Le bon état écologique des milieux marins et littoraux

Comment réduire les pollutions venues de la terre, qui influencent la bonne qualité de l’eau sur le littoral ?

 
  • Lutte par la sensibilisation et l'encouragement

    Alexandre Davoult - 23 Mars 2018 - 19h01

    - Programmes de sensibilisation au recyclage à la pollution, et ceux le plus tôt possible (importance de sensibiliser dès le plus jeune âge).
    - Installations de bennes sur les plages plus important.
    - Action en amont : Privilégier les matières biodégradables et interdire si possible le plastique (comme pour le coton tige en substituant avec autre chose).
    - Amendes plus fortes pour les pollueurs pris en flagrant délit de pollution (et répression plus grande en général) et augmenter les peines déjà existantes.
    - Promouvoir les travaux intérêts généraux.
    - Encourager les énergies propres par le biais de subvention en prenant exemple sur nos voisin du nord. En favorisant le GNL et faire un terminal portuaire dans les grands ports maritimes comme notamment celui du Havre

  • Améliorer la qualité de la ressource en eau (1/3)

    Baie de Somme 3 Vallées - 23 Mars 2018 - 16h25

    Directement dépendante de la qualité des eaux marines ; - elle-même corrélée à la qualité de l’eau des fleuves - ; la qualité de l’environnement marin de la façade Manche Est – Mer du Nord est indissociable de la qualité de l’environnement terrestre de la frontière belge au golfe anglo-normand.

    La mesure 1.3.1 du Projet de charte du Parc naturel régional Baie de Somme Picardie maritime souligne l’enjeu de la préservation de la ressource en eau pour le territoire de Picardie maritime. Afin de développer les actions de réduction des pollutions et valoriser les bonnes pratiques, on recense dans les objectifs qu’elle poursuit diverses initiatives telles :

  • Améliorer la qualité de la ressource en eau (2/3)

    Baie de Somme 3 Vallées - 23 Mars 2018 - 16h24

    • Accompagnement des collectivités pour supprimer l’usage des produits phytosanitaires dans la gestion des espaces communaux, favoriser l’infiltration des eaux pluviales, développer leur technicité en matière d’assainissement, mettre en œuvre des pratiques innovantes de traitement des eaux (cf. phyto-filtration), identifier dans le cadre des SAGE les secteurs devant faire l’objet d’opérations de reconquête de la qualité de l’eau, assurer la surveillance régulière de la qualité des eaux rejetées dans l’environnement et prendre en compte la préservation de la ressource en eau dans les documents d’urbanisme (cf. PLUi, SCoT) ;
    • Développement de pratiques agricoles certifiées (cf. AB, HVE, ISO, …) ou respectant un référentiel (Quali’Terre, agriculture raisonnée, …), de pratiques d’élevage extensif préservant les prairies pâturées, la diminution de l’utilisation d’engrais et de phytosanitaires, la réduction de leur lessivage et de leur transfert dans les cours d'eau (cf. bandes enherbéées)

  • Améliorer la qualité de la ressource en eau (3/3)

    Baie de Somme 3 Vallées - 23 Mars 2018 - 16h15

    • La réduction des pollutions industrielles par la mise en place d’opérations de suivi, la promotion des bonnes pratiques industrielles (cf. les industries du Vimeu qui améliorent au quotidien leur performance environnementale), la recherche de solutions pour limiter le risque engendré par les friches industrielles ;
    • L’accompagnement des équipements touristiques pour se doter d’installations de traitement des eaux résiduaires idoines et assurer leur bon fonctionnement, notamment en période de pic de fréquentation ;
    • La sensibilisation de la population, comme des visiteurs, aux enjeux de préservation de la ressource en eau, pour engendrer un changement des pratiques.

  • Déchets solides

    Baie de Somme 3 Vallées - 23 Mars 2018 - 16h11

    Il faut souligner la place qu’occupent les déchets solides parmi les pollutions marines de la façade Manche Est – Mer du Nord. D’où la nécessité d’encourager les établissements publics de coopération intercommunale, gestionnaires de déchets, à porter des programmes locaux de prévention des déchets et à mettre en place des actions en faveur de la diminution à la source de ces déchets ; - ce d’autant plus que de telles initiatives représentent un facteur positif pour la mise en place d’actions en faveur de l’économie circulaire.

  • Impliquer les enfants

    Céline Lahaye - 21 Mars 2018 - 06h50

    Apprendre aux enfants dés le plus jeune âge le rôle des écosystèmes marins au travers de sorties de classe, de la venue d’ intervenants en école (scientifiques, marins pêcheurs, associations )

  • Encourager l'agriculture Biologique

    afddouvres - 12 Mars 2018 - 21h51

    Inciter les agriculteurs à évoluer vers une agriculture Biologique, en mettant en place les formations et informations sur l'utilisation de produits et techniques naturels,
    Interdire immédiatement les produits phytosanitaires
    Tendre vers des pratiques respectueuses de l'environnement

  • Controle de la qualité des eaux fluviales

    afddouvres - 12 Mars 2018 - 21h40

    Mettre en place un contrôle rigoureux, permanent, sans dérogation aucune, sur tous les rejets en mer.
    Appliquer des amendes dissuasives, avec comme principe : pollueur deux fois payeur

  • Arrêt immédiat des clapages

    afddouvres - 12 Mars 2018 - 21h25

    Retraitement à terre de toutes les boues des dragages
    Interdire les dépôts en mer
    la prise en charge du traitement de ces déchets par les usagers (professionnels de la mer, plaisanciers, etc.) : principe du pollueur payeur

    bruno
    Les sables et matériaux de dragage extraits à un emplacement portuaire, en mer ou rivière sont déplacés à un second emplacement en mer. Si ces matériaux extraits présentent une nocivité, celle-ci se réduira-t-elle lorsqu'ils seront déchargés à terre?
    • Pas d'accord
      0
  • Retenons nos enjoliveurs-bouteilles-canettes-mégots... la VUPO suivra !

