les pouvoirs judiciaires aux stratégies européennes sur l'eau. AMENDES : appliquer la loi sur les abandons de déchets avec ou sans l'aide d'un véhicule !
verseau37 - 15 Février 2018 - 17h32
BIBLE et GUIDE à suivre à la lettre concernant la mer et l'océan.
¤ La Mer comme l'Océan n'appartiennent à personne.
¤ Toutes personnes morales et individuelles intervenant de manières obstructives à la bonne vie aquatique, à la conservation du littoral devra en payer les dégâts. (sans passe-droit).
¤ Tout individus ayant pour commerce les prélèvements dans la Mer ou les Océans doit assumer la bonne vie de ceux-ci en payant une contribution.
¤ Une participation doit être demandée pour toutes personnes ayant des activités sur et sous la Mer ou Océan.
¤ Tous pollueurs doit faire l'objet de poursuites judiciaires, sans aucun passe-droit, ce qui est loin d'être le cas actuellement.
¤ Les lois en vigueur ne doivent pas être occultées. L'honnêteté doit être le cheval de bataille de tous les hommes politiques, pour l'instant nous en sommes encore loin pour ce qui concerne l'application des lois maritimes en vigueur.
Appliqué rigoureusement, l'avenir sera assuré pour les générations futures.
Axolotl - 13 Février 2018 - 12h26
Lors de fortes précipitations (orages d'été par exemple), les eaux pluviales ne rejoignent pas les stations d'épuration faute de capacité de traitement suffisant, mais sont rejetées directement dans les ports ou rivières côtières. Il faut créer des bassins de rétention de ces eaux, pour pouvoir les traiter ensuite.
Axolotl - 13 Février 2018 - 12h22
Certaines valleuses (Senneville sur Fécamp) par ex ont servi de décharges publiques pendant des années, jusqu'à comblement de la valleuse. Le recul de la falaise par érosion littorale fait tomber sur le rivage es déchets enfouis. Il faudrait excaver ces anciennes décharges et traiter les déchets. Très cher probablement, mais il nous faut réparer les erreurs du passé.
dede_taime - 12 Février 2018 - 10h02
cet établissement public à fiscalité propre, héritage des siècles passé, dispose d'un pouvoir de décision conséquent sur le territoire littoral de la flandre maritime. son siège se trouve à Saint-Omer ; dans son conseil d'administration, de nombreux agriculteurs. rien d'étonnant à cela : autour de Saint-Omer, une activité maraichère importante perdure. mais de l'agriculture, il y en a de partout en flandre maritime, autour du fleuve Yser notamment, et sous des formes variées. conséquence : dans le réseau des canaux dénommés "watergangs" se retrouvent en quantité pesticides et nitrates. le syndicat met toute son énergie à refuser le classement des canaux en "cours d'eau" pour éviter aux pollueurs de payer ce qu'ils doivent, et rejette les propositions de "plans de gestion simplifiés" de l'administration d'Etat. bref, ce syndicat, c'est le moyen-âge et le "village gaulois" qui s'imposent au détriment de l'intérêt général !
Laurent Guerin Villeaubreil - 10 Février 2018 - 07h34
Donner un pouvoir politique réel aux citoyens de proximité du milieu en danger qui s engagent durablement dans la cause écologique.Favoriser leur organisation et leur émergence. Accepter et leur reconnaitre un pouvoir et une autorité non contestée aux cotés des autres collectivités et autres centres d influence legaux et reglementés. Leur assurer un financement public à minima. Ne pas les contraindre dans leur actions pas des contraintes fonctionnelles. Généraliser et les aider à faire connaitre leurs bonnes pratiques. Leur donner un réel pouvoir d action. Reconnaitre la place de l acteur de proximité dans les cercles d influence et de décision. Ne plus les considérer comme des sentinelles mais comme des acteurs réels. Créer un nouvelle forme de réprésentativité citoyenne par la création d une nouvelle collectivité littorale aux compétences etablies et reconnues par tous.
Adeline P. - 07 Février 2018 - 10h19
Dans un premier temps, il serait important de connaître les acteurs et les réseaux de mesures qualitatifs existants sur le pourtour du littoral afin de connaître quels sont les mesures entreprises et les résultats obtenus pour une cohérence des données. En outre, si ont analyse l'eau estuarienne et marine, on trouve des molécules chimiques qui peuvent être interdites dans les pratiques agricoles mais autorisées dans l'utilisation en espaces verts, pour le carénage et par les particuliers. Si un composé est interdit dans une pratique, il est cohérent de l'interdire pour les autres. Enfin, une concertation des pratiques entre agriculteurs de la terre et de la mer pourrait être l'objet d'une réflexion globale sur la gestion intégrée des eaux. Pour info : le LIFE baie de l'Aiguillon travaille en partie sur le sujet.
M - 05 Février 2018 - 22h48
Dans la carte de synthèse des enjeux sociaux économiques, associer l'élevage de qualité (non industrielle) à la production agricole de qualité. En effet, la production laitière est un fleuron de ce territoire, les près souvent inondées ne sont pas tous propices à une culture. Par ailleurs, insister sur l'échelle boccagère du territoire, haies et sentes, incompatibles avec les fermes des milles vaches qui les éventrent et les embouent. Ré-enchanter la filière laitière locale pour les producteurs (modèle économique à mettre en place/ ferme des milles vaches) et avec les consommateurs valorisation par la transformation (fromagerie, crèmerie,lait). Une évolution similaire à l'essor de l'agriculture bio qui démarre!