    Association T EAU T O PHIL - 11 Mars 2018 - 20h26

    Il est indispensable que l’effort n’incombe pas uniquement aux communes littorales. Face à un enjeu majeur abstrait pour 2030, le mégot et le plastique peuvent symboliser le lien quotidien de notre cadre de vie à nos océans.
    Tout macro-déchet récupéré à tout endroit des terres émergées, ce sont des milliards… gagnés demain en macro, micro, nano… polluants. Une grille à la source dans un réseau pluvial est étonnamment simple et efficiente ! Sans négliger aucun polluant, il s'agit d'intercepter 100% des mégots et plastiques à la source des Rejets Urbains de Temps de Pluie. Cette action proche de l'avaloir (ou bouche d'égout) enclenchera également une politique globale vers une Valorisation Urbaine de la Pluie pour l’Océan (VUPO) : regardons la pluie urbaine comme une Ressource au lieu d’un Risque ou d’un Rejet.
    La valorisation de l'eau de pluie et de ses déchets doit devenir dans notre quotidien une industrie qui gère la pluie urbaine en une ressource stratégique vitale.

    Steph SANDOZ
    Oui
    • Pas d'accord
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  • Clapage en mer

    pipil - 10 Mars 2018 - 13h41

    Les rejets de dragage effectués en mer semblent contribuer à la dégradation chimique et physique du milieu. Vérifier par une analyse exhaustive de la littérature scientifique l'absence d'impact sur la faune benthique et sur les services écosystémiques. Effectuer des études complémentaires un situ et en mésocosme. Diminuer les seuils de polluants fixés avant rejet en mer et mettre en place des filières de traitement adaptées.

    doudou
    Méconnaissance totale d ela réglementation très stricte appliquée par la France!
    • Pas d'accord
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  • Des lobbies et de leur rôle auprès des ministères, de l'usage des enquêtes publiques

    Rougier François - 09 Mars 2018 - 13h29

    La Seine est le principal vecteur de pollution terrestre présente et passe en mer de la zone. Au vu du déroulement des dernières enquêtes publiques, des conclusions rendues vis à vis des avis recueillis il semble que plus de transparence soit requise y compris dans la composition des scientifiques présents au sein des agences de gestion.
    Ceci est la clé d'une bonne gouvernance

  • Produits eco-friendly

    MD - 06 Mars 2018 - 10h59

    Il faudrait mettre en avant la fabrication maison de produits ménagers usuels (lessive, liquide vaisselle, nettoyant sol, produit lave vaisselle...) Et même cosmétiques (dentifrice etc...) qui sont tout aussi efficace , moins polluants et plus sains. Pour cela il faudrait rendre plus accessible (en supermarché et autre) les ingrédients nécessaires qui peuvent être considérés comme basiques mais qui aujourd'hui ne sont trouvable qu'en magasin bio. C'est déjà très bien d'y avoir accès par ce biais mais ce n'est pas suffisant pour qu'une majorité de la population soit prête à passer le cap et s'y mettre . Et pour aller plus loin l'idéal serait évidemment de bannir les produits chimiques et polluants de notre consommation .

  • Interdire à la vente les produits qui se retrouvement inévitablement à la mer

    Grégoire Rcs - 05 Mars 2018 - 17h55

    Une grande partie du plastique présent dans la mer l'est sous forme particulaire à peine discernable à l’œil.Une grande partie des cosmétiques vendus en France contiennent des microbilles de plastiques (que ce soit les dentifrices ou encore des soins de visage) alors que des alternatives simples existent (les produits "eco-friendly" utilisent de l'écorce par exemple). Ces microbilles passent à travers les stations d'épuration qui ne sont pas capables de les retenir et se retrouvent dans les cours d'eau et donc invariablement à la mer.
    Le changement de comportement ne se fera pas tout seul (on retrouve toujours une quantité invraisemblable de lingettes dans les stations alors qu'il est de notoriété publique qu'il ne faut pas les jeter aux toilettes), il est donc indispensable soit de taxer fortement ces produits pour dissuader les utilisateurs ou bien plus simplement d'interdire leur fabrication.

  • Des mesures efficaces déjà mises en oeuvre, à préserver et à développer

    GPMD - 02 Mars 2018 - 18h20

    Des mesures déjà mises en oeuvre sont efficaces et sont à préserver:
    - sur le domaine maritime, comme dans les bassins du Port de Dunkerque et le long du littoral de ce Port, des prélèvements sont faits de manière périodique pour mesurer les taux de certaines substances, sous le contrôle des autorités préfectorales.
    - Les émissions de substances dans l'eau depuis certaines industries présentes sur les places portuaires font l'objet d'un contrôle périodique, encadré par des arrêtés préfectoraux.
    - Des travaux de rénovation de l'assainissement sur les quais du Port de Dunkerque, en favorisant l'infiltration ou en mettant en oeuvre des bassins de traitement si le rejet au bassin est conservé
    - Des conventions de rejet sont signées avec certaines entreprises du domaine portuaire du Port de Dunkerque
    - En amont du littoral, afin de garantir la qualité des eaux venant des terres, la police de l'eau assurée par l'Etat doit être maintenue, afin de pénaliser et verbaliser les pollueurs.

  • MODIFIER LES COMPORTEMENTS ET PLUS...

    GM50 - 01 Mars 2018 - 19h31

    En ce qui me concerne je voudrais attirer l'attention sur les citoyens pour leur usage de produits ménagers et d'hygiène voire aussi des médicaments. En effet par exemple tous ces produits pour déboucher les tuyaux de la maison, les wc, les désinfectants, etc et les lessives et assouplissants, etc et les shampoings et savons et dentifrice, etc sur lequel la nocivité pour l'homme pose question et par ricochet pour l'environnement notamment la qualité des eaux, la chaîne alimentaire. Quasiment pas d'information et de sensibilisation. Pas de dosage, chacun y va comme il veut et qu'il peut tous les jours où presque multiplié par les 65 millions de français plus les 85 millions de touristes. Alors il y les stations d'épuration et les systèmes de drainage, mais quelles sont leurs efficacités réelles contre tous ces produits, et s'ils sont captés qu'est que l'on en fait après. Il n'y pas que les paysans qui polluent. PS: je suis un simple citatin

    jaquotiere
    Je suis d'accord avec vous sur ce point de vue , mais une chose très importante qui n'est pas exploiter dans vos propos lié a mla nature que l'on détruit, ce sont les incidences de l'utilisation des produits venant de la chimie qui détruit notre santé (cancer etc...) ce sont les perturbateurs endocriniens. Il faut a moyen terme supprimer ses poluants de notre société et c'est une affaire mondiale. Dans le secteur de la Manche les plages sont en état catastrophique (pollution pêche interdite) . Notre planète est malade comment la soigné?
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  • MODIFIER LES COMPORTEMENTS ET PLUS...

    GM50 - 01 Mars 2018 - 19h31

    En ce qui me concerne je voudrais attirer l'attention sur les citoyens pour leur usage de produits ménagers et d'hygiène voire aussi des médicaments. En effet par exemple tous ces produits pour déboucher les tuyaux de la maison, les wc, les désinfectants, etc et les lessives et assouplissants, etc et les shampoings et savons et dentifrice, etc sur lequel la nocivité pour l'homme pose question et par ricochet pour l'environnement notamment la qualité des eaux, la chaîne alimentaire. Quasiment pas d'information et de sensibilisation. Pas de dosage, chacun y va comme il veut et qu'il peut tous les jours où presque multiplié par les 65 millions de français plus les 85 millions de touristes. Alors il y les stations d'épuration et les systèmes de drainage, mais quelles sont leurs efficacités réelles contre tous ces produits, et s'ils sont captés qu'est que l'on en fait après. Il n'y pas que les paysans qui polluent. PS: je suis un simple citatin

    Elisabeth Elizabeth
    doublon
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  • DÉCHETS ET SABLE

    GÉRARD - 26 Février 2018 - 15h23

    Déchets, la fabrique d'emballages plastique est préjudiciable à l'environnement. Ceux-ci doivent être tous recyclés, ou bien ils ne doivent pas être fabriqués. Tous les déchets chimiques se retrouvent un jour dans la mer, soit par le vent, ou par les rivières.
    Sable, arrêtons de draguer le sable y compris au large. Si l'on prélève du sable au large, le sable des côtes glisse pour compenser. De ce fait le sable des plages disparaît.
    Si nous voulons un avenir meilleur il faut remplacer le dieu argent par le dieu nature.
    Instituons dans l'éducation le respect, la méditation, l'apprentissage de la nature.

    jaquotiere
    Il faut prescrire tout les produit plastique de la société, d’autre alternatives existe cela fera du bien pour la nature l'épuisement des énergie fossile va nous obliger a construite une autre façon de consommer.
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  • les déchets solides

    pipil - 26 Février 2018 - 14h40

    constat : Des déchets issus essentiellement de la pétrochimie pullulent sur les côtes de cette façade (granulés plastique, bouteilles, paraffine ...). Je souligne ici le travail de l'association "SEAMER" qui quantifie, identifie et retrace les sources de ces pollutions (décharge à ciel ouvert en bord de mer, apports fluviatiles, pollution accidentelles, rejets volontaires ...). Il est requis de supprimer toute source de pollution continue ( nettoyage des zones d'accumulations ). Il est requis d'installer des systèmes de rétention sur les fleuves afin de retenir en amont la majorité des déchets flottants qui s'écoulent vers la mer. Il est requis de revoir la politique globale de gestion des emballages via une taxation ciblée sur les emballages polluants visant à diminuer leur quantité, ce qui d'ailleurs aurait dû être fait bien avant d'imposer le tri au consommateur. Il est requis de punir sévèrement toute pollution volontaire et de revoir la législation sur le rinçage des cuves en mer

  • CONCERTATION AVANT DECISIONS

    tendao - 25 Février 2018 - 16h04

    La dernière loi sur l 'eau dans le Pas de Calais concernant la protection des rivières a été prise avec l unique concertation des federation de pêche.
    Le milieu sportif n 'a pas été concerté alors que le monde du sport utilise aussi les rivières .
    A travers de telles décisions , les services de l 'état font des choix qui ne permettent pas la discussion le dialogue vecteurs de consensus dans les decisions et les approbations de chacun; Il est donc important de ne pas attribuer la nature aux, pécheurs, aux chasseurs ou aux agriculteurs ;; Le monde du sport mais aussi du tourisme doit être intégré reflexions ;
    Merci

  • action

    NATH - 24 Février 2018 - 20h59

    Chaque citoyen doit prendre ses responsabilités , lors d'une promenade au bord de mer , penser à prendre un sac et tout en profitant du grand air et de mer nature , contribuer en ramassant les déchets sur notre passage ! en montrant l'exemple , cela pourra peut être en influencer d'autres !