Thierry Decocq - 05 Février 2018 - 21h32
Le développement de l'élevage industriel et l'épandage, de l'agro-industrie sont des sources majeures de pollution qui finissent à la mer. Le traitement des eaux est imparfait et laisse passer en particulier les déchets de médicaments et de traitements contraceptifs, les eaux pluviales charrient des hydrocarbures du réseau routiers... Les sources de pollution marine issues de la terre sont multiples. Diagnostiquer est un préalable à toute politique raisonnée de lutte contre la pollution. Cela passe par une politique orientée vers la recherche d'où émaneront des technologies moteur d'une nouvelle économie de l'environnement exportable et mutualisable.
Baptiste Taconet - 05 Février 2018 - 17h02
Instaurer un réglementation plus contraignantes sur les nouveaux moteurs pour émettre moins de CO2 et moins de particules fines.
Le bruit des moteurs de scooter des mers devrait également être fortement limité.
Le fait que les bateaux de plaisance deviennent plus respectueux de l’environnement ne sera pas seulement bénéfique pour notre santé et pour la préservation de l’environnement maritime
aveta - 04 Février 2018 - 22h28
- Agir en amont du problème, c'est limiter les emballages plastiques et suremballages inutiles. Aux consommateurs (consomme-acteur) d'être vigilants lors de leurs achats, en privilégiant les produits frais : la nature s'en portera mieux et leur santé aussi ! Ce n'est pas forcément plus cher non plus.
- Tous les plastiques ne sont pas égaux devant le recyclage, arrêter la production de plastique non recyclable au profit de ceux qui le sont.
- Développer les produits biodégradables.
aveta - 04 Février 2018 - 22h12
Pourquoi ne pas demander aux citoyens de s'engager à nettoyer les plages, les fleuves, les campagnes lors des manifestations solidaires de type téléthon, Sidaction, octobre rose, etc...
Voire même lors de la fête de la musique, et faire ensuite la fête tous ensemble après une journée nettoyage bien remplie !
Et si on créait une journée "Plus belle la vie sans déchets" ;)
Jobond - 04 Février 2018 - 15h40
Je reprends, par une petite parenthèse, l'idée des bacs à déchets sur le bord des accès aux plages des différentes communes.
Sur Dunkerque je mets régulièrement des seaux à déchets qui sont mis à disposition des promeneurs. Ceux ci sont eux mêmes des déchets (petits bidons) que je récupère et auxquels j'ajoute deux poignées en corde récupérée également.
Sans ces seaux cela peut être aussi par une communication "#une sortie deux déchets"
Lors de chaque sorties, les citoyens engagés, pourraient "promettre" de ramasser deux déchets chacun......pas une grande initiative mais gratuite, facile et à portée de chacun.
lydieke71 - 04 Février 2018 - 10h48
Nous ramassons énormément de déchets lors de nos promenades à st Germain sur ay. Il y a peu d'endroits où deposer ces déchets ( beaucoup de plastiques, de cordages ) il faudrait installer plus de poubelles et informer les touristes et pêcheurs sur la nécessité de ne pas jeter les déchets à la mer.
textilus - 03 Février 2018 - 21h08
Je tente de faire de mon mieux. En Bretagne Sud, les plages sont souvent colonisées par des algues vertes. J'essaie de réagir en achetant des produits agricoles sans intrants phosphatés. J’essaie de faire mon mieux, mais je reste conscient de ne pas être soutenu par les pouvoirs publics, qui souvent à mon avis, reste concilient sur un maximum de norme protrectice
fanfan50 - 02 Février 2018 - 21h48
Beaucoup de citoyens veulent aider ; leur mettre à disposition des bacs à marée sur chaque parking de bords de mer accompagnés de consignes simples aiderait à la fois à la prise de conscience et à la prévention des pollutions par les déchets divers .
mecplusultra - 02 Février 2018 - 14h36
Il est crucial de protéger certaines zones qui servent d'abris hivernal au poissons et d'y interdire la pèche
Jonathan Kordel - 02 Février 2018 - 12h20
Combattre la pollution par l'éducation et la sensibilisation des jeunes, effectuer des sorties extra-scolaires pour la collecte des déchets sur le littoral et la valorisation de ses déchets par le recyclage.
Marty - 02 Février 2018 - 11h00
Face au « changement climatique », il est important de préserver le littoral. Préserver la loi en cours, voir la durcir, et interdire toutes nouvelles constructions invasives et polluantes( hôtel sur l’ile De Tatihou).
CHEMIN Bernard - 01 Février 2018 - 09h11
Revenir à une agriculture moins polluante
Joelle Lefrancois - 31 Janvier 2018 - 21h33
Pourquoi ne pas mettre un bateau sur chaque fleuve qui aurait pour charge de ramasser tous les objets flottants...ce qui permettrait de réduire grandement tous le rejets a la mer des dechets plastiques entre autre et cela créerait des emplois
Michel Mariette - 26 Janvier 2018 - 17h09
ll' espèce invasive dénommée " Mnemiopsis leidyi possède une capacité reproductive très élevée en présence d'une nourriture abondante en l'occurrence du zooplancton
Que peut on faire 'en période de forte présence de cette espèce prédatrice pour éviter une rupture d'une chaîne alimentaire préjudiciable à la préservation des espèces halieutiques dont la nourriture principale serait le zooplancton?