    Clemence GELLEE
    Il faudrait aussi et surtout penser à réduire ses déchets en premier lieu, le meilleur déchet étant celui qui n'est jamais produit :)
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    Cacajou
    Oui je suis ok, il faut que chacun se sente concerné et agisse
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    Evelyne Fiquet
    Organiser régulièrement dans les communes des journées citoyennes de nettoyage des plages mais aussi des espaces verts dans les villes et dans les campagnes. Cela pourrait corresponre a des journées festives et de rencontre des gens et de sensibilisation collective au problème des déchets et de la surconsommation.
    • Pas d'accord
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  • Toute activité a impact, tout impact nécessite une action compensatrice

    Manu Delcroix - 24 Février 2018 - 12h05

    Qu'il s'agisse de taxe carbone, de bassins de rétention, de zone de décontamination, chaque acteur -industriels, agriculteurs, particulier- nous devons tous prendre notre part de responsabilité dans nos actions et nos choix, et ce à la hauteur des impacts engendrés.
    Il faut
    -> INFORMER : certains croient encore que le changement climatique est une blague, d'autres que les intrants chimique sont sains, d'autres que la surpêche n'existe pas, et d'autres enfin que prendre sa voiture ou acheter des fraises en hiver n'a pas d'impact ! ! !
    -> RESPONSABILISER : l'étiquetage nutritionnel, la vignette crit'Air c'est un bon début, mais il faut que cela soit plus visible, et à tous les niveaux (pro comme privé), avec des bonus incitatifs pour ceux qui font les bons gestes.
    -> PUNIR : (il n'y a que ça qui marche) que ce soit via le portefeuille, la réputation, ou des actions d'intérêt général (nettoyage des plages etc)

    Clemence GELLEE
    Informer et instruire pour responsabiliser est en selon moi effet la clé : retracer la vie des produits de leur création à leur "mort" pour mettre en avant toutes les implications d'un achat. Le consommacteur doit pouvoir choisir de donner son argent aux entreprises responsables et vertueuses plutôt qu'aux industries polluantes et créatrices de conflit.
    • Pas d'accord
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    Clemence GELLEE
    Informer et instruire pour responsabiliser est en selon moi effet la clé : retracer la vie des produits de leur création à leur "mort" pour mettre en avant toutes les implications d'un achat. Le consommacteur doit pouvoir choisir de donner son argent aux entreprises responsables et vertueuses plutôt qu'aux industries polluantes et créatrices de conflit.
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  • Epandage

    Ivar - 23 Février 2018 - 18h28

    Si les vases de dragage sont dans les normes pour être clapées en mer (mat.org. < 2% et métaux lourds < ref. N1) pourquoi ne pas les utiliser pour l'amendement des sols sablonneux , comme le pratique le port de Groningue NL ?

  • Modifier les pratiques agricoles

    Bauduin - 22 Février 2018 - 17h31

    Comme pour la reconquête de la biodiversité, il faut absolument sortir du modèle agricole « chimique », orienter les aides vers l'agro-écologie et l'agriculture biologique ; sachant que les rejets domestiques sont de plus en plus traités, ce changement des pratiques agricoles améliorera l'état des eaux littorales.

    Loukati
    La culture sans produits chimiques est possible
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    Elisabeth Elizabeth
    il n'y a pas que les agriculteurs, nous sommes tous concernés par NOS dechets !
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  • Améliorer la qualité des eaux littorales de la façade Manche Est – Mer du Nord

    FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 21 Février 2018 - 11h00

    La problématique de la qualité de l’eau est un enjeu fort sur la façade Manche Est – Mer du Nord. Outre le risque sanitaire, une mauvaise qualité de ces eaux porte préjudice au milieu marin et à l’économie bleue, en particulier l’aquaculture et la pêche. Les milieux aquatiques littoraux disposent d’une biodiversité particulièrement riche, sensible aux apports des milieux terrestres et aux influences anthropiques. Les atteintes à la qualité de l’eau sont surtout d’origines terrestres. Ainsi, l’utilisation excessive d’intrants et de produits phytosanitaires pour l’agriculture ou encore les rejets d’usines et le dysfonctionnement de stations d’épuration mettent à mal la qualité du milieu.

    Propositions :
    - Mener avec une fréquence régulière des suivis biologiques des milieux révélateurs de la qualité des eaux ;
    - Mettre en place une politique de réduction des polluants qui arrivent à la mer en suivant le principe pollueur/payeur.

    Robin des bois
    ok, mais l'agriculteur étant souvent pollueur, lui rajoute t on des charges sous forme d'amendes ? ou l'incite - t -on, par des actions ciblées, à abandonner les intrants chimiques et se diriger vars une agriculture plus saine, y compris pour les grandes cultures intensives ?
    • Pas d'accord
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    Henri Luquet
    Un plan de suivi des PCB au niveau national a été lancé en 2008/2009. Depuis plus d'informations accessibles. FNE en sait-il plus que les riverains de la Baie de Seine ?
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  • Transition écologique

    Lee - 20 Février 2018 - 19h05

    Emballage des légumes conventionnels (le bio doit devenir une norme:, incitation à la conversion pour les agriculteurs + baisse de la TVA pour l'achat de produits bio non transformés, 100% de bio dans la restauration collective. Réduire l'obligation en restauration collective de consommer de la viande tous les jours.

    Laurrie zon
    Oui pour la baisse de TVA et le 100% bio dans les restos collectives. Et que le prix se répercute sur les achats afin de permettre plus d'achats de bio
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  • Limiter la pollution

    Margot Storez - 20 Février 2018 - 14h03

    *Organiser des nettoyages citoyens de la plage, très populaires à l’étranger mais inexistants en France. Car certains déchets viennent directement de la mer car émis par d’autres pays mais il est de notre responsabilité de les enlever une fois présents sur nos plages afin d’éviter qu’ils retournent polluer nos mers.
    *Inciter les entreprises à produire moins d’emballages plastiques non recyclables, et inutiles dans la plupart des cas.
    *Installer plus de poubelles en bord de mer.

    Lee
    Il existe des associations françaises qui effectuent dehéjà ce ramassage. Sinon d'accord
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    Laurrie zon
    Ça existe, mais ouvrir plus aux écoles et en travaux d'intérêt généraux
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    Benoit1981
    important d'impliquer les écoles, collèges et lycées pour sensibiliser les citoyens de demain.
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    Robin des bois
    Il n'est pas exact de dire que les ramassages citoyens sur les plages sont inexistants en France : A l'issue de la dernière tempète en Janvier 2018, la plage du Havre était jonchée de déchets. Cela a donné lieu à une mobilisation spontanée des citoyens pour nettoyer la plage "à la main". Mais d'accord, peut être est il possible de plus impliquer les écoles et lycées dans un souci éducatif. Robin des Bois
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    NATH
    Il faut que les municipalités mettent à disposition des plages ou baie des bacs où l'on puisse déposer les déchets et informer ! cela existe à Berck/Mer à l'entrée de la baie d'Authie et des asso organisent des nettoyages régulièrement
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  • Réduire la polution

    Jacques Boinne - 19 Février 2018 - 15h03

    Axes d'intervention importants, mais non exclusifs:
    1 - Plan de passage à l'agriculture biologique afin de réduire très fortement les nitrates, les pesticides et les produits phytosanitaires
    2 - Plan de suppression progressif des emballages non recyclables
    3 - Plan de relocalisation de l'économie afin de réduire le trafic maritime et de mieux gérer les déchets

    Robin des bois
    Pour les points un et deux, pas de problème. Pour le point trois, il est à craindre que relocaliser l'activité économique signifie délocaliser cette activité : plus d'activité économique, plus de trafic maritime, plus de pollutions ? Mais est-ce vraiment cela que l'on veut ? Et de quoi vit on ?
    • Pas d'accord
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  • sensibilisation et éducation

    Caroline Delaporcelaine - 18 Février 2018 - 13h07

    remettre en place les consignes, inventer des collecteurs de bouteilles, cannettes , pailles, etc qui soient ludiques afin que tous le monde est envie de les utiliser. Apprendre aux enfants le respect de la nature et de l'environnement . Punir sévèrement les entreprises et les particuliers qui polluent ...Amende dégazage en mer conséquente , accès déchèteries plus facile et gratuit, responsabiliser les gens et valoriser les actes citoyens.

  • Action / valorisation / répression

    Laurent Colasse - 16 Février 2018 - 15h54

    Faire un inventaire public des décharges en activité ou anciennes, autorisées ou non. Éliminer les décharges côtières et à proximité des cours d'eau, en cours d'effondrement ou en péril de l'être, le plus rapidement possible !
    Pour éviter les décharges sauvages aux abords des cours d'eau : permettre gratuitement à tous d'apporter ses déchets dans une benne (zones commerciales, zones industriels, ...) plus particulièrement devant les déchetteries en dehors des horaires d'ouverture ! Arrêtez de faire payer les professionnels ! Installer des caméras autonomes sur les zones connues de décharges sauvages au bord des rivières. Sensibiliser fortement Les pouvoirs judiciaires aux stratégies européennes sur l'eau. AMENDES : appliquer la loi sur les abandons de déchets avec ou sans l'aide d'un véhicule !

  • Réponse condensée pour les 4 sondages - Lire jusqu'au bout !!! Merci !!!

    verseau37 - 15 Février 2018 - 17h32

    BIBLE et GUIDE à suivre à la lettre concernant la mer et l'océan.
    ¤ La Mer comme l'Océan n'appartiennent à personne.
    ¤ Toutes personnes morales et individuelles intervenant de manières obstructives à la bonne vie aquatique, à la conservation du littoral devra en payer les dégâts. (sans passe-droit).
    ¤ Tout individus ayant pour commerce les prélèvements dans la Mer ou les Océans doit assumer la bonne vie de ceux-ci en payant une contribution.
    ¤ Une participation doit être demandée pour toutes personnes ayant des activités sur et sous la Mer ou Océan.
    ¤ Tous pollueurs doit faire l'objet de poursuites judiciaires, sans aucun passe-droit, ce qui est loin d'être le cas actuellement.
    ¤ Les lois en vigueur ne doivent pas être occultées. L'honnêteté doit être le cheval de bataille de tous les hommes politiques, pour l'instant nous en sommes encore loin pour ce qui concerne l'application des lois maritimes en vigueur.
    Appliqué rigoureusement, l'avenir sera assuré pour les générations futures.

  • Bassins de rétention des eaux pluviales en ville

    Axolotl - 13 Février 2018 - 12h26

    Lors de fortes précipitations (orages d'été par exemple), les eaux pluviales ne rejoignent pas les stations d'épuration faute de capacité de traitement suffisant, mais sont rejetées directement dans les ports ou rivières côtières. Il faut créer des bassins de rétention de ces eaux, pour pouvoir les traiter ensuite.

    delap
    Bassin avec un système de traitement écologique, phytoépuration.
    • Pas d'accord
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  • Le problème des anciennes décharges en bord de mer

    Axolotl - 13 Février 2018 - 12h22

    Certaines valleuses (Senneville sur Fécamp) par ex ont servi de décharges publiques pendant des années, jusqu'à comblement de la valleuse. Le recul de la falaise par érosion littorale fait tomber sur le rivage es déchets enfouis. Il faudrait excaver ces anciennes décharges et traiter les déchets. Très cher probablement, mais il nous faut réparer les erreurs du passé.

  • syndicat mixte interdépartemental des wateringues : pas de cours d'eau, pas de plan de gestion !

    dede_taime - 12 Février 2018 - 10h02

    cet établissement public à fiscalité propre, héritage des siècles passé, dispose d'un pouvoir de décision conséquent sur le territoire littoral de la flandre maritime. son siège se trouve à Saint-Omer ; dans son conseil d'administration, de nombreux agriculteurs. rien d'étonnant à cela : autour de Saint-Omer, une activité maraichère importante perdure. mais de l'agriculture, il y en a de partout en flandre maritime, autour du fleuve Yser notamment, et sous des formes variées. conséquence : dans le réseau des canaux dénommés "watergangs" se retrouvent en quantité pesticides et nitrates. le syndicat met toute son énergie à refuser le classement des canaux en "cours d'eau" pour éviter aux pollueurs de payer ce qu'ils doivent, et rejette les propositions de "plans de gestion simplifiés" de l'administration d'Etat. bref, ce syndicat, c'est le moyen-âge et le "village gaulois" qui s'imposent au détriment de l'intérêt général !

  • Creer une collectivite locale dediée de l espace littoral

    Laurent Guerin Villeaubreil - 10 Février 2018 - 07h34

    Donner un pouvoir politique réel aux citoyens de proximité du milieu en danger qui s engagent durablement dans la cause écologique.Favoriser leur organisation et leur émergence. Accepter et leur reconnaitre un pouvoir et une autorité non contestée aux cotés des autres collectivités et autres centres d influence legaux et reglementés. Leur assurer un financement public à minima. Ne pas les contraindre dans leur actions pas des contraintes fonctionnelles. Généraliser et les aider à faire connaitre leurs bonnes pratiques. Leur donner un réel pouvoir d action. Reconnaitre la place de l acteur de proximité dans les cercles d influence et de décision. Ne plus les considérer comme des sentinelles mais comme des acteurs réels. Créer un nouvelle forme de réprésentativité citoyenne par la création d une nouvelle collectivité littorale aux compétences etablies et reconnues par tous.

  • Connaître l'aspect qualitatif des eaux estuariennes

    Adeline P. - 07 Février 2018 - 10h19

    Dans un premier temps, il serait important de connaître les acteurs et les réseaux de mesures qualitatifs existants sur le pourtour du littoral afin de connaître quels sont les mesures entreprises et les résultats obtenus pour une cohérence des données. En outre, si ont analyse l'eau estuarienne et marine, on trouve des molécules chimiques qui peuvent être interdites dans les pratiques agricoles mais autorisées dans l'utilisation en espaces verts, pour le carénage et par les particuliers. Si un composé est interdit dans une pratique, il est cohérent de l'interdire pour les autres. Enfin, une concertation des pratiques entre agriculteurs de la terre et de la mer pourrait être l'objet d'une réflexion globale sur la gestion intégrée des eaux. Pour info : le LIFE baie de l'Aiguillon travaille en partie sur le sujet.

    Adeline P.
    J'ajouterais également, des stations d'épurations de communes littorales qui puissent répondre à une expansion de la population en période estivale. Souvent la station d'épuration est trop petite et ne peut satisfaire le traitement des déchets d'une population estivale qui double ou triple en été (La Réunion par ex.)
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  • Promotion d'un élevage de qualité dans l'espace littoral

    M - 05 Février 2018 - 22h48

    Dans la carte de synthèse des enjeux sociaux économiques, associer l'élevage de qualité (non industrielle) à la production agricole de qualité. En effet, la production laitière est un fleuron de ce territoire, les près souvent inondées ne sont pas tous propices à une culture. Par ailleurs, insister sur l'échelle boccagère du territoire, haies et sentes, incompatibles avec les fermes des milles vaches qui les éventrent et les embouent. Ré-enchanter la filière laitière locale pour les producteurs (modèle économique à mettre en place/ ferme des milles vaches) et avec les consommateurs valorisation par la transformation (fromagerie, crèmerie,lait). Une évolution similaire à l'essor de l'agriculture bio qui démarre!

  • Combattre la pollution de la terre à la mer.

    Thierry Decocq - 05 Février 2018 - 21h32

    Le développement de l'élevage industriel et l'épandage, de l'agro-industrie sont des sources majeures de pollution qui finissent à la mer. Le traitement des eaux est imparfait et laisse passer en particulier les déchets de médicaments et de traitements contraceptifs, les eaux pluviales charrient des hydrocarbures du réseau routiers... Les sources de pollution marine issues de la terre sont multiples. Diagnostiquer est un préalable à toute politique raisonnée de lutte contre la pollution. Cela passe par une politique orientée vers la recherche d'où émaneront des technologies moteur d'une nouvelle économie de l'environnement exportable et mutualisable.

    M
    Interdire l'élevage industriel d'échelle inadapté au bocage à l'étroitesse des chasses et chemins du littoral à la dimension des hangars sans parler des problèmes de concentration de lisiers et de rejet dans l'eau. L'apparition d'algues vertes sur le littoral un signal d'alerte. Encourager un élevage de taille moyenne avec des ruminants dans les près plutôt que dans les stalles.
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    Marie-pierre Salem
    Bonjour, je vous suis en totalité. Il m'a semblé que le gouvernement actuel a encore accentué la réglementation des élevages intensifs et ces nouvelles mesures sont en totale ntradiction avec la maitrise des pollutions terrestres qui vont in fine à la mer. Cette réglementation est à revoir.
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    Plijadur
    Diagnostiquer les origines marines ou terrestres des pollutions pour pouvoir agir. Diffuser ensuite les rapports dans les médias à disposition des citoyens, tout le monde est concerné et intéressé par ce sujet important, les rapports ne doivent pas être confidentiels. Transparence indispensable. Les pollutions existent, il faut du civisme, d'abord contrôler avant de les éliminer. Le "pas vu pas pris" c'est fini. Mettre de la transparence et du civisme dans la lutte contre les pollutions.
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  • Réglementation pour les bateaux de plaisance

    Baptiste Taconet - 05 Février 2018 - 17h02

    Instaurer un réglementation plus contraignantes sur les nouveaux moteurs pour émettre moins de CO2 et moins de particules fines.
    Le bruit des moteurs de scooter des mers devrait également être fortement limité.
    Le fait que les bateaux de plaisance deviennent plus respectueux de l’environnement ne sera pas seulement bénéfique pour notre santé et pour la préservation de l’environnement maritime

    Kris
    J'ajouterai : tendre vers le développement des bateaux écolabelisés, qui du début à la toute fin de leur cycle de vie, sont conçus pour avoir le plus faible impact sur l'environnement. L'achat de tels bateaux est encore trop marginal (sans doute du à des coûts plus élevés) mais rentre dans la philosophie d'atteinte du bon état écologique de nos océans.
    • Pas d'accord
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    Robin des bois
    Les scooters des mers constituent une véritable source de pollution, sonore d'abord, mais pas seulement. La pratique de cet engin motorisé devrait être interdite ou très encadrée et règlementée.
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  • EVITER LES SUREMBALLAGES ET LES PLASTIQUES DIFFERENTS

    aveta - 04 Février 2018 - 22h28

    - Agir en amont du problème, c'est limiter les emballages plastiques et suremballages inutiles. Aux consommateurs (consomme-acteur) d'être vigilants lors de leurs achats, en privilégiant les produits frais : la nature s'en portera mieux et leur santé aussi ! Ce n'est pas forcément plus cher non plus.
    - Tous les plastiques ne sont pas égaux devant le recyclage, arrêter la production de plastique non recyclable au profit de ceux qui le sont.
    - Développer les produits biodégradables.

    Ceridwen Odina
    les grandes surfaces devraient s'engager à reprendre les emballages: (les obliger à accepter des containers de recyclage sur leurs parkings.)
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    A76
    Rétablir les consignes (retour au producteur) pour le verre, les emballages très rigides. Créer, de cette manière, une incitation monétaire pour le consommateur. + Interdire tout suremballage ne contribuant pas ou peu à la bonne conservation du produit. + Donner les moyens au citoyen lambda de pouvoir réparer les objets du quotidien.
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    Robin des bois
    Il faut penser àtous les emballages : n'y a-t-il pas de substitut aux caisses en polystirène utilisées par les marins pêcheurs ?
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  • OPERATION NETTOYAGE DES DECHETS LORS DES JOURNEES SOLIDAIRES

    aveta - 04 Février 2018 - 22h12

    Pourquoi ne pas demander aux citoyens de s'engager à nettoyer les plages, les fleuves, les campagnes lors des manifestations solidaires de type téléthon, Sidaction, octobre rose, etc...
    Voire même lors de la fête de la musique, et faire ensuite la fête tous ensemble après une journée nettoyage bien remplie !
    Et si on créait une journée "Plus belle la vie sans déchets" ;)

    A76
    Le risque d'effet pervers : les bénévoles contribueront à rendre possible une situation non durable.
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    MurielB
    Ces opérations sont nécessaires et les associations qui les organisent sont nombreuses efficaces comme par exemple les initiatives océans de Surfrider. Les enfants et les jeunes doivent pouvoir y participer car c'est un excellent moyen de faire de la sensibilisation.
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    Marie-pierre Salem
    Il faut prendre le problème en amont et prendre les mesures qui s'imposent ! Votre idée est généreuse mais nous devons prendre le problème à bras le corps. La mer est malade des déchets. La situation est plus grave qu'on le pense. Vous vous situez au bout de la chaîne quand le mal est fait...
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    aveta
    Entièrement d'accord avec vous, mais l'urgence est telle qu'il faut prendre le problème par tous les bouts ! en amont, et en aval....
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    Jocoiv
    Le ramassage des déchets est une bonne occasion pour sensibiliser le public surtout quand elle est rapportée dans les médias, même si ce n'est pas très efficace, puisque le lendemain la mer a rapporté autant de déchets.
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    Kris
    Effectivement le problème réside bien en amont, mais pratiquer des journées de ramassages de déchets permet de sensbiliser et de conscientisation des citoyens des impacts potentiels des déchets. Ce type de ramassage doit être encadré par des associations/ONG qui expliquent les enjeux et impacts.
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  • Seau à déchets

    Jobond - 04 Février 2018 - 15h40

    Je reprends, par une petite parenthèse, l'idée des bacs à déchets sur le bord des accès aux plages des différentes communes.
    Sur Dunkerque je mets régulièrement des seaux à déchets qui sont mis à disposition des promeneurs. Ceux ci sont eux mêmes des déchets (petits bidons) que je récupère et auxquels j'ajoute deux poignées en corde récupérée également.
    Sans ces seaux cela peut être aussi par une communication "#une sortie deux déchets"
    Lors de chaque sorties, les citoyens engagés, pourraient "promettre" de ramasser deux déchets chacun......pas une grande initiative mais gratuite, facile et à portée de chacun.

    aveta
    C'est une idée que j'avais moi même envisagée, voyant le nombre de personnes admirant la mer, si chacune prenait un déchet dans chaque main... c'est une goutte d'eau, mais multipliée par des milliers c'est toujours mieux que rien !
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    A76
    Rétablir les consignes (retour au producteur) pour le verre, les emballages très rigides. Créer, de cette manière, une incitation monétaire pour le consommateur. + Interdire tout suremballage ne contribuant pas ou peu à la bonne conservation du produit. + Donner les moyens au citoyen lambda de pouvoir réparer les objets du quotidien.
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    Ninamrchs
    Des jeunes du Calvados ont pris cette initiative et ont mis en place des sceaux à déchets sur la plage de Courseulles sur mer : [lien supprimé] (pour leur donner un petit coup de pouce ;) )
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    Ninamrchs
    Impossible de publier un lien, mais leur initiative s'appelle "Les Bidons de Compagnie"
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  • informer les professionnels , les habitants et les touristes sur les dechetsc

    lydieke71 - 04 Février 2018 - 10h48

    Nous ramassons énormément de déchets lors de nos promenades à st Germain sur ay. Il y a peu d'endroits où deposer ces déchets ( beaucoup de plastiques, de cordages ) il faudrait installer plus de poubelles et informer les touristes et pêcheurs sur la nécessité de ne pas jeter les déchets à la mer.

    Myriam Verkindere
    Pornic (44) a inauguré en janvier 2017 des "bacs à marée". Ils ont pour unique vocation d'accueillir « les déchets d'échouage »
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  • EGO SUM

    textilus - 03 Février 2018 - 21h08

    Je tente de faire de mon mieux. En Bretagne Sud, les plages sont souvent colonisées par des algues vertes. J'essaie de réagir en achetant des produits agricoles sans intrants phosphatés. J’essaie de faire mon mieux, mais je reste conscient de ne pas être soutenu par les pouvoirs publics, qui souvent à mon avis, reste concilient sur un maximum de norme protrectice

  • Polluant

    Flr - 03 Février 2018 - 19h44

    Plus de polluant agricole

  • Bacs à Marées

    fanfan50 - 02 Février 2018 - 21h48

    Beaucoup de citoyens veulent aider ; leur mettre à disposition des bacs à marée sur chaque parking de bords de mer accompagnés de consignes simples aiderait à la fois à la prise de conscience et à la prévention des pollutions par les déchets divers .

    Laurent Colasse
    A condition que les communes jouent le jeu avec transparence et face la publicité de la masse de plastiques récolté ! L'idée d'une carte nationale des plages avec ce genre de renseignements ne plaira pas à la toute puissante économie touristique !
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  • création de zones de rérerves maritimes

    mecplusultra - 02 Février 2018 - 14h36

    Il est crucial de protéger certaines zones qui servent d'abris hivernal au poissons et d'y interdire la pèche

    A76
    C'est vrai, mais ce commentaire n'est pas au bon endroit. Quel rapport avec le titre : "Comment réduire les pollutions venues de la terre, qui influencent la bonne qualité de l’eau sur le littoral ?"
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  • Sensibilisation

    Jonathan Kordel - 02 Février 2018 - 12h20

    Combattre la pollution par l'éducation et la sensibilisation des jeunes, effectuer des sorties extra-scolaires pour la collecte des déchets sur le littoral et la valorisation de ses déchets par le recyclage.

    vaaa
    la sensibilisation semble essentielle car sur les plages de Dieppe par exemple, il y a des poubelles mais beaucoup de gens laissent leurs détritus sur les galets...
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    aveta
    l'éducation commence à la maison, aux parents de montrer l'exemple ! je n'ai jamais eu besoin d'expliquer à mes enfants de ne rien laisser derrière eux, c'est un geste automatique que nous avons eu systématiquement et qu'ils reproduisent, systématiquement ! pour les autres, certains s'en fichent royalement malheureusement
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  • Respect du littoral

    Marty - 02 Février 2018 - 11h00

    Face au « changement climatique », il est important de préserver le littoral. Préserver la loi en cours, voir la durcir, et interdire toutes nouvelles constructions invasives et polluantes( hôtel sur l’ile De Tatihou).

    PCHamel
    Préserver le littoral ne signifie pas "ne rien faire". Au contraire : préserver c'est parfois protéger. La loi existe et doit être respectée, y compris dans ce qu'elle autorise en termes d'aménagement. Concernant l'île de Tatihou, il me semble que le projet hôtelier n'implique pas de nouvelle construction (site protégé).
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    M
    la démolition de maisons isolées le long du littoral a restitué des continuités sauvages dans le parc naturel du Mais du Cotentin un enjeu important!
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  • AGRICULTURE RESPONSABLE

    CHEMIN Bernard - 01 Février 2018 - 09h11

    Revenir à une agriculture moins polluante

    PIERRICK
    ESSAYER DE CONVAINCRE LES AGRICULTEURS !!!!!!!
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  • Brigades de nettoyage sur les fleuves

    Joelle Lefrancois - 31 Janvier 2018 - 21h33

    Pourquoi ne pas mettre un bateau sur chaque fleuve qui aurait pour charge de ramasser tous les objets flottants...ce qui permettrait de réduire grandement tous le rejets a la mer des dechets plastiques entre autre et cela créerait des emplois

    Margaux Arsac
    Côté pour, plus de 80% de objets flottants en mer proviennent de rejets continentaux. Par contre sont ils forcément en surface lors de leur transport dans les fleuves ? En majorité j'imagine fine toutefois que oui. La solution du problème en amont semble être tout de même toujours à privilégier. Ou comment éviter ces rejets de déchets dans les cours d'eau ?
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    Laurent Colasse
    Un seul bateau pour pêcher les déchets d'un fleuve comme la Seine, dont le bassin draine 1/3 de la population française ? Cela ne vas pas suffire vu qu'ils ne voyagent pas seulement en surface mais aussi dans la colonne d'eau... Il suffirait par contre de profiter de chaque ouvrages que représente les écluses et les barrages pour faire du nettoyage ! Mais fautes de crédits pour cela, les déchets sont basculés vers l'aval !
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  • conditions pour qu''une espèce invasive menace de rupture une chaîne alimentaire ?

    Michel Mariette - 26 Janvier 2018 - 17h09

    ll' espèce invasive dénommée " Mnemiopsis leidyi possède une capacité reproductive très élevée en présence d'une nourriture abondante en l'occurrence du zooplancton

    Que peut on faire 'en période de forte présence de cette espèce prédatrice pour éviter une rupture d'une chaîne alimentaire préjudiciable à la préservation des espèces halieutiques dont la nourriture principale serait le zooplancton?

    Michel Mariette
    remplacer reproductive par reproductrice merci
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